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| Facebook, danger en annuaire inversé ! | |
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marmhonie Admin
Messages : 2842 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
| Sujet: Facebook, danger en annuaire inversé ! Sam 13 Avr - 2:55 | |
| Comment éviter que quelqu’un vous retrouve en utilisant Facebook comme annuaire inverséEn tapant un numéro de téléphone dans « Recherche », il est possible de trouver le compte associéFacebook, un annuaire inversé ? C’est en tout cas ce qu’a pu constater, dans un tweet posté le 7 mars, Jean-François Pillou, directeur du développement numérique au Figaro. Il y montre comment, en tapant un numéro de téléphone au hasard dans la barre de recherche du réseau social, il parvient à retrouver le profil de la personne à qui le numéro appartient. Explications. Comment Facebook est devenu le meilleur annuaire inverséVous tapez un numéro dans la barre de recherche et hop, v… [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Cela signifie qu’on peut retrouver le profil de n’importe qui, y compris le votreEn effet, l’option qui permet de retrouver un profil grâce au numéro de téléphone est activée par défaut, sans que les utilisateurs aient à l’activer au préalable. Or, Facebook connaît les numéros de beaucoup de ses utilisateurs. En effet, depuis 2012, l’entreprise encourage ces derniers à les donner pour, explique-t-elle dans ses pages d’aide, des questions de sécurité. En cas de piratage par exemple, cela peut permettre de vérifier si vous êtes bien le détenteur légitime d’un compte. Pire, l’annuaire inversé ne fonctionne pas qu’avec le numéro de téléphone !Ça fonctionne également avec certaines adresses e-mail qui ont servi lors de la création du compte. Là encore, il s’agit d’une fonctionnalité activée par défaut. Pour préserver sa vie privée, il faut absolument désactiver cette optionLa bonne nouvelle, c’est que c’est extrêmement simple. Il faut aller sur son compte dans l’onglet « Paramètres », accessible en haut à droite de l’écran en cliquant sur une petite flèche. Ensuite, sélectionnez « confidentialité ». Par défaut, voici ce que vous obtenez : Il vous suffit alors de modifier les paramètres existants, et plus précisément les options « Qui peut vous trouver à l’aide de l’adresse e-mail que vous avez fournie ? » (passez de « Tout le monde » à « Amis »), et « Qui peut vous trouver à l’aide du numéro de téléphone que vous avez fourni ? » (même chose). Désormais, seules les personnes que vous avez acceptées dans votre liste d’amis peuvent vous retrouver grâce à ce moyen. Notez qu’il est également possible de supprimer son numéro de téléphone, en allant dans « Paramètres » puis « Mobile ». Certaines options ne seront alors plus accessibles, signale alors Facebook, comme le fait de « recevoir des notifications [par SMS] concernant vos invitations d’amis, vos messages, les publications sur votre mur et les mises à jour du statut de vos amis ». PénibleSachez aussi qu’à peine sera-t-il supprimé que Facebook vous invitera à l’ajouter de nouveau, pour « le protéger » et « le rendre plus facile à utiliser » Refusez alors absolument ! Source | |
| | | marmhonie Admin
Messages : 2842 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
| Sujet: Re: Facebook, danger en annuaire inversé ! Sam 13 Avr - 2:56 | |
| Facebook confronté à une campagne de désabonnements suite au scandale de 50 millions de comptes volésNous vous offrons dans ce forum toute la dangerosité de Facebook, notamment contre les internautesFacebook joue depuis des années un rôle trouble notamment contre la foi intime des internautes. Dans un forum de la honte que, par charité, nous ne nommerons pas, des témoins de Jéhovah avaient été diffamés en ligne depuis le piratage de leurs comptes Facebook, mettant en ligne leurs données personnelles "Quittez Facebook" (#deletefacebook")Facebook confronté à une campagne de désabonnement et des "class action" après les révélations sur l'utilisation de ses données (AFP/Archives/LOIC VENANCE) "Quittez Facebook" (#deletefacebook"): mis en cause dans les révélations sur l'utilisation des données de millions d'usagers à leur insu, le réseau social Facebook fait face à une campagne de désabonnements et à la chute de son titre en Bourse. Son patron-fondateur Mark Zuckerberg a fini par sortir mercredi de son silence pour reconnaître des "erreurs" et promettre des améliorations quant à la protection des données personnelles, en particulier pour les applications tierces auxquelles on se connecte via son compte Facebook. C'est à travers une application de ce type que des données confidentielles de dizaines de millions de personnes ont fini aux mains de la firme britannique Cambridge Analytica à leur insu"Il y a encore à faire, nous devons aller plus vite et le faire", a M. Zuckerberg, sur sa page personnelle, aux plus de 2 milliards d'utilisateurs du réseau social mais aussi aux actionnaires qui encaissent de lourdes pertes depuis plusieurs jours. Il s'est dit "responsable de ce qui se passe" sur le réseau Depuis lundi, Facebook a perdu des dizaines de milliards de dollars de valorisation boursière, la chute s'interrompant toutefois mercredi. La colère contre Facebook était toutefois manifesteBrian Acton, cofondateur de l'application de messagerie WhatsApp rachetée à prix d'or en 2014 par Facebook, a joint sa voix à celle de nombreux internautes et appelé à quitter le réseau social. "Il est temps. #deletefacebook"... a écrit sur son compte Twitter M. Acton, qui travaille désormais pour Signal, une application de messagerie