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forum marmhonie des religions
Forum franco-chinois de l'histoire des religions et des civilisations. 中法宗教與文明史論壇。日仏宗教史フォーラム。फ्रेंको-इंडियन फोरम ऑफ रिलिजन एंड सिविलाइजेशन। 종교와 문명사를 위한 한불포럼.
Messages : 2840 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
Sujet: Le jeu d'échecs Sam 13 Juin - 5:40
Mipoune a posté un [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] que je pose ici en ouverture de réflexion sur les jeux de société en général & le jeu d'échecs en particulier.
"Un coup d’œil sur les échecs LE CHAMPIONNAT du monde d’échecs, qui eut lieu l’été dernier en Islande, a suscité un intérêt général pour ce jeu. Des millions de gens ont commencé à discuter des échecs ou à apprendre à jouer. “C’est une affaire fantastique”, dit un fabricant américain d’échiquiers. Un vendeur dans une importante librairie de New York, déclara : “Avant le tournoi Fischer-Spassky, nos livres d’échecs ne quittaient pas les étagères. Après, ils ont tous été enlevés comme des petits pains. Maintenant, ce sont les livres qui se vendent le plus vite.” Dans certains pays, les échecs connaissaient déjà une grande vogue. En Russie, c’est un jeu aussi populaire que le football ou le basket-ball aux États-Unis. En Chine, le hsiang chi, version chinoise des échecs, est un des jeux préférés. Il paraît qu’on a écrit sur les échecs plus de livres (près de 20 000) que sur tous les autres jeux réunis. D’où vient ce grand intérêt ? Pourquoi ce jeu excite-t-il la curiosité de tant de gens ? Un jeu complexe Le plus grand attrait de ce jeu est sa complexité, qui peut être passionnante. Les échecs et le jeu de dames se jouent sur le même genre de plateau, mais celui des échecs est divisé en 64 cases, c’est-à-dire en 8 rangées de 8 cases. Le jeu d’échecs permet beaucoup plus de manœuvres ou de coups que le jeu de dames. On dit, par exemple, qu’il y a 169 518 829 100 544 000 000 000 000 000 000 façons d’effectuer les dix premiers mouvements. On pourrait se demander comment il est possible de faire tant de manœuvres sur un tableau de 64 cases seulement. Cela est dû aux différentes sortes de pièces de ce jeu et à la variété des coups qui leur sont permis. Le jeu d’échecs oppose deux joueurs disposant chacun de seize pièces : huit pions, deux cavaliers, deux fous (ou bishops), deux tours, un roi et une reine. Ces six sortes de pièces ont chacune une valeur différente qui se reflète dans la variété de manœuvres qui leur sont permises. Ainsi, le pion se déplace en ligne droite, toujours en avant, et franchit une seule case à la fois. La tour se déplace en ligne droite d’un bout à l’autre de l’échiquier, en avant, en arrière et sur le côté, tant que la rangée ou la colonne est libre. Le fou marche toujours en diagonale et avance d’autant de cases qu’il veut. Contrairement aux autres pièces, le cavalier peut seulement opérer un mouvement en L. La reine ou dame, la pièce la plus importante, emprunte les lignes diagonales ou orthogonales, dans les deux sens, en franchissant autant de cases qu’il lui convient, tant que la ligne est libre. Le but de la partie est d’immobiliser le roi adverse tout en protégeant le sien. La partie est gagnée quand un des rois est “échec et mat” et qu’il ne peut plus être défendu. Le joueur dont le roi est “mat” est obligé de se rendre ; il a perdu. C’est donc la différence de mobilité des diverses pièces qui rend possible une variété aussi incroyable de manœuvres. On a dit que la complexité de ce jeu, où l’habileté du joueur est particulièrement mise à contribution, en fait la distraction idéale de celui dont le travail n’est pas en rapport avec ses facultés intellectuelles. “Aux échecs, il n’y a pas de facteur chance”, expliqua Burt Hochenberg, rédacteur d’une revue d’échecs (Chess Life & Review). “Impossible de prétendre qu’il y a eu un faux rebond”, ajouta-t-il. L’esprit de compétition Cependant, opposer deux intelligences, le facteur chance étant complètement éliminé, ne peut qu’exciter l’esprit de compétition. En fait, on a souvent dit