L'imposture de la béatification des moines de TibhirineC'est un faux-semblant de plus par cet étrange pape François qui veut classer l'affaire des véritables assassins des moines. Circulez, il n'y a plus rien à voir, la messe est dite !
On ne veut pas dire officiellement en France que ce ne sont pas les islamistes qui ont tué les moines, mais l'armée algérienne. Le ministre français des Affaires Etrangères, Hervé de Charrette, avait dit lors d'une interview que les algériens avaient de la chance que la France soit un pays démocratique, car sinon c'est une bombe atomique qu'aurait reçu l'Algérie ! Historique.
Idem pour la prise de l'Airbus A-300 d'Air France reliant la capitale algérienne à Paris et les 227 personnes présentes à bord. Samedi 24 décembre 1994, 4 terroristes du GIA prennent en otage à Alger cet avions français. Or rapidement il y a des incohérences, les activistes algériens qui commandent cette prise d'otage sont en France a Paris.
Pourquoi ?Ces 4 terroristes n'ont finalement aucune revendication sérieuse, car la France va payer cash en liquide leurs demandes. Le but est vite compris, faire s'écraser cet Airbus sur Paris, sur la tour Eiffel, symbole de la France. Des images de propagande étaient affichées en Algérie montrent la tour Eiffel cassée en deux par une Kalashnikov. Le Premier Ministre informé de la ruse, commanditée par les militaires algériens avec la complicité du Président algérien, Edouard Balladur, décide de faire atterrir d'abord cet avions sur Marseille et le GIGN a pris d'assaut l'avion, tuant les 4 terroristes et libérant sains et saufs tous les passagers !
Les USA ou la Russie ou la Chine auraient effectivement bombardé ce maudit pays qui jouait un double, voire un triple jeu, avec au centre le colonel algérien chargé d'interdire toute forme de démocratie. Ce pays de haine envers la France n'a pas changé.
Le pape François, islamophile, reniant sa propre foi catholique
(dixit), fait une opération de séduction de plus. Mais cela ne trompe personne qui suit l'actualité.
Le pape François et sa désinformation de masse
Le pape accuse faussement les intégristes algériens alors que les responsables sont biens connus, les militaires proches du pouvoir algérien.
Les moines de Tibhirine décapités en 1996, sur le bord d'une route, permettait de ne pouvoir connaitre les causes exactes de leurs assassinats.
Ces sept moines trappistes du monastère de Tibhirine, en Algérie, étaient contre la torture des militaires algériens, et aidaient tous les résistants de ce pays épris de liberté. Le ministre des Affaires Etrangères algérien refusa sur le sol français que les cercueils soient ouverts sur la demande d'un moine survivant qui doutait que ce soit le GIA, ami des moines, qui ait pu faire cela. Il s'opposa physiquement, et cela fut si bizarre que le ministre français, Hervé de Charette, pris au mot ce ministre algérien si agressif soudainement, et fit ouvrir les cercueils : il n'y avait que des têtes décapitées avec beaucoup de sable pour faire croire qu'il y avait les corps. Or cette mise en scène était le seul fait du gouvernement algérien.
Le pape François se rend complice d'une désinformation en faveur des militaires véritables assassinsMediapart, 14 septembre 2009 : on y indiquait notamment pourquoi Buchwalter relayait très vraisemblablement
(volontairement ou non, on l’ignore) une intoxication du DRS
(la police politique du régime algérien, ex-Sécurité militaire, dite « Sport et musique » par les opposants depuis les années 1960).
Une imposture algérienneLe scandale s'inversa, et depuis la France se sait trahie par l'Algérie. Cette blessure ne cicatrisera jamais. Le responsable de cette tuerie : le général
Khaled Nezzar, chargé d'instaurer la loi martiale et de
"faire le sale boulot" pour interdire toute espérance de démocratie dans ce pays, l'Algérie.
Ce que cache la béatification par ce pape islamophile convaincuSi les moines ont été tués plus de trois semaines avant le 21 mai, date avancée par le fameux communiqué n° 44 du GIA du 23 mai 1996, signé de l’
« émir Abou Abderrahmane Amin » (pseudo de Djamel Zitouni, simple d'esprit recruté par chantage par le DRS algérien car il était homosexuel), c’est que ce communiqué est un faux.
Ou plus précisément une
« forgerie » des services du
DRS qui manipulaient à l’époque les
« groupes islamiques de l’armée », comme la rue algérienne, bien plus lucide que les journalistes occidentaux, qualifiait alors les
« GIA ». Plus encore, seuls La Croix et Le Monde ont relevé au passage que la date présumée de l’exécution des moines indiquée par les experts, près d’un mois avant la date
« officielle », est précisément celle qui avait été déjà donnée… sept ans plus tôt par un dissident du DRS.
« Dans mon souvenir, c’était vers le 26 ou le 27 avril » a en effet relaté, avec maints autres détails sur les circonstances de l’assassinat, Karim Moulaï
(alors réfugié en Écosse) au journaliste Jean-Baptiste Rivoire.
Pour en savoir plus
Ce qui a raté en 1996, réussira le 11 septembre 2001 aux USA, des avions s'écrasant sur les symboles civils de cette autre démocratie.
Mais qui manipule qui en Algérie ? Les algériens se savent que pleurer et haïr, c'est minable. Il fallait renverser ce pouvoir politique corrompu depuis la fausse Indépendance, qui fut en réalité, une dictature de fer tombée sur un pays aux ressources immenses.
Sur quel beau modèle fonctionne l'Algérie ? Sur les méthodes de tortures égyptiennes, reprise avec admiration sous Dabeliou Bush dans Guantanamo. Pakistan, Algérie et Egypte sont sous contrôle absolu des Etats-Unis.
Pour en apprendre plus
Les vrais assassins des moines
Il nous reste de cet assassinat par l'Etat Algérien, un film pudique, qui montre la vie de ces moines trappistes.