rivale de WhatsApp. "Effacer et oublier. Il est temps de se soucier de la vie privée", a-t-il ajouté. Plusieurs sites internet proposent des astuces pour se désabonner, avertissant toutefois que le processus de désabonnement est beaucoup plus complexe qu'il n'y paraît. Facebook propose aux utilisateurs une option "désactiver" son compte, qui permet de suspendre temporairement ce dernier. Le journal de l'utilisateur ne sera plus disponible mais certaines informations comme les messages envoyés resteront visibles. Quant aux utilisateurs qui optent pour "supprimer", ils ne pourront plus réactiver leur compte. Les messages envoyés à des amis resteront accessibles. Les copies de certains éléments tels les historiques de connexion restent également dans la base de données de Facebook. La suppression définitive du compte peut prendre jusqu’à 90 jours mais, durant cet intervalle, les informations ne sont plus accessibles. Si l'utilisateur se reconnecte, la demande de suppression est annulée, prévient Facebook. Pluie de class-actionLes candidats au désabonnement se servant de Facebook pour se connecter sur d'autres applications ou d'autres sites peuvent par ailleurs connaître des problèmes au moment de s'identifier. Ils devront également penser à leur présence sur d'autres applications rattachées au réseau social comme Instagram, WhatsApp et Messenger. Mercredi, il était difficile de savoir si les appels aux désabonnements étaient suivis et le nombre de personnes ayant effectivement quitté le réseau. Pour Roger McNamee, un des investisseurs les plus réputés de la Silicon Valley et un des premiers actionnaires de Facebook, la crise actuelle a fait une victime importante: la confiance placée dans le réseau social par ses utilisateurs. Or, celle-ci est la clé du succès de la société. "Le problème c'est le mépris insensé pour les droits des utilisateurs à la vie privéeEt une indifférence vis-à-vis du respect des données qu'ils ont confiées à Facebook", a déploré M. McNamee sur la radio américaine NPR. "Je ne sais pas exactement ce qui se passe, mais j'ai bien peur qu'il y ait un problème systémique avec les algorithmes et que le modèle économique de Facebook permette à de mauvais acteurs de nuire à des utilisateurs innocents de Facebook", a regretté l'investisseur. Des utilisateurs et des petits porteurs n'ont pas attendu et ont décidé de porter l'affaire devant des tribunaux pour demander à être dédommagés. Des cabinets d'avocats américains ont annoncé mercredi avoir déposé des plaintes et recours en nom collectif ("class action") au nom de citoyens et d'actionnaires. Celles-ci doivent toutefois encore être acceptées par un juge pour être instruites. Toujours sur le plan juridique, plusieurs enquêtes ont été ouvertes aux Etats-Unis par les régulateurs, dont la Commission fédérale du commerce (FTC) et les procureurs de New York et du Massachusetts. Source : 2018 AFP | |
| | | marmhonie Admin
Messages : 2842 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
| Sujet: Re: Facebook, danger en annuaire inversé ! Sam 13 Avr - 2:56 | |
| Facebook : pourquoi ses utilisateurs sont aujourd’hui « en danger »Facebook inquiète de plus en plus jusqu’à ses propres investisseurs. L’un des premiers business Angels à avoir soutenu Facebook, Roger McNamee, parle dans une tribune du « danger » que représente la « destruction du tissu social« , notamment à cause de son utilisation par de « mauvais acteurs » et le caractère selon lui « addictif » du réseau social. L’homme d’affaire regrette que le conseil d’administration en soit réduit à une « chambre d’enregistrement » et se demande comment pousser désormais les grandes entreprises du net à changer. Facebook met ses utilisateurs « en danger » selon Roger McNamee, l’un des premiers venture capitalists à avoir cru dans le réseau social. Celui-ci réagit aux récentes mesures prises par Facebook, notamment le changement du fil d’actualités censé faire la promotion des « interactions qui ont du sens« c’est à dire avec vos amis plutôt qu’avec des pages et des marques dans une tribune du Guardian. Une mesure bien faible selon lui, face aux vrais défis qui attendent Facebook. Celui-ci reprend à son compte de nombreuses critiques déjà formulées à l’encontre du réseau social, son utilisation par de « mauvais acteurs » notamment des puissances étrangères. Ou encore son caractère addictif. Facebook : un investisseur s’inquiète des décisions du réseau social qui mettent ses utilisateurs « en danger »Alors comment en est-on arrivé là ? Selon lui, le problème c’est que trop souvent « les conseils d’administration sont nommés par le PDG et agissent fréquemment comme des chambres d’enregistrement« . Une critique dirigée plus généralement vers les dirigeants des GAFA qui ont d’année en année érodé le rôle des conseils d’administration pour avoir plus de contrôle sur leur entreprise. Et il se demande comment aujourd’hui les investisseurs peuvent faire passer leur point de vue. Roger McNamee cite le cas d’AppleDeux investisseurs clé ont envoyé une lettre ouverte à l’entreprise. Ils y critiquent l’inaction d’Apple en matière de protection de la santé mentale des enfants contre les aspects négatifs des smartphones et des réseaux sociaux. Selon lui, à l’avenir, les investisseurs de la tech vont désormais devoir employer des stratagèmes de plus en plus agressifs pour se faire entendre et forcer la direction de ces entreprises à changer de comportement. Il parle notamment des Hedge Funds qui peuvent donner des signaux de vente ou d’achat. Ou encore des clients, « en l’occurence, pour les réseaux sociaux, les régies publicitaires » qui peuvent choisir de ne plus utiliser telle ou telle plateforme. Il ne croit pas, néanmoins, que le changement puisse venir des utilisateurs de ces plateformes : « un nombre effrayant de propriétaires de smartphone montre des signes de dépendance. Ils ne peuvent plus s’arrêter« . Il en appelle également aux employés de Facebook qui ont selon lui « beaucoup plus de pouvoir qu’ils ne le pensent » pour changer les choses de l’intérieurEt de conclure : « si les investisseurs appliquent des techniques d’activistes et de hedge fund pour pousser des changements sociaux – plutôt que de maximiser le prix par action – les résultats pourraient être d’autant plus significatifs« . Source | |
