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 Mahomet faux prophète juif

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MessageSujet: Mahomet faux prophète juif   Mahomet faux prophète juif - Page 2 EmptyLun 8 Avr - 13:41

Rappel du premier message :

Mahomet faux prophète juif


Mahomet pouvait bien être un juif hérétique

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Ce film et son livre dérangent les anciens musulmans qui se convertissent au christianisme !

Dix choses à savoir sur le livre de Mahomet :

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simple curieu

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MessageSujet: Re: Mahomet faux prophète juif   Mahomet faux prophète juif - Page 2 EmptyVen 27 Sep - 13:05

Psychologie de Mahomet et des musulmans


Aucune autre religion n'est à ce point dénoncée et détestée par ses ex. Après tout, sur une religion comme sur bien d'autres collectivités humaines, il y a des choses qu'on ne voit que de l'intérieur et des choses qu'on ne voit que de l'extérieur.

Si vous estimez que le terrorisme islamique est un phénomène nouveau, reconsidérez la question.
L’Islam doit ses succès au terrorisme. Le jour où Mahomet a posé le pied à Médine a commencé sa campagne de terreur. Ses fidèles ont toujours fait de même depuis.

Sauf quand même dans les périodes d'affaiblissement ou essoufflement, qui ne doivent pas être prises pour la normale, encore moins pour le "vrai Islam" (ce fameux vrai Islam, désincarné, qui serait innocent de ce qui se fait de mal en son nom mais qu'on devrait créditer de ce qui se fait de bien en son nom).  

Les musulmans sont intolérants, suprématistes, misent sur l’intimidation et la violence.
Ils sont instables et peuvent exploser s’ils sont contredits. En même temps, ils violent les droits des gens qui ne partagent pas leur foi. Pour les comprendre, on doit comprendre leur prophète. Les musulmans vénèrent et imitent Mahomet. L’Islam est le Mahométisme. Nous ne pouvons les comprendre qu’en le comprenant, lui. Psychologie de Mahomet... est une psychobiographie qui va plus loin que les histoires. Il vise à dévoiler le mystère d’un homme vénéré par un milliard et demi de gens.

Comment peut-on étudier la personnalité et la psychologie de quelqu'un qui a vécu il y a quatorze siècles ?
En mettant bout à bout les milliers d'anecdotes qui le concernent, pieusement recueillies par sa communauté, sans oublier de s'interroger sur les intentions de ceux qui les ont notées, et en évaluant leur cohérence.

On a beaucoup d’informations sur la vie de Mahomet, soigneusement enregistrées. Beaucoup de ces histoires sont embellies et exagérées. Il est prévisible que des croyants magnifient le statut de leur prophète et lui attribuent des miracles. Et pourtant, dans la biographie de Mahomet, nous trouvons des milliers d’histoires qui ne le montrent pas comme un saint homme. Il est souvent décrit comme odieux, impitoyable, fourbe, pervers. Il n’y a aucune raison de penser que ces histoires sont fausses. Ce n’est pas la tendance des croyants que de montrer leur prophète sous un jour abject. Si de telles histoires existent, racontées par ses compagnons et ses proches, ceux qui croyaient en lui et l’aimaient, c’est qu’elles sont très probablement vraies.

Que nous disent les historiens ?
Les historiens nous disent que Mahomet avait coutume de se retirer dans une grotte, passant des jours plongé dans ses pensées. Il entendait sonner des cloches, voyait des spectres. Il pensa qu’un démon le possédait, jusqu’à ce que son épouse le persuadât qu’il était devenu un prophète. Convaincu de ce statut prophétique, il fut intolérant envers ceux qui le rejetaient, assassina ceux qui le critiquaient, attaqua, pilla et massacra des populations entières. Il réduisit des milliers de gens en esclavage, et permit à ses hommes de violer leurs captives. Tout cela, il le fit en toute conscience, avec un sens très fort de sa dignité.
Mahomet nourrissait des fantasmes de pouvoir illimité, attendait la louange et l’admiration, se croyait exceptionnel, et attendait des autres qu’ils croient en lui et qu’ils suivent ses idées et ses projets. Il profitait des autres, était jaloux, donc croyait que les autres étaient jaloux de lui. Il s’indignait quand on le rejetait, au point de tuer ceux qui le délaissaient. Il mentait et trompait, s’estimant habilité à se comporter ainsi. Tous ces dysfonctionnements émotionnels sont des traits du Trouble de la Personnalité Narcissique (TPN).

En raison d’un autre trouble mental, l’épilepsie temporale (ET)
Le faux prophète de l’Islam avait d’intenses hallucinations, qu’il interprétait comme de mystiques et divines instructions. Quand il affirmait entendre des voix, voir des anges et d’autres entités fantomatiques, il ne mentait pas. Il ne pouvait distinguer la réalité du fantasme.

Mahomet souffrait aussi de Trouble Obsessionnel Compulsif (TOC), lui causant une fixation sur nombre de rituels et de règles strictes. Cela explique qu’il mena une vie austère, et que sa religion est remplie de règles et rituels absurdes.

Comme si cela ne suffisait pas (et tout est très longuement approfondi, faisant de l'ouvrage un passionnant traité de psychopathologie) :
Dans les dernières années de sa vie, Mahomet a été atteint d’acromégalie, une maladie dégénérative causée par une production excessive d’une hormone de croissance, avec pour résultat des os trop développés, des mains et pieds froids et charnus, et des traits de visage anormaux comme l’allongement des lèvres, nez et langue. L’acromégalie se déclare après quarante ans et tue généralement le sujet au début de la soixantaine. Elle est cause de troubles de l’érection (impuissance). Par ailleurs, l’hyperactivité du lobe temporal accroit la libido. Cela explique les caprices sexuels de Mahomet dans ses dernières années, son constant besoin de sexe, sans plus avoir d’enfants. Il pouvait visiter ses neuf épouses dans une nuit et les pénétrer sans vrais rapports. L’impuissance explique son sentiment d’insécurité, sa paranoïa, et son intense jalousie par rapport à ses jeunes épouses. Il leur ordonna de se voiler pour éviter que des hommes jeunes jettent sur elles des regards lubriques. Aujourd’hui, les musulmanes se voilent, d’elles-mêmes, parce que Mahomet était impuissant. Ses maladies expliquent beaucoup de mystères de l’Islam.

Et puisqu'il faut bien parler des répercussions sur ses fidèles, en relativisant comme indiqué plus haut :
Comme les fanatiques de toute secte, ses fidèles se sont totalement dévoués pour sa cause. En défiant la mort et en massacrant, ils ont fait de l’Islam la deuxième plus importante religion, et maintenant la plus grande menace pour la civilisation humaine.

L’Islam aveugle les gens.
Il détruit leur humanité. Néanmoins, quand des musulmans quittent l’Islam ils sont transformés. Maintenant ils peuvent aimer n’importe qui sans culpabilité. Il y a de la bonté chez tout le monde. La lumière est là ; elle est seulement recouverte. Une fois que le couvercle est enlevé, elle brille de nouveau.


Au passage, les traductions occidentales récentes du Coran sont édulcorées.

Source 1
Source 2
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indian




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MessageSujet: Re: Mahomet faux prophète juif   Mahomet faux prophète juif - Page 2 EmptyVen 27 Sep - 21:23

simple curieu a écrit:
Aucune autre religion n'est à ce point dénoncée et détestée par ses ex.

c'est que vous oubliez les TJ.
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capland

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MessageSujet: Re: Mahomet faux prophète juif   Mahomet faux prophète juif - Page 2 EmptyDim 29 Sep - 9:45

c'est ce que indian oublie en bon musulman .....
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indian




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MessageSujet: Re: Mahomet faux prophète juif   Mahomet faux prophète juif - Page 2 EmptyDim 29 Sep - 21:25

capland a écrit:
c'est ce que indian oublie en bon musulman .....

disons simplement que l'islam que vous connaissez et plutot le wahhabisme.
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MessageSujet: Re: Mahomet faux prophète juif   Mahomet faux prophète juif - Page 2 EmptyVen 1 Nov - 23:35

Un proverbe chinois à l'encontre des mahométans, disait il y a si longtemps : "Ne courbe pas l'échine, tu trouveras toujours quelqu'un pour y monter dessus."

Si l'islam se présentait tel qu'il est, le monde le combattrait jusqu'à sa fin rapide. Il se présente donc en agneau soumis, puis réclame un peu, fait observer, pleure, et bien plus tard une fois installé, c'est fini, vous vivrez l'enfer d'une dictature infâme.
Cette méthode s'appelle "le voleur chinois". Petit à petit on grignote, on sait faire un scandale de rien, on avance irrémédiablement.

Quand Khadija vit Jibril dans la grotte de Hira, elle ne fut pas rassurée.
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MessageSujet: Re: Mahomet faux prophète juif   Mahomet faux prophète juif - Page 2 EmptySam 2 Nov - 1:15

Muhamed ne peut être qualifier de faux prophète, car ses prophéties se réalisèrent et se relisent .
Tout comme Jesus

pas de prophéties réalisées ... ==> pas de prophète.
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MessageSujet: Re: Mahomet faux prophète juif   Mahomet faux prophète juif - Page 2 EmptySam 2 Nov - 4:46

indian a écrit:
Muhamed ne peut être qualifier de faux prophète, car ses  prophéties se réalisèrent et se relisent .
Tout comme Jesus
Vous êtes libre tant que vous respectez la Charte.
Il y a un dérapage évident, je ne fais que vous signaler les alertes du bot qui m'inquiètent.

Quelle est votre définition du prophète ?
Le prophète Mahomet fut le fondateur de l’islam. Les musulmans croient que Mahomet recevait des messages d’Allah (Dieu). La parole de Dieu révélée à Mahomet fut ensuite consignée dans le Coran, livre sacré de l’islam.
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Prophète a le sens de Messager en islam. Mahomet ne prophétisait pas au sens juif de la Bible. Cette confusion permet-elle de dire tout et son contraire ? Je ne sais pas.
Bonne continuation.
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indian




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MessageSujet: Re: Mahomet faux prophète juif   Mahomet faux prophète juif - Page 2 EmptyDim 3 Nov - 6:12

Oui Muahmed est Messagar, Apotte, de Dieu. Prophete. Manifestation. Comme Zoroastre, jesus, Bouddha, Krishna, le Bab, Baahullah, Moise, ...
il revela ses enseignements, tel une envelloope scellée déscellée... tel le messager livrant la bonne nouvelle, Herault.
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MessageSujet: Re: Mahomet faux prophète juif   Mahomet faux prophète juif - Page 2 EmptyDim 3 Nov - 12:32

indian a écrit:
Oui Muahmed est Messagar, Apotte, de Dieu. Prophete. Manifestation. Comme Zoroastre, jesus, Bouddha, Krishna, le Bab, Baahullah, Moise, ...
Votre ignorance des religions fait rire.
Jésus est Messie, il a désigné Jean-Baptiste en dernier prophète.
Bouddha est Dieu sans être Messie (notion juive inconnue en hindouisme) car il est un avatar, une incarnation divine.
Krishna est Bouddha plus de 1500 ans avant. Bouddha est reconnu dans l'hindouisme !

S'il s'agissait d'un banal forum, je ne serais pas venu à l'invitation d'y participer avec compétence. J'ignore tout de Zoroastre, du Bab et de Baahullah.

Je sais aussi qu'un apôtre n'est pas un prophète.

Vous représentez cette religion, le bahaisme, je vous demande de bien présenter votre foi sans trifouiller chez les autres tels ces imposteurs oecuménistes.
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indian




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MessageSujet: Re: Mahomet faux prophète juif   Mahomet faux prophète juif - Page 2 EmptyDim 3 Nov - 20:49


En effet ca peut faire rire ceux qui trouve ca drole.

Oui Jesus est un Sauveur pour ceux qui ont compris que c'est l'amour qui Sauve. C'est sa plus grande lecon. Son Don de Soi.

Le Bouddha ne vivait pas au sein d'une civilisation dont la conception du Brahma n'etait la même que aBrahma...ou Abraham.
Mais il s'agit de la même unicité.

Oui on peut dire qu'il y a lien, relation, religieux entre Krishna et le Bouddha


La foi Bahaie en quelques mots:
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si vous voulez savoir.

Un apotre n'est pas prophete car sinon on ne dirait pas prophete mais apotre pour désigner un apotre ... l'un n'exclut pas l'autre.

mais si l'un est aussi l'autre? que diriez?

je ne represente pas la foi bahaie, ni n'en est son reprensentant.
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PhilippeT

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MessageSujet: Re: Mahomet faux prophète juif   Mahomet faux prophète juif - Page 2 EmptySam 21 Déc - 6:35

5 actes les plus écoeurants sur le prophète arabe de l'islam

Le prophète Mohamed est vénéré par 1,6 milliard de musulmans (et de nombreux non-musulmans) comme le beau modèle de conduite à suivre.

Mon oeil ! Quand on examine les enseignements et préceptes de Mohammed/Mahomet dans le Coran et les Hadiths, on trouve un certain nombre de faits troublants qui sont difficiles à concilier avec l'affirmation islamique selon laquelle Mohammed était une personne merveilleuse.

Dans cette vidéo, David Wood discute des cinq faits les plus épouvantables sur le Prophète de l'islam. (sa pédophilie avec Aisha, son obsession pour le sperme, etc...) Mahomet faux prophète juif - Page 2 191220104212492738


Source: David Wood en français
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marmhonie
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MessageSujet: Re: Mahomet faux prophète juif   Mahomet faux prophète juif - Page 2 EmptyDim 19 Juil - 20:20

La construction d'un prétendu troisième Temple a Jérusalem et les enjeux véritables.


