Coronavirus : Pékin annule les festivités du Nouvel an chinois

Rappel du premier message :

Bonjour à tous. 

J'ai vu au journal de midi cette information concernant "l'annulation" du nouvel an Chinois à Pékin.
Raison ==> Coronavirus.

Ca va faire bizarre un nouvel an sans personne pour le fêter.

Coronavirus : Pékin annule les festivités du Nouvel an chinois
Les autorités ont également décidé de fermer la Cité interdite afin de contenir la propagation du virus.

Par Le Figaro avec AFP
Publié il y a 5 heures, mis à jour il y a 3 heures

Citation :

La ville de Pékin a annoncé jeudi l'annulation des très populaires festivités prévues à l'occasion du Nouvel an chinois, en raison de l'épidémie virale qui a déjà tué 17 personnes en Chine. La Cité interdite, le monument historique le plus célèbre du pays, va également fermer ses portes à compter de samedi, et ce jusqu'à nouvel ordre «afin d'éviter des contaminations liées au rassemblement de visiteurs», a annoncé l'institution.

À lire aussi : Coronavirus: après Wuhan, la Chine place une deuxième ville en quarantaine
Mercredi, la ville de Whuan, d'où est partie l'épidémie du nouveau coronavirus, a été mise en quarantaine. La circulation des trains et avions au départ de cette ville est interrompue depuis ce matin. Les autorités chinoises ont décidé de placer en quarantaine une deuxième ville, Huanggang, une décision effective à compter de jeudi soir.

Tout près, Ezhou (1,1 million d'habitants), a déjà fermé sa gare. Il était encore possible de gagner Wuhan en train ou en avion, même si de nombreux vols étaient supprimés. Mais trains comme avions étaient presque vides, spectacle étrange à la veille du congé du Nouvel An lorsqu'ils sont habituellement pris d'assaut.

À lire aussi : Coronavirus: les étapes de son expansion en Chine et à l'international
Le congé du nouvel an démarre vendredi pour une semaine. Les Pékinois se rassemblent habituellement à cette occasion par centaines de milliers dans des parcs pour assister aux traditionnelles danses du lion et du dragon.

https://www.lefigaro.fr/international/coronavirus-pekin-annule-les-festivites-du-nouvel-an-chinois-20200123

Espérons que ça s'arrangera.

Cordialement.

Bonjour à tous. 8)

Jusqu'à preuve du contraire, il n'y a plus de statistiques fiables.

Les politiciens et les journalistes sont des menteurs.

Dimanche 17 Mai - 4:31 ==> 4 637 décès - China.
Lundi 18 Mai - 8:52 ==> 4 638 décès - China.
Samedi 26 Septembre 2020 - 15:23 ==> 4 639 décès - China.

On peut remonter plus loin mais ça ne servirait à rien.

Les Chinois ne jouent pas la carte de la transparence et c'est bien dommage.

Quand au continent Africain et aux pays pauvres comme l'Inde, il ne faut pas s'attendre à un miracle.
Aucun résultat n'est fiable.

C'est pour cela que j'ai arrêter de compter le nombre de décès.
C'est pour cela aussi que j'ai cesser de relayer des informations qui ne sont rien d'autre que des Hoax (Mensonges ou Rumeurs).

Cordialement.

Cher ami kaboo, je me permets de compléter ta phrase: "Les politiciens et les journalistes sont toujours des menteurs." Ils nous manipulent évidemment.
On trouve des informations fiables dans les revues scientifiques telles que La Recherche, Nature, Scientific American.


Les données recueillies au début de la pandémie surestimaient la mortalité du virus, puis les analyses ultérieures l’ont sous-estimée. Aujourd’hui, de nombreuses études – fondées sur des méthodologies différentes et complémentaires – estiment que, dans la plupart des pays, la mortalité du Covid-19 se situe entre 0,5 et 1 %. « Les études qui me semblent fiables convergent vers cette fourchette », déclare Timothy Russell. Mais certains chercheurs affirment que cette convergence pourrait n’être qu’une coïncidence. Pour bien appréhender la gravité de l’épidémie, les scientifiques doivent comprendre quelle est la létalité du virus dans différents groupes de personnes. Le risque de mourir du Covid-19 varie considérablement en fonction de l’âge, de l’origine ethnique, de l’accès aux soins, du statut socioéconomique et des conditions de santé sous-jacentes. Selon ces chercheurs, il est nécessaire de se pencher plus en détail sur ces différents groupes.
Scientific American, version française en ligne

ACTUALITÉS 25 SEPTEMBRE 2020
25 septembre - La crise immunitaire liée à une maladie grave
Certains cas graves de COVID-19, y compris ceux chez des personnes jeunes et en bonne santé, pourraient être liés au dysfonctionnement des produits chimiques de signalisation immunitaire appelés interférons de type 1, selon une enquête menée auprès de près de 1000 personnes atteintes d'une infection par le SRAS-CoV-2 potentiellement mortelle .
Les interférons de type I sont essentiels pour monter une défense contre la grippe et d'autres virus. Jean-Laurent Casanova de l'Université Rockefeller de New York et ses collègues ont analysé l'ADN de personnes atteintes de COVID-19 sévère, à la recherche de mutations spécifiques dans les gènes qui déclenchent la production d'interférons de type I (Q. Zhang et al.Science https: / /doi.org/d95p; 2020). L'équipe a constaté que 3,5% des participants à l'étude avaient de telles mutations, ce qui les rendait incapables de fabriquer les produits chimiques de signalisation.
Dans une deuxième étude, sur des personnes gravement malades, Casanova, Paul Bastard de l'Université de Paris et leurs collègues ont recherché des autoanticorps - des anticorps qui, pour des raisons inconnues, attaquent les propres tissus et organes du corps (P. Bastard et al.Science https: http://doi.org/d95q; 2020). Les chercheurs ont découvert que plus de 10% des personnes atteintes de COVID-19 sévère avaient des auto-anticorps ciblant l'activité de l'interféron de type I, contre 0,3% dans la population générale. Des expériences en laboratoire ont confirmé que les auto-anticorps neutralisaient l'activité de l'interféron de type I.
Les chercheurs suggèrent que les interférons pourraient être utilisés comme thérapies pour la maladie.
Nature (Google traduction)

