Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
forum marmhonie des religions
Forum franco-chinois de l'histoire des religions et des civilisations. 中法宗教與文明史論壇。日仏宗教史フォーラム。फ्रेंको-इंडियन फोरम ऑफ रिलिजन एंड सिविलाइजेशन। 종교와 문명사를 위한 한불포럼.
Messages : 2839 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
Sujet: Catéchisme de la doctrine chrétienne Mar 23 Avr - 21:19
Catéchisme de St Pie X, trésor de la foi catholique
Ce Catéchisme de St Pie X vaut 13€ TTC Il est réimprimé en édition de luxe et couleur sur papier glacé, à l'occasion du centième anniversaire de sa parution en la fête de Pâques 2012, par Courrier de Rome, avec une préface courte de Mgr Bernard Fellay.
J'en offre, en livre papier car la Bible ne sauve pas nos âmes, le catéchisme si !
C'était pourtant simple, et les Modernistes conciliaires ont tout mis par terre. Le rosaire, le Catéchisme, la Messe de St Pie V (Tridentine), la Confession fréquente, les saines lectures. Et c'était terminé.
50 ans d'œcuménisme protestantisé franc-maçon, a tout détruit de l'intérieur. Tout !
Wojtyla a changé les Mystères du Rosaire pour s'y perdre. Wojtyla a interdit la messe de toujours canonisée pourtant par le pape Pie V. Il a aussi inventé son propre catéchisme hérétique.
Montini a changé la messe bilingue latin-langue vernaculaire, pour une misérable copie du rite anglican.
Roncalli a introduit comme son conseiller personnel un franc-maçon.
Luciani a été de suite éliminé physiquement par ce cardinal américain multi-milliardaire.
Ratzinger a affirmé que l'âme est mortelle.
Et Bergoglio a plus de chrétiens massacrés que les chrétiens durant les quatre premiers siècles de notre ère, et ça continue encore et encore.
Les églises sont vides Plus de 3000 sont en France en attente validée de démolition, les évêques de France donnent leurs églises pour que nos chers musulmans en fassent gratuitement des mosquées, mais si des curés de Tradition en demande une, soit comme Mgr Alain Planet ils refusent et vous envoient les gendarmes "car ils sont chez eux", soit fixe le prix à dix fois la construction d'une église neuve identique.
Dieu merci, la Tradition catholique a survécu à Vatican II Et cette messe tridentine latine remplit les églises qui la disent et permettent des dons qui offrent la construction de nouvelles églises et écoles catholiques de tradition.
Notre Dame de Paris brûle incroyablement vite Aussi vite que les Twin Towers du 911, au premier jour en plus de la semaine Sainte, et personne non, personne ne se pose la moindre question.
S'ils peuvent déjà s'éviter l'Enfer éternel, ce sera déjà beaucoup. Et au Sri Lanka finalement non, ce ne sont pas des bouddhistes mais bien nos amis musulmans qui ont brûlé trois églises et plus de 200 victimes. Dans l'état actuel du Vatican, une anecdote pour Bergoglio surnommé par les Cardinaux "le gouffre".
Le premier catéchisme fut toujours commencé en famille L'enfant savait déjà tous les fondamentaux. Mais les familles sont décomposées.
À part offrir le Catéchisme de Saint Pie X ...qu'on trouve dans n'importe quelle église de la Tradition, et inviter fortement aux cinq petits jours des Exercices de St Ignace (vérifiez que cette retraite soit valide, et non une fausse moderniste), il y peu qui reste à faire.
marmhonie Admin
Messages : 2839 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
Sujet: Re: Catéchisme de la doctrine chrétienne Dim 19 Mai - 22:22
Est-il urgent de lire le concile de trente? Il est canonisé ! Il n'y en a qu'un, c'est celui de Trente. Celui de Saint Pie X est bien, j'aime beaucoup celui du cardinal Gasparri. Celui de Trente, c'est celui de la Sainte Église Catholique.
Quel est ce catéchisme de l'église catholique en entier ? Lequel ? Si c'est le dernier des conciliaires, il est fautif.
Tout dépend si vous êtes catholique pratiquant, et donc voulez sauver votre âme. Si vous avez du discernement par les retraites aux Exercices sprituels de Saint Ignace, vous savez ce qu'est la vie au quotidien d'un catholique : se sanctifier, sauver son âme, porter sa croix.