Le troisième Temple a bien été reconstruit au début du VIII siècle sous les directives de deux prédicateurs dont un est le fameux surnommé Muhammad, l'autre étant identifié par Edouard-Marie Gallez. On ne l'a pas su parce qu'à ce moment l'histoire ne se portait plus sur cette région dévastée. Il n'est pas au bon endroit, car les futurs mahométans ont choisi avant tout pour un kilomètre de plus, de le placer sur l'ancienne forteresse romaine Antonia. Il est ensuite, après l'échec de prophétie de ces deux proclamateurs (du grec kérygme, qui a donné le mot Koran, la proclamation), converti en mosquée surnommée d'Al-Aqsa.
Par suite de cette impasse, les clans arabes poursuivent leurs razzias et l'étendent à un formidable empire sans aucun support, les rois خَلِيفَة (califes) reprennent les notes diffuses des deux anciens proclamateurs, dont le Muhammad au nom toujours mal identifié, et structure leurs justifications criminelles  au nom de El Eloah, en arabe Al-Ilah dont la contraction est Allah. Le Messie échappé de justesse d'une mort ignoble sur la croix, est enlevé par Allah pour être confondu selon l'enseignement primitif des nazaréens qui sont à la source de tout cette éclat de guerre contre Jérusalem et sa reprise, avec un faux semblant. Mais puisque la reconstruction d'un troisième temple n'a pas ramené le Messie à Jérusalem, et puisque un nouvel empire est né, les rois arabes s'attribuent la primauté du nouveau peuple élu en place de l'ancien des hébreux.

Les juifs et les musulmans sont maintenant au XXI siècle dans une impasse dont les chrétiens savants offrent de sortir de ces malentendus pour en finir avec ces guerres de haines. Les juifs ont raté la venue de leur Messie, et ce sujet est tabou. Il est passé forcément. Les mahométans devenus sous divers titres actuellement des musulmans, offrent à la terre entière le spectacle de leurs vraies horreurs qui n'ont donc jamais changées malgré leur révisionnisme constant. C'est une autre impasse qui fait monter l'athéisme dans ces pays musulmans en révoltes de ces peuples, tous sous dictatures de l'actuel faux Coran moderne sans plus grand rapport avec la proclamation originale du VII siècle.

Les juifs dupent encore les arabes palestiniens en leurs concédant de reconstruire un "troisième temple" qui est en réalité leur quatrième en dehors de la mosquée d'Al-Aqsa, c'est à dire sur le vrai emplacement des deux premiers temples, celui de Salomon détruit en -587, et celui d'Hérode détruit en 70. Pour en finir avec ces jeux de duperies, les chrétiens avaient bien compris que des papes assureraient la transition de paix, mais ces papes, à partie de 1958, à la mort de Pie XII donc, avec Jean XXIII, Paul VI, Jean-Paul II, Benoît XVI et maintenant François, sont des faibles qui laissent s'effondrer le christianisme dans des génocides épouvantables dans tous les pays musulmans. Comme pour la Réforme venue avec Luther, il faudra certainement encore une cinquantaine d'années avant que les cardinaux ne choisissent enfin un pape fort qui rétablisse l'équilibre entre ces trois monothéismes. Mais à quel prix de massacres humains laissés trop longtemps en jachères.
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pierre.b

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MessageSujet: Re: Mahomet faux prophète juif   Mahomet faux prophète juif - Page 2 EmptyDim 9 Aoû - 8:27

Le Coran est du judaïsme talmudique.



Partie 1 : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]



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cradoux

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MessageSujet: Re: Mahomet faux prophète juif   Mahomet faux prophète juif - Page 2 EmptyDim 9 Aoû - 9:02

Origine talmudique de l'Islam 1/4


Le Talmud est l’ensemble des commentaires de la Bible ayant une telle importance pour les Juifs talmudiques que la transgression des préceptes qu’il contient est plus coupable à leurs yeux que celle des commandements divins eux-mêmes (Baba metsia 33a; Sopherim XV, 7, 13b)


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]


Une de leurs maximes exprime cela : « La Bible est de l’eau, la Mishnah du vin, la Guemarah de la liqueur ! » (Sanhédrin X, 3, 88 b ; Mizbeakh, V). Jésus a eu beaucoup à souffrir de l’obstination des Pharisiens à donner plus de crédit à leurs élucubrations qu’à « la justice, la miséricorde et la bonne foi » (Mt 9.1-4, 10-13 ; 10.17-18 ; 12.1-14, 21-28 ; 13.13-15 ; 15.1-14 ; 16.11-12,21 ; 21.12-16,23-27,33-46 ; 22-23). L’amour de ces « doctrines tout humaines » (Mt 15.8-9) a conduit ces Juifs non seulement à faire condamner Jésus à la Croix, à persécuter ses disciples (Mt 23 ; Jn 8.33-47 ; 11.53 ; Ac 5.30-32 ; 15.5,9-10 ; Ga 2.4-5,12,14), mais encore à engendrer l’Islam.

Il suffit pour s’en convaincre de comparer les sources de l’Islam et le Talmud. Ainsi lisons-nous dans le Talmud : « Tuer un non-juif est comme tuer un animal sauvage » (Sanhédrin 59 a) ; « Les chrétiens doivent être exterminés, car ce sont des idolâtres » (Zohar, I, 25 a) ; « Les Juifs baptisés doivent être mis à mort » (Hilkhoth Akum, X, 2) ; « Il faut abattre les renégats qui se sont tournés vers les rituels chrétiens » (Iore Dea, 158, 2) ; « Les Juifs peuvent mentir et se parjurer, si c’est pour condamner un chrétien » (Babha Kama, 113 a) ; etc. propos sortis tout droit de l’enfer se retrouvant dans le Coran et les hadiths : Coran 2.193 ; 3.151 ; 4.48,89 ; 5.56 ; 8.13-17,57 ; 9.5,28-30,124 ; 98.6… Si en 553 l’empereur Justinien a interdit la diffusion du Talmud dans tout l’empire en raison des abominations qu’il contient, le Judaïsme talmudique a su prendre sa revanche en élevant dans le Coran le Talmud au rang de Parole de Dieu …

Commençons par remarquer que Mahomet n’apparaît que cinq fois dans le Coran ― et toujours dans des interpolations (3.144 ; 47.2 ; 48.29 ; 33.40 ; 61.6) ―, que celui qui passe pour être Jésus, « Issa », est nommé vingt sept fois (2.87,136,253 ; 3.45,52,54,55,59,61,84 ; 4.157,163,171 ; 5.46,78,110,112,116 ; 6.85 ; 19.34 ; 33.7 ; 42.13 ; 43.59,63 ; 57.27 ; 61.6,14), tandis que Moïse est mentionné cent quarante huit fois.

Autrement dit : le Coran attache plus d’importance à Moïse qu’à Mahomet et à Issa. Mais pour qui d’autre que pour un juif Moïse a-t-il plus d’importance que Issa ou Mahomet ? Et pourquoi le Coran venant sept siècles après Jésus-Christ, ne dit-il rien des Apôtres, de saint Paul, de l’Église, réalités pourtant incontournables de l’Histoire du Salut ? Pourquoi le Coran ne nomme-t-il jamais les chrétiens « chrétiens », mais, comme les Juifs le font, les nomme-t-il « Nazaréens » (Cf. Jn 1.46) ? Pourquoi le nom de Mahomet n’apparaît-il pas dans les premiers manuscrits du Coran ? Pourquoi le Coran ne dit-il rien au sujet de Mahomet, de ses parents, de ses compagnons, de ses contemporains, et préfère-t-il nous parler d’illustres inconnus comme Abu Lahab (Coran 111) ?

Pourquoi près de 87 % des récits du Coran évoquent-ils des récits du Talmud mettant en scène des personnages de l’Ancien Testament, et pourquoi plus de 90 % des prescriptions coraniques sont-elles des prescriptions talmudiques ?

Reconnaître le Judaïsme talmudique à l’origine de l’islam permet, notamment, de comprendre pourquoi les personnages du Coran tels que Mahomet, Issa ou Mariam n’ont pas de consistance historique : ils ne servent en effet que de masques pour cacher, sous couvert de Révélation arabe, l’inoculation du judaïsme aux Arabes, afin que ceux-ci, devenus des « soumis », soumettent à leur tour le monde à la Loi d’Allah… car Allah aime les Juifs plus que « tous les peuples de la terre » (Coran 2.47,121,122 ; 7.140 ; 33.62 ; 35.43 ; 48.23)… Si les musulmans réalisaient qu’Allah aime les Juifs plus qu’eux, comprendraient-ils à qui ils sont véritablement soumis ?

Abbé Guy Pagès

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Abbé Guy Pagès, pour islam-et-verite.com
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cradoux

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MessageSujet: Re: Mahomet faux prophète juif   Mahomet faux prophète juif - Page 2 EmptyDim 9 Aoû - 9:04

Origine talmudique de l'Islam 2/4

Dans cette série de vidéos consacrée à l’origine talmudique de l’islam, nous allons aujourd’hui montrer, pour celui qui ne se contente pas de répéter « Dieu sait mieux ! » mais fait attention à ce qui est véritablement écrit dans le Coran, comment le récit de la conception de Issa se fait l’écho des blasphèmes du Judaïsme talmudique pour qui Marie est une prostituée et Jésus est un bâtard  (Yebamoth 49b ; Shabbath 104b ; Sanhédrin 106a & b).


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En Islam, et dans le Coran en particulier, une femme n’est jamais nommée par son nom, parce qu’elle n’a pas le statut de personne, d’être libre et responsable de soi, mais elle est toujours désignée en référence à un mâle dont elle dépend, cependant, celle qui passe pour être la Vierge Marie, Miryam, y est désignée, et elle seule, par son nom, et même préférée à toutes les femmes (Coran 3.42). Mais ce respect du Coran pour Miryam est aussi illusoire qu’est irréelle l’existence de cette Miryam, puisqu’elle est la sœur d’Aaron, et qu’Aaron vécut 1200 ans avant Jésus… Cette plongée de Miryam et de son Fils en plein Ancien Testament trahit le Judaïsme rabbinique pour qui n’existe que l’Ancien Testament. Notons au passage comment la misogynie rabbinique exprimée chaque matin par tout Juif pieux remerciant Dieu de ne pas l’avoir créé femme, se révèle dès la naissance de Miryam lorsque le Coran fait remarquer qu’elle n’est qu’une fille (Coran 3.36. Cf. 4.117 ; 21.22 ; 37.150 ; 52.39)[1]…

La conception de Issa est ensuite décrite alors que Miryam a fui la compagnie des siens pour se retrouver en un endroit isolé, à l’abri des regards indiscrets, comportement incompréhensible, qui aujourd’hui encore dans les milieux arabes, expose une femme aux agressions, au viol, à l’homicide, et en tous cas à la mauvaise réputation. Voilà donc comment le Coran présente la Mère du Messie… Et c’est alors que l’esprit d’Allah lui apparaît « sous la forme d’un homme parfait » (Coran 19.17), qui reconnaît n’être pas Dieu, mais seulement « son envoyé », « pour lui donner un enfant » (Coran 19.19). A ses propos, la Marie du Coran ne se défend pas d’être déjà accordée en mariage à Joseph ― Joseph que le Coran ignore superbement, et non sans raison, puisque c’est par lui que le Fils de la Vierge a été légalement introduit dans la lignée davidique, de laquelle devait naître le Messie, et que le Judaïsme ne veut pas de Jésus Messie. Mais revenons à Miryam, qui se contente de répondre qu’aucun homme ne l’a touchée et qu’elle n’est pas « une prostituée » (Coran 19.20), propos, on en conviendra, aussi superflu que peu décent. Miryam apprend donc que la volonté d’Allah est qu’elle devienne mère, et elle voit devant elle un homme parfait, c’est-à-dire qui n’est pas un eunuque, envoyé pour lui donner un enfant… Que le Coran plus loin dise que Miryam « était restée vierge » (Coran 66.12), avant la conception du Messie, ne dit pas qu’elle l’est restée toujours.

Même si, en bon Antichrist, l’islam refuse l’Incarnation de Dieu (1 Jn 4.2-3), il ne peut cependant s’empêcher d’en confesser ici la nécessité en imaginant Dieu, qui est Esprit (Jn 4.24) apparaître sous la forme d’un homme, et parce qu’il la refuse, il en est réduit à imaginer une situation qui déshonore la Mère du Messie. L’idée d’une conception charnelle du Messie est corroborée par le fait que l’islam, comme le Judaïsme, ne connaît d’amour que charnel, ignorant si bien l’amour spirituel que pour lui la virginité consacrée n’est pas un choix de vie possible (24.32), y compris donc pour la Mère du Messie… mais encore, par le Coran, qui ne cesse de répéter : « Il ne convient pas à Allah de se donner un fils » (19.92,35 ; 10.68 ; 23.91 ; 2.116 ; 39.4 ; 43.81 ; 4.171). Si donc « Il ne convient pas à Allah de se donner un fils », c’est qu’Issa n’a pas été engendré par Allah, et si Issa n’a pas été engendré par Allah, c’est donc qu’il a été engendré par un homme. Il n’y a pas d’autre solution. Le Coran confirme l’idée de la conception charnelle du Messie lorsque pour nier la nature divine du Messie, il renie le caractère unique de Sa conception en identifiant celle-ci à celle d’Adam (Coran 3.59), pour la création duquel Allah a eu besoin de sperme (Coran 16.4)… L’histoire ne dit certes pas d’où venait ce sperme dont Allah eût besoin pour créer… le premier homme, mais cela prouve bien que pour l’islam, aucune conception ne peut se faire sans sperme…

Mais voilà que pour échapper à ce dilemme et s’enferrer dans une démoniaque incrédulité, l’exégèse islamique imagine une solution intermédiaire : l’esprit d’Allah chargé de donner un fils à Miryam ne serait ni homme ni Dieu, mais un Ange, l’Ange Jibril. Ce qui pose de nouvelles questions, car si l’esprit d’Allah n’est pas Allah mais un ange, qu’est-ce qu’un ange ? Et puisqu’il y a plusieurs anges, y a-t-il aussi plusieurs esprits d’Allah ? Et si Allah est un, l’esprit d’Allah n’est-il pas Allah ? Si l’esprit d’Allah n’est pas Allah, Allah est-il alors sans esprit ? Si Allah est sans esprit, comment peut-il penser ? S’il ne peut penser, comment peut-il parler ? S’il ne peut parler, d’où vient le Coran ? Autant de questions qui montrent l’absurdité du refus du Mystère de la Sainte Trinité et de l’Incarnation de sa Parole.