que le jeu d’échecs est ‘un combat intellectuel’. Boris Spassky, ancien champion du monde d’échecs, a lui-même fait une remarque de ce genre, disant : “Je ne suis pas de nature belliqueuse (...). Mais aux échecs, il faut être combatif ; il m’a donc fallu le devenir.” Cela nous aide à comprendre pourquoi il n’y a pas de grandes championnes d’échecs. Les grands maîtres d’échecs du monde, au nombre de quatre-vingts, sont tous des hommes. À cet égard, l’actrice Sylvia Miles fit la remarque suivante : “Pour être un joueur d’échecs professionnel, il faut avoir une âme de tueur. Si l’esprit de compétition chez les femmes américaines devient assez fort, je pense que nous aurons alors quelques grandes joueuses.” L’esprit de compétition est parfois porté à son comble, et cela se reflète dans l’attitude et le langage des joueurs. Selon, le joueur d’échecs Stuart Marguiles, “dans aucun autre sport, on n’assiste à autant d’efforts pour abattre l’adversaire”. “Jamais, dit-il encore, je n’ai entendu quelqu’un dire qu’il a battu son adversaire. Toujours, il l’a écrasé, enfoncé, abattu ou supprimé.” Il est vrai que des joueurs qui sont liés d’amitié n’emploient peut-être pas ce langage. Néanmoins, l’esprit de compétition peut avoir des résultats regrettables. L’été dernier, on pouvait lire ce qui suit dans le New York Times : “La plupart des familles s’arrangent pour que les disputes inévitables ne dépassent pas les limites de l’échiquier. Mais dans certains foyers, les tensions demeurent bien après l’échec et mat.” Évidemment, à cet égard, les échecs ne sont guère différents des autres jeux de compétition. Les joueurs d’échecs qui désirent plaire à Dieu doivent prendre garde de ne pas violer le principe biblique suivant : “Ne devenons pas égotistes, n’excitons pas de rivalité entre nous, ne nous envions pas l’un l’autre.” — Gal. 5:26. Cependant, le jeu d’échecs a encore un autre aspect qui mérite d’être examiné. Un jeu guerrier Le vocabulaire du jeu est manifestement militaire. Les forces adverses sont appelées “l’ennemi”. Elles sont “attaquées” et “prises” ; le but du jeu est de “s’emparer” du roi. C’est pourquoi, dans leur livre Le parfait manuel du jeu d’échecs (angl.), Horowitz et Rothenberg s’expriment en ces termes sous l’intertitre “Les échecs, un jeu guerrier” : “Les fonctions assignées aux [différentes pièces], les termes employés pour décrire ces fonctions, le but final, la brutalité des moyens que l’on justifie par l’objectif à atteindre, tout concourt à faire de ce jeu une véritable guerre.” On reconnaît généralement que les échecs ont leur origine dans un jeu auquel on se livrait en Inde, vers l’an 600 de notre ère. On l’appelait chaturanga ou jeu de l’armée. Les quatre éléments de l’armée indienne : les chars, les éléphants, la cavalerie et l’infanterie étaient représentés par des pièces qui, au cours des siècles, sont devenues les tours, les fous, les cavaliers et les pions. C’est pourquoi le New York Times du 31 août 1972 fit cette remarque : “Les échecs sont un jeu guerrier depuis leur origine, il y a 1 400 ans. L’échiquier est un champ de bataille où sont opposées les cours royales, des armées et toutes sortes d’idéologies contradictoires. Le combat le mieux connu est celui qui fut créé au Moyen Âge et qui se livre entre deux rois, leur dame, leurs cavaliers, leurs fous, leurs tours, et leurs pions. “On a également représenté les luttes entre chrétiens et barbares, entre Américains et Britanniques, entre cow-boys et Indiens, entre capitalistes et communistes (...). On raconte qu’un dessinateur américain est en train de créer un jeu représentant la guerre du Viêt Nam.” Il est probable que la plupart des joueurs d’échecs modernes ne pensent pas qu’ils sont en train de manœuvrer une armée sur un champ de bataille. Les rapports entre ce jeu et la guerre sont pourtant manifestes. Le mot pion vient d’un terme bas latin signifiant “fantassin”. Le cavalier était l’homme d’armes à cheval de la période féodale. Quant au fou, les Anglais l’appellent bishop, c’est-à-dire “évêque” ; or nous