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 Sedevacantisme c’est quoi ?

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4 participants
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mgr gaum

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Messages : 812
Date d'inscription : 05/04/2019

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MessageSujet: Sedevacantisme c’est quoi ?   Sedevacantisme c’est quoi ? EmptySam 27 Avr - 0:40

Sedevacantisme c’est quoi ?

Pourquoi la plupart des églises sont aujourd’hui désertées ?

Pourquoi la promotion de toutes les religions ?

Pourquoi la décadence actuelle du monde baptisé ?

Pourquoi tant de scandales ? etc …

Tout est lié.

Le sédévacantisme (de l’expression latine sede vacante, « le trône de saint Pierre est vacant », utilisée entre la mort d’un pape et l’élection de son successeur) est une position religieuse tenue par les catholiques pour garder la foi, qui soutient que depuis la mort de Sa Sainteté Pie XII, le siège de Pierre est vacant (ou mieux dit est occupé illégitimement) et que, par voie de conséquence, Jean XXIII, Paul VI, Jean-Paul Ier, Jean-Paul II, Benoît XVI et François 1er ne sont que des usurpateurs, et des antichrists (et non pas l’Autorité légitime).

Le sedevacantisme, parlons-en !
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mgr gaum

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Messages : 812
Date d'inscription : 05/04/2019

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MessageSujet: Re: Sedevacantisme c’est quoi ?   Sedevacantisme c’est quoi ? EmptySam 27 Avr - 0:42

Un demi-siècle après Vatican d’Eux

Les sédévacantistes qui sont du rite catholique romain, ne reconnaissent pas la légitimité et donc l'autorité des "pontifes" régnant à Rome actuellement en raison de leur défaillance dans la Foi catholique. Nous estimons que l'assistance du Saint-Esprit dont le Souverain pontife jouit le préserve de toute errance dans l'enseignement des vérités catholiques, ce qui d'ailleurs est un Dogme de Foi Catholique.

Pour nous, la ratification des décrets du IIe concile du Vatican — en particulier celui sur la liberté religieuse Dignitatis humanæ — est incompatible avec la possession du Souverain pontificat puisque condamné infailliblement par Sa Sainteté Pie IX dans son encyclique Quanta Cura.

Nostra Ætate, le nouveau Code de Droit canon qui a procédé à l'inversion des fins du mariage ainsi que de multiples actes (assise) sont considérés par les "sédévacantistes" comme scandaleux et relevant du schisme, de l'hérésie, de l'apostasie pour Paul VI, Jean-Paul I et II et Benoît XVI.

L’église Conciliaire actuelle n’est pas l’Église Catholique !
Ils ont… tout détruit.
L’Église de Dieu ne peut pas s’être trompé pendant 2000 ans
L’Église une, sainte, catholique et apostolique de Dieu ne peut ni se tromper, ni nous tromper.

https://dai.ly/xeeug9
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mgr gaum

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Messages : 812
Date d'inscription : 05/04/2019

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MessageSujet: Re: Sedevacantisme c’est quoi ?   Sedevacantisme c’est quoi ? EmptySam 27 Avr - 0:42

Ce qu'est le Sédévacantisme
Sede est le latin pour ‘chaire’ et Vacante est le latin pour ‘vide’. Une période sedevacante est une période où il n’y a pas de pape : la Chaire de St Pierre est vide. Cela se produit habituellement après la mort d’un pape ou après la démission d'un pape ; ce qui s’est passé plus de 200 fois dans l'histoire de l'Eglise, et qui s’étendait sur des années par moment. Les docteurs de l'Eglise enseignent également que la Chaire de Pierre deviendrait vacante si un pape devenait hérétique manifeste.

La position sédévacantiste décrit la position des catholiques traditionnels soutenant que la Chaire de St Pierre est présentement vacante, parce qu'il peut être prouvé que l'homme à Rome est un hérétique public, et n’est donc pas un vrai pape.
Source

On peut voir que c'est l'enseignement de l'Eglise catholique qu'un homme est séparé de l'Eglise par l’hérésie, le schisme ou l’apostasie.

Pape Innocent III, Eius exemplo ; 18 déc. 1208 : « Nous croyons de notre coeur et confessons de notre bouche une seule Eglise, non celle des hérétiques, mais la sainte Eglise romaine, catholique, apostolique, en dehors de laquelle nous croyons que personne n'est sauvé. » [3]

Ainsi, ce n'est pas simplement l'opinion de certains saints et docteurs de l'Eglise qu'un hérétique cesserait d'être pape ; c'est un fait inextricablement lié à un enseignement dogmatique. Une vérité inextricablement liée à un dogme s'appelle un fait dogmatique. C'est donc un fait dogmatique qu'un hérétique ne peut pas être le pape. Un hérétique ne peut pas être le pape, puisqu’on ne peut pas être la tête de ce dont on n’est même pas membre.

Le pape Paul IV publia une bulle pontificale déclarant solennellement que "l’élection d’un hérétique en tant que pape est nulle et vaine, même si elle a lieu avec le consentement unanime des cardinaux et qu’elle est acceptée par tous."
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undesdouze

undesdouze


Messages : 884
Date d'inscription : 06/04/2019

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MessageSujet: Re: Sedevacantisme c’est quoi ?   Sedevacantisme c’est quoi ? EmptyDim 30 Juin - 2:22

Si je vous comprends bien, Gilbert Chevalier et son blog en forme de forum est un sédévacantiste. Il affirme:

"La planète est en péril et prête à se désintégrer"
http://catholique.forumactif.com/t412-news-au-28-juin-2019

Bergoglio=666 est l'antechrist !
http://catholique.forumactif.com/t411-news-au-27-juin-2019

Le BUT de mon FORUM par Gilbert Chevalier le Dim 9 Déc - 9:44
Catholique-Forum a un double but :
1- Montrer que nous sommes au temps de l'Antéchrist ;
2- Indiquer le remède pour passer au travers de ce temps périlleux, remède qui n'est autre que le Chapelet quotidien.

http://catholique.forumactif.com/t76-le-but-de-mon-forum

Qu'en pensez-vous ?
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L'abbé Morère

L'abbé Morère


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Date d'inscription : 28/05/2019

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MessageSujet: Re: Sedevacantisme c’est quoi ?   Sedevacantisme c’est quoi ? EmptyDim 30 Juin - 2:59

Bonjour cher frère catholique.

Cette personne est un sédévacantiste... bien agité.
Son prétendu forum n'a pas "23 membres actifs" selon ses dires, il est le seul à tout faire. Il a 23 inscrits imperceptibles, nuance!

Faut-il vous rassurer? Le pape François n'est pas l'antechrist, là je pense qu'il y a un dérapage qui conduit à l'excommunication.
Allez en paix.
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mgr gaum

mgr gaum


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Date d'inscription : 05/04/2019

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MessageSujet: Re: Sedevacantisme c’est quoi ?   Sedevacantisme c’est quoi ? EmptyDim 30 Juin - 3:37

Le "Catéchisme de la Doctrine chrétienne" de Saint Pie X enseigne page 44 aux paragraphes 115 et 116 que le Pape a l'infaillibilité pontificale Ex Cathedra sur la foi et les mœurs.
Le pape François ne tient pas de propos hérétiques Ex Cathedra.