Mais voilà qu’Issa, pas plutôt né, parle déjà. Et pour quoi faire ? Pour enseigner à sa mère à mentir en donnant aux siens une justification acceptable de son absence : elle se serait retirée au désert pour y jeûner plus à son aise en l’honneur d’Allah, et ce alors même qu’Issa vient de l’inviter à manger (19.26) ! Outre que l’on voit ici comment la religion d’Allah sert déjà de couverture au mensonge, le miracle du nourrisson Issa se mettant à parler est aussi absurde qu’il est blasphématoire d’imaginer Dieu ou Son Messie inviter à mentir. En effet, si Jésus avait fait des miracles dès Son enfance, Il aurait compromis Sa mission (Mc 1.34, 43-44, 5.43, 7.36 ; 1 Co 2.Cool Mais le simple fait que soit proposé à Miryam de mentir pour rendre compte de son comportement montre bien que celui-ci n’était pas honnête, et que donc la calomnie à son sujet n’était pas aussi infondée que ce que les chrétiens veulent le croire…

Et qui croira enfin qu’une jeune fille tombée enceinte hors mariage revienne avec l’enfant chez les siens… où l’attend la lapidation (Jn 8.1-11) ?!

Même si Miryam s’était mise à compter sur l’éloquence miraculeuse et persuasive de son nouveau-né pour attester de l’origine divine de celui-ci, elle n’aurait pas agi en cela avec prudence et sagesse, et n’aurait donc pas mérité son titre de « Vierge sage ». Ce qui devait arriver arriva : sa famille, à la vue de l’enfant, la traite de prostituée (Coran 19.27) : « Ô sœur d’Aaron ! Ton père n’était pas un homme mauvais et ta mère n’était pas une prostituée. », autrement dit : « Toi, par comparaison, tu es mauvaise et tu es une prostituée ! »…

Sans le dire, cette louange des parents de Miryam non seulement justifie leur union incestueuse, car Amiram avait épousé sa tante Yokébed (Ex 6.20), union condamnée par le Coran mais que le Judaïsme talmudique autorisait et autorise toujours[2], mais encore, elle donne voix à la calomnie talmudique traitant Miryam de prostituée et Jésus de bâtard (Yebamoth 49b ; Shabbath 104b ; Sanhédrin 106a & b)…

Bref, voulant se substituer au christianisme, l’islam ne pouvait éviter de faire référence à la vérité chrétienne au sujet de la conception miraculeuse du Messie et de la sainteté de Sa mère tant elles étaient universellement connues, mais cela n’a pas empêché le Coran de transpirer les blasphèmes dont regorgent les Écrits talmudiques à leur sujet.

A la différence de l’Évangile où tout y est clair et spirituel parce que Marie y conçoit par la seule opération purement et entièrement spirituelle du Saint-Esprit, sans le concours d’une quelconque apparition d’homme, et où son mariage avec Joseph la protège de la diffamation, et donne à son Enfant légitimité et prestige, le Coran ne parvient pas à cacher la haine talmudique à l’endroit du Christ Jésus et de Sa Mère, la Très Sainte Vierge Marie.

Si les gens comprenaient qu’ils vont en Enfer, ils donneraient leur vie au Christ par le baptême et lui resteraient fidèles jusqu’à la mort !

Abbé Guy Pagès

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Abbé Guy Pagès, pour islam-et-verite.com.

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[1] Soit cette confusion entre la sœur d’Aaron et la mère de Jésus est intentionnelle, soit elle ne l’est pas, mais dans les deux cas, comment expliquer cette confusion supprimant le Christ et Sa Mère de l’histoire réelle pour les immerger en plein Ancien Testament ? Il est intéressant de noter ici que pour le Talmud babylonien (Baba Bathra 17a) la sœur d’Aaron n’a pas connu la corruption du tombeau, tout comme le croient les chrétiens au sujet de la Vierge Marie…

[2] Shmuel Goitein, dans son ouvrage en hébreu « L’islam de Mahomet : une nouvelle religion sous l’ombre du Judaïsme », confirme cette pratique en rapportant comment l’expression Bât ahôty (fille de ma sœur) en est venue à signifier : « Mon épouse ».

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cradoux

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MessageSujet: Re: Mahomet faux prophète juif   Mahomet faux prophète juif - Page 2 EmptyDim 9 Aoû - 9:09

Origine talmudique de l'Islam 3/4

Dans cette vidéo nous allons montrer que le Coran reprend la haine du judaïsme talmudique[1] pour Jésus.


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Jésus se dit en hébreu Yashoua’ et signifie « Le Seigneur sauve », et parce que le Judaïsme ne veut pas de Jésus sauveur, le Talmud enlève la dernière lettre de ce Nom béni au-dessus de tout nom pour en faire un nom nouveau : Yeshou, dont la référence au salut est ainsi effacée, et qui devient une insulte assimilant Jésus à Ésaü, Ésaü qui se dit en hébreu ‘Ishaou, lequel est la figure par excellence de l’imbécile capable de vendre son droit d’aînesse pour un plat de lentilles (Gn 25.29-34), et méritant de ce fait la colère divine : « J’ai aimé Jacob et haï Ésaü » (Ml 1.2-3). C’est pourquoi les chrétiens sont désignés dans le Talmud comme « fils d’Ésaü » (Zohar III, 282). Ainsi s’explique que dans le Coran le nom arabe de Jésus, Yasou’, soit lui-aussi transformé en Issa, un nom inconnu de la littérature arabe des huit premiers siècles[2], semblable à celui d’Ésaü, qui en arabe se dit ‘Isso. Isso/Issa. Au mépris connoté par ce nom vient s’ajouter le fait qu’en arabe une bête de somme se dit al’aïs. Mais surtout, Issa est constitué des trois lettres : Y SH U, qui constituent en hébreu les initiales des trois mots de la formule de malédiction : « Yimmah shmo weezikhro », signifiant : « Que son nom et sa mémoire soient effacés ! ».


Si le Coran a donc suivi le Talmud dans sa haine du nom de Jésus, il n’a cependant pas retiré à « Issa » le titre de Messie.[3] Pourquoi ? Parce que d’une part Jésus était trop universellement reconnu comme étant le Messie, jusque dans l’expression si courante « Jésus-Christ », qui signifie précisément : « Jésus est le Messie ! », et que d’autre part pour détruire la foi en Jésus-Christ, rien n’a été pensé de plus efficace que de la vider de son sens en supprimant dans le Coran les conditions mêmes de la messianité de Jésus. C’est ainsi que le Coran ne rappelle pas l’ascendance davidique de Jésus (Mt 1.20-23) si souvent exprimée dans l’Évangile par l’expression « Fils de David » (Mt 1.1 ; 9.27 ; 12.23 ; 15.22 ; 20.30 ; 21.9 ; Ap 22.16), ni ne mentionne Saint Joseph, qui a non seulement couvert de son autorité la conception virginale de Jésus, mais L’a encore fait entrer légalement dans la lignée de David, de laquelle devait justement naître le Messie (Is 11.1). Le Coran ne mentionne pas non plus le lieu de naissance du roi David et du Messie (Mi 5.1 ; Mt 2.1-6), Bethléem, qu’il transforme en un palmier isolé du désert (Coran 19.23)… histoire de repousser hors de Terre Sainte l’impureté des chrétiens en la donnant en pâture aux Bédouins, eux-mêmes sommés de ne plus venir en pèlerinage à Jérusalem (Coran 2.142,143) mais d’aller à La Mecque (2.144), au désert, lieu de refuge par excellence des démons (Lv 16.10,22 ; Mt 12.43)…

Le Coran détruit une autre condition de la messianité de « Issa » en nommant Sa Mère, « sœur d’Aaron » (Coran 19.28), lequel Aaron vécut plus de 1200 ans avant la naissance de Jésus… Ainsi, non seulement le Coran remplace-t-il l’histoire par le mythe, mais encore, si la Mère de « Issa » est sœur d’Aaron, alors elle appartient, comme son père Imran[4] (Amiram, Cf. Coran 3), à la tribu de Lévi, et donc « Issa » n’appartient pas de la tribu de Juda, de laquelle devait naître le Messie (Gn 49.8-10 ; Dt 33.7 ; Jg 1.2 ; 20.18 ; 1 Sm 17.12 ; 2 Sm 7.12-16 ; 1 Ch 5.2 ; Ps 89.3-5 ; Os 5.14)… Grâce à cette fiction littéraire, à cet anachronisme ahurissant, l’originalité et la centralité de la mission de Jésus de Nazareth sont complètement effacées de l’Histoire. Pour le Coran, le Jésus-Christ historique n’existe pas. Entre l’Ancien Testament et l’Islam, il n’y a pas de Nouveau Testament, il n’y a que de l’Ancien Testament, ou plutôt du Judaïsme talmudique. Et de même que le Coran rompt la relation de « Issa » avec le roi David, descendant de la tribu de Judas (2 Sm 7.12-16), de même fait-il avec toutes les grandes figures de l’Ancien Testament de peur qu’elles ne révèlent Jésus-Christ. Ainsi, dans le Coran, Issa n’est pas le nouvel Adam, père d’une humanité nouvelle ; Son sacrifice nié (4.157) n’est pas annoncé par celui d’Abel, ni préfiguré par celui d’Isaac (Gn 22.1-19), en qui Abraham a entrevu le Fils de Dieu mort et ressuscité (Jn 8.56) ; Issa n’est pas le nouveau Législateur annoncé par Moïse (Dt 18.15 et 18) devant faire sortir le nouveau peuple de Dieu de l’esclavage du péché figuré par celui de l’Égypte (Jr 31.31-34) ; Issa n’est pas le Serviteur souffrant annoncé par Isaïe (Is 50.6-7 ; 52.13-15 ; 53.1-12 ; Dn 9.26) ni le Crucifié entrevu par Zacharie et le psalmiste (Za 12.10 ; 13.1 ; Ps 22) ; Issa n’est pas le vrai Jonas venu prêcher la conversion aux païens et resté trois jours et trois nuits dans les affres de la mort avant de resurgir bien vivant ; Issa n’est pas l’Époux (Mt.9.15 ; 25.1+ ; Jn 3.29) chanté par Isaïe et Salomon (Is 54.5 ; 61.10 ; 62.5 ; Ct 5.16) ; saint Jean-Baptiste n’est pas le Précurseur du Messie (Jn 1.19-34)… Aucun Écrit des Prophètes n’est dans le Coran, de peur que n’apparaisse l’annonce de la nouvelle et éternelle Alliance scellée dans le Sang du Christ (Jr 31.31 ; Is 53.3 ; Ez 36.27 ; Za 8.1). Par contre est largement rappelé l’Alliance mosaïque avec les fils d’Israël (Coran 2.44,83,93,122 ; 4.154 ; 7.134,137 ; 17.104 ; 26.59 ;45.16)…

Mais pour rendre Jésus méconnaissable, ce n’est pas seulement le lien de Issa avec les personnages de l’Ancien Testament qui est gommé, c’est aussi le lien avec ses contemporains.[5] Ainsi le Joseph du Coran n’est pas le père adoptif de Jésus, mais le fils du Patriarche Jacob, qui devient lui-même Jacques, le cousin de Jésus (Coran 19.6)… Pour nier leur existence, les contemporains de Jésus sont noyés dans l’Ancien Testament de sorte que sept siècles après Jésus-Christ, il n’y a toujours que Moïse. Pour le Coran, Jésus, Sa Mère, ses Apôtres, Son Église, Ses sacrements, n’ont pratiquement jamais existé…

La messianité de Jésus est encore niée en ce que Issa est confessé n’être qu’un prophète (Coran 2.136 ; 3.39,84 ; 5.75 ; 19.30), envoyé exclusivement aux Juifs (Coran 43.59 ; 61.6), et qui plus est, censé avoir annoncé la venue de Mahomet (Coran 7.157 ; 61.6), faisant de celui-ci, quoique sans le titre, le vrai Messie attendu, et donc le parfait anti-christ. Bien que la douceur et l’intégrité de Jésus n’aient pu être totalement occultées, parce que trop connues, Issa n’est cependant pas présenté comme modèle. Et il ne s’oppose pas non plus à Mahomet, alors que le comportement et la doctrine du Jésus de l’Évangile excluent absolument tout complément, renouveau ou accomplissement futurs de la Révélation qu’Il accomplie « une fois pour toutes » (Jude 3 ; Ga 1.Cool, et condamnent donc sans équivoque Mahomet comme faux-prophète (Mt 24.4,11,24 ; Ga 1.8 ; 1 Jn 2.22-27 ; 4.2-4), ainsi que la pédo-criminalité, la polygamie, la fourberie, le parjure, l’homicide, la haine, l’esclavage, etc. crimes commis par Mahomet et enseignés par Allah. Sans les faux Jésus et Marie du Coran, l’islam n’est que du Talmud (Mt 15.1-9 ; 16.5-12 ; 23.1-39).

