Il est vrai que le sédévacantisme intéresse les royalistes, ce qui n'est pas une critique. D'accord sur beaucoup de choses que vous dites, Mgr Gaum, sans pour autant choisir qu'on aurait somme toute des anti-papes, car c'est bien cela, n'est-ce pas ?
Je reviens sur la critique de ces papes oecuméniques, quoique pour Benoit XVI, on peut en douter quand il devient par surprise pape.
--> Jean XXIII était un grand naïf, sorti droit du milieu paysan et ne voyant jamais de problème. Sur son lit de mort, soudain foudroyé en s'apercevant de ce qu'il avait lancé sans bien y réfléchir, il supplia qu'on arrête de suite ce Concile Vatican II.
--> Paul VI passa de la joie dans la dépression. Il fut surtout court-circuité par un cardinal franc-maçon qui ne fut jamais qu'un curé mis en valeur par Jean XXIII. Paul VI signait sans lire les ordonnances, il s'est bien fait avoir, et puis la nouvelle messe porterait son nom, ce qui lui plaisait.
--> Je passe sur le complexe Jean-Paul II, faisant l'inverse de ce qui disait de faire. Son cardinal Ratzinger était chargé des plus sales besognes par lui, et une fois devenu pape, il démonta complètement le contenu du concile Vatican II. Il a démissionné et critiqué sévèrement le pape François qui a reconnu, pris la main dans le sac, avoir fait falsifier les propos critiques de Benoit XVI pour les retourner en sa faveur. Il est toujours vivant et bien lucide, mis a l'écart méchamment.
--> François est un tyran pour le Vatican, qui ne tourne pas rond et dit n'importe quoi. Il veut islamiser l'Europe, nullement par ignorance. Il est séduit par l'Islamisme, c'est dire s'il a perdu la foi, et certainement une partie de sa raison vu son âge. L'Histoire l'oubliera vite...