"Le Pape parle «‘Ex Cathedra’ lorsque, remplissant sa charge de pasteur et de docteur de tous les Catholiques, il dé- finit, en vertu de sa suprême autorité apostolique, qu’une doctrine sur la Foi ou les mœurs doit être tenue par toute l’Église ; le Pape jouit alors par l’assistance divine à lui promise en la personne de saint Pierre, de cette in- faillibilité dont le divin Rédempteur a voulu que fût pourvue Son Église, lorsqu’elle définit la doctrine sur la Foi et les mœurs» (Concile Vatican I)."
Source

L'inscrit que vous citez, Gilbert Chevalier, refuse d'être reconnu Sedevacantiste, et refuse le Pape François dans des propos extrêmement graves qui lui appartiennent. Il s'avoue ainsi schismatique et encours l'excommunication.

Les définitions sont dans votre Catéchisme page 47 aux paragraphes 129 et 130.
http://liberius.net/livres/Catechisme_de_la_doctrine_chretienne_000000426.pdf

Pour citer un autre exemple différent, Arnaud Dumouch est un imposteur malin qui s'attribue des diplômes et des fonctions non officielles ni reconnues, il est un hérétique, condamné par l'Église.

Il est salutaire de rester dans la Sainte Église Catholique en confessant ses péchés.
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undesdouze

undesdouze


Messages : 884
Date d'inscription : 06/04/2019

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MessageSujet: Re: Sedevacantisme c’est quoi ?   Sedevacantisme c’est quoi ? EmptyMer 4 Déc - 22:41

Habemus Antipapam, thèse sédévacantiste


La thèse sédévacantiste, qui semblait si redoutablement probable depuis plusieurs décennies, est aujourd’hui clairement avérée. Les âmes sont tombées par millions dans l’apostasie. Ainsi, le séminaire de Lille, quatrième ville de France, vient de fermer ses portes, faute de vocations, et le Vatican est aux mains d’un antipape objectif. Avant de tenter d’expliquer ce mystère d’iniquité, il nous faut expliquer ce qu’est le sédévacantisme.

Mais d’abord, en préliminaire pour ceux qui répondront à nos accusations par le devoir d’obéissance du catholique à son souverain, nous ferons remarquer que le fidèle est toutefois tenu à l’intelligence : la foi qui l’anime n’est pas subie comme un sort mystérieux, mais emporte l’adhésion de sa raison. Si donc il s’aperçoit que, pour obéir au prélat qui est censé l’éclairer, il doit violer les attendus raisonnables de sa foi, il est alors fondé à contester l’autorité du prélat, et d’autant plus lorsque celui-ci est en contradiction manifeste avec ses prédécesseurs. Ceci est justifié par saint Thomas d’Aquin, s’appuyant lui-même sur saint Augustin, et ce sont deux Docteurs de l’Eglise :

« Cependant, on doit observer que, si la foi est en danger, un sujet pourrait réprimander son prélat, même publiquement. C’est ainsi que Paul, qui était sujet de Pierre, réprimanda celui-ci en public suite au danger imminent de scandale concernant la foi et, comme le dit St. Augustin dans son commentaire sur Gal II, 11 : « Pierre donna un exemple à ses supérieurs que, si à n’importe quel moment, ils devaient sortir de la voie droite, ils devraient s’attendre à être repris par leurs sujets. » Somme théologique, IIa IIae, Qu. 33, article 4, ad2.


Etymologie
La racine « sédé » vient du latin « sedes » ou de l’italien « sede » qui signifie tout simplement « siège » ; quant au suffixe « vacantisme », il se comprend de lui-même comme l’état de ce qui est vacant.

Ainsi, les sédévacantistes ont fondé la thèse, peu après le concile Vatican II, que le Saint-Siège, ou siège du Vatican, est vacant depuis le décès de Pie XII le 9 octobre 1958, qui aurait été le dernier pape valide, ses successeurs supposés n’étant en fait que des imposteurs placés de force sur la chaire de Pierre au cours de conclaves menés de façon irrégulière par les manœuvres de traîtres officiellement cardinaux mais en réalité crypto-juifs ou crypto-maçons : Ils ont, pour soutenir cette thèse, plusieurs arguments très solides, à commencer par la dérive hérétique de plus en plus visible de la papauté, amorcée par le concile Vatican II et dont l’apothéose vient de se produire sous nos yeux ébahis dans les jardins du Vatican le mois dernier par l’adoration de la déesse Pachamama, constituant par là la violation la plus flagrante du premier commandement de Dieu, dans l’enceinte la plus sacrée du christianisme !


LA SALETTE
Tout d’abord, ils voient dans la situation actuelle la réalisation d’une prophétie dictée par Notre-Dame de La Salette (Isère) le 19 septembre 1846 :
« Rome perdra la foi et deviendra le siège de l’Antéchrist. L’Eglise sera éclipsée, le monde sera dans la consternation ».

Cette éclipse se concrétise par la vacance du siège apostolique, dans la mesure où ceux qui l’occupent offrent une apparence de souveraineté pontificale mais n’en ont pas la réalité : Ils sont de fait les agents perfides d’un programme maléfique qui les dépasse et qui leur dicte leur conduite, et dont la finalité est la destruction objective du christianisme.

Cette même prophétie de La Salette trouve un écho particulièrement retentissant de nos jours, car elle contient cet autre propos attribué à Jésus-Christ : «  Les prêtres, mes serviteurs, sont devenus des cloaques d’impureté  » : On peut voir ici sans peine les innombrables affaires de pédophilie qui secouent ces temps-ci la réputation de l’Eglise, et que les pseudo-saints Montini et Wojtyla ont couvertes sans vergogne. Mais l’impureté du corps ne saurait aller sans celle de l’âme, et sur ce plan il y a au moins autant à dire.

Le chanoine défroqué ROCA
Les prophéties du XIXe siècle reçoivent en écho les prédictions des adversaires de l’Eglise : Roca fut un prêtre de l’Eglise Catholique, qui défroqua pour adhérer à la franc-maçonnerie et se lança alors dans des publications furieusement hérétiques et anticléricales, au point que lors de son décès, en 1893, l’Eglise lui refusa les funérailles catholiques. Roca rêvait de voir détruire l’Eglise qu’il avait reniée, prenant fait et cause pour l’impie Révolution française qui lui inspira, en 1889, un ouvrage dithyrambique duquel est extraite la citation suivante, que l’on peut aujourd’hui considérer comme une « prophétie » annonçant le concile Vatican II :
« Une immolation se prépare : La papauté succombera sous le couteau sacré que forgeront les pères du dernier concile » (Roca, « Glorieux Centenaire »,
1889).