Bref, à la suite du Grand Prêtre Caïphe qui a condamné Jésus à mort pour blasphème pour S’être reconnu Fils de Dieu (Mt 26.65 ; Ac 4.1-18 ;5.21-42 ; 7.51+), de sorte que le Talmud place Jésus en Enfer (Gittin 57a), le but du Coran est d’éradiquer Jésus et le christianisme de l’histoire. C’est ainsi qu’Allah envisage d’anéantir le Messie et sa Mère et même, si nécessaire, pour y arriver, tous les hommes avec eux (Coran 5.17 ; cf. Mt 2.16) ! Certes, ce verset est justifié comme illustration de l’absolue liberté et puissance d’Allah, mais cette explication ne peut cacher que la haine possible pour l’humanité et a fortiori pour le Messie et Sa Mère est directement contraire à la nature du vrai Dieu, qui est bon et créateur, miséricordieux et juste. Cette haine d’Allah contre le Messie, expression de celle du Talmud pour Jésus se retrouve dans la haine contre les chrétiens (Coran 9.30 ; Mt.10.17-36 ; Jn 15.18-16 .2). Jésus dit : « Ce que vous faites au plus petit des miens, c’est à Moi que vous le faites. » (Mt 10.40 ; 18.5 ; 25.40,45 ; Ac 9.5).

Si quelqu’un est choqué ou se sent offensé par mes propos, qu’il veuille bien considérer qu’ils sont conformes à la foi chrétienne et que je ne fais que mettre en pratique ce que le Coran demande lorsqu’il invite « les gens de l’Évangile à juger d’après ce que Dieu y a révélé » (Coran 5.47)…

Si les gens savaient qu’ils vont en Enfer, ils donneraient leur vie au Christ, mort et ressuscité pour le salut de tous !

Abbé Guy Pagès

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Abbé Guy Pagès, pour islam-et-verite.com.

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[1] Voici quelques citations du Talmud au sujet de Jésus : « Jésus, fils illégitime, conçu pendant les règles de sa mère. » (Kallah, 1b. 18b) ; « Naissance de Jésus relatée dans les circonstances les plus honteuses. Judas a pissé sur Jésus. » (Toldoth Jeschu) ; « Désigné comme le fils de Pandira, un soldat romain. » (Abhodah Zarah II) ; « C’était un imbécile, et personne ne doit prêter attention aux imbéciles. » (Schabbath, 104b) ; « Séducteur, corrupteur et destructeur d’Israël. » (Sanhedrin, 107b, 43 a) ; « Jésus, mort comme une bête et enterré dans un tas de fiente. » (Zohar III, 282) ; « Il ne faut pas donner l’impression qu’on pourrait avoir du respect pour Jésus. » (Orach Chaiim, 113) ; « Ne pas donner par accident l’impression d’avoir du respect pour Jésus. » (Iore des, 150, 2) ; Talmud babylonien ; Sanhédrin 43 A… Cf. Mc 10.32-34 ; 14.43-65 ; Lc 11.53-54 ; Jn 8.37,59 ; 12.10 ; 15.18-26.
[2]  Cf. P. Louis Sheikho, « Le Christianisme et la littérature chrétienne en Arabie avant l’Islam, (3 vol.), Beyrouth, 1913, 1919, 1923.
[3] Alors même qu’il ose en faire par ailleurs un prophète comme un autre (Coran 5.75) et qu’il n’y a pourtant qu’un seul Messie…
[4] Assimiler Joachim à Amiram ou vice versa, comme certains osent le faire, relève de la fantaisie ! En effet, “Imran” en arabe est la contraction de Ammi-ram, qui signifie “mon peuple est haut placé”; tandis que “Yehoyaqim”” signifie “Yahweh suscite”.
[5] Dans les Évangiles Apocryphes, le futur mari de la Vierge Marie devait être reconnu à ce que parmi tous les prétendants, seul son rameau fleurirait miraculeusement. Dans le Coran, les prétendants jettent non des rameaux, mais leur crayon, et ce n’est pas Joseph qui est désigné, mais Zacharie, le père Jean-Baptiste, et non pour épouser Marie, mais pour devenir son tuteur au Temple. Une autre preuve de l’emprunt du Coran aux Évangiles Apocryphes, est le fait qu’Issa parle dès sa naissance (Évangile de l’Enfance 1 / Coran 19.24), ou fabrique, encore enfant, des oiseaux de terre qu’il fait vivre (Évangile de l’Enfance, 38 / Coran 3.49).


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cradoux

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MessageSujet: Re: Mahomet faux prophète juif   Mahomet faux prophète juif - Page 2 EmptyDim 9 Aoû - 9:12

Origine talmudique de l'Islam 4/4


L’Islam, comme le Judaïsme rabbinique, est essentiellement antichrétien, et leurs critiques, qu’elles soient d’ordre dogmatique, moral ou disciplinaire, révèlent leur parenté.


Partie 4 : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
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Leurs objections d’ordre dogmatique sont : Un même refus de Dieu Trinité, de l’Incarnation du Verbe, de la Divinité de Jésus, de la Nouvelle et éternelle Alliance scellée par le Sacrifice du Christ (Jr 31.31), de la Rédemption, offerte dans et par l’Église… Juifs et Musulmans sont d’accord pour nier que Jésus est le Sauveur, « Le chemin, La vérité et La vie » (Jn 14.6).

Ces critiques sont aussi ridicules que ce que depuis sa naissance ‒ le Nouveau Testament en témoigne (Jn 5.44 ; 1 Co 8.4 ; 1 Tm 2.5 ; 1.17) ‒ l’Église croit en un seul Dieu, qui est Sa propre origine, Parole et Amour, autrement dit : Père, Fils et Saint-Esprit. En adorant Jésus, les chrétiens ne divinisent pas un homme, comme veulent le croire les musulmans, mais croient que Dieu, après nous avoir parlé par l’humanité des Prophètes, a conduit à la perfection Sa révélation en nous parlant par Sa propre humanité, reçue de la Vierge Marie, comme les Prophètes l’avaient annoncé (Is 54.5-7 ; 62.4-5 ; 63.19 ; Ba 3.38 ; Ez 34.11 ; Os 2.21-22 ; Ps 18 (17).10 ; Sg 1.1 ;Mi 1.3 ; Za 2.9,14-15 ; Jb 9.32-33). Pourquoi repousser l’idée que Dieu puisse habiter parmi les hommes s’il est vrai qu’Il a déjà habité le Temple de Jérusalem (Is 6.1 ; 2 Ch 7.1 ; 2 Ch 29.6) ? Et quel plus beau temple pouvait-Il habiter que le corps de la Vierge ? La nature humaine n’a-t-elle pas été créée dans la forme la plus parfaite (Coran 95.4), en sorte que l’Incarnation de la Divinité est espérée même par le Coran (Coran 43.81) ?

Pourquoi Allah ressent-il le besoin de rendre présent à la Vierge son Esprit sous la forme d’un  homme parfait (19.17) ? Pourquoi l’Ancien Testament et le Coran désignent-ils le visage de Dieu (Gn 4.14 ; 19.13 ; Ex 33.11,20,23 ; Nb 6.25,26 ; Ps 4.6 ; 9.3 ; 11.7 ; 16.11 ; Jr 3.12 ; Is 26.17 ; 64.1 ; Coran 6.52 ; 2.115 ; 28.88 ; 55.27) ; les yeux de Dieu (Gn 6.8 ; 7.1 ; 18.3 ; Dt 4.25,34 ; 6.18 ; 9.18 ; 12.25 ; 2 Sm 22.25 ; 1 R 15.5 ; Ps 18.24 ; 34.15 ; Is 37.17 ; 38.3 ; Jr 24.6 ; 52.2 ; Coran 11.37 ; 52.48), les mains de Dieu (Gn 49.24 ; 2 Sm 24.14 ; 1 Ch 21.13 ; Ps 8.6 ; 19.1 ; 28.5 ; 31.5 ; 111.7 ; Is 19.25 ; 29.23 ; 45.11 ; Coran 3.73 ; 4.134 ; 36.71,83 ; 38.75 ;48.10 ; 69.45), le trône et donc le séant de Dieu (1 Ch 29.23 ; 2 Ch 9.8 ; 18.18 ; Ps 9.4,7 ; 11.4 ; 47.8 ; 93.2 ; 103.19 ; Is 6.1 ; 33.5 ; 66.1 ; Jr 49.38 ; Lm 5.19 ; Ez 43.7 ; Coran 10.3 ; 11.7 ; 20.5)… Le double adjectif « rahman rahim » répété 113 fois dans le Coran et signifiant « le miséricordieux, le compatissant » vient du substantif « rahm », qui signifie « utérus », « entrailles maternelles ». Comment rendre compte des expressions anthropomorphiques du Coran si, comme veulent le croire les musulmans, l’Incarnation de Dieu est impossible ?

Les musulmans ne veulent pas croire que Dieu Se soit fait homme dans le sein de la Vierge, parce que ce serait trop humiliant pour Lui… mais ils veulent bien croire qu’Il Se soit fait livre sur les omoplates d’un chameau ! A l’absurde, ils ne craignent pas d’ajouter l’offense au Créateur en tenant sa Création pour indigne de Lui… et en se méprisant ainsi eux-mêmes, d’entraîner l’humanité avec eux dans l’abomination…

Quant au Sacrifice rédempteur du Christ, Dieu l’avait annoncé par le sacrifice d’Isaac (Gn 22.2+), par les sacrifices d’animaux au Temple de Jérusalem(2 Ch 7.5 ; 15.11 ; 29.21-24 ; Es 6.17 ; Nb 6-8 ; 28-29 ; Dt 28 ; Lv 3-23 ; Ez 43.19-25 ; 44.11-29 ; 45.15-25) , dont les Prophètes avaient peu à peu compris qu’ils ne pouvaient être que des images du vrai Sacrifice (Is 1.11-13 ; Jr 6.20 ; 11.15 ; Os 6.6 ; Am 5.21+), tant il est vrai qu’un animal est sans rapport avec le péché, et que seul le sacrifice volontaire d’un homme sans péché, l’Agneau de Dieu (Jn 1.29 ; Coran 19.19), peut expier les péchés (He 10). Les Juifs n’immolent plus d’agneau pour la Pâques depuis la destruction du Temple de Jérusalem annoncée par Jésus en châtiment de leur incrédulité (Lc 19.41-44), mais la fête islamique du Sacrifice, l’Aïd Al-Adha, s’accroche à perpétuer la liturgie sacrificielle de l’Ancienne Alliance, pourtant clairement rejetée par Dieu (Lc 19.41-44 ; Mt 23.38 ; 21.43), mais toujours chérie par le judaïsme…

Les objections judéo-islamiques d’ordre moral rejettent notamment la chasteté parfaite, la monogamie, l’indissolubilité du mariage, la non-violence, l’amour des ennemis, la pauvreté volontaire… parce que jugés irréalistes, utopiques, impraticables. Comme si le propre de la vraie religion était de nous enfermer dans notre misère humaine et non pas de nous en sortir en nous élevant jusqu’à Dieu ! Au lieu de rejeter le christianisme à cause de sa sublime vie morale, pourquoi ne pas plutôt y voir la preuve de son origine divine ? Une révélation divine est-elle nécessaire pour savoir rendre coup pour coup (Coran 2.191,193 ; 9.5,13) comme essaient de le faire croire ceux qui veulent légitimer la violence du Coran ? Même les animaux savent le faire, y compris se torcher avec la main gauche s’ils en avaient une !

La sublimité de la vie évangélique a été et est pratiquée par une foule de Saints de tous âges, sexes et conditions grâce à la puissance de l’Esprit-Saint donné dans le baptême (Rm 6). Contrairement à la révélation rabino-islamique flattant les instincts et faisant vivre dans la peur, la religion chrétienne établit les fidèles dans l’assurance de leur salut, dans la connaissance et l’amour vrais de Dieu (Jn 17.3), les rendant ainsi capables de sacrifices et de sublimation, à l’exemple de Jésus, mort et ressuscité.