Si vous n'en avez pas été éprouvé, ou ce qui revient au même, si vous n'avez pas prié ou reçu des grâces, quel sens donnez-vous à votre vie ? Spéculations...
Vous avez reçu du Créateur le libre arbitre. Il peut s'orienter vers deux directions, la volonté de bien, ce qu'on appelle la liberté. Ou la volonté de mal, ce qu'on appelle la licence.
Vous ne pourrez jamais dire "je n'avais pas d'autre choix à l'époque", c'est irrecevable. On a toujours le libre arbitre.
Soit vous partez dans les hérésies, les errances, et vous vous perdrez. Soit vous tiendrez bon et vous serez alors vraiment libre et heureux. Dieu vous garde. Marmhonie
marmhonie Admin
Messages : 2839 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
Sujet: Re: Catéchisme de la doctrine chrétienne Sam 1 Juin - 13:58
Le rapport est évident, pardon, pour celles et ceux qui ne conserve d'existence légale de l'Église que depuis Vatican II.
Je regrette, le catéchisme de Trente est canonique, on ne peut revenir dessus. Puisque le simple catéchisme de St Pie X vous ennuie, vous avez l'OBLIGATION en tant que catholique de lire et suivre votre catéchisme ! Vous avez des obligations, de respecter le Jour du Seigneur par la messe et le repos dominical. Vous avez l'obligation de vous confesser au moins une fois l'an à Pâques, de ne pas manger de viande le vendredi, etc. Si vous ne respectez pas une seule fois ces obligations de catéchisme, vous êtes en état de péché véniel. Lequel s'il n'est confessé et réparé, vous porte au péché mortel. Mourir en état de péché mortel, c'est se damner. Cela vous concerne donc ! Il n'y a qu'un seul catéchisme canonique, celui de Trente. Il vous est obligé de le respecter. Vous pouvez en lire un autre très catholique, pourquoi pas. Vous ne pouvez cependant l'ignorer ni le réfuter, c'est se damner par le péché de scandale, péché qui crie vengeance au ciel !
Attention, vous damner, c'est votre choix. Mais le péché de scandale va plus loin, il signale qu'en désinformant ou trompant sur le catéchisme canonique, vous égarez les âmes. C'est hérétique.
Vatican II ne peut rien pour vous, vois savez que certaines canonisations doivent être examinées de nouveau pour des faits nouveaux. Notamment celle de Balaguer, fondateur de l'Opus Dei. Montini aussi est sur l'examen, il y a des faits sur sa vie qui restent à préciser. Attention, il ne suffit pas de canoniser, il faut encore qu'elle soit valide. Je rappelle que vous semblez enterrez le pape émérite Benoît XVI, bien vivant, sain de corps et d'esprit, qui a démontré des mensonges de François, lequel a reconnu ! Ça va mal...
En attendant de croire que la Sainte Église Catholique, Une et Apostolique, se soit trompée durant 2000 (c'est la thèse philosophique de Vojtyla qui ne fut jamais théologien mais philosophe), et que le Concile Vatican II soit infaillible, ce qui est infirmé par Jean XXIII et Benoît XVI, laissez les cardinaux œuvrer. Cela peut prendre des siècles... Il a fallu des siècles pour canoniser Jeanne d'Arc, des siècles pour reconnaître des anti papes, l'Histoire de la Sainte Église est surprenante !
Pour nous, qui ne sommes rien, restons sur la voie canonique de toujours, vous devez sauver votre âme ! C'est l'enjeu de l'enseignement du catéchisme. Lire la Bible ne sauve pas. Les prières quotidiennes sont OBLIGATOIRES, Matin et Soir, au grand minimum. On conseille au réveil, à l'Angelus, vous connaissez votre catéchisme obligatoirement.
Si vous ne confessez pas des fautes que vous ignorez être des fautes, vous vous damnez !
Il faut alors dans le doute - et vous êtes dans le doute et des erreurs, pardon - user du DISCERNEMENT. Comment ? En faisant une retraite de 5 petits jours aux Exercices spirituels de Saint Ignace. Tout Vatican II loue aussi ces Exercices ! Si donc vous devez constater des erreurs, des fautes ignorées, vous y ferez une confession génétale qui vous lave de tous vos péchés ! Tous les papes font des péchés, sinon ils n'auraiient pas sur le dos un confesseur attribué. Combien de fois Jean-Paul II fut-il repris ! Il pratiquait la Discipline, la flagellation. Il devait regretter beaucoup de son vivant... Le discernement aux Exercices est imparable, au bout du premier jour vous verrez où vous en êtes. Cela va très vite.