Ces « pères du dernier concile »

1- Angelo RONCALLI (JEAN XXIII – 1958-1963)

C’est sous le qualificatif rassurant de « bon pape » dont l’avait gracieusement affublé la presse mondaine, qu’Angelo Roncalli fut présenté aux fidèles du monde entier, sous le nom de Jean XXIII : Dans le choix de ce nom, déjà, il y avait une ironie flagrante, car le nom de Jean XXIII avait été celui d’un antipape du Moyen-Age. Ironie encore lorsqu’il osa prétendre que c‘était l’Esprit-Saint qui lui avait dicté la décision de convoquer le second concile du Vatican (alias Vatican II), qu’il inaugura en octobre 1962, alors qu’en fait d’Esprit-Saint, il s’agissait plus prosaïquement du collège des plus hautes instances judéo-maçonniques, qui étaient venus lui annoncer dès 1954, alors qu’il était nonce apostolique à Paris, où il menait une vie bien plus mondaine que mystique, qu’il avait été choisi pour être le prochain pape.

En effet, le « bon pape » Jean, s’avère à l’examen être un franc-maçon membre d’une des 36 UR-LODGES, sorte d’état-major de la F.M, inscrit dans les années 30 sous le nom de « Frère Jean », lors de sa nonciature en Turquie. Déjà, dès les années 20, il avait été suspendu de son enseignement au séminaire de Rome, l’Athénée du Latran, pour y avoir introduit des doctrines fumeuses, sans toutefois prétendre y adhérer mais leur faisant tout de même une publicité suspecte.

2- Jean-Baptiste MONTINI (PAUL VI – 1963-1978)
Roncalli lui ayant préparé la place, Jean-Baptiste Montini, alias Paul VI, né d’une mère juive, Judith Aghitsi, convertie juste la veille de son mariage et dont la tombe est ornée de symboles maçonniques, put mener à bien le travail entamé : il conduit le concile Vatican II jusqu’à son terme destructeur, le 8 décembre 1965, et entame aussitôt la ruine des dogmes et des us, jetant les fidèles dans l’hébétude et la consternation, dont la plupart ne purent sortir qu’en quittant l’Eglise. En 1969, le cardinal Bugnini, franc-maçon avéré, fait promulguer la nouvelle messe, où le prêtre tourne le dos au tabernacle, puis Montini opère le bouleversement du calendrier, la destruction programmée du clergé régulier, aujourd’hui réduit à peau de chagrin, le découragement des clercs séculiers entrainant le « défroquage » de nombreux prêtres et de religieuses dans les années 60 et 70, et enfin l’apostasie massive qui fait qu’aujourd’hui, la France jadis catholique est peuplée en grande majorité de païens n’ayant plus d’autre connaissance du christianisme que le prêt-à-penser vulgaire et simpliste que leur sert une presse à peine moins ignorante qu’eux. On peut dire que Paul VI a fait du bon travail… c’est pourquoi « François » l’a canonisé sans vergogne, en dépit des archives de la police de Milan qui regorgent de notes sur ses frasques dans les bordels homosexuels lorsqu'il était archevêque de cette ville entre 1954 et 1963. Si nos ultramodernes militants LGBT ne voient rien de mal à cela, c’est normal, mais il est normal également qu’en revanche les catholiques y trouvent à redire.

De plus, au moins aussi ironique que Jean XXIII, Paul VI n’hésita pas à porter l’Ephod en plusieurs occasions : Il s’agit d’un ornement réservé au Grand Prêtre du judaïsme antique lors des solennités, et notamment par Caïphe lors de la condamnation de Jésus. Une photo de Paul VI portant l’Ephod, certes petit et discret, mais non moins Ephod, caractérisé par ses douze carreaux symbolisant les douze tribus d’Israël, fut publiée par Paris-Match le 29 août 1970.

Lors de la clôture du concile Vatican II, il conclut ses travaux par cette déclaration éloquente :
« Reconnaissez-lui [l’Eglise] au moins ce mérite, vous, humanistes modernes, qui renoncez à la transcendance des choses suprêmes, et sachez reconnaître notre nouvel humanisme : nous aussi, nous plus que quiconque, nous avons le culte de l'homme. »

Ce culte de l’homme, qui remplace donc le culte divin, nous a menés par étapes graduées jusqu’à l’hérésie décomplexée d’un Bergoglio, caricature dérisoire de l’autorité pontificale.

3- Albino LUCIANI (JEAN-PAUL Ier - 1978)
Ce malheureux a peut-être fini assassiné, mais nous n’en avons pas de preuve formelle. Toujours est-il que son règne n’ayant duré que 30 jours, il n’a eu le temps de faire à l’Eglise ni bien, ni mal. Nous lui laisserons donc le bénéfice du doute.

4- Karol WOJTYLA (JEAN-PAUL II - 1978-2005)
Etoile de première grandeur dans la destruction de l’Eglise, son pontificat accélère le processus entamé par Paul VI. Ses encycliques révèlent une théologie douteuse, subtilement insinuée à coups de «  en quelque sorte  », ou « d’une certaine manière », faisant finalement de chaque homme un alter ego du Christ, c'est-à-dire un dieu : cela n’est pas anodin, car il s’agit d’une insinuation de sacerdoce universel directement issue des influences théosophiques de sa jeunesse, et qui aboutit à la destruction des sacrements, et donc du sacerdoce. Un super-protestantisme, « en quelque sorte ».

Il se fait ensuite le serviteur zélé du noachisme, cette religion talmudique voyant dans le peuple juif une race sacerdotale qui a pour rôle de diriger le bas-peuple que constitue le reste du genre humain en l’encadrant dans une religion syncrétique qui vise à adorer le Dieu juif à travers les Juifs eux-mêmes, que les Gentils doivent voir comme personnes sacrées, c'est-à-dire comme prêtres.

Au service de cette hérésie grossière sortie tout droit du Talmud, Wojtyla proclamera, et fera répéter cette formule jusqu’à la plus humble paroisse, l’abomination suivante : « les Juifs sont nos frères aînés dans la foi ». Il va sans dire que cette formule est une négation totale de la foi catholique. On peut dire, à la rigueur, que les Juifs, ceux d’avant le Messie, « furent » nos frères aînés dans la foi, mais dire que ceux d’aujourd’hui le « sont » c’est véritablement tenir pour rien le sacrifice du Christ.

Après ces prouesses dialectiques, Wojtyla s’est attaqué pour de bon au sacré : En 1986 , il fit mettre des statues de Bouddha sur les autels des églises d’Assise, au prétexte de promouvoir la paix : il fait ainsi entrer le syncrétisme, théorisé par les papes authentiques sous le nom d’indifférentisme, qu’ils ont tous condamné sans aucune hésitation :

Ainsi, Grégoire XVI :
« Nous voulons dire l’indifférentisme, ou cette opinion funeste répandue partout par la fourbe des méchants, qu’on peut, par une profession de foi quelconque, obtenir le salut éternel de l’âme, pourvu qu’on ait des mœurs conformes à la justice et à la probité »
(Grégoire XVI, encyclique « Mirari Vos », 15 aout 1832)

Il ne manqua pas de réitérer ces abominations en 1999 et en 2002, ce qui nous permet de bien voir que l’épisode de 1986 ne fut pas un égarement passager. En 1999 toujours, il embrassa littéralement le Coran, ce qui fit dire à de nombreux musulmans qu’il s’était converti à l’islam. Il se plaisait d’ailleurs à leur dire qu’il avait le même Dieu qu’eux, à quoi on peut déduire qu’il ne croyait pas au Dieu incarné.