Compter les cas de Covid-19 : dimensions méthodologique et culturelle de la production des données

Le rendez-vous est devenu rituel. Dans chaque pays touché par l’épidémie, les décès et les contaminés sont comptabilisés quotidiennement. Mais quel sens donner à ce décompte frénétique ? Les chiffres entre les pays sont-ils comparables ? Pierre-Olivier Méthot, philosophe et historien des sciences biologiques et médicales, analyse les diverses méthodes de production de ces données.
Depuis l’émergence du nouveau coronavirus (SARS-CoV-2) à Wuhan, il y a cinq mois, la maladie connue sous le nom de Covid-19 a fait plus de 210 000 victimes à l’échelle planétaire selon le site de l’Université Johns Hopkins. Chaque jour, les dirigeants des différents pays dénombrent les nouveaux cas d’infection et de décès dus à ce virus. Selon l’historienne, médecin et philosophe Anne-Marie Moulin, ce dénombrement en temps réel singularise la pandémie actuelle au regard de celles qui ont marqué l’histoire de l’humanité. Or, les systèmes de recensement statistique sont peu adaptés à l’information en temps réel, comme l’ont souligné Gilles Pison et France Meslé, de l’Institut national d’études démographiques : « L’urgence et la statistique ne font pas bon ménage ! »

Ces bilans contribuent à rendre visibles certaines catégories (patients pris en charge par le système) plutôt que d’autres (personnes asymptomatiques ou non testées) et masquent la diversité des données cliniques et épidémiologiques engendrées par les pays touchés par la pandémie. Premièrement, les critères de dépistage du virus varient d’un point de vue qualitatif (les tests sont de nature différente) et quantitatif (les pays effectuent plus ou moins de tests). Deuxièmement, les modes de classement des décès changent selon les pays : chez certains, comme l’Italie et l’Espagne, le décès de toute personne testée positive au Covid-19 est communiqué, qu’il se produise en milieu hospitalier, en maison de retraite ou à domicile. D’autres, en revanche, comme la France, ne communiquent dans leurs bilans quotidiens que les décès se produisant à l’hôpital – même si la surmortalité est deux fois plus élevée dans les maisons de retraite (ou ici). En outre, selon le mode de classement adopté, des décès liés à des pathologies autres que le virus peuvent être comptabilisés. Cette hétérogénéité inhérente à l’identification des maladies et des causes de la mort illustre les dimensions méthodologique et culturelle de la production des données.

Deux principaux tests pour détecter une infection au Covid-19
L’identification d’un cas de Covid-19 s’effectue de deux manières générales : à l’aide de tests PCR (Polymerase-Chain-Reaction) ou sérologiques. Le premier consiste à prélever un échantillon du virus en effectuant un frottis à l’aide d’un écouvillon. L’ADN recueilli est ensuite amplifié afin de faciliter la détection de matériel génétique qui indiquera la présence de génome viral. Ces tests sont coûteux à produire et la vitesse du résultat dépend du laboratoire d’analyse. On estime qu’environ 30% des cas ne seraient pas détectés par cette méthode (faux négatifs). La manière dont le prélèvement est effectué exige une certaine dextérité : l’écouvillon doit être enfoncé assez loin dans la cavité nasale pour récolter un échantillon cellulaire testable. Si le virus est en quantité insuffisante ou si l’infection s’est déplacée vers les poumons, un malade peut aussi échapper à cette méthode de détection. Sans compter que la charge virale est souvent trop faible pour être détectée les premiers jours suivant l’infection.

Le test sérologique a pour objectif de détecter la présence d’anticorps dans l’organisme, signe qu’une personne a été en contact avec le virus. Réalisé par prélèvement sanguin, il peut permettre de détecter des patients qui auraient été en contact avec le virus alors même que le test PCR aurait été négatif. Il sera utilisé pour déterminer au niveau global le degré d’immunité d’une population, afin de permettre un relâchement progressif des méthodes de confinement. Mais le test sérologique peut avoir des ratés en termes de sensibilité : il peut produire des faux négatifs si les anticorps de la personne qui a guéri sont indétectables par la méthode ou ont disparu car la mémoire immunitaire est trop faible. Il peut aussi manquer de spécificité : on peut obtenir des faux positifs car des anticorps contre d’autres coronavirus, voire d’autres virus, peuvent être détectés à tort.

Devant ces difficultés, la radiographie du thorax a parfois été adoptée comme méthode complémentaire. Une étude japonaise y a eu recours pour diagnostiquer 700 passagers infectés à bord du navire de croisière, le Diamond Princess. Même si près de 40% des cas de Covid-19 ne présentaient aucune anomalie pulmonaire à l’examen radiologique, ce test demeure utilisé afin de détecter les cas sévères. Une étude chinoise a d’ailleurs montré une corrélation significative entre le nombre de diagnostics par radiographie du thorax et par PCR. Or, lorsque les autorités chinoises ont modifié leur définition d’un « cas confirmé » sur la base d’un test radiographique, ce mode de détection a occasionné une hausse de 20 000 cas d’infections à Wuhan entre le 16 et le 17 février ! Le choix d’un indicateur n’est donc pas sans incidence sur la mesure de la réalité pathologique d’une population.