Objections judéo-islamiques d’ordre disciplinaire : les chrétiens seraient impurs parce que non circoncis, ne faisant pas d’ablutions, ne mangeant pas halal, etc. etc. etc. Autant de préceptes inspirés de l’Ancienne Alliance rendue obsolète par la venue de Jésus (Mc 7.1-22 ; He 10). Ces pratiques n’avaient en effet pas d’autre raison d’être que de préparer les âmes à recevoir le Sauveur (Mt 11.13 ; Jn 5.45-47). Mais une fois le Sauveur venu, elles n’ont plus de sens, sinon celui de refuser Sa venue (Ga 3-5) ! Le Judaïsme rabbinique et l’Islam régentant tous les aspects de la vie individuelle et collective, jusque dans les moindres détails, accusent le christianisme d’imperfection du fait que les chrétiens agissent sous la conduite de l’Esprit-Saint, et donc librement (Lc 4.18 ; Rm 8.21 ; 2 Co 3.17 ; Ga 2.4-5, 5.13 ; Jc 1.25, 2.12 ; 1 P 2.16). N’est-il pas vrai d’ailleurs qu’aucune loi écrite ne peut prendre en charge la singularité de chaque situation, et que le Dieu vivant veut nous voir agir parfaitement (Mt 5.48) ? Dans l’Ancienne Alliance, Dieu a enseigné en fonction du niveau de conscience auquel les hommes étaient parvenus, et la Bible elle-même rend compte de l’approfondissement de la Révélation passant par des interprétations successives (Am 4.4 ; 5.22,24 ; Ps 50(51).18 ; Is 1.11-16 ; 56.7 ; 66.20 ; Jr 2.22 ; Os 6.6 ; Mi 6.8 ; Ml 1.11 ; Lv 3.1-17 / 2 Ch 30.19 ; 2 R 18.4 / Nb 21.4-9/ Jn 3.14 ; Ex 24.8 / Is 53.1+ / Mc 14.24 ; 2 R 18.4 / Nb 21.4-9 / Jn 3.14). En attendant la Nouvelle et Éternelle Alliance avec l’ensemble du genre humain (Jr 31.31 ; Lc 22.20 ; He 8-13), le peuple juif entrait dans l’Alliance avec Dieu par la foi, avec ou sans le signe de la circoncision (Dt 10.16 ; Jr 4.4 ; Ac 7.51 ; Rm 2.25-29 ; 4.11-12 ; Ga 6.12-15 ; Col 2.11-13). Le Christ venu, la circoncision dans la chair a été remplacée par celle du cœur, donnée dans le baptême, en sorte qu’aujourd’hui celui qui croit au Christ comprend que ce n’est pas ce qui entre dans la bouche qui rend impur mais ce qui peut sortir de son cœur (Mc 7.1+). Le rite nouveau du baptême, qui, à la différence de la circoncision, est reçu aussi bien par les femmes que par les hommes, confère donc aux uns et aux autres la même dignité, et fonde ainsi leur égalité. La législation coranique instituant que la fille n’hérite que de la moitié de ce que reçoit son frère (Coran 4.11) reprend les dispositions vétérotestamentaires et talmudiques pour lesquelles les filles n’héritent que si elles n’ont pas de frère. Ainsi, sept siècles après JC, l’Islam rejette l’égalité homme/femme apportée par le christianisme. De même, pour justifier la dot par laquelle le musulman achète son épouse, les soumis d’Allah allèguent la nécessité de pourvoir l’épouse en cas de répudiation, et ce faisant ils rejettent l’enseignement du Christ rappelant l’indissolubilité du mariage (Rm 4 ; 8.19-39 ; 9.30-31 ; Ga 3.6-14 ; 3.23-29). Sans compter qu’aujourd’hui non seulement les jeunes filles travaillent et gagnent parfois plus que leurs fiancés, et qu’elles peuvent bénéficier de la Sécurité Sociale, inventée par les chrétiens… L’Incarnation de Dieu a fait entrer l’humanité dans une perfection absolue, en possession des réalités figurées dans l’Ancienne Alliance, en sorte que celle-ci n’est pas abolie (Mt 5.17) mais accomplie en ce qu’elle a d’essentiel, d’universel et d’intemporel (Mt 19.3-9).

Aujourd’hui, Dieu nous fait miséricorde, afin que, sachant tout cela, nous évitions la mort éternelle par la conversion au Christ, en qui nos péchés sont effacés. Voilà pourquoi juifs et musulmans font fausse route en s’attachant aux préceptes de l’Ancien Testament qui n’avaient été donnés que pour préparer la venue du Messie, le Sauveur du monde (Jr 31.31 ; 32.40 ; Is 55.3 ; 61.Cool.

Que celui qui a des oreilles pour entendre, qu’il entende !

Si les gens savaient qu’ils vont en Enfer… ils changeraient de vie !

Abbé Guy Pagès

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Abbé Guy Pagès, pour islam-et-verite.com.


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oggy

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MessageSujet: Re: Mahomet faux prophète juif   Mahomet faux prophète juif - Page 2 EmptyDim 9 Aoû - 9:33

Qui dicte à Mohammed ?

Des versets du Coran Mushaf ‘Uthman laissent entendre que quelqu’un exhorte Mohammed à prêcher. La locution à la forme impérative : « Qul – dis-leur » y figure en effet de très nombreuses fois. Qui le somme de parler ? Bien que cela ne soit pas précisé dans le texte, l’orthodoxie affirme qu’il s’agit de l’ange Gabriel. En transe durant chaque discours ou débat, Mohammed voit ou entend un ange qui lui dicte ou lui inspire les paroles du Coran Mushaf ‘Uthman, qui descendaient du ciel. Des scribes parmi les auditeurs de Mohammed transcrivent ses paroles sur des matériaux de fortune.

Ces allégations surprennent. Dieu ou un ange ne dictant pas fréquemment des livres, l’auteur du Coran n’aurait-il pas dû préciser qui est cet extraordinaire locuteur ?

Le Pentateuque décrit la rencontre de Moïse avec Dieu en ces termes : « Et Dieu parla à Moïse en disant : parle aux enfants d’Israël et dis [...] ». En revanche, dans le Coran, on ne trouve aucune formulation comparable comme : « Et ieu parla à Mohammed en disant [...] », ou encore : « l’ange Gabriel parla à Mohammed en disant : parle aux Arabes et dis [...] ». Il est plus logique de supposer que celui qui l’exhorte : « Qul [...] dit ceci et cela » est un maître humain, et c’est lui ou un ami qui consignera les dires dans ce que nous avons appelé le carnet de bord.

Livre
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Babeth

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MessageSujet: Re: Mahomet faux prophète juif   Mahomet faux prophète juif - Page 2 EmptySam 19 Sep - 21:01

Un juif nommé Mahomet, l'invention de l'Islam



L’INVENTION D’ALLAH, DU CORAN, DE L’ISLAM ET DE MAHOMET : L’AVIS DES EXPERTS, ISLAMOLOGUES, ÉRUDITS ET ARCHÉOLOGUES
8 JUIN 2015 HAUSSMANNPARIS LAISSER UN COMMENTAIRE
par Bernard Raquin

Un érudit allemand, Theodor Nöldeke, écrivit en 1860 l’histoire du Coran. Pour la première fois, les chercheurs s’interrogeaient sur la création de l’islam, en dehors des légendes musulmanes. (Geschichte des Quorans, Leipzig 1919).
Force fut de constater que le Coran, loin d’être tombé du ciel, obéit à des règles de composition humaine, compilation laborieuse, réécritures permanentes, falsifications, mensonges, erreurs…


Un autre érudit, Adoph von Harnack, affirma, dès 1874, que le « mahométisme n’est qu’une lointaine dérivation de la gnose judéo-chrétienne, et non une religion nouvelle ».

Puis le français Gabriel Théry (sous le nom d’Hanna Zakarias) après trente ans d’études, conclut dans son ouvrage De Moïse à Mohammed que le Coran ne pouvait être l’œuvre de Mahomet. D’après lui, l’auteur était converti au judaïsme par son instructeur juif.

Bruno Bonnet Eymard constata que les textes ayant servi à composer le Coran étaient d’origine et d’inspiration syrienne.

Après 1950, le père Bertuel confirma ces recherches. Il publia  L’islam, ses véritables origines
(Nouvelles Editions latines, Paris 1981).
D’après lui, Mahomet est un rabbin chassé d’Edesse par Héraclius, en 628.
« Qui a prononcé ces paroles ? demande Bertuel. Ni Allah bien entendu, ni Mhmt (Mahomet), mais des paroles si profondément enracinées dans le judaïsme n’ont pu être prononcées que par un Juif authentique. Tout historien est conduit à cette conclusion : un Juif s’agite à La Mecque. Il se présente aux Arabes comme le Prophète de Dieu… Quel serait de plus cet Allah qui ne révélerait aux Mecquois que les plus vieilles doctrines de l’Ancien Testament ? »
Bertuel ajoute : « Le seul livre de religion qui existera à jamais pour les Juifs est le Coran (recueil explicatif) hébreu, la Thora de Moïse, guide de vérité et de justice. Yahvé en est l’auteur. Moïse n’est ni un djinn, ni un devin, ni un poète. Dieu lui est apparu. Il a parlé à son serviteur. Gloire à Yahvé !  La grande nouveauté du livre arabe, c’est qu’il ne contient précisément rien de nouveau. C’est un livre du passé… chacune de ses affirmations et même les détails de ses descriptions peuvent être facilement rattachés à un texte biblique… C’est tout un plan de conversion (au judaïsme) ».

Beaucoup de travaux insistent sur le sabéisme de l’époque. D’autres mettent l’accent sur le nombre élevé de mots persans et syriaques dans le Coran. On peut lire à ce sujet Pourquoi je ne suis pas musulman, d’Ibn Warraq (L’Age d’Homme, Lausanne 1999)

Hassan Abassi, dans Les secrets de l’islam, cite les experts musulmans recensant des milliers de différences entre les différents corans.

Patricia Crone, auteur avec Michaël Cook de Hagarism, The making of the islamic world, déclare :
« La tradition fondamentalement historique, à laquelle (les conteurs) sont supposés avoir ajouté simplement leurs fables, n’existe pas. Vu qu’un conteur en suivait un autre, le souvenir du passé se réduisait à un stock commun d’histoires, de thèmes et de motifs propres à être combinés ou recombinés dans une profusion de faits apparents. Chaque combinaison et recombinaison créait alors de nouveaux détails, et, dans la mesure même où des informations fausses s’accumulaient, de l’information authentique était perdue. ».

Patricia Crone a aussi publié Meccan trade and the rise of islam, démontrant que le berceau de l’islam ne peut avoir été La Mecque. D’après elle, l’existence de La Mecque est très incertaine, avant que les califes n’en fassent un centre de pèlerinage.
Ces deux auteurs, Crone et Cook, considèrent que l’histoire islamique au moins jusqu’à Al-Malik (mort en 705) est une invention tardive.

Michaël Cook signale les similarités entre les croyances musulmanes et celles des Samaritains, concernant la religion d’Abraham, dans l’ouvrage intitulé Le livre des Jubilés (daté de –140 à –100 avant J.C.)

Antoine Moussali estime que le Coran n’était que le lectionnaire, en araméen, d’une secte judéo-nazaréenne, au début du VIIe siècle (La croix et le croissant, Editions de Paris, 1998)
« Comme tout le monde, écrit-il dans Vivre avec l’islam (Saint-Paul, 1997), j’ai longtemps pensé que le Coran était une source sérieuse pour la connaissance de l’islam. Aujourd’hui je serais nettement moins affirmatif. L’islam lui est fondamentalement antérieur. ».

Dans son ouvrage Le Coran, la Bible et l’Orient ancien, Mondher Sfar souligne que les noms attribués à Allah sont recopiés des noms attribués au dieu babylonien Mardouk, dans un poème datant du 12ème siècle avant J.C.
Il rapporte aussi que les descriptions du paradis et ses raisins blancs (traduits faussement par « houris vierges » lors de la traduction du Coran en arabe) concernent le roi Assourbanipal, sur un bas-relief datant de huit siècles avant J.C.
Dans Le Coran est-il authentique ?, il rappelle que nombre de sourates du Coran étaient dites par le calife Omar, puis confirmées par Allah.
Le fils d’Omar déclare : « Omar avait une vision et alors le Coran descendait selon celle-ci… Personne ne pourra dire : j’ai eu le Coran dans sa totalité. »

Dans A la recherche de Muhamad, Grégoire Félix évoque un manuscrit syrien de 874, où l’émir des Hagarènes (descendants d’Agar, mère d’Ismaël) se refère à la Thora en hébreu, et non au Coran.

Alfred-Louis de Prémare, dans Les fondations de l’islam (Le Seuil), évoque la charte de Médine, datée en réalité de 830, et pourtant rédigée par Muhammad le prophète.
Il rappelle que tout ce qui concerne l’islam et l’existence de La Mecque date de 250 ans après les « faits. »
Il explique aussi que la bataille du Fossé eut lieu en 688 en Syrie et non à Médine, soit cinquante ans après la mort officielle de Mahomet.
Il rappelle « qu’on déchire et brûle régulièrement dans cette histoire perturbée du Coran. »

De plus, les caravanes ne passaient plus par la région de La Mecque depuis des siècles : tout ce qui concerne le temple aux 360 idoles est faux historiquement (et c’est faux spirituellement, comme le savent tous les spécialistes de spiritualité).

Dans son livre Les Arabes n’ont jamais envahi l’Espagne (Flammarion), Ignacio Olaguë explique que Mahomet donne encore des ordres en 855.
Ce qui confirme que Mahomet était devenu le surnom de tous les chefs de tribu. Cela explique les différents noms attribués à Mahomet : Mahomet Mohamet Muhammad Mohamed Mohammed Muhammed Momet Maomé Mahometo Maometto Mahometa…

Dans leur livre La Bible dévoilée, les nouvelles révélations de l’archéologie, (Bayard) Israël Finkelstein et Neil Silberman rappellent que la Bible est quasiment entièrement fausse d’un point de vue historique.
Donc a fortiori on en déduit que le Coran, évoquant sans cesse Moïse et le Pharaon noyé, et d’autres légendes bibliques, est encore plus faux.

De nombreuses traductions mésopotamiennes démontrent que la plupart des mythes bibliques datent de plusieurs milliers d’années avant les Hébreux. On peut lire L’épopée de Gilgamesh, traduite par Jean Bottéro (Gallimard) et L’histoire commence à Sumer, de Samuel Kramer (Flammarion).

Le Dr Gerd-Rüdiger Puin, professeur à l’université de Sarrebrück (Allemagne) traducteur du Coran de Sanaa, évoque les évolutions du texte dans Die Syro-Aramaische Lesart des Koran, Christop Luxenberg, (Verlag Hans Schiler)
« Puin a remarqué que les parchemins étaient des palimpsestes, c’est-à-dire des manuscrits dont on a effacé le texte initial pour pouvoir en écrire un nouveau…. Le Coran de Sanaa a été rédigé sans aucune marque diacritique (points, accents, cédilles portant sur une lettre ou un signe phonétique pour en modifier la valeur), sans voyelles ni aucun guide pour la lecture. »   Observations on Early Quran Manuscripts in San’a. Stefan Wild (ed), The Quran As Text, Leiden/New York/Köln (E.J. Brill) 1996 p. 107-111.
Il l’a traduit à partir de l’araméo-syriaque, ce qui donne un texte exprimant beaucoup plus la spiritualité que le Coran arabe. (On trouvera quelques exemples du vrai Coran dans Un Juif nommé Mahomet.)
En outre, les spécialistes sont affirmatifs : la langue arabe n’a pas pu naître du dialecte hédjazien (de l’oasis de Taïf à côté de la vallée de la Mecque). Les divers corans n’ont pu être traduits en arabe qu’après le IXe siècle. Non seulement le Coran n’a pas pu être dicté à La Mecque (ville qui n’existait pas à cette époque), mais il n’a pas été dicté en arabe.

coran-palimpseste-falsification-falsifie

L’islamologue Jacqueline Chabbi estime que le Coran a été compilé sous le calife Abd Al-Malik, à Damas, au début du VIIIe siècle (époque d’Hajjâj).