5- Joseph RATZINGER (BENOIT XVI – 2005-2013)

Joseph Ratzinger fut le bras droit de Wojtyla durant tout son pontificat. Il fut également un des ténors du salmigondis conciliaire, jeune prêtre allemand alors en vue et déambulant dans les allées du concile en tenue de « clergyman » en un temps où la soutane était pourtant la règle vestimentaire du clergé séculier. Complice des venimeux Bea (juif et franc-maçon affilié au B’nai B’rith et déguisé en catholique), König, du même moule, qui rédigea sur demande du B’nai B’rith la déclaration de Vatican II sur le judaïsme, et Küng, sorte de syncréto-gnostique anti-catholique quoique prêtre, tous trois théoriciens zélés de la destruction de l’Eglise. Joseph propagea leurs idées durant le concile, les étayant du mieux qu’il put. Il en fut récompensé, puisqu’il devint rapidement cardinal, et finalement monta lui aussi sur la chaire de saint Pierre.

A sa décharge, on peut le soupçonner d’un repentir tardif, qui expliquerait d’une part son motu proprio de juillet 2007 par lequel il autorise à nouveau la messe traditionnelle, et sa démission en 2013, probablement pour n’avoir pas voulu accepter les nouvelles lignes du programme qu’on lui imposait : De fait, la Banque centrale italienne avait bloqué, depuis le 1er janvier 2013, tout paiement ou retrait d’espèces émanant de la banque du Vatican. Ce blocage fut levé dès le lendemain de l’annonce de sa démission. Les voies de la franc-maçonnerie ne sont pas si impénétrables à qui veut bien faire l’effort de s’en informer.

6- George BERGOGLIO (FRANCOIS 1er – 2013-)

Dans ce feu d’artifice, voici le bouquet final : Bergoglio ! Plus juif que les juifs, plus maçon que les maçons, plus protestant que les protestants, plus musulman que les musulmans. Mais bien sûr, en vertu de l’adage bien connu « On ne peut contenter tout le monde et son père », la seule religion qu’il refuse d’honorer, c’est le catholicisme.

Dès le début de son pontificat, il a réussi la prouesse de tenir à l’ONU un long discours où pas une fois n’apparaît le nom de Jésus-Christ.

De nombreux fidèles n’ont pu manquer de remarquer qu’il ne bénissait plus les foules : Pas de signe de croix, pas de formulation « au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit », mais juste un vague « Que le Seigneur vous bénisse » en levant les bras au ciel suivi d’un « Priez les uns pour les autres ».

Il n’y a alors plus à s’étonner de sa réponse au matérialiste Scalfari, sûrement aux anges :
«  Je crois en Dieu. Pas en un Dieu catholique, il n’existe pas de Dieu catholique, il existe Dieu  »
(Entretien avec Scalfari, « la Repubblica », 24/09/2013)

Autre pépite de ce même entretien à « La Repubblica » :
« Chacun de nous a une vision du Bien, et aussi du Mal. Notre tâche est d’inciter chacun à aller dans la direction de ce qu’il estime être le Bien ».

Autrement dit, pas de révélation divine, l’Eglise n’est pas un guide, cherche en toi-même et tu trouveras : C’est la première chose qui est enseignée au candidat à la franc-maçonnerie, sous l’acronyme V.I.T.R.I.O.L.

Sa vidéo du nouvel an 2016, clairement indifférentiste, dans laquelle, après avoir désigné les principales religions, il les déclare toutes égales en affirmant :
« Il n’y a qu’une certitude, c’est que nous sommes tous enfants de Dieu »

Il oublie par là que Jésus a condamné ceux qui refusent de le suivre :
« Jésus leur dit : Si Dieu était votre Père, vous m'aimeriez, car c'est de Dieu que je suis sorti et que je viens ; je ne suis pas venu de moi-même, mais c'est lui qui m'a envoyé. » (.Jn, 8,42)

Ainsi, pour lui, contrairement à ce qu’affirme le symbole de Nicée, l’Eglise n’est ni une, ni sainte, ni catholique, ni apostolique. D’ailleurs, il a troqué le substantif « apostolat » pour celui de « prosélytisme », de connotation péjorative. Pour lui, convertir un juif, un protestant ou un musulman, cela ne se fait pas : Chacun doit rester dans sa religion d’origine. 260 papes se retournent dans leur tombe en entendant cela ! La maxime cardinale de l’Eglise affirmant « Hors de l’Eglise, point de salut » n’est pour lui qu’une vieille lune : Selon lui, nul besoin de suivre Jésus pour être sauvé. A quoi bon, dans ce cas, en effet, convertir ceux de l’extérieur, puisque leur religion est aussi bonne que la nôtre ? Tout est à l’avenant, dès que s’exprime cet antipape débridé.

Quand des catholiques, même éminents (évêques, cardinaux, théologiens), lui font part de la profonde blessure qu’ils ont ressentie à l’audition ou à la lecture de ses propos hérétiques, nulle charité chrétienne ne le pousse à leur répondre fraternellement en quoi ils se trompent dans leur interprétation.

Il faut ici reconnaître qu’il est arrivé à un stade de déconstruction théologique où nul faux-semblant ne peut plus donner d’apparente justification catholique à ses élucubrations. C’est pourquoi Il n’a cure de chercher à justifier ses errements répétés, car il sait qu’au point où il est rendu, la justification théorique est impossible : « On » lui a donné un programme, qu’il applique docilement. Il sait aussi que ses véritables maîtres se montreraient bien plus impitoyables que des cardinaux effarouchés s’il s’avisait de dévier de la ligne qui lui a été dictée.

Nous pourrions remplir cent pages de ses propos indiscutablement hérétiques, mais le dernier épisode de la pitoyable farce que constitue son « pontificat » suffira à montrer le désastre moral et intellectuel que représente ce triste souverain :

Dans les jardins du Vatican, il a participé à une cérémonie de prosternation devant les statues de Pachamama, divinité païenne d’Amérique du Sud. Il a organisé une procession de cette idole dans une pirogue à l’intérieur de la basilique Saint-Pierre, il en a autorisé l’exposition de plusieurs statues dans diverses églises de Rome et, comble de la perfection, lorsqu’un fidèle catholique n’y tenant plus s’est fait un devoir d’enlever ces statues pour les jeter dans le Tibre, pensez-vous qu’il se soit excusé d’avoir heurté la sensibilité des catholiques par les sacrilèges qu’il avait encouragés ? Non, bien entendu, c’est aux idolâtres qu’il a adressé ses excuses, osant même se dire choqué du geste catholique consistant à sortir les idoles du sanctuaire !

Saint Matthieu, dans son Evangile, rappelle pourtant clairement le premier commandement de Moïse :
" C’est le Seigneur, ton Dieu, que tu adoreras, et à Lui seul tu rendras un culte " (Mt 4,10)

Et ensuite, Jésus prend la peine de préciser :
« Celui qui n'est pas avec moi est contre moi, et celui qui n'assemble pas avec moi disperse. C'est pourquoi je vous dis : Tout péché et tout blasphème sera pardonné aux hommes, mais le blasphème contre l'Esprit ne sera point pardonné. » (Mt 12,30-31)

A quoi Bergoglio rétorque :
« Le pluralisme et les diversités de religion, de couleur, de sexe, de race et de langue sont une sage volonté divine, par laquelle Dieu a créé les êtres humains. ». (Bergoglio, 4 fév. 2019).