Des critères de dépistage variables entre les pays
L’exemple des États-Unis et de la Corée du Sud a permis de révéler l’attitude opposée des dirigeants de ces pays qui ont tous les deux connu leur premier cas de Covid-19 le 20 janvier. En une semaine, la Corée du Sud validait un test de dépistage PCR et instaurait un système de traçage à l’échelle du pays permettant de détecter et d’isoler les malades et de ralentir la progression de la maladie. Donald Trump, pour sa part, déclarait : « We have it totally under control » (« l’épidémie est totalement sous contrôle »).

La proximité de la Corée du Sud avec la Chine et les récentes épidémies de grippe et de SRAS ont stimulé la recherche en infectiologie. La culture des maladies transmissibles a aussi permis à la population de répondre prestement à l’imposition de mesures barrières. À l’opposé, une fois les premiers tests disponibles à la fin du mois de février, les États-Unis avaient pour critère de tester uniquement les individus de retour de Chine ou qui avaient été en contact avec une personne infectée. Cette décision a eu pour corollaire l’impossibilité d’offrir un dépistage à grande échelle. Avant les mesures de surveillance, la circulation cachée du virus dans l’État de Washington a ainsi permis son implantation et sa diffusion dans différents sites comme l’État de New York, où sa progression est exponentielle.

Longtemps le second pays le plus touché par la pandémie, la Corée du Sud compte aujourd’hui 244 décès. Or, si le nombre absolu de morts peut être une information pertinente en vue de comparer l’efficacité des mesures de santé publique entre les pays au début de la pandémie, ce classement à moyen et long terme n’a guère de sens si l’on ne rapporte pas ces décès à la population totale de chacun des pays et à la taille des mégapoles concernées.

Même en faisant l’hypothèse de la constance de la méthodologie adoptée, le faible taux de mortalité de l’Allemagne continue d’étonner la communauté internationale : avec près de 165 000 cas de Covid-19, comment expliquer que ce pays n’affiche « que » 6126 décès imputables au virus alors que ses voisins européens, qui recensent un nombre de cas comparables (France 166 000 ; Espagne 230 000 ; Italie 200 000), ont des taux de mortalité environ quatre fois supérieurs ? On a souvent évoqué le caractère systématique, précoce et proactif du dépistage (plus de 400 000 tests effectués depuis le début du mois de mars). L’âge moyen des individus touchés (globalement plus jeunes que la population italienne) et la robustesse du système de santé allemand (40 000 lits disponibles en unité de soins intensifs) pourraient aussi rendre compte de cette différence. Un autre facteur ne saurait cependant être écarté : un responsable de l’Institut Robert Koch à Berlin a en effet déclaré ne pas effectuer de dépistage post-mortem systématique : « We don't consider post-mortem tests to be a decisive factor […]. We work on the principle that patients are tested before they die ». Ce qui signifie qu’un décès hors du milieu hospitalier ne sera pas inclus dans les statistiques. L’Espagne, qui manque de tests, pratique également peu de dépistages post-mortem alors qu’en France, cette initiative est laissée « à discrétion du médecin ». Même si l’on peut raisonnablement estimer que de nombreux patients sont effectivement dépistés avant de décéder, il s’agit d’un autre facteur de différence dans les statistiques de mortalité des pays touchés par la pandémie.

L’exemple du Royaume-Uni montre une autre complication inhérente au calcul de la mortalité : le temps nécessaire pour produire les données officielles. Chaque jour, le gouvernement rapporte en matinée le nombre de nouveaux cas testés positifs. Vers 17h00, il publie le nombre de patients testés positifs décédés dans la journée. Ces chiffres ont l’avantage d’être vite disponibles et de permettre à la population de prendre la mesure de la situation en temps réel. Mais, depuis le 31 mars, le Bureau de la statistique nationale (Office for National Statistics : ONS) effectue aussi son propre décompte. Or, il existe un décalage entre les chiffres du gouvernement et ceux de l’ONS : ces derniers sont parfois inférieurs car, avant d’être comptabilisés, ils doivent être authentifiés par un médecin et inscrits dans un registre, ce qui peut prendre jusqu’à cinq jours. Le traitement des données de l’ONS exige plus de temps avant d’être produites et de « remonter » en raison de la certification médicale nécessaire, mais elles sont aussi jugées plus complètes parce ques contrairement aux chiffres du gouvernement, elles tiennent compte des décès survenus à l’extérieur de l’hôpital. Il arrive aussi que les chiffres de l’ONS soient supérieurs à ceux du gouvernement, car ils incluent tous les cas où la mention Covid-19 apparaît sur le certificat de décès. Tout en étant plus complètes, ces données rendent aussi plus complexe la détermination d’un décès dû au Covid-19 : en effet, le virus peut être une cause majeure ou un facteur aggravant, mais il peut aussi, parfois, n’avoir joué aucun rôle dans le décès. Les États-Unis se trouvent dans une situation analogue car la façon d’établir un décès dû au virus varie au sein même des états américains.