Les plus anciens corans existants sont ceux du Yémen, découvert en 1972, celui de Topkapi (Istanboul), fin du VIIIe ou début du IXe siècle. Un autre exemple se trouve à la British Library à Londres, datant de la fin du VIIIe siècle, soit cent cinquante ans après l’hégire.

J. Wansbrough a étudié les origines samaritaines du Coran, dans Quranic Studies, Oxford, 1977, et The Sectarian Milieu, Oxford, 1978.
Il a montré que le texte définitif du Coran n’était toujours pas achevé au IXe siècle.
Il en déduisit qu’une origine arabe de l’islam était hautement improbable.
Il note aussi l’absence de toute référence au Coran dans le Fiqh Akbar I, document daté du milieu du VIIIe siècle, représentant pourtant l’orthodoxie dogmatique. Il ajoute que le Coran est « le produit d’un développement organique de traditions originellement indépendantes, au cours d’une longue période de transmission. »
Goldziher, dans On the Development of Hadith déclare « qu’un vaste nombre de hadiths, acceptés même dans les recueils musulmans les plus rigoureusement critiques, sont des faux complets de la fin du VIIIe et du IXe siècle, et qu’en conséquence, les chaînes de transmetteurs méticuleux qui les étayent sont totalement fictifs. »
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MessageSujet: Re: Mahomet faux prophète juif   Mahomet faux prophète juif - Page 2 EmptyDim 20 Sep - 1:18

Bonjour à tous.

Mahomet n'est pas un faux prophètes. Il n'est même pas Prophète.

Un Prophète annonce l'avenir or Mahomet n'a rien prédit du tout.
Plus encore, il n'a rien apporté, ni à la compréhension de Dieu, ni à l'humanité.

Il n'a fait que contredire et combattre les Juifs et les Catholiques.
Tout sur son passage n'est que destruction et/ou soumission.

Mahomet n'est pas l'auteur du Coran.
Les véritables auteurs sont des Juifs Chrétiens qui rejettent l'enseignement de Paul et la divinité du Christ.
Ils sont Juifs mais pas trop.
Ils sont Chrétiens mais pas trop.

S'ils ne le sont pas, ils sont à l'image des Ebionites.

Citation :
Les ébionites, entre christianisme et islam.

Les ébionites, disciples juifs de Jésus, ont-ils livré à l'islam sa propre conception du « prophète » de Nazareth ?

Si la recherche concernant les origines du christianisme fait l'objet d'amples interrogations depuis les XVIIIe et XIXe siècles, avec les philologues allemands (Reimarus, Bultmann), elle a bénéficié depuis un demi-siècle de l'enrichissement de la documentation littéraire et archéologique. Cette nouvelle impulsion a permis d'affiner notre connaissance du judaïsme ancien et du christianisme primitif en prenant acte, notamment, de la diversité des courants qui composent le judaïsme ancien. C'est dans le prolongement de ce contexte épistémologique que vient s'inscrire le travail de Dominique Bernard - chercheur et spécialiste des formes primitives du christianisme - consacré aux disciples juifs de Jésus du Ier siècle à Mahomet, et plus particulièrement au mouvement ébionite. A la suite des travaux référant aux esséniens , aux gnostiques ou autres mouvements du judaïsme ancien, l'auteur choisit d'étudier un mouvement religieux assez peu connu, qui n'a fait à ce jour l'objet d'aucune véritable étude d'ampleur. En effet, c'est seulement en 1988 que parurent les premières études, sous forme d'articles, spécialement consacrées aux ébionites ; en 1999 fut éditée une monographie sur les ébionites de Sakkari Häkkinen, écrite en finois, mais non traduite en anglais .

Les ébionites vus par les Pères de l’Église

Le travail entrepris consiste à recenser, traduire et commenter les sources chrétiennes relatives aux ébionites en informant le dossier patristique. Les Pères de l’Église ont en effet distingué dans leurs écrits trois principales communautés judéennes regroupant les disciples de Jésus : les nazoréens, les ébionites et les elkasaïtes. On devine ici qu'une telle classification est à replacer dans le cadre d'un discours hérésiologique porté par les Pères de l’Église à l'égard des adversaires du christianisme.

Dominique Bernard fait remonter l'origine du discours relatif aux ébionites à la fin du IIe siècle, avec Justin de Néapolis et Irénée de Lyon. Ce dernier est le premier à mentionner expressément « les ébionites » dans Contre les Hérésies (dénomination latine : Adversus Haereseis) et à les qualifier d'hérétiques, en critiquant notamment la christologie ébionite qui voit en Jésus un homme de naissance ordinaire et ne devenant véritablement Messie qu'après son baptême par Jean. Un peu plus tard, Tertullien, quant à lui, sera le premier auteur à évoquer le nom d'« Ebion » comme fondateur du mouvement ébionite dans son De la prescription des hérétiques (XXXIII, 5). Reste que les chercheurs s'accordent de nos jours à considérer ce personnage comme fictif, le mot « Ebion » dérivant de l'hébreu « Ebyônim » signifiant « pauvres ». Mais c'est Epiphane de Salamine, théologien chrétien du IVe siècle, qui rédigera la plus volumineuse monographie sur les ébionites. Elle correspond au chapitre 30 de son livre Contre les hérésies (ou Panarion), qui s'attaque à 80 mouvements jugés hétérodoxes. Le chercheur cite abondamment le texte - dont il offre la première traduction française - et souligne, dans le cadre de la construction hérésiologique, la façon dont le discours d'Epiphane intègre les ébionites aux groupes religieux des judéens.

Les sources islamiques et la postérité des ébionites

Concernant les sources islamiques, l'auteur mentionne principalement le Tathbit (ou Livre de la Démonstration de la nature prophétique de notre maître Mahomet) d'Abd Al-Jabbar Al-Hamadani, rédigé au Xe siècle. Cet ouvrage évoque l'existence d'une communauté chrétienne primitive correspondant selon l'auteur à une communauté ébionite dans la mesure où se trouve partagée la même christologie selon laquelle Jésus est devenu Messie en raison de son profond respect de la Loi. En effet, aux yeux des ébionites, la naissance de Jésus, non divine, fait de lui un Juste et un prophète. Une telle croyance se révèle capitale puisqu'elle ménage une possible affinité théologique entre le courant ébionite et la constitution de la pensée islamique au point de conduire l'auteur à avancer l'hypothèse suivante : cette communauté judéo-chrétienne devenue « musulmane » ne serait autre que la communauté ébionite .

Les sources rabbiniques et l'Evangile des ébionites

La dernière source évoquée, d'origine rabbinique, est l'Evangile hébreu selon Matthieu publié par Shem-Tov (juif espagnol, lettré, médecin du XIVe siècle). Dominique Bernard explore les liens éventuels du texte avec la pensée ébionite. Comparant ce discours avec la version grecque néotestamentaire, le chercheur souligne la façon dont le texte hébreu est théocentré alors que l'évangile canonique se focalise sur la personne de Jésus. Or, c'est précisément à la lumière de ce glissement que l'auteur avance l'hypothèse selon laquelle l'Evangile hébreu de Matthieu, cité par Shem-Tov, et les Fragments évangéliques, cités par Epiphane dans le chapitre 30 du Panarion, pourraient provenir d'un même texte :
l'Evangile de Matthieu hébraïque appelé précisément par les historiens modernes l'Evangile des ébionites.
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Citation :
L'évangile aux Ebonites
L’évangile des Ebionites, ou des Nazaréens ou des Hébreux, semble le " plus authentique ". Il ne parle pas de conception miraculeuse de Jésus, ni de crèche, ni de Mages, ni de miracles, mais insiste sur l’action de l’Esprit sur Jésus qui " désirait abolir les sacrifices pour adorer en esprit ".
Les Ebionites étaient des Esseniens de Samarie, pratiquant des rites qui semblent communs aux Juifs Esseniens et aux chrétiens primitifs : circoncisions, baptême, ascèse, Sabbah, eucharistie... Ils pratiquaient la pauvreté, la chasteté, la loyauté.

Ils furent considérés comme hérétiques par les Juifs orthodoxes et aussi par des Eglises chrétiennes des débuts.

Tous les livres ébionites - autres que cet apocryphe - ainsi d’ailleurs que beaucoup d’ouvrages historiques du premier siècle - ont disparu mystérieusement.

L'existance de cette branche est connue par Hégésippe, un des pères de l'Eglise, lorsque les membres de la communauté de Jérusalem convoquèrent alors les survivants des "apôtres" et les proches parents de Jésus le Nazarénien afin d'élire un successeur à Jacques le Juste, "frère de Jésus", qui fut lapidé à Jérusalem sur l'ordre du Sahédrin, présidé alors par le grand-prêtre sadducéen Anne (2).
Cette assemblée émigra à Pella en 67 afin que ses membres ne soient exposésque le moins possible aux désagréments de la guerre qui venait d'éclater en Palestine en 66 et, dit Hégésippe, c'est Syméon qui fut élu à la tête de la secte., laquelle prendra dans la suite le nom d'ébionite" (de l'hébreu ébiônîm, les pauvres).

Le texte est écrit en grec, et issu de la secte des ébionites, lesquels à l'époque constituaient une secte de végétariens (voir la ref à l'Evangile de paix) aux moeurs austères.

"Apparut un homme, du nom de Jésus, agé d'environ 30 ans, il nous choisit. Arrivé à Capharnaüm, il se rendit dans la maison de Simon surnommé Pierre, et ouvrant la bouche, il dit: "Passant le long du lac de Tibériade, j'ai choisi Jean et Jacques, les fils de Zébédée, Simon, André, Thaddée et Simon le Zélote, Judas Iscarioth. Toi, Matthieu, tu étais assis à ton bureau de péage, quand je t'ai appelé et tu m'as suivi. Je veux que vous soyez mes apôtres, pour témoigner devant Israël."

Et Jean baptisait, et venaient à Lui des pharisiens qui recevaient son baptême, et tout Jérusalem. Jeanportait un habit en poil de chameau et un pagne de cuir autour de ses reins. Il se nourrissait de miel sauvage qui avait le goût de la manne, comme nos gâteaux à l'huile.

Leur évangile s'ouvre sur ces paroles: " Il arriva qu'au temps d'hérode, roi de Judée, Jean parut, baptisant d'un baptême de repentir dans le Jourdain.On le croyait de la famille d'Aaron le prètre, et fils de Zacharie et d'Elisabeth. Et tous venaient à lui.

Quand le peuple fut baptisé, Jésus vint aussi et il se fit baptiser par Jean. Et lorsqu'il remonta de l'eau, s'ouvrirent les cieux et il vit l'Esprit Saint, tel une colombe, descendre et se poser sur Lui. Et une voix sortit du ciel, disant: " Tu es mon fils bien aimé, en qui je me suis complu." Et encore: " Aujourd'hui je t'ai engendré." Aussitôt une grande clarté illumina les lieux. Et à nouveau une voix sortit du ciel: " Celui-ci est mon fils bien-aimé, en qui je me suis complu." Alors Jean, se jetant à ses pieds, lui dit: "Je t'en supplie, Seigneur, baptise-moi toi-même!" Mais Jésus refusa, disant: "Laisse faire.Ainsi convient-il que nous accomplissions toutes choses."

"Je suis venu abolir les sacrifices et si vous ne cessez pas de sacrifier, ma colère non plus ne cessera pas de peser sur vous."

Aux disciples qui disaient: "Où veux-tu que nous te préparions la Pâque que tu mangeras ?",Ils ( les Ebionites ) firent répondre à Jésus: " Pouvez-vous croire que j'ai désiré d'un grand désir manger avec vous de la viande pour cette Pâque ?"
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A voir donc ...

Cordialement.