N’est-il pas étonnant qu’un homme occupant la fonction de pape ait à ce point perdu toute retenue contre l’orthodoxie de la foi ?

Mais nous avons été prévenus à La Salette :
« Rome perdra la foi et deviendra le siège de l’Antéchrist. L’Eglise sera éclipsée, le monde sera dans la consternation ». (déjà cité)

Nous sommes donc arrivés au cœur du mystère d’iniquité  : celui que l’on nomme pape est de parfaite évidence un ennemi de la religion universelle, et pourtant la plupart de ceux qui se disent catholiques ne le voient pas :

Mystère d’iniquité !
Au stade où nous sommes rendus, pourtant, une intelligence même médiocre, et même légèrement inférieure, devrait suffire à constater que cet homme n’est qu’un autre Judas, et pourtant tout continue : c’est à peine si quelques évêques, quelques cardinaux et quelques intellectuels protestent poliment, c’est à peine si quelques fidèles crient leur colère et leur chagrin :

Voilà ce qui est mystérieux.
Mais Le Christ avait bien annoncé, durant son ministère et dans son apocalypse, cet épisode qui se déroule sous nos yeux, où l’on voit qu’il n’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre, ni pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.
« Et ils l’adoreront [la Bête], tous ceux dont le nom ne se trouve pas écrit, dès l’origine du monde, dans le livre de vie de l’Agneau égorgé » (Apocalypse, 13,Cool

Il nous reste à livrer aux éventuels catholiques qui nous ont lus cette sentence du pape Paul IV (1555-1559) :
« ...Si jamais il advient qu'un évêque, même ayant fonction d'archevêque, de patriarche ou de primat ; qu'un cardinal de l'Église romaine, même légat ; qu'un souverain pontife même, avant leur promotion ou leur élévation au cardinalat ou au souverain pontificat, ont dévié de la foi catholique ou bien sont tombés dans quelque hérésie, la promotion ou l'élévation, même si cette dernière a eu lieu avec l'assentiment unanime de tous les cardinaux, est NULLE, INVALIDE, VAINE... » (Paul IV, bulle " cum ex apostolatus ", 15 février 1559).

Voilà des propos clairs, et clairement pontificaux, que nous soumettons à la réflexion des hommes de bonne volonté.

Et terminons cette complainte par une prophétie du pape Léon XIII :
« Là où fut institué le Siège du Bienheureux Pierre et la Chaire de la Vérité, là ils ont posé le Trône de leur abomination dans l'impiété, afin que le Pasteur étant frappé, le troupeau puisse être dispersé »(Léon XIII, encyclique Humanum Genus, 1884)
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cradoux

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MessageSujet: Re: Sedevacantisme c’est quoi ?   Sedevacantisme c’est quoi ? EmptyLun 15 Mai - 16:27

Mes bons amis, pour qui a fait les exercices Spirituels de Saint Ignace ou qui a quelque expérience dans la vie intérieure , il est frappant de voir combien l'état d'esprit sédévacantiste ressemble à la " désolation spirituelle ". Cette désolation est sans doute la porte d'entrée dans la thèse.

Sedevacantisme c’est quoi ? D8xu
Non content de se priver de pape , le sédévacantiste se prive de sacrements s'il n' y a pas l'une de ces chapelles rarissimes et obscures " non una cum" près de chez lui, mais encore il fait tout pour en priver les autres en militant surtout sur internet pour " convertir ", malheureusement il réussit à convaincre des fidèles qui cherchent anxieusement des certitudes absolues. Oubliant qu' une certaine obscurité est voulue par le Seigneur car: " le juste vivra de la foi" mais aussi de confiance.

Toute la religion du sédévacantiste tient en trois superdogmes :

-le pape n'existe plus,
-tous les évêques et prêtres sont invalidement ordonnés,

-nul n'est catholique s'il n'est pas sédévacantiste non una cum....répétez après moi et vous serez sauvés....
Voyons si l'analogie avec les exercices de Saint Ignace vaut.

Poursuivons avec l'abbé Boulet:

La désolation spirituelle


Est-il possible de comprendre l’état d’un esprit sédévacantiste ? Je dirais qu’il est caractérisé par une idée fixe, qui est presque une obsession.Apparemment, son esprit s’est figé sur le problème du pape, qui lui apparaît comme étant très sérieux et très urgent. C’est un cas typique de désolation spirituelle, par laquelle son âme est troublée aussi longtemps qu’une “réponse claire” n’a pas été trouvée à ce problème sérieux. Le sédévacantiste affirme qu’il y a un besoin urgent de faire un jugement sur les papes de Vatican II. Pour lui, c’est le problème fondamental sur lequel tous les catholiques traditionnels devraient s’appliquer.
Par exemple, voici une citation de Mgr Pivarunas :
« Aussi déplaisant que ce soit, les catholiques traditionnels sont confrontés aux problèmes terribles et aux questions brûlantes : Est-ce que l’Église conciliaire est l’Église catholique ? Est-ce que Jean-Paul II, en tant que tête de l’Église conciliaire, est un vrai pape ?… Le moins qu’on puisse dire, c’est que la question du pape est une question difficile, et qui n’est pas plaisante ; mais c’est une question nécessaire et d’importance qui ne peut être ignorée. »

Résumons l’approche sédévacantiste du problème du pape :


-c’est une question qui lui tient à cœur ;

-'il réclame une réponse finale avec une certitude absolue ;

-ce problème est tellement urgent qu’il devient le centre le son attention, au point de perdre de vue le reste.

Ainsi il recherchera sans répit tout ce qui peut conforter sa thèse, les conciliaires seront particulièrement diabolisés( ils ne sont plus catholiques et considérés comme membre d'une secte), tout geste de retour à la Tradition des autorités conciliaires sera considéré comme suspect ou machiavélique( ex Mgr Huonder), une rage particuliere sera dirigée contre leurs frères catholiques traditionalistes qui ne partagent pas leurs conclusions.( la fsspx traitée de gallicane et d'heretique sera particulièrement visée car elle reconnaît et respecte le Pape).

Saint François de Sales a souffert une désolation spirituelle très semblable. C’était au sujet de la prédestination. Son intelligence était engluée dans ce problème et l’angoisse d’être réprouvé quoi qu’il fasse ne le quittait jamais. Plus il étudiait, plus des questions nouvelles apparaissaient, et plus il désespérait. Comment saint François a‑t-il été capable de sortir de cette prison intellectuelle ? Un jour, il tomba à genoux devant une statue de Notre-Dame et dit : « Ô Sainte Vierge, je sens que je vais être damné. Si je dois maudire Dieu pour toute éternité, je voudrais au moins vous offrir cette journée pour rendre gloire à Dieu. » Il se releva guéri. Il était parvenu à mettre son obsession au second plan au profit de l’humble accomplissement du devoir quotidien.
Appliquons cet exemple au sédévacantiste : « Qui sait si Jean-Paul II est pape ? Qui sait si la Fraternité Saint-Pie X est schismatique, car elle reconnaît le pape et ne lui obéit pas ? » Dans un cerveau sédévacantiste, de telles questions produisent des réactions émotives profondes, qui conduisent à la colère et à la panique : le sédévacantiste exige une réponse complète tout de suite. Cette sorte de désolation spirituelle est très dangereuse.Elle menace des âmes pieuses, qui se sont convaincues qu’elles trahiraient leur conscience, si elles oseraient ignorer ces problèmes fondamentaux. Ce problème afflige les personnes qui sont tentées par l’orgueil intellectuel, et qui ont une tendance à rechercher les solutions les plus extrêmes et les plus désespérées.