| | | marmhonie Admin
Messages : 2842 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
| Sujet: Re: Facebook, danger en annuaire inversé ! Sam 13 Avr - 2:56 | |
| Des experts de l'enfance accusent Facebook de mettre en danger les enfants avec Messenger KidsUn mois après son lancement, l'application Messenger Kids...connaît des débuts très controversés, notamment suite aux critiques émises par plusieurs responsables de l'enfance. Messenger Kids, un service de messagerie instantanée Fonctionnant sur le même modèle que Messenger classique, mais destiné à un jeune public âgé de 6 à 12 ans. Quand Facebook dévoilait en décembre dernier ce nouveau projet pour inciter les plus jeunes à ne pas déserter sa plateforme, il vantait auprès des parents la possibilité de garder un œil sur les fonctions utilisées par leurs progénitures. Disponible en phase de test exclusivement aux États-Unis pour l'instant, l'application était supposée voir le jour dans d'autres pays d'ici quelques mois. Mais outre-Atlantique, Messenger Kids n'a pas convaincu tout le monde puisque des voix s'élèvent pour critiquer une telle plateforme. Facebook lance Messenger Kids à destination des enfants de 6 à 12 ans : danger pédophilieDans une longue lettre ouverte publiée le mardi 30 janvier, l'organisation américaine Campaign for a Commercial-Free Childhood (CCFC) s'adresse directement à Mark Zuckerberg et lui demande de supprimer Messenger Kids, invoquant le fait que "de nombreuses recherches montrent que l'usage excessif des réseaux sociaux et des appareils électroniques sont néfastes pour le développement des enfants et des adolescents". Un lien entre réseaux sociaux et dépression juvénileSignée par plus d'une centaine de docteurs, éducateurs et experts de l'enfance, la lettre explique en plusieurs pages comment cette application pourrait nuire au bon développement social des enfants. Selon la CCFC, les jeunes utilisateurs "ne sont pas assez matures pour comprendre la complexité des relations en ligne", et "n'ont pas développé une véritable compréhension de la vie privée, de ce qu'il est approprié de partager avec autrui et de la taille de l'audience ayant accès à leurs conversations, vidéos et photos". Cette application Facebook est un danger sur la santé mentale des enfantsPlusieurs chiffres sont également mis en avant pour expliciter l'impact des réseaux sociaux sur la santé mentale des enfants, et en particulier "leur lien avec les taux élevés de dépression juvénile". On apprend notamment que les jeunes utilisateurs passant entre 6 et 9 heures par semaine sur ces sites auraient 47 % de chances d'être plus malheureux que leurs pairs qui en seraient préservés. Lors du lancement de Messenger Kids en décembre dernier 2017Facebook avait bien précisé que l'application serait proposée sans publicité, bénéficierait d'un contrôle parental strict et que les données collectées ne seraient pas utilisées dans un but commercial. Malgré ces promesses, Facebook n'avait pas fait l'unanimité et le Secrétaire d'État à la Santé anglais Jeremy Hunt avait même demandé au réseau social de "se tenir éloigné de ses enfants". Début janvier, Apple avait connu le même genre de polémique après que deux de ses actionnaires ont dénoncé le danger des smartphones sur les enfants, et la marque à la pomme avait rapidement répondu aux accusations. Contacté par Mashable FR, un représentant de Messenger a rappelé que l'application Messenger Kids "permettait aux enfants de rester en contact avec leurs proches de manière simple et sécurisée", et qu'elle était "développée avec l'aide d'experts du développement et d'associations de parents". Source | |
| | | marmhonie Admin
Messages : 2842 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
| Sujet: Re: Facebook, danger en annuaire inversé ! Sam 13 Avr - 2:57 | |
| Facebook reconnaît être un danger pour la démocratieDans son viseur : les "fake news", mais aussi les bulles d'information ne soumettant à l'utilisateur que des informations auxquelles il adhère déjà et les messages à caractère haineux ou racistes.Le groupe poursuit son examen de conscience, entamé après l'élection de Donald Trump à la Maison-Blanche en 2016. Facebook a reconnu, lundi 22 janvier, que les réseaux sociaux pouvaient contribuer à affaiblir une démocratie, promettant de tout faire pour limiter ces risques. Ce n'est pas le patron Mark Zuckerberg qui s'est lancé dans cette nouvelle autocritique du réseau social mais le responsable de l'engagement civique chez Facebook, Samidh Chakrabarti. Facebook et ses dommages collatéraux"Je n'ignore pas les dommages qu'internet peut causer, même au sein d'une démocratie qui fonctionne bien", a-t-il écrit sur le blog de Facebook, en réponse à sa propre interrogation : "Quels effets ont les réseaux sociaux sur la démocratie ?" Le responsable cite évidemment parmi les risques possibles les fausses informations, les "fake news" qui empoisonnent Facebook depuis plus d'un an, mais aussi les bulles d'information ne soumettant à l'utilisateur que des informations et des avis auxquels il adhère déjà. Il mentionne aussi les messages à caractère haineux ou racistes. Distorsion dans la perceptionMais le sujet qui l'inquiète plus que les autres, c'est l'image que donnent Facebook et les autres réseaux sociaux de l'état de l'opinion. Cette image peut "créer une distorsion dans la perception" qu'ont les politiques de l'avis du public. Certains utilisateurs s'expriment davantage que d'autres et se rendent ainsi plus visibles, ce qui peut amener les élus à surestimer leur poids dans la population. Facebook danger total"Si les politiciens confondent l'avis d'une minorité avec celui de la majorité, cela peut entraîner de mauvaises décisions", prévient Samidh Chakrabarti. Le réseau social aux deux milliards d'utilisateurs a "mis beaucoup trop longtemps à comprendre que des personnes mal intentionnées utilisaient notre plateforme de façon abusive", a insisté Samidh Chakrabarti, qui assure que l'entreprise "travaille ardemment à la neutralisation de ces risques". "Nous sommes toujours aussi déterminés à combattre les influences négatives et à nous assurer que notre plateforme contribue, de façon indiscutable, au bien de la démocratie", a renchéri lundi Katie Harbath, chargée des questions liées à la politique au sein du groupe basé en Californie (Ouest), dans une déclaration distincte. Les "fake news", le fond de commerce de FacebookFace à ces préoccupations de haine, de diffamations, de légendes urbaines que diffuse Facebook, une liste de série de mesures déjà connues et censées atténuer les dérives de sa plateforme reste inactif. Mark Zuckerberg a annoncé vendredi qu'il allait demander directement aux utilisateurs leur avis sur tel ou tel média par le biais d'enquêtes de satisfaction, pour lutter contre les "fake news". Ils diront s'ils le connaissent et, si c'est le cas, s'ils le considèrent fiable. Facebook menace les démocraties"Est-ce vraiment assez ?", a tweeté lundi John Battelle, spécialiste des médias et de la technologie, au sujet de cette nouvelle réflexion sur Facebook et la démocratie. Une fois n'est pas coutume, le groupe a convié une voix extérieure sur son blog : Cass Sunstein, professeur de droit à Harvard et auteur d'un ouvrage sur le sujet. "Les réseaux sociaux sont formidables pour la démocratie par bien des aspects, mais mauvais sur d'autres", écrit l'universitaire, pour lequel "ils demeurent un objet inachevé". "Terriblement simpliste et naïve"Bien qu'assis sur une montagne de données, Facebook tâtonne pour régler les problèmes qu'il a lui-même causés. La dernière mesure en date, à savoir la hiérarchisation par les utilisateurs des sources d'information, ne fait pas l'unanimité et pourrait, préviennent certains, se révéler contre-productive. La face obscure de FacebookLa méthode permet notamment à Facebook de ne pas faire lui-même d'arbitrage et donc de ne pouvoir être accusé de partialité et de revivre la polémique du printemps 2017. A l'époque, il avait été accusé de manipuler les sujets d'actualité dominants sur sa plateforme, avant d'effectuer des modifications substantielles pour automatiser davantage le procédé. Manque de transparencePour Will Oremus, du site d'informations Slate, l'approche de Facebook "semble terriblement simpliste et naïve". Elle s'inscrit, rappelle-t-il, dans un contexte de défiance vis-à-vis des médias qui n'est pas favorable aux grands organes de presse généralistes, critiqués sans relâche depuis plus de deux ans par Donald Trump. Et cela pourrait aussi amener les sources d'information les plus partisanes mais pas nécessairement les plus fiables à tirer leur épingle du jeu, prévient-il. Ce qui inquiète avant tout les sceptiques, c'est le manque de transparence de Facebook, un sujet récurrentL'Alliance des médias d'informations, qui représente près de 2.000 organismes de presse, avait regretté vendredi de "ne pas savoir comment le système proposé (allait) vraiment fonctionner". Lundi, c'est le magnat des médias Rupert Murdoch qui a dénoncé le "sérieux manque de transparence" de Facebook qui devrait, selon lui, "inquiéter les éditeurs et ceux qui se préoccupent d'une orientation politique de ces puissantes plateformes". Dans une lettre ouverte, il a réclamé un meilleur partage des revenus avec les médias dont les contenus sont repris sur Facebook, proposant le versement d'une indemnité compensatrice. Facebook vient d'annoncer deux changements importantsIls vont modifier la présence de l'information sur le "fil d'actualités", page d'accueil personnalisée de chaque utilisateur, dans le but d'améliorer la qualité des contenus: il va privilégier les messages publiés par les proches, au détriment des pages institutionnelles de marques ou de médias, et va hiérarchiser les sources d'information considérées comme fiables par les usagers eux-mêmes. Source | |
| | | marmhonie Admin
Messages : 2842 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
| Sujet: Re: Facebook, danger en annuaire inversé ! Sam 13 Avr - 2:57 | |
