40 ans d'islamisation de la France 1979-2919

Un livre succulent, année après année. Pour 25€, ce pavé de presque 700 pages est incontournable.


À partir de 1984, avec la création de "SOS Racisme", opération de l'Élysée, on entre dans la jubilation des escroqueries monumentales en politique.

Extraits
Le conte de fées commence le 15 octobre 1984 : parce que leurs « potes » sont injustement harcelés par la police, des jeunes gens créent spontanément une association destinée à lutter contre le racisme de la société française à l’égard des immigrés. SOS Racisme. Une double inversion. Il sera plus tard établi qu’il s’agit d’une opération de l’Élysée, qui a conçu et financé le lancement de l’organisation antiraciste. Et le philosophe Jean Baudrillard en résumera l’objectif : « SOS Racisme, SOS baleines. Ambiguïté : dans un cas, c’est pour dénoncer le racisme, dans l’autre, c’est pour sauver les baleines. Et si, dans le premier cas, c’était aussi un appel subliminal à sauver le racisme ? » Le sauver ou plutôt le réinventer dans l’un des pays les moins racistes au monde, qui a accueilli le plus d’immigrés et dont le peuple est le plus ouvert au métissage matrimonial.
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Car tout est devenu jeu de rôle, en matière d’immigration. L’idéal consiste à tenir un discours de fermeté en régularisant en douce, comme a su le faire continûment Manuel Valls. De sa circulaire défaitiste du 28 novembre 2012, instaurant le principe de la régularisation automatique de l’immigration illégale après cinq ans de présence (ce qui a entraîné une augmentation sensible des entrées de clandestins sur le territoire national), à sa loi du 7 mars 2016 (votée le 18 février dans l’indifférence dans un Hémicycle vide), qui a facilité l’immigration tant légale, en instaurant la carte de séjour de quatre ans (au lieu d’une année), qu’illégale, en réduisant les moyens de lutte contre les clandestins.
Dans ce jeu de rôle, les politiques, qui ne font rien mais parlent fort, ont pour complices obligés les journalistes, qui s’indignent et leur rendent par là même, face aux Français, le service de les accuser d’être des décideurs durs et impitoyables. Voire des bourreaux, comme le laissait penser au printemps 2018 L’Obs, dénonçant les projets d’Emmanuel Macron sur les « migrants » avec une couverture ornée de barbelés et des couleurs du drapeau nazi.
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Un rapport de l’Assemblée nationale a conclu, en mai 2018, à un véritable abandon public de ce territoire déjà grandement islamisé, au point que « l’État ignore le nombre d’habitants » du département, qui constitue, à quelques kilomètres de l’aéroport de Roissy - Charles-de-Gaulle, un « sas d’entrée » pour l’immigration illégale. Le nombre de clandestins y est inconnu, mais pourrait être de « 150 000, 250 000, voire 400 000 », selon ce rapport, soit entre 8 et 20 % de la population du département... Dans ce territoire tiers- mondisé se détachant de la France mais sous perfusion des aides sociales, la loi commune n’est plus que partiellement appliquée : « Des systèmes d’inspiration mafieuse tendent à s’installer et à imposer leur diktat. »
Ces chiffres officiels confirmant l’islamisation accélérée de la France furent peu commentés. Ils confortent pourtant l’optimisme claironné à la mosquée d’Orly, en août 2011, par Marwan Muhammad, responsable du Collectif contre l’islamophobie en France, que Le Monde a promu, en octobre 2016, « porte-voix combatif des musulmans » : « Qui a le droit de dire que, dans trente ou quarante ans, la France ne sera pas un pays musulman ? Personne dans ce pays n’a le droit de nous nier le droit d’espérer dans une société globale fidèle à l’islam. »


Comment a-t-on pu accepter ça ? Le livre ne citant que des faits, n'y apporte pas vraiment de réponses. La lâcheté des évêques français indignes qui ont vendu leur âme à l'Islam avec Jean-Paul II, explique beaucoup de choses. Il faudrait le même ouvrage version Église de France.

Il y a cependant un espoir, les églises se sont vidées par l'islamisation selon François-Bergoglio qui passe pour un "rigolo" et maintenant chez les français pour un bandit aussi vermoulu qu'un homme politique.