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jendur

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MessageSujet: Re: Mahomet faux prophète juif   Mahomet faux prophète juif - Page 2 EmptyDim 20 Sep - 23:03

Premier constat : dès lors qu’il est question de religion musulmane, le discours islamiste est
omniprésent sur internet, et tout particulièrement sur les réseaux sociaux. Cette domination et son
impact sont pourtant jusqu’ici restés quasiment inaperçus. Les comptes les plus connus, les pages
Facebook les plus suivies, peuvent être reliées à des penseurs fréristes ou salafistes. Un constat valide
à l’échelle mondiale et à l’échelle nationale. Les chiffres sont impressionnants, particulièrement si
l’on compare les comptes étudiés avec ceux d’autres acteurs publics, religieux ou non, en France
et dans le monde. En comparaison, les comptes de penseurs musulmans modérés ou non-engagés
font pâle figure.
Mahomet faux prophète juif - Page 2 200920035506651704
Le site d’actualité islamique, Islam et Info, dépasse de son côté la page officielle de la Fédération
Française de Football en termes de fans. Islam et Info est tenu par Eli Yess Zareli, surnommée
Elias d’Imzalène. Il a acquis une certaine notoriété comme porte-parole d’un collectif d’habitants
d’Argenteuil lors de ses participations à des réunions face aux pouvoirs publics.
En considérant que les citoyens musulmans sont aussi connectés que le reste de la population
française (48 % d’utilisateurs Facebook), nous obtenons une estimation de 1,9 million d’internautes
musulmans dans le pays (sur près de 4 millions de musulmans de plus de quinze ans). Si l’on rapporte
ce chiffre à celui de 1,2 million, ce sont 62,5 % des internautes musulmans qui sont susceptibles
d’être touchés par des contenus à tendance islamiste. Rapporté à l’ensemble de la communauté
musulmane française, en considérant qu’elle représente 4,5 millions de personnes, nous pouvons
déterminer qu’environ 27 % de l’ensemble peut être impacté par des contenus religieux rigoristes ou
politiques, chiffre similaire aux 28 % d’individus musulmans français sensibles aux thèses islamistes
et en rupture avec les valeurs de la société française. Nous l'avons constaté avec le forum salafiste "Maison d'Inès".
Mahomet faux prophète juif - Page 2 200920040024794712

La comparaison de comptes musulmans dédiés aux femmes avec des comptes de chroniqueuses de
mode généralistes offre des conclusions intéressantes.
• Audience estimée : au moins 186 000 personnes sont influencées par les comptes religieux
musulmans utilisant des références salafistes
Mahomet faux prophète juif - Page 2 200920040240821188

L’audience générale relative aux contenus rigoristes sur le « web musulman » représente environ
1,2 million de comptes, soit environ 30 % des musulmans potentiellement influencés par des
contenus salafistes. Ce chiffre rappelle ce qui a été avancé dans le précédent rapport Un islam
français est possible, sur le pourcentage de fidèles rigoristes qui s’élève à 28 %. Il existe un noyau
dur que nous avons pu observer sur des réseaux plus pointilleux dans le traitement de l’information
(Telegram), l’audience sur ces plateformes se situe entre 6 000 et 15 000, des estimations qui se
rapprochent de celles avancées par les autorités quant au nombre de salafistes en France. Ces chiffres
permettent de décrire une réalité idéologique clairement organisée en militants, sympathisants et
personnes sous influence.

Le communautarisme salafiste français est prépondérant en ligne. Quelle démocratie espérer dans ces conditions?
Institut Montaigne
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simple curieu

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MessageSujet: Re: Mahomet faux prophète juif   Mahomet faux prophète juif - Page 2 EmptyVen 25 Sep - 15:24

Le Mahomet proclamateur du Coran vivait à Laodicée (l'actuel port syrien de Lattaquié)



QUE SAIT-ON HISTORIQUEMENT DE LA MECQUE ET DE LA KAABA ?

Un trou noir
Dans l’historiographie musulmane, la ville de la Mecque est un modèle de cité commerçante dont les fondements archéologiques et historiques se retrouveraient dans la littérature géographique de la fin de l'Antiquité que les Romains appelaient « l'Arabie Heureuse » (Felix Arabia). Une légende s’est ainsi largement répandue dans les milieux de l’apologétique musulmane selon laquelle le géographe grec Ptolémée aurait identifié La Mecque[Si l’on souscrit à cette audacieuse hypothèse de l’identification de Makoraba à La Mecque, pourquoi n’y a-t-il aucun autre témoignage de La Mecque entre le 2nd siècle et 670 environ (si l’on considère le témoignage d’un moine irakien mentionnant un « sanctuaire d’Abraham » dans le désert comme désignant La Mecque) ? Ou sont les traces du commerce mecquois avant et aussi après Mahomet (cf. P. Crone, Meccan Trade).], baptisée « Makoraba » au 2ème siècle de notre ère. Problème : celle-ci est située dans l’actuel Yémen et n’a donc rien de commun avec la Mecque du Hedjaz[CRONE (Patricia), Meccan trade and the rise of Islam, Princeton, Princeton University Press, 1987, VII+300 p ; Suggested Solutions for Issues Concerning The Location of Mecca in Ptolemy's Geography Dan Gibson, 2013.].
Ce que l’on sait d’une absolue certitude c’est qu’il ne subsiste absolument rien de la supposée Mecque originelle, rien. Un vide archéologique que les chantiers, pourtant titanesques, engagés ces dernières années par l’Arabie Saoudite n’ont réussi à combler. A ce néant s’y adjoint un autre. On ne trouve en effet aucune mention explicite de la Mecque avant la fin du 7ème siècle. Rien du sanctuaire dans la charte de Médine où La Mecque n’est jamais mentionnée[A. de Premare, Les Fondations de l'Islam, 2002, p. 27], pourtant considérée par la Tradition comme millénaire puisque remontant à Abraham. Rien de son commerce, des pèlerinages qui sont censés l’avoir enrichie, avoir forgé sa réputation d’incontournable carrefour caravanier.
Mecque islamique vs. Mecque historique
En outre, la description de la Mecque telle qu’on la trouve dans le texte coranique serait complètement incompatible avec la réalité historique. Les référents climato-géographiques rapportés par le Coran et les hadiths correspondraient au mieux à un environnement méditerranéen proche de la Syrie[Patricia Crone, How Did the Quranic Pagans Make a Living?, Bulletin of the School of Oriental and African Studies, University of London, Vol. 68, No. 3 (2005), pp. 387-399]. En effet, la topographie réelle de la Mecque avec son climat subtropical désertique, exclut l’existence d’activités agricoles, pastorales ou halieutiques[P. Crone : How did the quranic pagans make a living ? ; Patricia Crone et Michael Cook, Hagarism – The making of the islamic world, Cambridge University Press, 1977, 279 p.] que la Tradition décrit pourtant dans les prêches prononcés par le Prophète auprès de ses contemporains mecquois.
Rappelons que le site de la Mecque est semblable à une cuve et était sujet à d’innombrables inondations ainsi que le rapportent les chroniques des premiers siècles de l’islam tout au long des 7ème, 8ème, 9ème et 10ème siècles. En 960, une caravane de pèlerins égyptiens fut victime de ces torrents. Au point même, qu’en 1620, la Kaaba fut complétement détruite par une de ces catastrophes avant d’être reconstruite à zéro par le sultan Murād[IMA - Catalogue d'exposition - Hajj - Le pèlerinage à la Mecque - page 55. Il y a eu de plus une grande rénovation en 1996. On a remplacé alors la plupart des pierres, et transformé l’édifice : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

En outre, comme souligné précédemment, le climat de la région (subtropical désertique) interdit toute possibilité d’agriculture permettant aux nombreuses populations mecquoises décrites par la tradition musulmane de vivre sur le site actuel de La Mecque. Comment imaginer en effet la présence de plantations d’oliviers ou de troupeaux de moutons à des températures avoisinant les 50 degrés ? Comment admettre qu’on y cultivait le blé, les dattes, l’olivier, la vigne, les grenades[« Les jardins de raisins, l'olive et la grenade, semblables ou différents les un des autres; Regardez leurs fruits au moment de leur production et de leur mûrissement » (Coran : VI-99) ; « (…) l'olive et la grenade, d'espèces semblables et différentes. Mangez de leurs fruits, quand ils en produisent ; et acquittez-en les droits le jour de la récolte. Et ne gaspillez point car Il n'aime pas les gaspilleurs (Coran : VI-141) ; « Nous avons produit pour vous des jardins de palmiers et de vignes, dans lesquels vous avez des fruits abondants et desquels vous mangez » (Coran : XXIII-19).] ?
Par ailleurs, la tradition musulmane évoque l‘existence de polythéistes à la Mecque dominés par la tribu des Quraych. Or les recherches archéologiques font apparaître que tous les Arabes de la Péninsule, avec ceux de Syrie et de Palestine, étaient christianisés[L'Arabie chrétienne avec Christian Robin, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ; « La péninsule Arabique à la veille de la prédication muḥammadienne », dans Les débuts du Monde musulman (VIIe -Xe siècle). De Muhammad aux dynasties autonomes, sous la direction de Thierry Bianquis, Pierre Guichard et Mathieu Tillier (Nouvelle Clio), Paris (Presses universitaires de France), 2012, pp. 5-33 et XIV-XV]. Et, contrairement à ce qu’affirme la tradition musulmane, la Mecque ne se situait pas non plus sur la route de l’encens, et ne constituait pas le carrefour commercial prestigieux décrit dans la Sira et la littérature du hadith. Enfin, les recherches récentes d’un archéologue canadien, Dan Gibson, ont montré qu’aucune mosquée ne pointe sa qibla vers La Mecque avant 725 et que certaines des mosquées construites entre 640 et 725 pointaient très précisément la qibla vers Pétra en Jordanie. Il a montré de plus que c’est seulement à partir de 822 que toutes les nouvelles mosquées pointèrent leur qibla vers La Mecque.[Sauf la mosquée du Dôme du Rocher (Jérusalem) qui est dépourvue de qibla. M. Cuypers et G. Gobillot, Le Coran..., p. 23 sqq. La religion arabe ancienne patrimoniale influença profondément Muḥammad : voir Kurt Rudolph, « Die Anfänge Mohammeds im Lichte der Religionsgeschichte », dans Festschrift Walter Baetke, éd. Kurt Rudolph, Rolf Heller et Ernst Walter, Weimar, 1966, p. 298-326.]

La Mecque historique se trouverait-elle en Syrie ?
On sait aujourd’hui qu’une tribu installée en Syrie également appelée « Quraych » a fait l’objet de descriptions historiques conformes à celle du Coran et aux hadiths. Installée près de Lattaquié, grande cité portuaire de Syrie, cette tribu christianisée versée dans le commerce, abritait, jusqu’en 1920[Topographie historique de la Syrie antique et médiévale, Geuthner 1927 : ce caravansérail figurait encore sur la carte de Syrie réalisée en 1927 par René Dussaud sous le nom de Khân el-Qurashiyé.], les ruines d’un caravansérail[Caravansérail = base arrière ; lieu de stockage des marchandises, d’habitation pour les familles, d’élevage des chameaux.], un lieu d’accueil de marchands nomades et de commerçants caravaniers[Leur présence dans la région est signalée par le chroniqueur syrien Narsaï (5ème siècle) qui se plaignait en effet des terribles razzias lancées par cette tribu.].

De récentes critiques textuelles font valoir donc que La Mecque serait une création tardive des Califes omeyyades datée du 7ème siècle[Robert Kerr, The Language of the Koran (2013). Edouard-Marie Gallez, Le Messie et son Prophète, Paris, Editions de Paris, 2005-2010.]. En étudiant les descriptions de la ville dans les hadiths, la Sira et le Coran, elles concluent que certains lieux des origines de l’islam ne se trouveraient pas dans le Hedjaz, comme rapporté par la tradition musulmane, mais dans l’actuelle Syrie[Patricia Crone, « How Did the Quranic Pagans Make a Living? », Bulletin of the School of Oriental and African Studies, University of London, 2005 ; Christian Robin, « La péninsule arabique à la veille de la prédication muhhammadienne », dans Thierry Bianquis, Pierre Guichard et Mathieu Tillier (dirs.), Les débuts du monde musulman, viie – xe siècle : De Muhammad aux dynasties autonomes, Presses universitaires de France, coll. « Nouvelle Clio », 2012 (ISBN 978-2-13-055762-3), p. 28 ; Cf. documentaire The Sacred City de Dan Gibson.].

Signalons enfin qu’il existait plusieurs dizaines de « Qobba »[Henri Lammens parle de Qobba (tente tabernacle) mais pas de Kaaba : « On utilisait pour cette translation des qobba, sortes de pavillons-tabernacles en cuir de couleur rouge. Ces processions se terminaient par le septuple tawâf, la circumambulation rituelle autour du sanctuaire. » L'islam : croyances et institutions (3e éd. rev. et augm.) / H. Lammens et Henri Lammens, « Le culte des bétyles et les processions religieuses chez les Arabes préislamites », ifao.egnet.net, Bulletin de l'Institut français d'archéologie orientale, 1920, p. 39–101 ; Claude Gilliot, « Origines et fixation du texte coranique », Études, vol. 12, t. 409,‎ 2008, p. 643–652.] bien avant l’islam. Le culte de la pierre noire (bétyle), dont le récit biblique fait souvent mention, était largement répandu au Proche et Moyen-Orient, notamment à Petra, où l’on révérait la pierre noire de Dusares, symbole du culte solaire des Nabatéens au 4ème siècle[Dan Gibson mentionne par ailleurs l’existence d’autres « pierres noires » dans Quranic Geography, p.294 ; Cf. témoignages de Maxime de Tyr, Dissertations, II Chapitre 8 (2ème siècle), Clément d’Alexandrie, etc.].

« Muḥammad islamique » et « Muḥammad historique »
 Les recherches récentes attestent qu’entre la mort du Prophète et la constitution de la Sira deux siècles plus tard, on a, à l’image de la Mecque, un véritable trou noir pour ce qui concerne les seuls écrits musulmans[44]. Rien n’émerge de l’histoire avant 50 de l’hégire (683) où le qualificatif « mḥmd » est mentionné pour la première fois sur une pièce de monnaie à l’effigie d’Abdallah Ibn al Zubayr, « anticalife », opposant aux Omeyyades et que la tradition musulmane décrit comme étant le « gouverneur de La Mecque (monnaie frappée cependant à Bishapur, dans l’actuel Iran).