Il faut par obligation pour sauver son âme, pratiquer à la messe si vous ne pouvez la dire vous-même, et suivre vos obligations non seulement chez vous, mais dans votre vie avec les autres et vous-même. Tout est dit.
undesdouze
Messages : 959 Date d'inscription : 06/04/2019
Sujet: Re: Catéchisme de la doctrine chrétienne Mar 7 Avr - 1:01
J'avais la version Universalis 2007 en dvd. Je viens de recevoir la version 2020 en dvd, un pur bonheur. Je vous en fait profiter.
CATÉCHISME
Dans la religion catholique, le mot « catéchisme » désigne l’exposé du contenu minimal de la foi, destiné, par opposition à la catéchèse (qui s’adresse aux catéchumènes, adultes se préparant au baptême) à des baptisés ignorants, soit, d’abord, les enfants. Les deux termes sont cependant reçus aujourd’hui comme synonymes : la distinction n’a en effet plus guère de raison d’être, vu l’infime minorité concernée par la catéchèse stricto sensu ; en outre, l’évolution récente tend à gommer la différence de statut entre des enfants supposés incapables de réfléchir et des adultes supposés savoir. On parlera donc volontiers de « pastorale catéchétique ».
Il est clair en tout cas que le catéchisme apparaît précisément quand les baptêmes cessent d’être administrés aux adultes initiés : baptêmes des enfants ou conversions massives de tribus païennes. L’entreprise carolingienne de christianisation comporte une part d’enseignement : obligation d’apprendre le Pater et le Credo, etc. Mais il est difficile d’en connaître l’impact réel, et l’on ne saisit bien que les apports plus tardifs : au XIIe siècle, l’apparition des deux formes traditionnelles de catéchisme, l’Élucidaire (en trois parties) et le Septénaire, auquel Thomas d’Aquin, entre autres, emprunte la présentation des thèmes en groupes de sept points parallèles. L’œuvre de Gerson (1363-1429) fait date, par son souci aigu de surmonter les conflits entre savants grâce à l’instruction simple de la jeunesse ; son Opus tripartitum deviendra, aux moments d’effervescence évangéliste et humaniste, un repère sûr pour l’Église de France.
L’immense succès de l’Enchiridion de Luther (1529), dont les préoccupations réformatrices trouvaient dans l’éducation un enjeu de taille, oblige la Contre-Réforme à une réaction de grande envergure. Puisque les protestants proposaient un petit et un grand catéchisme, Pierre Canisius, le premier, publie (1556-1558) contre eux trois catéchismes qui répondent aux âges allant de l’enfance à l’université : minimus, minor, major. Le concile de Trente décide la publication du Catéchisme romain, approuvé par le pape Pie V en 1566, mais destiné aux clercs : sa large diffusion (522 éditions latines recensées par le professeur Bellinger ; 353 traductions en 19 langues) n’a donc pas nui à celle des ouvrages de Canisius, qui passe pour la plus importante après la Bible. L’ensemble a constitué, avec les catéchismes de Bellarmin (1597-1598), la base de la prédication et de l’instruction pendant trois siècles.
Mais le catéchisme seul ne suffit plus : un besoin plus général d’éducation se fait sentir. Les états de Blois (1587) exigent des paroissiens qu’il fassent « instruire leurs enfants dans la religion et [...] apprendre la lecture, l’écriture et le catéchisme ». Les écoles élémentaires sont fondées au siècle suivant. Parallèlement, l’Église suscite quantité d’organisations aptes à former des éducateurs : confrérie de la doctrine chrétienne (sous l’impulsion décisive de Charles Borromée) et institut des doctrinaires français (1598) ; « séminaire des chrétiens » ; séminaire et sœurs de Saint-Charles ; frères des écoles chrétiennes... Les catéchismes se multiplient : privés, de paroisse, d’école, de séminaire, diocésains. Par ces derniers, les évêques tâchent d’imposer une synthèse reçue sur tout leur territoire ; mais les besoins sont très variés : diversité (jusque dans les langues, les dialectes, la transmission orale ou écrite) villes/campagnes, pays de vieille chrétienté/pays de mission, et même, bien sûr, masculin/féminin.