Le nombre de décès : une donnée utile mais ambiguë
Récemment, la revue Nature rapportait qu’en raison de la variation au niveau du dépistage, les épidémiologistes utilisent le nombre de décès dus au virus (plutôt que le nombre d’infections) pour modéliser l’évolution de la pandémie. Or, nous venons de le voir, même une donnée en apparence aussi transparente qu’un décès peut être ambiguë. Selon le pays, un décès à domicile ou en maison de retraite ne rejoindra pas (ou pas immédiatement) les statistiques médicales. Pourtant, l’expérience italienne montre qu’un tiers des décès durant la pandémie se produisent à l’extérieur de l’hôpital. Dans certains pays comme le Canada, le nombre de décès en maison de retraite s’élève à 79 %. Le nombre de morts imputables au coronavirus d’un pays est aussi susceptible de varier en fonction de la qualité du système de santé, de l’envergure et de l’efficience de son programme de tests, ainsi que de la pratique du dépistage post-mortem, comme le laisse penser le cas de l’Allemagne. Enfin, l’inclusion de la totalité des cas où une infection est confirmée dans le décompte global de la mortalité liée à la pandémie (même si le virus n’est pas la cause principale du décès), façonne notre perception de la réalité pathologique de pays comme l’Espagne, l’Italie et le Royaume-Uni, qui ont adopté cette pratique.
Même en laissant de côté la falsification par les autorités chinoises des données concernant le nombre officiel de décès dus au virus, les différents systèmes de classement – critère de dépistage et de classification des décès – rendent inévitablement délicate toute comparaison sérieuse et pourtant nécessaire (voir ici et ici) des données sur la mortalité et de la morbidité entre les pays touchés par la pandémie. Le décompte des cas de décès dus au virus illustre la difficulté réelle de construire une norme à l’échelle supranationale ; il est important de souligner cette hétérogénéité pour éviter l’exploitation politique potentielle de telles comparaisons car, malgré les limites inévitables de tout indicateur, un décès reste un décès peu importe la méthode d’authentification choisie.
Pierre-Olivier Méthot, professeur à la Faculté de philosophie de l’Université Laval, à Québec.
Ses travaux portent sur l’histoire et la philosophie des sciences biologiques et médicales (XIXe-XXIe siècle). Membre du Centre interuniversitaire de recherche sur la science et la technologie (Montréal), il est aussi chercheur à l’Institut des humanités en médecine (Lausanne) et au Laboratoire MIVEGEC (Montpellier).
La Recherche

你好。闫丽梦再谈细节 第二份病毒报告将面世 先已提交美国政府。Le second rapport de Yan Limeng sera publié après accord du gouvernement américain.
Source

大家好。Bonjour.
Il est important de présenter qui est le Dr. Yan Limeng.
Dr. Yan Limeng 閆麗夢 est originaire de Qingdao, région du Shandong. Elle a un Master en médecine clinique, elle est docteur en ophtalmologie. Elle est chercheuse au Centre sur les maladies infectieuses de l'Université de Hong Kong dans les anticorps et l'immunologie cellulaire. Elle a travaillé dans des revues professionnelles.


Dans l'interview avec l'animateur Carlson en septembre dernier, le Dr Yan Limeng a expliqué que le gouvernement chinois avait produit le coronavirus dans un laboratoire de Wuhan. Dr. Yan Limeng pense que le virus qui avait été délibérément créé en laboratoire. Il s'est propagé peut-être accidentellement. Le gouvernement chinois est fautif d'avoir gardé le silence. Les autorités chinoises ont arrêté sa mère pour se venger des explications interdites qu'a révélé le Dr. Yan Limeng.
Information

Coronavirus, ce qu'on sait.

Si le virus responsable du Covid-19 se comporte comme les autres virus respiratoires connus, l’automne et l’hiver seront propices à un rebond de l’épidémie. L’hémisphère Sud, qui sort de la saison la plus froide, donne un aperçu de ce qui pourrait advenir en Europe.
Qu’a-t-on appris depuis mai ? Qu’en matière de dépistage, les tests antigéniques pourraient changer la donne. Bon marché, ils donnent un résultat en quinze à trente minutes, contre plusieurs heures pour une PCR. Que pour ce qui est de la contamination, il est désormais admis que les aérosols, ces minuscules gouttes émises par la respiration elle-même, peuvent être vecteur de transmission. Et que, par conséquent, le port du masque permet bien de mieux se protéger et de protéger les autres. Du côté des traitements, plusieurs médicaments ont démontré leur efficacité sur des patients sévèrement atteints par la maladie. Quant à la recherche sur les vaccins, elle avance à une vitesse inédite. Plus préoccupantes, les recherches sur les séquelles des patients ayant contracté le Covid-19, même sous des formes bénignes, montrent des troubles persistants, des signes de fatigue chronique, mais aussi un cœur fragilisé (et des signes de myocardite), explique longuement le New York Times. Il y a malgré tout des raisons d’espérer. À la faveur de la pandémie, les chercheurs du monde entier ont partagé des informations. Ce n’est pas suffisant, mais peut-être un premier pas vers l’open science, le partage des données et l’accès gratuit aux publications. Une certaine démocratisation de la recherche. En ces temps de complotisme aigu, cela ne peut pas faire de mal.


Dix mois après l’apparition du virus en Chine, on commence à en savoir plus sur sa propagation et sur les moyens de la limiter, mais aussi sur les causes de formes graves de la maladie.
L’hiver approche, et avec lui toujours plus de questions sur l’épidémie. “Quel que soit le scénario hivernal, il faut se préparer à subir la même pression pandémique que celle observée dans l’hémisphère Sud, et réussir à éviter un reconfinement généralisé. En combinant une large vaccination contre la grippe et l’application stricte des gestes barrières, arrivera-t-on à éviter un deuxième confinement ?” s’interroge Antoine Flahault.
Et le spécialiste d’avertir sur l’urgence d’un débat à propos des différentes modalités de confinement envisageables pour cet hiver, car, estime-t-il, “cela ne s’inventera pas au dernier moment, sans une préparation minutieuse”. Vivement le printemps.