| Facebook enregistr vos appels téléphoniques et vos SMS sans vous prévenirUn utilisateur néo-zélandais de Facebook a découvert que le réseau social avait gardé la trace de ses appels téléphoniques et de ses SMS. Après qu'il a fait part de cette découverte sur Twitter, des journalistes de 01.net ont découvert, vendredi 23 mars, que certains d'entre eux, ceux qui utilisaient un téléphone sous Androïd, étaient également concernés. Tout commence par un tweet signé Dylan McKay. Alors que Facebook est empêtré dans un scandale d'utilisation frauduleuse des données de 50 millions de ses utilisateurs, cet habitant de Wellington (Nouvelle-Zélande) a décidé de télécharger son historique, conservé par le réseau social. Comme prévu, toute son activité sur le réseau social (chaque "like", photo postée, ou commentaire) apparaît dans ce document facile d'accès, raconte 01.net. — Dylan McKay (@dylanmckaynz) March 21, 2018 Plus étonnant, "il a constaté que l’entreprise conservait également [dans la rubrique coordonnées] la liste de ses appels téléphoniques et SMS, indépendamment de l’utilisation des applications Facebook et Messenger", poursuit le site spécialisé. Des données enregistrées entre novembre 2016 et juillet 2017. Chez 01.net, "nous aussi [avons] constaté l’enregistrement de métadonnées concernant nos appels téléphoniques et nos SMS. Le document indique le numéro du correspondant, la date et l’heure d’envoi et de réception pour les SMS, ainsi que la date, l’heure et la durée (en secondes) des différents appels. Dans notre cas, les données concernent des appels passés entre janvier et avril 2016". Le site précise enfin que seuls les utilisateurs de smartphone Androïd étaient concernés, autrement dit le monde Google. Pas de quoi se réjouir... Source | |
| | | marmhonie Admin
Messages : 2842 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
| Sujet: Re: Facebook, danger en annuaire inversé ! Sam 13 Avr - 2:58 | |
| Facebook enregistr vos appels téléphoniques et vos SMS sans vous prévenirUn utilisateur néo-zélandais de Facebook a découvert que le réseau social avait gardé la trace de ses appels téléphoniques et de ses SMS. Après qu'il a fait part de cette découverte sur Twitter, des journalistes de 01.net ont découvert, vendredi 23 mars, que certains d'entre eux, ceux qui utilisaient un téléphone sous Androïd, étaient également concernés. Tout commence par un tweet signé Dylan McKay. Alors que Facebook est empêtré dans un scandale d'utilisation frauduleuse des données de 50 millions de ses utilisateurs, cet habitant de Wellington (Nouvelle-Zélande) a décidé de télécharger son historique, conservé par le réseau social. Comme prévu, toute son activité sur le réseau social (chaque "like", photo postée, ou commentaire) apparaît dans ce document facile d'accès, raconte 01.net. — Dylan McKay (@dylanmckaynz) March 21, 2018 Plus étonnant, "il a constaté que l’entreprise conservait également [dans la rubrique coordonnées] la liste de ses appels téléphoniques et SMS, indépendamment de l’utilisation des applications Facebook et Messenger", poursuit le site spécialisé. Des données enregistrées entre novembre 2016 et juillet 2017. Chez 01.net, "nous aussi [avons] constaté l’enregistrement de métadonnées concernant nos appels téléphoniques et nos SMS. Le document indique le numéro du correspondant, la date et l’heure d’envoi et de réception pour les SMS, ainsi que la date, l’heure et la durée (en secondes) des différents appels. Dans notre cas, les données concernent des appels passés entre janvier et avril 2016". Le site précise enfin que seuls les utilisateurs de smartphone Androïd étaient concernés, autrement dit le monde Google. Pas de quoi se réjouir... Source | |
| | | mormon
Messages : 336 Date d'inscription : 05/04/2019
| Sujet: Re: Facebook, danger en annuaire inversé ! Ven 13 Déc - 8:24 | |
| Il faut savoir que CasaPound a gagné son procès contre Facebook
C’est une bonne nouvelle pour Génération Identitaire, qui a vu sa page Facebook fermée en mai 2018, et plus largement pour tous ceux qui luttent contre les GAFA : l’organisation italienne CasaPound vient de gagner une bataille juridique contre Facebook qui pourrait faire date.
Le Tribunal Civil de Rome a validé l’appel interjeté par l’association suite à la désactivation de sa page officielle le 9 septembre dernier.
« En fait, il est évident que Facebook (ou d’autres réseaux sociaux qui lui sont liés) occupe une place prépondérante dans la mise en œuvre des principes élémentaires du système comme le pluralisme des partis politiques (49 Const.), (…) comme en témoigne le fait que presque tous les politiciens italiens postent quotidiennement sur leur page Facebook des messages politiques. Il s’ensuit que la relation entre FACEBOOK et l’utilisateur qui a l’intention de s’inscrire au service (ou avec l’utilisateur déjà inscrit au service comme dans le cas présent) n’est pas similaire à la relation entre deux sujets privés puisque l’une des parties, précisément FACEBOOK, détient une position particulière : cette position particulière signifie que FACEBOOK, dans ses relations avec les utilisateurs, doit respecter strictement le respect des principes constitutionnels et juridiques jusqu’à la démonstration (concrète et argumentée) de leur violation par l’utilisateur. Le respect des principes constitutionnels et juridiques est pour le sujet FACEBOOK à la fois une condition et une limite dans sa relation avec les utilisateurs qui demandent à accéder à son service »
« En conclusion, l’appel doit être accepté et FACEBOOK doit être ordonné de réactiver immédiatement la page de l’Association de promotion sociale CasaPound ». [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
A bientôt | |
| | | L'abbé Morère
Messages : 712 Date d'inscription : 28/05/2019
| Sujet: Re: Facebook, danger en annuaire inversé ! Mer 15 Juil - 19:31 | |