Le catéchisme reflète ainsi son époque, avec les débats du moment. Qu’on étudie par exemple les catéchismes français : jansénistes, gallicans ou antijansénistes au XVIIIe siècle ! L’Assemblée du clergé en 1785, les États généraux en 1789 exprimaient donc le souhait d’un catéchisme unique. La refonte des circonscriptions diocésaines en fit une nécessité lors de la réorganisation religieuse consécutive au Concordat. Les Articles organiques stipulent « qu’il n’y aura qu’une liturgie et qu’un catéchisme en France ». Une telle prise de position est conforme à la volonté d’uniformité centralisatrice qui préside à la refonte du Consulat. Napoléon en escompte de surcroît une plus grande docilité de la part de ses sujets. C’est ainsi que, pendant huit ans, l’Empire fit l’expérience d’un manuel unique : le Catéchisme impérial de 1806. Celui-ci suit une composition tripartite qui devait subsister : dogme, morale, culte. L’accent mis sur la soumission à l’Empereur et son utilisation indiscrète comme instrument de propagande déconsidèrent l’entreprise, et, avec la Restauration, on revient à la multiplicité des textes.
Mais, par la suite, le désir d’unité n’est point sans réapparaître de temps à autre ; ainsi, dans un vœu du concile régional de Paris en 1849, repris par d’autres conciles provinciaux, et dans un autre du congrès ecclésiastique tenu à Reims en 1896 à l’initiative de l’abbé Lemire. En 1914, le cardinal Amette, archevêque de Paris, publie un manuel pour la province de Paris, qui est adopté les années suivantes par une vingtaine de diocèses. Une commission est chargée par l’épiscopat de préparer un texte : ses travaux aboutissent en 1937 à la publication d’un Catéchisme national à l’usage des diocèses de France. De facture classique, il reprend la division tripartite inaugurée par le Catéchisme de 1806 : vérités à croire, commandements à pratiquer, sacrements à recevoir. Il ne tarde pas à susciter des critiques qui visent, non le principe d’unicité désormais admis (d’autant plus que les institutions catéchétiques se fédèrent sur le plan national) mais la démarche utilisée, qui est jugée trop didactique et trop notionnelle : les quelques remaniements apportés en 1947 ne suffisent pas à y remédier. La tendance, au moins depuis la Pédagogie chrétienne d’André Boyer (1947), est nettement à la prise en compte des modernes sciences de l’éducation et, depuis la création (1950) de l’Institut supérieur catéchétique de Paris — devenu I.S.P.C. (Institut supérieur de pastorale catéchétique) —, à développer une dimension « kérygmatique » qui implique toute l’Église militante, adultes compris. Un troisième catéchisme national est adopté en conséquence par l’Assemblée plénière de l’épiscopat, en 1966 ; il présente un fonds commun qui est modulé par sept variantes correspondant à divers milieux sociaux et culturels ; réduisant l’appel à la mémoire et moins abstrait, le nouveau catéchisme retrace l’histoire du salut de l’humanité et insiste sur la relation personnelle avec Dieu. Par la suite, les évêques de France proposent comme « catéchèse 1980 » un ouvrage intitulé Pierres vivantes, qui comprend trois parties : un « Livre de l’alliance », qui traduit la montée de l’exégèse biblique dans le catholicisme contemporain ; une esquisse de « Chrétiens dans l’histoire » ; des « Célébrations et prières », qui reprennent le catéchisme classique. En 1984 paraît La Foi des catholiques, catéchèse fondamentale, ouvrage dans lequel un groupe de théologiens traitent de la foi au présent, puis de la révélation chrétienne, d’une humanité selon l’Évangile et enfin de l’Église en chantier. En 1985, la Conférence épiscopale française met en chantier un Catéchisme pour adultes des évêques de France, un « exposé organique et complet de la foi catholique » qui est approuvé par le Saint-Siège le 23 janvier 1991. À travers tous ces travaux de l’Église de France pour exprimer sa foi, on mesure la complexité et la difficulté des relations entre une réalité locale et un message à visée universelle. Prenant de la distance avec les initiatives locales, dont la catéchèse française est un bon exemple, le pape Jean-Paul II demande en 1986 à une commission de cardinaux et évêques la rédaction d’un Catéchisme de l’Église catholique publié en octobre 1992. Celui-ci « reprend l’ordre ancien, traditionnel » suivi par le Catéchisme romain qui date de 1566 ; il articule le contenu en quatre parties : le Credo ; la sainte liturgie, avec les sacrements au premier plan ; l’agir chrétien, exposé à partir des commandements ; et enfin la prière chrétienne. « Ce catéchisme, écrit le pape, n’est pas destiné à remplacer les catéchismes locaux, mais à aider la rédaction de nouveaux catéchismes locaux qui tiennent compte des diverses situations et cultures... et à les orienter. » https://www.universalis.fr/
undesdouze
Messages : 959 Date d'inscription : 06/04/2019
Sujet: Re: Catéchisme de la doctrine chrétienne Dim 27 Sep - 17:14
Cours de catéchisme de la doctrine catholique de tradition
La nature de Dieu
marmhonie Admin
Messages : 2839 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
Sujet: Re: Catéchisme de la doctrine chrétienne Lun 13 Mai - 23:06
Les bases élémentaires du christianisme :
Adam et Ève furent conçus à l'âge parfait de 33 ans.