Remède

Dans le livre des Exercices Spirituels, saint Ignace de Loyola donne les règles du discernement des esprits. Voici celles qui devraient être appliquées au cas de désolation spirituelle des sédévacantistes :

-ne faire aucun changement aux résolutions précédentes (5e règle) ;
-contre-attaquer la tentation par la prière et la pénitence (6e règle) ;
-poser un acte de volonté par lequel on refuse de se laisser enfermer dans une controverse qu’on n’est pas qualifié pour résoudre (12e règle).


Pour atteindre ce but, il faut pratiquer une stricte discipline intellectuelle et une mortification de la volonté propre, autrement dit l’humilité. Dans notre vie de tous les jours, il y a beaucoup de problèmes que nous sommes incapables de résoudre, car nous ne sommes pas qualifiés pour. Il nous faut savoir le reconnaître avec humilité. Plus encore, il est nécessaire de calmer et de dédramatiser le problème du pape : quand vous allez apparaître devant saint Pierre, ne pensez pas qu’il vous demandera quelle opinion vous avez eu au sujet de l’un de ses successeurs.
Soyons clair : il n'est pas question de vouloir évacuer le problème réel de l’Église depuis Vatican II, mais simplement de rappeler quelques règles simples de discipline intellectuelle pour dédramatiser la question sédévacantiste, qui apparaît clairement comme un cas de désolation intellectuelle.

Mes chers amis, souvenez-vous toujours que le démon est un menteur. Il se sert du sédévacantisme pour détourner certaines âmes pieuses des moyens de sanctification: la messe et les sacrements. Le diable les jette ensuite dans de nombreuses obsessions, les complots, le judeocentrisme, la méfiance et la remise en cause sans discernement de toutes les autorités légitimes, etc.....la prudence est de mise tant pour sa vie spirituelle que psychologique. Les maîtres Spirituels insistent beaucoup sur l'équilibre intérieur et l'ouverture du cœur à un bon prêtre. Le sédévacantisme n'est pas un problème doctrinal, l'abbé Boulet l'a bien montré, et les centaines de citations que les sédévacantistes vous imposent à chaque discussion ne seraient-elles pas: l'arbre qui cache la forêt.
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mgr gaum

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MessageSujet: Re: Sedevacantisme c’est quoi ?   Sedevacantisme c’est quoi ? EmptyJeu 25 Mai - 17:49

Avec Marie au pied de la croix........Modernisme et sedevacantisme, les deux armes du diable pour détourner les âmes de l'Église.


Mes bons amis, au cœur du combat historique entre le diable et l'Église deux erreurs reviennent souvent. Lors de sa vie terrestre notre Seigneur s'est retrouvé face à trois attitudes :

-1⁰Scandale de ceux qui nient la divinité de Notre-Seigneur.

-2⁰Scandale des autres qui nient la réalité humaine de la Passion.

-3⁰Les vrais croyants. Ils ne veulent pas abandonner Notre Seigneur. Ils savent que Notre Seigneur est Dieu, mais ils savent aussi qu’il est homme

Cette attitude se retrouve aujourd'hui dans la passion de l'Église.

-1⁰Les modernistes qui nient pratiquement la divinité de l'Église

-2⁰ Les sédévacantistes qui nient l'humanité de l'Église

-3⁰Les vrais catholiques qui a l'instar de la Vierge Marie avec saint Jean et quelques femmes entourent Notre Seigneur au pied de la croix. Eux ont gardé la foi . L'Église comme Notre-Seigneur est "humaine et Divine".


Mgr Lefebvre a rappelé avec force dans le sermon ci-après cette importante question de foi. En cela il nous montre la seule attitude catholique: rester dans l'Église et refuser le mal.

"nous devons nous placer devant ces faits et ne jamais abandonner l’Église, l’Église catholique et romaine, ne jamais l’abandonner"

Sermon de Monseigneur Lefebvre

Comment le Bon Dieu peut-il permettre des scandales dans son Eglise ? Mais aussi, comment a‑t-il pu permettre le scandale de la croix – Jésus-Christ humilié, frappé, mis à mort comme un malfaiteur, abandonné de ses disciples scandalisés ? Source d’espérance, cette homélie de Mgr Lefebvre à l’occasion des ordinations de 1982, éclaire le mystère d’une Eglise autant infirme que sublime.

La Passion de l’Eglise

"Alors, en quelques mots, je voudrais essayer d’éclairer un peu vos esprits sur ce qui me semble devoir être notre ligne de conduite dans ces événements si douloureux qui interviennent dans la Sainte Église. Il me semble que l’on peut comparer cette Passion que souffre l’Église aujourd’hui à la Passion de Notre Seigneur Jésus-Christ.

Voyez combien ont été stupéfaits les apôtres eux-mêmes, devant Notre Seigneur ligoté, ayant reçu ce baiser de la trahison de Judas, Il est emmené ; on L’affuble d’une robe écarlate ; on se moque de Lui ; on Le frappe ; on Le charge de la Croix et les apôtres s’enfuient. Les apôtres sont scandalisés. Ce n’est pas possible. Ce n’est pas possible que Celui que Pierre a proclamé : « Tu es le Christ, le Fils de Dieu », en soit réduit à cette indigence, à cette humilité, à cette avanie. Ce n’est pas possible. Ils Le fuient.

Seule la Vierge Marie avec saint Jean et quelques femmes entourent Notre Seigneur. Eux ont gardé la foi. Ils ne veulent pas abandonner Notre Seigneur. Ils savent que Notre Seigneur est Dieu ; mais ils savent aussi qu’il est homme. Et c’est précisément cette union de la divinité et de l’humanité de Notre Seigneur qui a posé des problèmes extraordinaires. Car Notre Seigneur n’a pas seulement voulu être un homme. Il a voulu être un homme comme nous, avec toutes les conséquences du péché, mais sans péché, hormis le péché. Mais Il a voulu en subir toutes les conséquences, la douleur, la fatigue, la souffrance, la faim, la soif, la mort, jusqu’à la mort.

Oui Notre Seigneur a réalisé cette chose extraordinaire qui a scandalisé les apôtres, avant de scandaliser bien d’autres qui se sont séparés de Notre Seigneur, ou qui n’ont plus cru à la divinité de Notre Seigneur. Tout au cours de l’Histoire de l’Église, on voit de ces âmes qui, étonnées devant la faiblesse de Notre Seigneur, n’ont pas cru qu’il était Dieu."


Scandale de ceux qui nient la divinité de Notre-Seigneur

"Et c’est le cas d’Arius. Arius a dit : « Non, ce n’est pas possible, cet homme ne peut pas être Dieu. Sans doute c’est un surhomme ; c’est le premier-né ; mais ce n’est pas Dieu, puisqu’il a dit qu’il était moindre que son Père ; que son Père est plus grand que Lui. Il est donc plus petit que son Père ; Il n’est donc pas Dieu ».