| Emotion ou réflexionFacebook : 70.7 mililards de dollas de chiffres d'affaire, ce qui laisse songeur : l'application est gratuiteFévrier 2004, Massachusetts : lancée par Mark Zuckerberg, l’application Facebook, premier réseau social, voit le jour. Etablir la liste de ceux qui suivront serait trop longue mais en voici quelques-uns : WhatsApp, Instagram, YouTube, Messenger, Twitter, Linkedin, Snapchat, Tik Tok (pour les adolescents), Habouki (devenu Xooloo, pour les enfants de 5 à 13 ans), et j’en passe. Etat des lieuxTous ces réseaux sociaux sont devenus presque incontournables pour « communiquer ». Les chiffres sur l’usage de ces applications donnent le tournis : 49% du monde utilise les réseaux sociaux et ce nombre augmente de presque 10% chaque année ; FaceBook c’est 2,6 milliards d’utilisateurs actifs par mois, 1,734 milliard d’utilisateurs chaque jour, avec 70,7 milliards de dollars de chiffre d’affaire ce qui laisse songeur vu la gratuité de l’application ; YouTube compte plus de 2 milliards d’utilisateurs par mois et environ 1 milliard d’heures de vidéos vues chaque jour ; WhatsApp c’est également plus de 2 milliards d’utilisateurs par mois… Rétrécissons cela à la France : 67% des Français est sur les réseaux sociaux. Ils y passaient 1h17 par jour en 2019, 2h22 par jour début 2020 (forte augmentation dûe au coronavirus). Sur 67 millions de Français, 28,1 millions vont sur Facebook tous les jours, 17 millions sur YouTube, 9,6 millions sur WhatsApp. Et pour donner une idée du niveau d’intérêt de ces consultations, les trois comptes FaceBook les plus consultés sont ceux de trois footballeurs… Nous nous arrêterons là pour les chiffres qui parlent d’eux-mêmes et qui sont de sources officielles, fournis par les développeurs des applications eux-mêmes. Il est évident que tout cela n’est pas sans danger. Malheureusement, lorsque nous mettons en garde contre ces réseaux sociaux, nous passons pour des rétrogrades, « l’Eglise ennemie du progrès »… En 2005, un an à peine après la sortie de Facebook, une association (e-enfance) reconnue d’utilité publique et soutenue par le ministère de l’Education Nationale avertissait les parents (76% d’entre eux ignorent complètement ce que font leurs enfants sur les réseaux sociaux) non seulement sur les dangers d’internet et des jeux vidéo, mais aussi sur les dangers inhérents aux réseaux sociaux. Depuis longtemps des psychiatres essaient de faire prendre conscience aux parents de ces dangers. Et pas seulement des psychiatres, mais aussi la police, les enseignants, et bien d’autres. Les enfants sont en danger ! Les adultes également… Les réseaux sociaux ont des conséquences émotionnelles, financières, juridiques, sans parler des conséquences morales : Conséquences émotionnellesLes « likes » (approbation donnée par une tierce personne à un contenu publié par soi-même) rendent addictifs. Les jeunes sont particulièrement vulnérables à la dépendance des réseaux sociaux car ils recherchent ces approbations, ils recherchent de nouveaux amis perpétuellement, proposés même parfois par l’application elle-même en fonction de centres d’intérêts communs (Instagram : 4,2 milliards de likes par jour). « Si un adolescent est agressif c’est peut-être qu’il passe trop de temps… sur les réseaux sociaux ! » C’est ce que vient de conclure une étude d’une ampleur inédite publiée dans le JAMA psychiatry (Revue de recherche psychiatrique américaine). Cette étude a été menée pendant 3 ans sur plus de 6500 adolescents entre 12 et 15 ans. Une consommation massive de plus de 3 heures pourrait développer chez les ados du mal-être, un sentiment d’insatisfaction, de culpabilité et même des dépressions. Pour Stéphane Clerget, pédopsychiatre, les adolescents qui consomment beaucoup de réseaux sociaux sont souvent des adolescents qui, dans la vie réelle, ne sont pas satisfaits de leurs relations sociales. « Ils attendent des réseaux sociaux une satisfaction, une reconnaissance et notamment beaucoup de likes. Donc évidement quand il n’y a pas suffisamment de likes, on est déçu, on est mal. C’est source de stress, de frustration, parfois de tristesse », analyse-t-il. Ce mal-être peut aussi se transformer en agressivité. Les plus grands consommateurs de réseaux sociaux sont aussi les plus enclins à se montrer malveillants ou blessants dans des publications ou des commentaires. Autre phénomène : lorsqu’une notification de réaction arrive sur le téléphone, le corps libère des endorphines qui peuvent rendre dépendant. Ce n’est ni plus, ni moins que le réflexe de Pavlov adapté à la modernité. Cette dépendance peut entraîner des crises d’angoisse causées par un éloignement temporaire du smartphone. Un certain Thierry Crouzet a raconté son expérience dans un livre J’ai débranché, comment revivre sans internet. Une journaliste aussi, Susan MAUSHART, dans un livre appelé Pause. Chose incroyable, Twitter est en train de tester une nouvelle fonctionnalité pour suggérer aux utilisateurs de lire un article, détecté comme non-ouvert, avant de le « retweeter », c’est-à-dire de le faire suivre à d’autres personnes… Non, on veut réagir immédiatement, sans réflexion, celle-ci est absente sur les réseaux sociaux, il n’y a que l’émotion qui compte, ce qu’on ressent. Petite histoire pour illustrer : un journaliste vint un jour demander à un philosophe dont j’ai oublié le nom ce qu’il pensait de la guerre dans un pays lointain. Le philosophe de lui répondre : « Laissez-moi cinq ans pour terminer l’étude que je suis en train de faire, puis cinq autres années pour étudier le problème dont vous me parlez ». Inutile de dire que le journaliste n’est jamais revenu. Ne donnons pas d’avis sur des sujets que nous ne maîtrisons pas, le silence est d’or. Conséquences financièresIl est rare qu’un réseau social ne mette pas à votre portée une publicité