Puisqu'ils n'avaient aucun apprentissage de la vie, YHWH leurs donna quatre dons entre le naturel humain et le surnaturel angélique. Ce domaine intermédiaire est appelé preter naturel.
La Science infuse
L'immortalité
L'impassibilité (absence de souffrance)
L'intégrité (absence de désordre moral)
Ce qu'est la grâce sanctifiante : Elle est l'habitation de la Sainte Trinité dans notre cœur.
Les blessures du péché originel :
Ignorance
Malice
Faiblesse
Concupiscence (des yeux, de la chair, de l'orgueil de la vie)
Ce qu'est le péché mortel : Se mettre le bon Dieu dehors (donc l'idolâtrie, car l'humain a besoin de croire)
Ce qu'est la pratique : C'est l'application des principes par la vertu cardinale de Prudence.
Les deux péchés d'Adam :
Orgueil
Désobéissance
Voici un bref résumé élémentaire du B.A. BA d'un enfant chrétien.
Notez bien que les hérétiques de l'Eglise catholique sont bien des chrétiens. Voir Marc IX-38, Philippiens I-18.
Que dire sur la lecture d'une Bible, avec commentaires évidemment, car les faits s'étendent sur 1300 ans a minima ? De la lecture de la Bible, il y a les mots qui ont été prononcés, la façon dont ils ont été reçus, et la façon dont ils ont été interprétés.
Que dire sur l'opinion publique ? On dit qu'elle est une dévergondée qui tire le juge par la manche. D'une manière imagé, elle est celle qui tendit au Golgotha les clous aux bourreaux.
Pour terminer, sept autre points importants : Les quatre vertus cardinales :
Prudence (contre l'ignorance)
Justice (contre la malice)
Force (contre les blessures de la faiblesse)
Tempérance (contre la concupiscence)
Les trois vertus morales :
Pauvreté (contre la concupiscence des yeux)
Chasteté (contre la concupiscence de la chair)
Obéissance (contre l'orgueil de la vie)
undesdouze
Messages : 959 Date d'inscription : 06/04/2019
Sujet: Re: Catéchisme de la doctrine chrétienne Dim 2 Juin - 4:50
Dieu s'oppose-t-il à ma liberté ?
L'idée que Dieu gouverne le monde semble contredire l'existence de la liberté humaine. Cette question a une double facette. Premièrement, l'objection se comprend comme une difficulté à définir ce qu'est la liberté humaine. La liberté est-ce l'absence de contrainte, la spontanéité, l'indépendance, l'autonomie, le choix, la responsabilité? D Deuxièmement, c'est le rapport de l'homme à Dieu qu'il est difficile à envisager. Si je m'en remets à Dieu, ne vais-je pas perdre ma liberté? Ce Dieu tout puissant n'est-il pas une aliénation de ma liberté individuelle? Pour garder sa liberté, faut-il être athée? Inversement, mais les contraires sont du même genre, n'y a-t-il pas une manière pseudo-religieuse de faire confiance à Dieu, de s'abandonner à Lui, qui soit un déni des responsabilités? L'homme n'est-il qu'une marionnette? L'homme serait condamné au destin, soit à un destin divin qui écrase la liberté humaine par une soumis-sion, soit à un destin absurde parce que la vie humaine est écrasée par une existence vide de sens .