savons que les évêques soutenaient activement les efforts de guerre de leur pays. Les tours, elles, servaient à se protéger durant les guerres du Moyen Âge. C’est pourquoi, dans son livre La psychologie du joueur d’échecs (angl.), Reuben Fine, joueur de valeur internationale, s’exprime en ces termes : “Il apparaît clairement que les échecs sont un substitut de l’art de la guerre.” Le périodique Time dit également : “Les échecs sont, depuis leur origine, un jeu guerrier. C’est, à l’usage des adultes, l’équivalent intellectualisé des manœuvres que les petits garçons font faire à leurs soldats.” Quoique certains joueurs s’élèvent contre cette comparaison, d’autres l’admettent volontiers. En fait, dans un article concernant un joueur d’échecs renommé, le New York Times écrit : “Quand M. Lyman regarde un échiquier, le quadrillage de ce dernier fait place, par moments, aux collines, aux vallées et aux sentiers secrets d’une chasse boisée ou à un champ de bataille anglais piétiné.” Quand on considère les manœuvres savantes des forces en présence sur l’échiquier, on peut se demander si le jeu d’échecs n’a pas contribué au développement de la stratégie. Selon V. R. Ramachandra Dikshitar, c’est bien le cas. Examinant la question en détail dans son livre La guerre dans l’Inde ancienne (angl.), il conclut en ces termes : “Les principes des échecs ont fourni des suggestions pour le développement progressif des méthodes militaires et des éléments de l’armée.” La prudence est nécessaire Certains joueurs d’échecs ont reconnu le tort que peut faire ce jeu. Selon l’Encyclopédie britannique, le réformateur religieux “Jean Huss (...), quand il était en prison, regrettait d’avoir joué aux échecs, ce qui lui avait fait perdre du temps et courir le risque d’éprouver de violentes passions”. Le grand attrait qu’exerce ce jeu peut amener le joueur à lui consacrer beaucoup de temps et d’attention aux dépens de choses plus importantes. C’est probablement pour cela que Huss regrettait de s’y être livré. Ce jeu risque aussi ‘d’exciter des rivalités entre nous’ et même de l’hostilité. Or la Bible met le chrétien en garde contre cela. De plus, nombre d’adultes reconnaissent qu’il n’est pas bien que les enfants jouent avec des jouets guerriers ou à des jeux militaires. Serait-il logique alors qu’eux-mêmes se livrent à une distraction qui, de l’avis de certains, est “l’équivalent intellectualisé des manœuvres que les petits garçons font faire à leurs soldats” ? L’effet des échecs est-il vraiment salutaire ? Sans contredit, les échecs sont un jeu passionnant. Cependant, il soulève certaines questions qu’il est bien d’examiner." [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
mipoune
Messages : 2389 Date d'inscription : 07/01/2020 Age : 53 Localisation : Nantes
Sujet: Re: Le jeu d'échecs Sam 13 Juin - 14:51
la source n'est pas de moi mais de JW qui déconseille les échecs :lol!:
Tu n'as pas compris ma question. Je sais qu'il existe beaucoup de sites pour jouer aux échecs en ligne. Je demande si on pourrait intégrer dans le forum un petit jeu d'échecs programmé
Zhangweijian
Messages : 120 Date d'inscription : 18/01/2020
Sujet: Re: Le jeu d'échecs Ven 26 Juin - 17:13
On y travaille en programmation flash. Tu devrais l'avoir début juillet si tout va bien ;)
delaroche
Messages : 271 Date d'inscription : 10/01/2020
Sujet: Re: Le jeu d'échecs Mar 30 Juin - 15:05
Le jeu d'échecs dans le plan Quartiers d’été 2020
Le plan « Quartiers d'été 2020 » a pour ambition de faire de cette période estivale, s'ouvrant dans un contexte exceptionnel, un temps utile et ludique pour les habitants des quartiers prioritaires (QPV) ne pouvant partir en vacances, dans une logique de renforcement du lien social et d'accès à de nouvelles opportunités. Il doit, par son envergure, constituer une incarnation de l'action publique menée en faveur des habitants des quartiers et être un vecteur de tranquillité publique. Le jeu d'échecs peut trouver sa place dans ce dispositif, afin de proposer aux habitants des activités échecs. Vous pouvez contacter le référent 2S2C nommé au sein de la DSDEN de votre département. Pour en savoir plus : • Présentation et calendrier des dispositifs 2S2C – vacances apprenantes – quartiers d'été. • Cahier des charges « Quartiers d'été 2020 ». • Circulaire Quartiers d'été. • Contact : johanna.basti@ffechecs.fr