alléchante portant sur toutes sortes de produits ciblés par des mots-clés que vous pouvez taper. Des analyses de vos conversations, ou autres contenus échangés, détectent vos principaux centres d’intérêts et vous vous verrez proposer des offres correspondantes. Avec l’enregistrement des données de paiement en ligne il devient très facile de céder à la tentation et des dépenses inconsidérées sont faites en quelques clics. Conséquences juridiquesLes réseaux sociaux son remplis de pirates, de cybercriminels, de vendeurs de données. Sans que vous vous en rendiez compte, vos données sont collectées et utilisées contre vous. Prenons l’exemple de WhatsApp, application tant utilisée qui, semble-t-il, garantit une sécurité maximale puisque les données sont chiffrées. En apparence seulement… Il est possible, en enregistrant simplement un numéro de téléphone dans ses contacts, de voir si la personne est sur WhatsApp, donc d’accéder à son statut, son image de profil et les informations qu’elle a elle-même rendues publiques. Tout cela peut donc tomber dans le domaine public à cause de personnes mal intentionnées et donner suite à du cyber-harcèlement, des menaces, des insultes… ce qui est allé jusqu’à entraîner des jeunes au suicide. Il faut savoir chaque chose publiée sur internet est ineffaçable. Nous en avons la preuve par les scandales qui éclaboussent régulièrement les hommes politiques pour qui des photos compromettantes sont ressorties quand le besoin se fait sentir. Conséquences moralesChiffre à nouveau édifiant, 13 ans est l’âge minimum pour s’inscrire sur Facebook, or 48% des enfants entre 8 et 17 ans y sont inscrits. Mensonge sur l’âge donc à l’inscription pour bon nombre d’entre eux. Ensuite, beaucoup de jeunes enfants sont la cible de contenus pornographiques, et seulement 55% des enfants parlent à leurs parents de leur activité sur Facebook. Un grand nombre d’entre eux peut donc avoir un déséquilibre affectif qui pourra les pousser aux pires péchés. L’accès à YouTube donne à tout le monde accès à des scènes pornographiques… Sur le top 10 des vidéos vues sur YouTube, 9 sont des clips de « musique ». Et je vous prie de croire que ce n’est pas du Beethoven avec robe longue et jaquette. Il y a péril en la demeure, chers fidèles. Enlevons nos œillères et prenons des mesures drastiques pour notre bien et celui des enfants. Les recommandations qui vont suivre sont celles données par le site [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] On pourrait les croire sorties directement de l’un de nos bulletins. Tout d’abord il faut savoir que l’âge de 13 ans est requis pour avoir un compte sur les réseaux sociaux, que pour les 13-14 ans l’autorisation parentale est obligatoire (ne pas la donner à la légère et sans nécessité, juste parce que l’enfant la demande). Ensuite, ne jamais laisser un enfant seul dans sa chambre avec un ordinateur ou un smartphone, il doit l’utiliser dans une salle commune. Le temps de connexion doit être établi à l’avance en fonction des réelles nécessités. Expliquer aux enfants les dangers des réseaux sociaux (ce qui implique pour les adultes de les connaître…). Vérifier les paramètres de confidentialité sur le compte de votre enfant et utiliser un logiciel de contrôle parental, regarder régulièrement l’historique des sites visités. Parler avec les enfants de ce qu’ils font sur internet, s’ils se sont sentis mal à l’aise, en danger d’une façon ou d’une autre. Ne pas hésiter à supprimer les comptes si jamais l’enfant ne respecte pas les règles.Et il y aurait encore tant de choses à dire. Alors émotion ou réflexion ? Vous avez compris que le plus important reste toujours la réflexion. Réfléchissons avant d’ouvrir un compte sur un réseau social, à la nécessité, à l’utilité et la pertinence de la chose. Et réfléchissons aussi avant de réagir sur ces réseaux sociaux car peu de choses en ce monde demandent vraiment une réaction, hormis le péché. Abbé François Brunet de Courssou Sources : Apôtres aux Antilles de juillet 2020 | |
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| Sujet: Re: Facebook, danger en annuaire inversé ! Sam 17 Déc - 3:34 | |
| [size=30]Facebook : 10 trucs à savoir pour votre famille[/size] Dangers sur Facebook – On ne présente plus l’ogre américain, mondialement connu avec plus de 1,4 milliard d’utilisateurs en 2016 et un chiffre d’affaire de 12,5 milliards de dollars. Facebook est le réseau social le plus utilisé dans le monde, le plus controversé par les internaautes mais également par un grand nombre de gouvernements qui dénoncent des pratiques abusives, notamment concernant la vie privée des utilisateurs. Contenus masquer 1 Dangers sur Facebook 2 Facebook interdit aux – de 13 ans, les 9-12 ans y sont présents 3 Les utilisateurs s’affichent la plupart du temps avec leur vrai nom 4 Les images publiées peuvent rester en ligne des dizaines d’années 5 Facebook conserve votre historique tout le temps 6 8% des plus de 13 ans ont donné RV à un inconnu rencontré sur Internet 7 Pour supprimer son compte, il faut effacer une à une toutes ses données 8 La reconnaissance faciale permet de retrouver quiconque sur une photo 9 En cas de doute sur votre nom de profil, Facebook peut vous demander une pièce d’identité 10 Le vol de données et l’usurpation d’identité 11 La photo de profil et de couverture d’un profil sont des photos publiques
Beaucoup se demande si Facebook ne va pas trop loin et si la version Big Brother “1984” d’Orwell n’est pas finalement devenu réalité grâce à cette multinationale qui, comme Google, l’autre géant du web sait tout et évidemment, contrôle tout.