D’autres documents font état de témoignages contemporains de Muḥammad et le décrivent non pas comme un Prophète mais comme un guerrier apocalyptique à l’aise et instruit dans l’histoire de Moïse (Pseudo Sébéos)[45]. Dans tel témoignage, il apparaît comme dans la proximité de personnes qui l’auraient « instruit ». Dans tel autre, il est présenté (Doctrina Jacobi) dans une discussion entre des Juifs comme pouvant être un possible candidat à la prophétie (c’est-à-dire « annoncer la venue du Messie »).
Ce n’est qu’au 9ème siècle que la biographie (sīra) du Prophète est rédigée pour la première fois dans un empire qui s’étend du Maroc à l’Inde, très loin du milieu originel, dans un contexte contrôlé par l’autorité califale. C’est d’ailleurs à partir du 10ème, que sont écrits le discours des origines, les premières exégèses coraniques (tafāsīr), les premières histoires de conquêtes islamiques (maġāzī) et un nombre invraisemblable de hadiths forgés à la demande des califes dans le but de légitimer leur autorité et d’expliquer le Coran en forçant son interprétation[46].
La prophétologie en tant que genre littéraire autonome est relativement récente dans l’histoire intellectuelle musulmane. L’ouvrage le plus connu en la matière le montre : il s’agit de la recension des traditions prophétologiques musulmanes (nourries avec un certain appareil de réserves d’Isrâ’îliyyât judaïques) attribuées à Ibn Kaṯīr (1300-1373), ce qui nous renvoie tout au plus à l’invasion moghole (13ème) contenus par les Mamelouks... Détail qui peut d’ailleurs faire sens étant donné le sentiment apocalyptique qu’a inspiré cette période.
En revanche, c’est à une époque bien plus proche de l’aube de l’islam que l’on place l’installation d’une pratique similaire : la lecture publique, commentée et apprise des récits d’expédition que l’on appelait maġāzī (récits des conquêtes), et qui en fait fournissait un cadre contextuel à un matériau beaucoup plus disparate : historique, juridique, et parfois littéraire. Les maġāzī sont si profondément installés dans la tradition musulmane qu’elles ont précédé l’éclosion du genre Sira[47].

Une figure messianiste ?
 Malgré le nombre conséquent de témoignages externes d’époque, aucune chronique ne fait mention du Coran, d’islam ou de « musulman ». L’appellation « islam » elle-même deviendra le nom officiel de la nouvelle religion qu’en 720, date avant laquelle elle est systématiquement désignée par l’expression « religion d’Abraham »[48]. Pour « désigner les conquérants, jamais, à cette époque, n'apparaît chez eux un terme tiré du mot arabe muslim (musulman). Ceci donne à penser que les conquérants ne se désignaient pas eux-mêmes ainsi »[49]. Par exemple, on n’en trouve aucune référence dans le premier dialogue « islamo-chrétien » de Homs (644) entre le patriarche de Syrie Jean Ier (631-646) et Saïd ibn Amir, gouverneur et compagnon du Muḥammad[50].

Aucune mention d’islam ou de « musulmans » non plus dans les Homélies de Saint Sophrone de Jérusalem (634-639)[51], dans la Didascalie de Jacob[52] (634), dans la chronique de Thomas le Presbyte[53], rien dans le Sébéos (ou Pseudo-), rien dans la Lettre de Théodore, rien dans la Lettre de l’Académie de Jérusalem à la diaspora d’Egypte, rien dans le traité d’Arculfe (679 et 688), rien dans les témoignages de Théophane (758-817), de Jacques d’Edesse (640-708) ni de Jean de Damas (676-749). Même des graffitis décelés récemment en Arabie Saoudite n’en font allusion avant l’an 687[54].

Ce matériel historique contemporain aux débuts de l’islam, et composé de témoignages indépendants et concordants, évoque l’irruption d’« Arabes conquérants », conduits par un prophète « commerçant » et des « juifs » lors de la prise de Jérusalem et se pressant pour y édifier un lieu de prière :
 « Que Dieu accorde à nos empereurs des sceptres robustes et puissants afin qu'ils brisent l'orgueil de tous les Barbares, et surtout des Saracènes (= Arabes des tentes) qui (…) se sont dressés soudainement contre nous et se livrent à un pillage total avec cruauté et sauvagerie... »[55] Homélies de Saint Sophrone de Jérusalem (634-639)
« Mon frère Abraamès m'a écrit, dit Ioustos à Jacob, qu'un faux prophète est apparu.
"Lorsque le Candidat fut tué par les Saracènes, j'étais à Césarée - me dit Abraamès -, et j'allai en bateau à Sykamina6 On disait : Le Candidat a été tué ! Et nous, les juifs, nous étions dans une grande joie. On disait que le prophète était apparu, venant avec les Saracènes, et qu'il proclamait l'arrivée du Christ oint qui allait venir. (…) Je lui dis : Que me dis-tu du prophète qui est apparu avec les Saracènes ? Et il me répond en gémissant profondément : C'est un faux prophète : les prophètes viennent-ils armés de pied en cap?... (…) j'appris de ceux qui l'avaient rencontré qu'on ne trouve rien d'authentique dans ce prétendu prophète : il n'est question que de massacres. Il dit aussi qu'il détient les clés du Paradis, ce qui est incroyable." Voilà ce que m'a écrit mon frère Abraamès d'Orient... »[56]. Didascalie de Jacob (634) 
 « Il y avait un des enfants d'Ismaël, du nom de Mahomet, un marchand. »[57] Sébéos (ou Pseudo-)
«... et Mhmt (Mohammad) alla pour le commerce en terres de Palestine, des Arabayâ et de Phénicie des Tyriens. »[58] Jacob d'Édesse (m. 708)
« En l'année 945 (…) eut lieu le combat des Romains et des Tayayê (= les Arabes) de Mahomet en Palestine, à 12 milles à l'est de Gaza. Les Romains s'enfuirent, abandonnant le patrice Bar Yardan que les Tayayê (= les Arabes) tuèrent. Furent tués là environ 4000 paysans pauvres de Palestine, chrétiens, juifs et samaritains. Et les Tayayê (= les Arabes) dévastèrent toute la région. »[59] Chronique de Thomas le Presbyte
« Aussitôt - entrés à Jérusalem -, en courant, ils arrivèrent au lieu qu'on appelle Capitole. Ils prirent avec eux des hommes, certains de force, d'autres de leur plein gré, afin de nettoyer ce lieu et d'édifier cette maudite chose, destinée à leur prière, qu'ils appellent une midzgitha (lieu de prière). Parmi ces hommes se trouvait Jean, archidiacre de Saint-Théodore-le-Martyr, parce qu'il était, de son métier, poseur de marbre. Il se laissa séduire par eux pour un gain malhonnête et il alla de son plein gré travailler là-bas. Il était très habile de ses mains ».[60] Lettre de Théodore
« Sur cet emplacement célèbre où se dressait jadis le Temple magnifiquement construit, les Sarrasins (Saracinij) (= les Arabes) fréquentent maintenant une maison de prière quadrangulaire qu'ils ont construite de manière grossière (vili opère) sur ces ruines. Elle est faite de planches dressées et de grandes poutres. On dit de cette maison qu'elle peut accueillir 3 000 personnes à la fois. »[61]Traité d’Arculfe (670)
« Ce fut la volonté de Dieu de nous avoir en faveur dès avant le royaume ismaélite, au temps où, conquérant la Terre sainte, ils l'arrachèrent des mains d'Edom. Lorsque les Arabes vinrent à Jérusalem, il y avait avec eux des hommes d'entre les Fils d'Israël qui leur montrèrent l'emplacement du Temple. »[62] Lettre de l’Académie de Jérusalem à la diaspora d’Egypte
Or, tous ces témoignages d’époque sont incompatibles avec l’historiographie musulmane dès lors que, selon la Tradition, lors de la prise de Jérusalem, le Prophète est censé être déjà mort plusieurs d’année auparavant, que le nom du Calife Omar n’apparait nulle part, que les conquérants semblent motivés par le butin et le pouvoir, et que des leaders juifs sont à la tête des nouveaux conquérants arabes.  
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MessageSujet: Re: Mahomet faux prophète juif   Mahomet faux prophète juif - Page 2 EmptySam 26 Sep - 4:05

Bonjour. Cool

Pour rappel, un prophète est forcément un descendant de Jacob/Israël.
Pour cela, faut-il encore avoir conclu une alliance avec YHVH.
Citation :
Lévitique 26:42
Je (Yhvh) me souviendrai de mon alliance avec Jacob,
je me souviendrai de mon alliance avec Isaac
et de mon alliance avec Abraham,

Mieux encore, Yhvh n'est pas le Dieu d'Ismaël.
Yhvh est le Dieu D'Abraham, d'Isaac et de Jacob.
Citation :
Exode 3:5
Dieu dit: N'approche pas d'ici, ôte tes souliers de tes pieds, car le lieu sur lequel tu te tiens est une terre sainte. Et il ajouta:
Je suis le Dieu de ton père,
le Dieu d'Abraham,
le Dieu d'Isaac et
le Dieu de Jacob.
Moïse se cacha le visage, car il craignait de regarder Dieu.

Pour moi les Musulmans n'ont rien compris à l'histoire de leurs ancêtres. Ils sont descendants d'Abram et non d'Ismaël.
Attention, étant donné que Agard est Egyptienne, elle n'est pas Sémite, elle est Chamite.

Et oui, Yhvh n'a pas conclu d'Alliance Avec Abram (Père Ismaël) mais avec Abraham (Père d'Isaac).

Citation :
Cham, fils de Noé
Koush, fils de Cham
Seba, fils de Koush
Havila, fils de Koush
Sabta, fils de Koush
Rama, fils de Koush
Saba, fils de Rama et fondateur de la ville de Saba
Dadan, fils de Rama et fondateur de la ville de Dadan
Sabteka, fils de Koush
Nimrod, fils de Koush
Misraïm, fils de Cham
les Loudim
les Anamim
les Lehabim
les naphtouhim
les Pathrousim
les Kaslouhim
les Philistins
les Caphtorim habitants de Caphtor
Pout, fils de Cham. Le pays de Pout est ou la Libye antique8,9 ou le pays de Pount.
Canaan, fils de Cham
Tsidone, fils de Canaan et fondateur de la ville de Sidon
Het, fils de Canaan et ancêtre des Héthéens
les Jébuséens
les Amorrites
les Guirgashites
les Hivites
les Arqites habitants de Tell Arqa
les Sinites
les Arvadites
les Tsemarites
les Hamathites
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Ismaël = donc descendant de Cham (Chamite) et de Sem (Sémite).
Isaac = 100 % Sémite.

Par conséquent, si Mahomet est descendant de Cham et de Sem, tout deux Fils de Noé, alors, Mahomet est 50 % Sémite et 50 % Chamite.

Donc, 0 % d'alliance entre Mahomet et Yhvh. Very Happy

En vérité, si l'Islam n'avait pas existé, tout le monde comprendrait qu'Ismaël représente l'Egypte (esclavage) et Isaac la délivrance.

Comme je l'ai déjà dit sur un autre sujet Ismaël représente le Monde Matériel et Israël le Monde Spirituel.

J'en veux pour preuve que concernant l'Egypte (Chamite) il ne fait aucun doute que c'est un pays 100 % esclavagiste et barbare concernant les femmes.

Citation :
« Après près de 100 ans d'efforts pour lutter contre, l'excision est toujours largement répandue », déplorait, non sans emphase, le président du Conseil national de la population, Amr Hassan, le 6 février dernier, lors de la Journée internationale de lutte internationale contre l'excision (qui désigne toutes les mutilations partielles ou totales des organes génitaux féminins). « Le problème n'est peut-être pas notre stratégie, mais son application ; nous devons travailler plus activement dans tous les villages, développer des campagnes de sensibilisation visant spécifiquement les hommes et les médecins et faire appliquer la loi », précise au Point Afrique ce gynécologue qui a rejoint en décembre 2018 le conseil chargé de la lutte contre l'excision, sous l'autorité du ministère de la Santé.

80 % des excisions réalisées par des médecins
La tradition commence à reculer dans les jeunes générations, avec 70 % des 15-19 ans sexuellement mutilées en 2015, contre 81 % sept ans plus tôt, selon l'Unicef-UNFPA. Mais la majorité des Égyptiens (en particulier les hommes) continuent de soutenir cette pratique, qui remonterait à l'époque pharaonique ; alors que la plupart des autres pays africains concernés ont vu leurs opinions publiques radicalement évoluer et prendre position contre (selon le dernier rapport de l'Unicef-UNFPA).

La moitié des Égyptiens pense que l'excision est un devoir religieux, même si le mufti, autorité sunnite d'al Azhar, a répété à plusieurs reprises que cette pratique était contraire à l'islam. En 2008, l'excision est devenue un crime et les peines encourues par les exciseurs et parents complices ont même été alourdies en 2017. Pourtant, 80 % des filles excisées le sont par des personnes ayant le titre de médecin, dans des cliniques privées ou petits hôpitaux de campagne. En dix ans, seulement trois procès ont eu lieu contre du personnel médical et des parents ayant causé la mort de jeunes filles en voulant les exciser.
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Cordialement.
Fraternellement à tous. I love you
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李从从

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MessageSujet: Re: Mahomet faux prophète juif   Mahomet faux prophète juif - Page 2 EmptySam 26 Sep - 5:31

Je n'y connais pas grand chose, je sais quand même qu'Abraham est Abram Very Happy Ces deux noms sont une seule et même personne.
kaboo a écrit:
Et oui, Yhvh n'a pas conclu d'Alliance Avec Abram (Père Ismaël) mais avec Abraham (Père d'Isaac)
Dans le Livre de la Genèse, Abram est un personnage dont son nom signifie 《le Père est exalté》。Il change de très peu son nom en Abraham qui signifie 《père d'une multitude de nations》 Genèse 4:1. Il est appelé en arabe Ibrahim (dans le Coran par exemple).
Le Coran rend fou. Tous les anciens personnages historiques ont leurs vie inventées. Ils seraient tous musulmans Laughing
On n'est plus au moyen-âge pour écouter ces bêtises.
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MessageSujet: Re: Mahomet faux prophète juif   Mahomet faux prophète juif - Page 2 EmptySam 26 Sep - 5:44

Bonjour kaboo, comment allez-vous? 💐 💝
Mahomet est un personnage historique inventé. Abraham n'a aucun rapport avec ce faux prophète imaginé.
Le Coran, la Mecque, la kaaba, Mahomet, sont inconnus des historiens de la route de la soie. S'il avait existé, nous le saurions (⁎⁍̴̛ᴗ⁍̴̛⁎)
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