Les premières analyses publiées dès février par le Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies avaient mis en évidence que les hommes, en particulier âgés, étaient plus durement touchés que les femmes et qu’ils mouraient davantage de cette maladie. Un constat confirmé ensuite par ce qui a été observé ailleurs dans le monde. Fin août, Nature précisait que, d’après plusieurs études, l’âge est bien, de loin, le facteur le plus important pour prédire le risque de mortalité d’une personne infectée. Mais ce n’est pas le seul.
Des chercheurs continuent d’explorer les raisons qui font que certains sont plus vulnérables que d’autres. Plusieurs publications scientifiques soutiennent l’“hypothèse de la bradykinine” : le virus entraînerait, chez certains individus, une surproduction d’un peptide appelé “bradykinine”, impliqué dans de nombreuses fonctions du corps.
Selon deux études parues  en septembre, un déficit en interférons de type I, une défense immunitaire essentielle produite par le corps dès qu’un agent pathogène a été détecté, serait impliqué. Ces travaux soulignent que, pour un nombre minoritaire mais significatif de patients souffrant de formes sévères de la maladie, la réponse des interférons a été entravée soit par des particularités génétiques, soit par des anticorps – également produits par le corps – qui attaquent les interférons eux-mêmes.

Des troubles persistants
Des mois après l’apparition des premiers signes du Covid-19 et alors qu’on ne détecte plus le virus dans leur organisme, certains patients présentent toujours des symptômes de cette affection.
“En règle générale, environ 10 % des personnes qui ont été contaminées présentent des symptômes durables, estiment des chercheurs britanniques dans un document sur la prise en charge post-Covid des patients atteints de formes graves de la maladie. Pour autant, souligne un article grand public, les médecins généralistes restent relativement démunis.”
Pour les chercheurs, il est désormais crucial de se pencher sur la question de la persistance des symptômes, et pas seulement chez les malades qui ont été le plus gravement atteints. “La plupart des patients que je vois qui souffrent d’un syndrome [post-Covid-19] n’ont pas été hospitalisés, confirme Jessica Dine, pneumologue à la Perelman School of Medicine, de l’université de Pennsylvanie. Ils ont été passablement malades mais sont restés chez eux.” La compréhension des mécanismes en jeu et de la façon de prendre en charge ces patients au long cours n’est cependant pas pour demain. “C’est tout le problème, explique dans Nature Ali Gholamrezanezhad, radiologue à l’université de Californie du Sud : pour évaluer des conséquences à long terme, il faut du temps.”

Mieux comprendre les cas de réinfection
Le 24 août à Hong Kong, puis quelques jours plus tard dans le Nevada, deux cas de réinfection par le nouveau coronavirus ont été confirmés. Le premier, qui n’avait eu que des symptômes légers la première fois, n’en a eu aucun lors de sa réinfection, tandis que celui du Nevada a été plus durement touché. Pour ces deux patients, les génomes des virus ont été séquencés lors de la première et de la seconde infection. Leur comparaison a permis de mettre en évidence qu’il existait su samment de di érences pour exclure que ces personnes aient été des “porteurs persistants” et que la nouvelle infection soit en quelque sorte une “réactivation” de la première. “Avec seulement deux exemples [documentés], on ne sait toujours pas à quelle fréquence les réinfections se produisent”, note dans Nature Akiko Iwasaki, immunologue à l’université Yale. Étudier ces cas est important, estime Yong Poovorawan, virologue à l’université Chulalongkorn, à Bangkok : “Cela permettrait de découvrir quelles réactions immunitaires sont essentielles pour conserver l’immunité et pourrait permettre aux chercheurs de développer des vaccins.”

Et si le coronavirus fusionnait avec un autre?
Sars-CoV-2, responsable du Covid-19, pourrait se recombiner avec un autre coronavirus. Ce ne serait pas forcément grave, assurent les chercheurs, mais la vigilance s’impose.
Huiguang Yi nous a confié qu’il n’était pas particulièrement inquiet au sujet d’une recombinaison entre le Sars-CoV-2 et l’un des coronavirus saisonniers à l’origine des rhumes, car leurs génomes ne sont pas assez proches. En revanche, c’est une tout autre histoire avec les virus du Sras et du Mers, ou avec les coronavirus encore inconnus de la même famille. Celui du Sras est celui qui présente le plus de similitudes sur le plan génomique et donc le plus dangereux, selon lui.
Si inquiétant qu’il puisse paraître, un virus hybride ne serait pourtant pas nécessairement plus méchant que le Sars-CoV-2, souligne Samuel Díaz-Muñoz. Il pourrait devenir un virus respiratoire léger comme le rhume en combinant les caractéristiques moins virulentes des deux virus parents. “Cela pourrait constituer une évolution à l’avantage du virus qui pourrait se propager plus facilement si les gens ne restent plus à l’abri chez eux”, explique-t-il. Pour Huiguang Yi, même si une fusion est peu probable, une recombinaison dans Sars- CoV-2 reste une préoccupation majeure. Elle engendrerait une variation génétique qui pourrait rendre le virus plus virulent, plus résistant aux médicaments et mieux à même d’échapper à notre système immunitaire. Elle pourrait également rendre inutiles les diagnostics fondés sur les tests d’ARN. Les médecins et les spécialistes du contrôle des maladies devraient s’en inquiéter, prévient le chercheur. _Graham Lawton

Préparer la prochaine pandémie
La pandémie actuelle était prévisible, estime le New Scientist. Pourtant, elle nous a surpris. Alors comment se préparer à la prochaine ? “Nous avons besoin d’un comité de préparation aux menaces biologiques dont les recommandations sont suivies, déclare à l’hebdomadaire Laura Kramer, de l’université d’État de New York, à Albany. Cela demande de l’argent et des scientifiques qui soient libres de dire ce qu’ils pensent.” De son côté, Caitlin Rivers, de l’université Johns- Hopkins, pense que les États-Unis devraient créer un centre qui développerait des modèles d’épidémie prédictifs en temps réel, à la manière des prévisions météorologiques. Un programme mondial de surveillance des virus serait aussi bienvenu.