Dangers sur FacebookDes centaines de millions de familles utilisent Facebook comme elles utilisent leur messagerie électronique personnelle et publient la quasi totalité de leur vie privée, décrivant de jour comme de nuit l’activité de leur famille, leut goût, leurs loisirs et tout un tas de détails personnels sur leurs enfants sans se soucier de ce que la plateforme peut en faire. Malgré des témoignages toujours plus nombreux sur des problèmes récurrents de protection de la vie privée et sur une sécurité très insuffisante concernant les données personnelles de ses utilisateurs, Facebook demeure un des moyens les plus facile d’accès pour partager et communiquer avec ses proches. - Citation :
Chaque famille est libre d’offrir ses photos de famille ainsi que ses données personnelles au réseau en échange du service que le réseau social leur apporte. Cependant, entre prendre le risque de se faire pirater et apporter sur un plateau de nombreuses informations sur sa façon de vivre est loin d’être anodin… Voici les 10 “trucs” importants à savoir si vous utilisez ce réseau social pour votre famille. Facebook interdit aux – de 13 ans, les 9-12 ans y sont présents[size] Facebook, ce n’est pas le monde des bisounours. Un enfant de 10 ans n’a rien à faire sur ce réseau. Les risques et les potentiels dangers sont nombreux. Encore plus quand il s’agit d’un enfant.[/size] Les utilisateurs s’affichent la plupart du temps avec leur vrai nom[size] C’est la première erreur quand on ouvre un compte sur Facebook, c’est d’utiliser son vrai nom. Afin d’éviter d’avoir son profil gravé à vie dans les archives de Facebook, il est conseillé de choisir un pseudo.[/size] Les images publiées peuvent rester en ligne des dizaines d’années[size] Même si le réseau social assure que les images et les informations sont supprimées quand un utilisateur en fait la demande, il semblerait que ce ne soit pas vraiment le cas. Max Schrems, un étudiant autrichien a porté plainte contre Facebook après s’en être rendu compte. (Article)[/size] Facebook conserve votre historique tout le tempsVous ne le saviez peut être pas encore mais Facebook conserve l’ensemble de votre historique de recherches. Même si d’après Facebook, ce dernier n’est accessible que par vous-même, il se peut que vous vouliez le supprimer. Voilà donc la marche à suivre. Le site Hitek vous en dévoile une 8% des plus de 13 ans ont donné RV à un inconnu rencontré sur Internet[size] Les enfants ont tendance à faire confiance rapidement aux inconnus, alors pourquoi tenter le diable en leur ouvrant un compte sur Facebook ?[/size] Pour supprimer son compte, il faut effacer une à une toutes ses données[size] Supprimer son compte Facebook n’est pas si simple. Le journal Slate explique comment effacer son passé et toute son activité sur le réseau social.[/size] La reconnaissance faciale permet de retrouver quiconque sur une photoDeepface, le système de reconnaissance faciale de Facebook permet de faire correspondre les visages des photos déposées par les utilisateurs, même sur les photos qui ne sont pas taguées. Certaines autorités et gouvernement on contraint Facebook à supprimer toutes ses données de reconnaissance faciale. Pour en savoir plus En cas de doute sur votre nom de profil, Facebook peut vous demander une pièce d’identitéBeaucoup d’utilisateurs qui utilisaient un pseudo se sont vus supprimer leur compte après que Facebook leur ait demandé de prouver leur identité. Facebook n’aime pas les pseudos car ils sont difficilement monnayable auprès de ses annonceurs. Le vol de données et l’usurpation d’identitéC’est le cybercrime le plus répandu sur L’internet et en particulier sur Facebook. Les pièges sur Facebook sont nombreux. Les médias relaient régulièrement des conseils pour se protéger contre ce fléau. Le premier des conseils et de ne donner aucune informations sur soi, sur sa famille et d’éviter au maximum d’utiliser les réseaux sociaux pour partager des photos avec ses proches. L’usurpation d’identité sur Facebook constitute une atteinte à la vie privée et au droit à l’image. [size] Voir la Vidéo : “C’est l’histoire d’un papa”[/size] La photo de profil et de couverture d’un profil sont des photos publiques[size] Facebook ne permet pas de cacher ou rendre privée sa photo de profil ainsi que la couverture de son profil. Il vaut mieux faire attention à ce qu’on publie à ces endroits là.Pour finir, la désormais célèbre mention présente dans les conditions générales d’utilisation de Facebook stipule clairement que le réseau s’approprie vos contenus. La firme est suceptible de les revendre sans votre autorisation.[/size] - Citation :
- Vous nous donnez expressément la permission suivante, conformément à vos paramètres de confidentialité et des applications : vous nous accordez une licence non exclusive, transférable, sous-licenciable, sans redevance et mondiale pour l’utilisation des contenus de propriété intellectuelle que vous publiez sur Facebook.
[size] …ainsi que le point 9.1 de leurs conditions générales d’utilisation leur attribuant une licence commerciale sur votre nom, votre photo de profil, vos contenus et vos informations:[/size] - Citation :
- Vous nous autorisez à utiliser votre nom, votre photo de profil, vos contenus et vos informations dans le cadre d’un contenu commercial, sponsorisé ou associé (par exemple une marque que vous aimez) que nous diffusons ou améliorons. Cela implique, par exemple, que vous autorisez une entreprise ou une autre entité à nous rémunérer pour afficher votre nom et/ou la photo de votre profil avec votre contenu ou vos informations, sans vous verser de dédommagement. Si vous avez sélectionné une audience particulière pour votre contenu ou vos informations, nous respecterons votre choix lors de leur utilisation.
Avec des conditions d’utilisation ainsi faites, on comprend maintenant pourquoi Facebook réclame régulièrement à ses utilisateurs de renseigner toujours plus leur profil et les incite à publier leurs contenus sur le réseau. Ce sont ainsi de nombreux pièges sur Facebook qui attendent les utilisateurs non avertis. Sources : Internet sans crainte / 01net / Le Monde / Nextimpact | |
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