Et puis. Il a prononcé ces paroles si surprenantes : « Mon âme est triste jusqu’à la mort ». Comment Celui qui avait la vision béatifique, qui voyait Dieu dans son âme humaine et donc qui était beaucoup plus glorieux qu’infirme, beaucoup plus éternel que temporel, son âme était déjà dans l’éternité bienheureuse. Et le voici qui souffre et qui dit : « Mon âme est triste jusqu’à la mort ». Et qui prononce ces paroles stupéfiantes que jamais nous-mêmes nous n’aurions imaginé mettre sur les lèvres de Notre Seigneur : « Seigneur, Seigneur, pourquoi m’avez-vous abandonné ».

Mais comment Notre Seigneur Dieu Lui-même peut-Il dire cela ? Pourquoi m’avez-vous abandonné ? Alors le scandale, le scandale hélas se répand parmi les âmes faibles et Arius entraîne presque l’Église tout entière à dire : « Non, cette Personne, ce n’est pas Dieu »."


Scandales des autres qui nient la réalité de la Passion

"Alors, d’autres au contraire réagiront et diront : « Mais peut-être que tout ce que Notre Seigneur a subi, ce Sang qui coule, ces blessures, cette Croix, tout cela c’est de l’imagination. En fait ce sont des phénomènes extérieurs qui se sont passés, mais qui n’étaient pas réels, un peu comme l’archange Raphaël, lorsqu’il a accompagné Tobie et dit ensuite à Tobie : « Tobie vous croyiez que je mangeais lorsque je prenais de la nourriture, mais non, je me nourris d’une nourriture spirituelle ». »

Ainsi l’archange Raphaël n’avait pas un corps comme celui de Notre Seigneur Jésus-Christ ; il n’était pas né dans le sein d’une mère terrestre comme Notre Seigneur naît de la Vierge Marie. Alors peut-être Notre Seigneur était-il un phénomène comme celui-là et que semblant manger. Il ne mangeait pas, semblant souffrir, Il ne souffrait pas. Et alors ce furent ceux qui nièrent la nature humaine de Notre Seigneur Jésus-Christ, les monophysites, les monothélistes qui nièrent la nature et la volonté humaines de Notre Seigneur Jésus-Christ, tout était Dieu en lui et tout ce qui s’est passé n’étaient que des apparences. Voyez les conséquences de ceux qui se scandalisent de la réalité, de la vérité."


La situation de l’Eglise est un scandale analogue

"Alors, je ferai une comparaison avec l’Église d’aujourd’hui. Aujourd’hui, nous sommes scandalisé – oui, vraiment scandalisé – de la situation de l’Église. Nous pensions que l’Église était vraiment divine et qu’elle ne pouvait jamais se tromper, qu’elle ne pouvait jamais nous tromper."

Oui, c’est vrai, l’Église est divine ; l’Église ne peut pas perdre la Vérité ; l’Église gardera toujours la Vérité éternelle. Mais elle est humaine aussi – l’Église est humaine – et bien plus humaine que Notre Seigneur Jésus-Christ!

Notre Seigneur ne pouvait pas pécher. Il était le Saint, le Juste par excellence. Mais l’Église, si elle est divine, et vraiment divine, elle nous porte toutes les choses de Dieu et particulièrement la Sainte Eucharistie, des choses éternelles qui ne pourront jamais changer, qui feront la gloire de nos âmes dans le Ciel. Oui, l’Église est divine, mais elle est humaine. Elle est supportée par des hommes qui peuvent être pécheurs ; qui sont des pécheurs et qui, si ils participent dans une certaine manière à la divinité de l’Église, dans une certaine mesure, comme le pape par exemple par le charisme de l’infaillibilité participe à la divinité de l’Église, mais cependant il reste un homme, il reste pécheur. Et en dehors des cas où il use de son charisme de l’infaillibilité, il peut errer, il peut pécher."


"Alors pourquoi nous scandaliser et dire comme certains à l’image d’Arius – dire alors – il n’est pas pape ? Alors ce n’est pas un pape ?"

"Alors pourquoi nous scandaliser et dire comme certains à l’image d’Arius – dire alors – il n’est pas pape?Alors ce n’est pas un pape ? Comme Arius disait ce n’est pas Dieu, ce n’est pas vrai. Notre Seigneur ne peut pas être Dieu. Alors nous serons tentés aussi de dire : « Ce n’est pas possible, il ne peut pas être pape en faisant ce qu’il fait ».

Et comme d’autres, au contraire, qui diviniseraient l’Église à tel point que tout serait parfait dans l’Église, et que tout étant parfait dans l’Église, il n’est pas question, pour nous de faire quoi que ce soit qui puisse s’opposer à quelque chose qui nous vienne de Rome ; parce que tout est divin à Rome et que nous devons tout accepter ce qui vient de Rome, font comme ceux qui disent aussi que Notre Seigneur était tellement Dieu, qu’il n’était pas possible qu’il souffre, que c’étaient des apparences de souffrances, mais qu’en réalité Il ne souffrait pas ; qu’en réalité son Sang n’a pas coulé ; que c’étaient des apparences que nous avions dans nos yeux, que c’étaient des apparences qui étaient dans les yeux de ceux qui étaient autour de Lui, mais que ce n’était pas une réalité.


Alors il en est de même de certains aujourd’hui qui suivent, en disant – non – rien ne peut être humain dans l’Église, rien ne peut être imparfait dans l’Église.

Ils se trompent aussi. Ils ne suivent pas la réalité des choses. Et alors jusqu’où peut aller l’imperfection dans l’Église ? Jusqu’où peut monter – je dirai – le péché dans l’Église, le péché dans l’intelligence, le péché dans l’âme, le péché dans le cœur et dans la volonté.

Eh bien ce sont les faits qui nous le montrent. De même que je vous disais tout à l’heure, nous n’aurions jamais osé mettre sur les lèvres de Notre Seigneur cette parole : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’avez-vous abandonné ? » Jamais nous n’aurions osé mettre une parole comme celle-là sur Ses lèvres. Eh bien jamais non plus, nous n’aurions pensé que le mal, que l’erreur pouvaient pénétrer ainsi à l’intérieur de l’Église."


Retour au réel : Nous sommes devant des faits

"Eh bien, nous vivons cette époque. Nous ne pouvons pas fermer les yeux. Les choses sont là devant nous, elles ne dépendent pas de nous. Nous sommes témoins de ce qui se passe dans l’Église. De ce qui s’est passé d’effrayant depuis le concile, de ces ruines qui s’accumulent de jour en jour ; d’année en année dans la Sainte Église. Et plus nous avançons et plus les erreurs se répandent et plus les fidèles perdent la foi catholique.

Une enquête faite récemment en France, disait que pratiquement on peut penser qu’il n’y a plus que deux millions de catholiques français qui sont encore vraiment catholiques."


"Alors sommes-nous obligé de suivre l’erreur parce qu’elle nous vient par voie d’autorité ? Pas plus que nous ne devons obéir à des parents qui sont indignes et qui nous demandent de faire des choses indignes […] Il n’en est pas question !"