Vers une science plus transparente
Dès le début de l’épidémie en Chine, les chercheurs du monde entier ont rapidement partagé des informations pour comprendre le fonctionnement du virus et lutter contre sa propagation. Mais la tentation de publier vite et de se mettre en avant a mis en évidence des pratiques douteuses. Un groupe de jeunes chercheurs d’horizons divers veut en tirer les leçons et prône l’open science, “un mouvement qui préconise une science beaucoup plus transparente”, explique le site suisse Heidi News. Cela impliquerait notamment de rendre l’accès aux publications gratuit, de mettre à disposition les données brutes utilisées et de diffuser plus largement les évaluations réalisées par les pairs. Près de 400 chercheurs ont signé une pétition visant à promouvoir l’open science.
Courrier International

POURQUOI EMMANUEL MACRON NE PEUT PAS TOUT DE SUITE DÉCLARER LE COUVRE-FEU JUSQU'AU 1ER DÉCEMBRE 2020

Le président de la République a annoncé ce mercredi soir un couvre-feu, de 21h à 6h du matin dès ce samedi, en Ile-de-France et dans 8 autres métropoles, pour une durée d'au moins 4 semaines.
Un mois après l'autre: Emmanuel Macron n'a pas pu décréter jusqu'au 1er décembre le couvre-feu nocturne en Ile-de-France et dans 8 métropoles comme il le souhaitait, puisque la loi l'oblige à passer par un vote du Parlement au-delà de 4 semaines de restrictions.

En décrétant le couvre-feu entre 21h et 06h du matin à partir de ce "samedi 0 heures", Emmanuel Macron espère endiguer la circulation du virus. Une mesure qu'il aurait aimé d'emblée appliquer durant six semaines, ce que la législation actuelle ne permet pas.

Une mesure adossée à l'"état d'urgence sanitaire"
En effet, ce couvre-feu est adossé à la mise en place de "l'état d'urgence sanitaire", un régime d'exception créé à l'occasion de l'épidémie de coronavirus et appliqué du 23 mars 2020 au 10 juillet 2020 (et jusqu'au 17 septembre pour la Guyane et Mayotte).

Or, l'état d'urgence sanitaire, qui entrera en vigueur ce week-end, ne peut être déclaré que pour un mois et sur la base d'indicateurs sanitaires très dégradés. Passé ce délai, il n'est prorogé qu'avec l'accord de l'Assemblée nationale et du Sénat qui fixent sa durée, éclairés par un avis du Conseil scientifique sur la situation épidémique.

Cependant, Emmanuel Macron aurait-il pu décréter le couvre-feu sans s'appuyer sur l'état d'urgence sanitaire ? La réponse est incertaine, selon les différentes sources parlementaires interrogées par l'Agence France-Presse.

L'instauration d'un couvre-feu "juridiquement fragile"
Certes, le régime actuel, fixé par la "loi organisant la fin de l'état d'urgence sanitaire", autorise les préfets à prendre des restrictions de circulation. Mais celles-ci doivent-être très limitées géographiquement et rendent donc l'instauration d'un couvre-feu "juridiquement fragile", selon la rapporteure du texte, la députée LREM Marie Guévenoux.

Début juillet, le Conseil constitutionnel avait déjà lancé un avertissement au sujet du régime actuel: "l'interdiction de circulation des personnes et des véhicules ainsi que l'interdiction d'accès aux moyens de transport collectif de voyageurs ne peut être édictée que dans les territoires où une circulation active du virus a été constatée".


Une fois prononcé, l'état d'urgence sanitaire offre, lui, toute une palette d'outils au gouvernement pour fermer les établissements recevant du public, réglementer voire interdire les rassemblements et déplacements, jusqu'au confinement total.


"Les curseurs peuvent être poussés à leur maximum et peuvent être aussi différenciés" selon la circulation du virus, explique Marie Guévenoux. Ainsi, si l'état d'urgence sanitaire est bien décrété sur tout le territoire national, les préfets de départements pourront choisir quelles dispositions appliquer, en fonction de la situation sanitaire.
BFMTV

L'annonce d'un couvre feu me fait penser à un Etat en guerre. Qu'est-ce qui se passe en France? :shock:


https://dai.ly/x7wtvd7

Combien de temps restera cette covid-19?

https://dai.ly/x7wt0vn

Dans la seconde vidéo le maire de Montpelier disait hier qu'il n'était pas informé. Qu'elle est sa réaction puisque effectivement Montpelier est en couvre feu??
Il y a un manque de transparence. C'est quoi d'abord ce virus? Il est né par accident ou par erreur ou quoi d'autre?

Inutile de se fier aux critiques négatives faites par des aigris de la vie et autres blasés où l'on peut lire des âneries sur un complot mondial pour exterminer les pauvres ou encore l'avis "éclairé" de mecs dont on dirait qu'ils sont de grands savants à mêmes de diriger cette pandémie mondiale au covid-19.