Qu'est-ce que la liberté?
Le mot liberté est sur tous les frontons de nos mairies. Il n'y a pas un combat politique qui ne s'affirme au nom de cette liberté. Et chacun de nous, en tant qu'individu, se cambre si on ose restreindre sa liberté personnelle. Pourtant, lorsqu'il s'agit de définir ce que l'on entend par liberté, la situation se complique. Des contradictions se font jour. Et cette liberté si désirée n'est plus un chemin de plaisirs, mais une quête exigeante. Difficile liberté: nous te désirons, mais lorsque tu es à portée de main, ta réalité nous fait peur.
« Le problème ce n'est pas la chute, c'est l'atterrissage »
C'est l'histoire d'un homme qui saute du haut d'un immeuble. En passant devant chaque étage, il se dit « jusqu'ici tout va bien ». Les acteurs du film de Mathieu Kassovitz La haine racontent cette histoire, pendant les vingt-quatre heures de leur dérive, qui se terminera tragiquement. • Le problème ce n'est pas la chute c'est l'atterrissage ». On peut faire de la chute libre, sans aucun frein. Mais, si on veut éviter la contrainte suprême de la mort, il vaut mieux accepter la contrainte qui est de prendre un parachute soigneusement préparé. Penser que la liberté, c'est l'absence de contrainte, faire ce que l'on veut quand on le veut, c'est finalement réduire la personne à la tyrannie du désir. Le drogué au départ fait ce qui lui plaît. Mais il est entraîné dans une dépendance, qui est une très grande contrainte. Si on se situe au niveau politique, on s'aperçoit aussi que la liberté c'est la démocratie et non l'anarchie. Or, la démocratie suppose le respect contraignant des lois. L'anarchie est une plus grande contrainte, car il n'y a pas de bien commun, de paix, de liberté de circuler, de services publics. Et l'anarchie se termine en tyrannie, car c'est la loi du plus fort qui finit par gagner. Notre désir peut se transformer en caprice, qui par sa démesure, devient despotique pour les autres. Tout le monde constate aujourd'hui la montée de la violence. Mais peu prennent conscience que la « libération des mœurs » de mai 68, la révolution libertaire est génératrice de violence cachée. L'absence d'autorité paternelle, la réduction de l'amour à sa dimension pulsionnelle engendrent violence et tyrannie du désir. La liberté, ce n'est pas l'absence de contrainte, car toute vie humaine doit accepter ses limites. Mais la liberté, c'est choisir ses contraintes pour les fins les meilleures. Quelles contraintes suis-je prêt à assumer? Comment avancer librement dans la vie ? perçoit cette promotion réciproque des libertés dans l'amitié. Je suis capable d'aimer sous le regard bienveillant d'un amour partagé. Le bonheur dans cette perspective est le développement de ma personnalité par l'accueil d'une liberté qui me précède. Reçois pour donner. Je puis d'autant plus m'ouvrir à autrui que j'ai reçu d'un autre ma liberté. Il n'y a donc plus opposition entre autonomie et hétéronomie, entre liberté et une certaine dépendance. F. Nous voudrions aussi que la liberté soit absolue. Il faudrait que la liberté soit entière et totale. Mais alors, que serait cette liberté absolue? Peut-être pourrions-nous la comparer à la toute puissance du tyran. Mais alors, c'est aux autres qu'est imposée une très grande contrainte. Et le tyran lui-même ne fait qu'être dépendant de ses caprices. Cette liberté est irrationnelle. Serait-elle une pure créativité et une spontanéité absolue? Pourtant, je ne me crée pas moi-même, mais je reçois l'existence de mes parents. La vie m'est donnée.
Comment faut-il comprendre le rapport de ma liberté avec Dieu ?
Certes, l'absence de contrainte, l'indépendance, l'autonomie, la spontanéité envisagent certains points de vue sur la liberté. Cependant, chacune de ces définitions de la liberté est réductrice si elle est exclusive. La liberté c'est plutôt assumer les contraintes que l'on s'est choisies, indépendance qui choisit ses dépendances, c'est l'autonomie précédée par, au utiles actes mi!. si le terme de + fils de l'homme set divins.