"Alors nous allons à la fin. Tout le monde tombera dans l’hérésie ; tout le monde tombera dans l’erreur, parce que des clercs – comme le disait saint Pie X – se sont introduits à l’intérieur de l’Église et ont occupé l’Église et ont répandu les erreurs à la faveur de l’autorité qu’ils occupent dans l’Église.

Alors sommes-nous obligé de suivre l’erreur parce qu’elle nous vient par voie d’autorité ? Pas plus que nous ne devons obéir à des parents qui sont indignes et qui nous demandent de faire des choses indignes ; pas plus que nous ne devons obéir à ceux qui nous demandent d’abandonner notre foi et d’abandonner toute la tradition. Il n’en est pas question !"


"nous devons nous placer devant ces faits et ne jamais abandonner l’Église, l’Église catholique et romaine, ne jamais l’abandonner"

"Oh certes, c’est un grand mystère. Grand mystère de cette union de la divinité avec l’humanité. L’Église est divine, l’Église est humaine. Jusqu’où les défauts de l’humanité peuvent – je dirai – presque atteindre la divinité de l’Église – Dieu seul le sait – c’est un grand mystère.

Mais nous, nous constatons les faits. Et nous devons nous placer devant ces faits et ne jamais abandonner l’Église, l’Église catholique et romaine, ne jamais l’abandonner. Ne jamais abandonner le successeur de Pierre, parce que c’est par lui que nous sommes rattachés à Notre Seigneur Jésus-Christ, à l’évêque de Rome, successeur de Pierre.

Mais si par malheur, entraîné par je ne sais quel esprit ou quelle formation, ou quelle pression qu’il subit, par négligence, il nous laisse et il nous entraîne dans des chemins qui nous font perdre la foi, eh bien nous ne devons pas le suivre tout en reconnaissant cependant qu’il est Pierre et que s’il parle avec le charisme de l’infaillibilité, nous devons accepter. Mais lorsqu’il ne parle pas avec le charisme de l’infaillibilité, il peut très bien se tromper. Hélas, ce n’est pas la première fois que cela arrive dans l’Histoire.

Peut-être à ce niveau et à ce degré, c’est la première fois que nous constatons une chose pareille dans l’Histoire, alors nous sommes vraiment profondément troublé, profondément mortifié, nous qui aimions tant la Sainte Église, qui l’avons vénérée et la vénérons toujours. Et c’est bien pour cela que ce séminaire existe par amour de l’Église, catholique, romaine et que tous ces séminaires existent, nous sommes profondément meurtri dans l’amour de notre Mère de penser que ses serviteurs – hélas – ne la servent plus ou la desservent même."


Nous offrir à Notre-Seigneur et à sa Sainte Église

"Alors nous devons prier, nous devons nous sacrifier, nous devons rester comme Marie au pied de la Croix, ne pas abandonner Notre Seigneur Jésus-Christ, même s’il paraît comme dit l’Écriture : « Il était comme un lépreux sur la Croix ». Eh bien, la Vierge Marie avait la foi et elle voyait derrière ces plaies, derrière ce cœur transpercé, elle voyait Dieu, son divin Fils."

"Aimons notre Mère la Sainte Église, servons-la toujours, malgré les autorités s’il le faut, s’ils nous persécutent"

"Eh bien, nous aussi, à travers les plaies de l’Église, à travers les difficultés que nous subissons, à travers la persécution que nous subissons même de ceux qui ont une autorité dans l’Église, n’abandonnons pas l’Église.

Aimons notre Mère la Sainte Église, servons-la toujours, malgré les autorités s’il le faut, s’ils nous persécutent, eh bien malgré ces autorités qui nous persécutent à tort, nous continuons notre voie, nous continuons notre chemin. Nous voulons maintenir la Sainte Église catholique et romaine. Nous voulons la continuer et nous la continuerons par le sacerdoce, par le sacerdoce de Notre Seigneur Jésus-Christ, par la vrai sacrifice de Notre Seigneur Jésus-Christ, par les vrais sacrements de Notre Seigneur Jésus-Christ, par son vrai catéchisme."

"J’ai été ordonné dans ce rite et je ne veux pas le quitter ; je ne veux pas l’abandonner, c’est la messe dans laquelle j’ai été ordonné et dans laquelle je dois continuer de vivre. Et c’est vraiment la messe de l’Église catholique romaine."


"C’est pourquoi, mes chers amis, aujourd’hui, voyez, comme je l’ai été ordonné moi-même, et comme ici tous les confrères qui sont d’un certain âge ont été ordonnés également, ont tous été ordonnés dans la Sainte Messe traditionnelle de toujours, ils ont reçu le pouvoir de célébrer la Sainte Messe et le Saint Sacrifice dans ce rite romain de toujours. Rappelez-vous cela : J’ai été ordonné dans ce rite et je ne veux pas le quitter ; je ne veux pas l’abandonner, c’est la messe dans laquelle j’ai été ordonné et dans laquelle je dois continuer de vivre. Et c’est vraiment la messe de l’Église catholique romaine.

Alors soyez fidèles, fidèles à votre Saint Sacrifice de la messe qui vous donne tant et tant de consolations, tant de joie, tant de soutien dans vos difficultés, dans vos épreuves, dans les persécutions que vous risquez de subir, vous trouverez la force de subir avec Notre Seigneur Jésus-Christ toutes ces avanies ; vous le trouverez dans la Saint Sacrifice de la messe.

Et donnant vraiment Notre Seigneur Jésus-Christ dans son Sang, dans son Corps, dans son Âme, dans sa Divinité, aux fidèles, vous donnerez aussi aux fidèles le courage de continuer à suivre l’Église dans sa tradition et à se conformer à tous les exemples des saints qui les ont précédés, qui nous ont précédés, tous ceux qui ont et canonisés, béatifiés, montrés comme exemple de Sainteté dans la Sainte Église, ceux-là continueront d’être nos modèles.

Que la Vierge Marie en particulier soit notre modèle. Demandons-lui aujourd’hui de faire de vous, mes chers amis, de saints Prêtres, des prêtres comme elle les désire. Et certainement si vous l’invoquez au cours de votre vie, elle vous protégera et fera de vous des prêtres selon le cœur de Notre Seigneur Jésus-Christ son divin Fils.

Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Ainsi soit-il." Mgr Marcel Lefebvre."


Voilà mes bons amis, tout dans ce sermon respire l'esprit catholique, la prudence surnaturelle bref la voix de Notre Sainte Mère l'Église.
Ne soyons pas des traîtres comme les modernistes qui veulent changer la foi pour mieux l'accorder à leur faiblesse. Mais ne soyons pas des déserteurs comme les sédévacantistes, qui préfèrent s'enfuir pendant que leur Mère est attaquée. Suivons la voie tracée par nos vrais pères, les saints et les saintes, restons fidèles à l'épouse Immaculée de notre Seigneur et même quand ceux qui ont charge de la guider et de la protéger s'egarent. Sachons voir aussi les nombreux clercs et fidèles qui luttent et qui souffrent et soyons à leur côté là où le Bon Dieu nous a placé.
Mgr Gaum ✝
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