Vous connaissez toutes & tous je suppose l'historique de la seconde vague. J'en rappelle juste le fondement. Le virus est sorti de Wuhan par manque de transparence en touchant toute la Chine, l'Asie, puis l'Europe et les USA, etc.
Pendant que l'Asie combattait en tenant bon en Corée du sud, à Taïwan, à Singapour, le virus a frappé fort l'occident qui avait économisé sur les rapports d'alertes suite au SRAS de 2002. En France, Douste-Blazy ministre de la santé & médecin de carrière, proposa la protection contre une prochaine pandémie mondiale selon lui évidente en tirant les leçons du SRAS. Que nenni. D'abord économiser, réduire les budgets, en finir avec l'hôpital.
Une fois en Europe confinée en partie, le virus a muté en mars 2020. Les boursicoteurs ne s'arrêtent jamais de voyager en jets privés. Ce virus muté est retombé ainsi sur l'Asie, pliant Singapour, le Japon, tous ces pays modèles qui avaient de quoi largement se protéger pour la première vague, mais impuissants devant la violence de cette souche beaucoup plus agressive. Tokyo fut en confinement, l'oublie-t-on ? La Chine pris des mesures sans état d'âme, systématiquement confiner absolument autour d'un cluster, appliquer l'identification portable obligatoire. Ces savants nous ont averti qu'une seconde vague de mutation sévère reviendrait sur l'Europe, puisqu'avec Trump aucune écoute de sa part n'était possible.
Donc, de mars 2020 à début septembre 2020, nous savions que la seconde vague emporterait tout sur son passage, cette fois tuant violemment. On a laissé croire à une vaccination prochaine. On vous vaccine CHAQUE ANNÉE pour la grippe, parce qu'il y a mutation. Comment croire qu'un seul vaccin pourrait en finir avec la démultiplication des mutations ? La France est au tapis, elle ne s'en remettra pas. On est parti la fleur au fusil une fois encore.
La covid-19 s'est installée dans notre mode de vie pour bien des années. Elle restera, comme la grippe, un fléau annuel avec chaque fois une nouvelle vaccination.

Bonjour à tous.

Voici les derniers résultats concernant le Corona Virus Décembre 2019.
https://gisanddata.maps.arcgis.com/apps/opsdashboard/index.html#/bda7594740fd40299423467b48e9ecf6

Global Deaths - 1 420 462

262 145 deaths  US
170 769 deaths  Brazil
134 699 deaths India
103 597 deaths Mexico
56 630 deaths United Kingdom
52 028 deaths Italy
50 700 deaths France
46 207 deaths Iran
44 037 deaths Spain
37 714 deaths Argentina
37 173 deaths Russia
35 860 deaths Colombia
35 685 deaths Peru
21 201 deaths South Africa
16 225 deaths Indonesia
16 077 deaths Belgium
15 138 deaths Chile
14 988 deaths Poland
14 984 deaths Germany
13 288 deaths Ecuador
12 840 deaths Turkey
12 086 deaths Iraq
11 857 deaths Ukraine
11 733 deaths Canada
10 541 deaths Romania
9 185 deaths Netherlands
8 933 deaths Bolivia
8 215 deaths Philippines
7 843 deaths Pakistan
7 611 deaths Czechia
6 585 deaths Egypt
6 555 deaths Sweden
6 487 deaths Bangladesh
5 825 deaths Saudi Arabia
5 539 deaths Morocco
4 742 deaths China
4 393 deaths Switzerland
4 127 deaths Portugal
4 114 deaths Hungary
4 107 deaths Guatemala
3 367 deaths Bulgaria
3 002 deaths Panama
2 983 deaths Tunisia
2 877 deaths Honduras
2 826 deaths Israel
2 667 deaths Austria
...

Cordialement.

Décès dans le monde - 1 420 462

262 145 décès US
170 769 décès Brésil
134 699 décès Inde
103 597 décès Mexique
56 630 décès Royaume-Uni
52 028 décès Italie
50 700 décès France
46 207 morts en Iran
44 037 décès Espagne
37 714 décès Argentine
37 173 décès Russie
35 860 décès Colombie
35 685 décès Pérou
21 201 décès Afrique du Sud
16 225 décès Indonésie
16 077 décès Belgique
15 138 décès Chili
14 988 décès Pologne
14 984 décès Allemagne
13 288 décès Équateur
12840 décès Turquie
12 086 morts en Irak
11 857 ​​décès Ukraine
11 733 décès Canada
10 541 décès Roumanie
9 185 décès Pays-Bas
8 933 décès Bolivie
8 215 décès Philippines
7 843 décès Pakistan
7 611 décès Tchéquie
6 585 décès Egypte
6 555 décès Suède
6 487 décès Bangladesh
5 825 décès Arabie saoudite
5 539 décès Maroc
4 742 décès Chine
4 393 décès Suisse
4 127 décès Portugal
4 114 décès Hongrie
4 107 décès Guatemala
3 367 décès Bulgarie
3 002 décès Panama
2 983 décès Tunisie
2 877 décès Honduras
2 826 morts Israël
2 667 décès Autriche

Les coronavirus sont un grand groupe de virus connu pour causer des maladies. Les manifestations du patient varient du rhume aux infections pulmonaires sévères telles que le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et la pneumonie atypique infectieuse (SRAS). Le nouveau coronavirus (nCoV) est un nouveau type de coronavirus qui n'a pas encore été trouvé chez l'homme, comme le nouveau coronavirus 2019-nCoV. Il est actuellement dans la saison de forte incidence des maladies respiratoires infectieuses en hiver et au printemps. Les personnes doivent prendre une bonne protection de la santé, faire attention au maintien de l'hygiène de l'environnement intérieur et de la circulation de l'air, et minimiser les activités dans les lieux publics avec une mauvaise circulation de l'air ou des personnes surpeuplées. Consultez un établissement de santé à temps.
http://m.chinacdc.cn/jkzt/crb/yl/hrb_11806/ 27/11/2020

État actuel de la nouvelle infection à coronavirus et réponse du ministère de la Santé, du Travail et des Affaires sociales (30 novembre, 2e année d'ordonnance)
Nous tenons à vous informer de la situation concernant la nouvelle infection à coronavirus au 30 novembre et de la réponse du ministère de la Santé, du Travail et du Bien-être.