mgr gaum
Messages : 853 Date d'inscription : 05/04/2019
Sujet: Re: Le jeu d'échecs Ven 7 Aoû - 21:40
Je propose une partie d'échecs qui eut lieu à Lourdes en 1962. Mgr François Marty alors évêque de Reims (devenu plus tard le Cardinal Marty) avait les Blancs, Mgr Marcel Lefebvre (de retour de Dakar en poste à Tulle) avait les Noirs. Ceux deux ennemis trouvèrent par les échecs un terrain courtois de dialogue. 1. e4 e6 2. d4 d5 3. Cd2 Cf6 4. e5 Cd7 5. Fd3 c5 6. c3 Cc6 7. Cf3 Db6 8. 0-0 cxd4 9. cxd4 Cxd4 10. Cxd4 Dxd4 11. Cf3 Db6 12. a4 Fe7 13. Dc2 Cc5 14. Fe3 Db3 15. Fb5+ Fd7 16. Fxd7 Rxd7 17. Cd4 Dxc2 18. Cxc2 Cd3 19. Fd4 Tc8 20. Ca3 Fxa3 21. Txa3 Cb4 22. Tb3 Tc4 23. Fc3 a5 24. f4 Tc8 25. g3 T8c7 26. Te1 d4 27. Fxb4 Txb4 28. Txb4 axb4 29. Td1 Rc8 30. Txd4 Rc5 31. Td3 Rc4 32. Td2 Rb3 33. a5 Tc1+ 34. Rf2 Tc2 Les Blancs (Mgr Marty) abandonnent.
mormon
Messages : 336 Date d'inscription : 05/04/2019
Sujet: Re: Le jeu d'échecs Dim 9 Aoû - 7:02
J'aimerais lire d'autres parties de personnages historiques. A bientôt.
hiramabif
Messages : 118 Date d'inscription : 13/11/2019
Sujet: Re: Le jeu d'échecs Mer 19 Aoû - 16:09
Les plus grands génies du jeu d'échecs.
Source [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
mipoune aime ce message
jendur
Messages : 533 Date d'inscription : 05/04/2019
Sujet: Re: Le jeu d'échecs Dim 23 Aoû - 1:15
La plus belle partie de Mikhael Tal, champion du monde des échecs
Il était surnommé "l'hypnotiseur des pièces d'échecs". Ses sacrifices étaient instinctifs. Ses parties sont étudiées dans le monde entier. Il est mort vers la cinquantaine. Il fumait et buvait beaucoup ce russkof inclassable.
Messages : 2840 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
Sujet: Re: Le jeu d'échecs Jeu 1 Oct - 6:44
J'avais les K7 VHS des cours donnés par Louis Jouvet à la Comédie française sur Molière. Il s'agissait bien sûr d'acteurs reproduisant les notes prises par des élèves. Fascinant ! Quand on demandait à Jouvet : "Quoi de neuf ?", il répondait invariablement : "Molière." On pourrait dire dans notre monde échiquéen : "Capablanca." On devrait dire : "Fischer" ! Fischer, le mal aimé finalement. Quand il revint sur la scène internationale en 1992 contre Spassky, il fit sans le comprendre trop d'ombre à Kasparov qui ne le lui pardonna pas. Durant leurs parties, Kasparov dit son avis sur le retour de Fischer : "Il n'est plus que l'ombre de lui-même." Était-ce exact ? Pas sûr. Spassky était encore le centième mondial, Fischer n'avait pas arrêté les échecs. Il n'avait jamais eu d'équipe l'entourant, ni de programmes l'aidant dans ses analyses. Il jouait seul. Aujourd'hui, de grands GMI donnent des cours sur cette revanche du championnat du monde en s'extasiant sur le génie de Bobby. Il portait avec lui un petit ordinateur d'échecs dont j'ai oublié la marque hélas. Un jour, un obscur quincailler américain décida de vendre un premier ordinateur d'échecs, il s'appelait Chafitz. La publicité disait qu'il était en noyer, c'est dire l'étrange valeur du programme. Fischer l'appela pour l'encourager, y voyant déjà ce que sera plus tard son horloge Fischer. Personne ne crut ce vendeur et il demanda dans un journal à Fischer, ignorant où il pouvait bien résider, de confirmer. Bobby Fischer le fit, ce qui rendit honneur et fortune au couple Chafitz qui créèrent leur entreprise : Applied Concept. Le premier ordinateur d'échecs grand public venait de naitre. L'entreprise de micro électronique Fidelity concevnt de minuscules appareils pour les mal-voyants et les mal-entendants, comprit le filon d'or découvert. Le premier Chess Challenger prit ainsi naissance, en plastique. Aujourd'hui, la légende urbaine prétend que Fidelity conçut le premier ordinateur d'échecs, ce qui est historiquement faux.