« Vrai Dieu et vrai homme », un développement historique
Si tout est dans l'Écriture, les chrétiens vont comprendre dans l'histoire ce qui est donné en l'explicitant . Si Jésus est à la fois Dieu et homme, il est possible de nier sa divinité , son humanité ou de se tromper sur la compréhension de cette union de ses deux natures, humaine et divine . Ces tentations ou difficultes émergent dans les premiers siècles du christianisme, mais elles ressurgissent à toutes les époques. A. La tentation de nier la divinité de Jésus appartient d'abord au monde extérieur au christianisme. Que ce soit pour les incroyants, les agnostiques ou pour les religions non chrétiennes, islam, judaïsme ou religions orientales, on veut bien reconnaître en Jésus un personnage exceptionnel de l'histoire, voire un grand prophète, mais dire qu'il est Dieu paraît incroya-ble. Pour un homme, prétendre être Dieu semble un blasphème ou une aberration. Nous avons vu pourtant combien le Nouveau Testament est explicite sur la divinité de Jésus. En affirmant que Dieu s'est fait chair, nous sommes au cœur de la foi chrétienne. Dans la fidélité à l'Ecriture, les Pères de l'Église vont réaffirmer cette divinité de Jésus. « Nous croyons en un Dieu, Père tout puissant... et en un Seigneur Jésus Christ, le Fils de Dieu, unique engendré du Père, c'est-à-dire de la substance du Père... vrai Dieu de vrai Dieu... consubstantie! au Père... » dit le concile de Nicée en 325, premier concile œcuménique, réunissant toutes les Églises de l'époque.
poche
Messages : 417 Date d'inscription : 11/07/2024 Age : 65
Sujet: Re: Catéchisme de la doctrine chrétienne Jeu 1 Aoû - 19:14
Que dire de la lecture d'une Bible, avec des commentaires bien sûr, car les faits s'étendent sur au moins 1300 ans ? De la lecture de la Bible, on retrouve les mots qui ont été prononcés, la manière dont ils ont été reçus et la manière dont ils ont été interprétés.
J'utilise la Bible pour expliquer les vérités catholiques aux protestants.
Josué aime ce message
Josué
Messages : 383 Date d'inscription : 09/04/2019
Sujet: Re: Catéchisme de la doctrine chrétienne Ven 2 Aoû - 22:21
poche a écrit:
Que dire de la lecture d'une Bible, avec des commentaires bien sûr, car les faits s'étendent sur au moins 1300 ans ?
Les faits s'étendent sur près de 2800 ans. Jésus n'est pas mort il y a 1300 ans. Il est mort y a environ 2024 ans. L'Ancien Testament n'a que 700 ans Le roi Josias (-648 , -609) avait inventé toute la mythologie du Pentateuque. Il mourut au mont Meggido, har Meggido, qui a donné la mauvaise compréhension des évangéliste protestants "Harmageddon, fin du monde".
Messages : 417 Date d'inscription : 11/07/2024 Age : 65
Sujet: Re: Catéchisme de la doctrine chrétienne Jeu 8 Aoû - 18:13
Wojtyla a interdit la messe de tous les temps, canonisée par le pape Pie V. Il a aussi inventé son propre catéchisme hérétique. Je ne pense pas que ce soit tout à fait vrai. Il a aussi écrit Ecclesia Dei, qui a ouvert la porte à une intégration de la messe latine dans les communautés locales. C'est pourquoi nous avons maintenant une paroisse dirigée par la FSSP. Ils célèbrent la messe de saint Pie V tous les jours.
Messages : 417 Date d'inscription : 11/07/2024 Age : 65
Sujet: Re: Catéchisme de la doctrine chrétienne Jeu 8 Aoû - 18:49
poche a écrit:
Que dire de la lecture d'une Bible, avec des commentaires bien sûr, car les faits s'étendent sur au moins 1300 ans ? De la lecture de la Bible, on retrouve les mots qui ont été prononcés, la manière dont ils ont été reçus et la manière dont ils ont été interprétés.
J'utilise la Bible pour expliquer les vérités catholiques aux protestants.
J'essayais de répondre à quelque chose que quelqu'un d'autre avait écrit et je le citais textuellement.