Invité Invité
Sujet: Re: Le jeu d'échecs Mer 3 Mar - 19:38
Bonjour à tous. 8)
Suite à x parties jouées sur le Chess Master de Windows 10, je me suis plusieurs fois retrouvé dans des cas de parties qui se sont terminées en parties nulles. C'est frustrant. :(
J'ai donc trouvé un règlement qui explique le pourquoi et le comment de la chose. Pour autant, je ne suis pas convaincu.
Citation :
Les 7 cas de partie nulle
1) Pat Le joueur dont c'est le tour ne dispose d'aucun coup autorisé mais son Roi n'est pas en échec.
2) Matériel insuffisant Aucun des deux joueurs n'a assez de pièces pour pouvoir faire échec et mat. Exemples : Roi contre Roi ; Roi+Cavalier contre Roi ; Roi+Fou contre Roi
3) Trois fois la même position Une même position (exactement toutes les pièces sur les mêmes cases) se présente trois fois pendant la partie (pas forcément à la suite). (il faut que la partie soit notée ou que l'arbitre le voit)
4) Échec perpétuel Un joueur ne cesse de faire échec au Roi et l'adversaire ne trouve aucune façon satisfaisante de l'arrêter. (si on continuait, au bout d'un moment cela finirait par trois fois la même position)
5) La règle des 50 coups Pendant 50 coups (50 coups blancs + 50 coups noirs), aucune prise ni aucun mouvement de pion ne se produit. C'est rare et n'arrive que dans les très longues parties. (il faut que la partie soit notée)
6) Tombé au temps mais l'adversaire n'a plus de quoi mater D'habitude si on dépasse le temps imparti on a perdu, mais si l'adversaire n'a plus assez de pièces pour faire échec et mat alors il y a partie nulle. Attention : s'il reste seulement un Roi et un pion à l'adversaire, il peut toujours espérer le transformer en Dame et mater plus tard !
7) Nulle par accord mutuel Après avoir joué son coup, un joueur peut proposer nulle. Son adversaire peut accepter ou refuser. S'il accepte la partie s'arrête. Remarque : cela peut par exemple arriver si un joueur a l'avantage mais n'a presque plus de temps à la pendule et craint de perdre la partie en dépassant son temps. Son adversaire peut aussi craindre de perdre et accepter la proposition. Remarque : en général il vaut mieux éviter de faire nulle par accord mutuel, on apprend plus de choses en jouant. Mais il peut arriver que ça soit une bonne idée. Remarque : dans certains tournois la nulle par accord mutuel peut être interdite. Echiquier des Lions – Pompidou Lyon Oullins
Voici deux exemples de parties nulles que je ne comprends pas. Dans les deux cas le Roi adverse ne peux plus se déplacer et pourtant ces deux dernières sont comptées comme nulles.
Quoi que ! Je crois avoir compris. :D Le Roi ne peut plus se déplacer mais il n'est pas en Echec. De plus, étant donné que le Roi adversaire n'a plus de Pions, il ne peut plus rien déplacer.
En effet, dans l'exemple de la Partie suivante. Le Roi et bel et bien Echec et Mat.
Tordue quand-même ce règlement de parties nulles.
Cordialement.
marmhonie Admin
Messages : 2840 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
Sujet: Re: Le jeu d'échecs Jeu 20 Mai - 22:42
Le pat est de bon sens, par l'expérience des siècles accumulés. Tes prises d'écrans ne sont pas du ChessMaster 10. Voici le programme ChessMaster 10 :
&
Le programme est cher. Chess Master 10
Le championnat du monde des logiciels d'échecs tourne à plus de 3200 Elo, tandis qu'aucun humain n' atteint encore les 2900 Elo. Je cite Stockfish, Fritz 16, Komodo, Deep Rybka russe, & tant qu'autres. Ils sont imbattables. Le Chess Master de Windows est un jeu sans prétention pour passer le temps.
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Sujet: Re: Le jeu d'échecs
Le jeu d'échecs
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