Le nombre de personnes infectées par la nouvelle infection à coronavirus au Japon était de 146 760 et le nombre de décès était de 2 119.
En outre, 21 069 personnes ont dû être hospitalisées et 123 445 personnes ont été libérées ou annulées.

À propos de la situation intérieure
À minuit le 30 novembre, 146 760 personnes testées positives ont été confirmées.
・ Test positif (145231 cas au Japon, 15 cas de rapatriés de vols charters, 1514 cas de quarantaine aéroportuaire)
Étant donné que le nombre de cas est enregistré pour certaines administrations locales, le nombre est supérieur au nombre réel. Pour les administrations locales qui sont publiées sur le Web en fonction du nombre de cas, la différence est basée sur le nombre de cas lors du calcul du changement par rapport à la veille. Si le nombre de personnes effectuant l'inspection la veille ne peut être confirmé, la différence par rapport à la valeur au moment de l'annonce finale est enregistrée.

Origine du Covid : les nouveaux mensonges de la Chine
LETTRE D'ASIE. Brouillant les pistes, Pékin tente par tous les moyens de saboter l'enquête sur la provenance du coronavirus. Une question pourtant fondamentale. De notre correspondant en Asie, Jérémy André
Modifié le 02/12/2020 à 11:42 - Publié le 02/12/2020 à 09:00 | Le Point.fr
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Un an après le début de la pandémie, l'origine du virus est toujours une énigme. Bombardé d'informations contradictoires, le grand public pourrait même considérer que le mystère s'est épaissi au fil des mois. Les autorités locales de Wuhan avaient d'abord accusé un marché vendant des animaux sauvages. Des scientifiques ont dès lors impliqué le pangolin, mais d'autres l'ont par la suite disculpé. Tout en récusant que le virus puisse venir d'un de leurs laboratoires, des officiels chinois ont accusé, sans aucune preuve, les États-Unis de l'avoir créé et diffusé.
https://www.lepoint.fr/monde/origine-du-covid-les-nouveaux-mensonges-de-la-chine-02-12-2020-2403666_24.php?M_BT=52544877662#xtor=EPR-6-[Newsletter-Mi-journee]-20201203

Je te remercie Josias ;)
On en apprend de belles ! !
On va donc se faire vacciner sans savoir l'origine de ce virus. On nous cache beaucoup de choses.

Jeanbaptiste a écrit:

Je te remercie Josias ;)
On en apprend de belles ! !
On va donc se faire vacciner sans savoir l'origine de ce virus. On nous cache beaucoup de choses.

Bonjour et merci.
Il faut que je marque ce jour d'une pierre blanche,car c'est la première fois que quel qu'un me remercie sur ce forum.
D'habitude c'est tout le contraire.

Cher ami de longue date,
Détrompe-toi des apparences. Il est des sages pour qui le silence est la meilleure expression de gratitude envers toi que des mots moins élevés. Tu es ici chez toi, égaux en droits avec toute autre personne, y compris votre humble serviteur.
Il y a aussi des inscrits un peu beaucoup méditerranéens. Ils prennent vite la mouche pour s'emporter. Leur humeur retombe vite et tout est pardonné. Allez courage et confiance !

Salut j'espère que la santé va bien pour toi?
Au fait si je suis chez moi,comment ce fait-il que je n'ai pas la possibilité d'envoyé des mp sur ce forum?

Citation :

Désolé, mais l'administrateur vous a empêché d'envoyer des messages privés.

La Fontaine: Les animaux malades de la peste.

https://youtu.be/nx2al_aJBqM

Le prince roi punit
Tous les plus démunis.
Témoins de Jéhovah
Sont chassés en Russie.
Si vite on aggrava
Leurs droits en raccourcis.
Moralité finale :
Ce virus est pénal.

[size=59]Le président du Conseil scientifique appelle les Français à rester « extrêmement prudents encore trois à six mois »[/size]

Dans une interview au « Parisien », Jean-François Delfraissy indique que l’arrivée des vaccins n’aura que très peu de conséquences sur le début d’année 2021.

Par L'Obs
Publié le 16 décembre 2020 à 11h05 Mis à jour le 16 décembre 2020 à 15h12

Temps de lecture 1 min

Jean-Francois Delfraissy, le président du conseil scientifique. (LUDOVIC MARIN / AFP)




Jean-François Delfraissy, le président du Conseil scientifique, appelle les Français à rester « extrêmement prudents encore trois à six mois », dans un entretien au « Parisien », publié ce mercredi 16 décembre.
Le professeur demande de la patience aux Francais, le temps que les connaissances scientifiques et les traitements progressent encore. « La science avance, dans le silence, mais elle avance », affirme-t-il.
Qui est Jean-François Delfraissy, le discret et très politique président du conseil scientifique ?
Jean-François Delfraissy indique également qu’il n’écarte pas une éventuelle troisième vague. « Ce rebond pourrait-il survenir à la mi-janvier ou plus tard ? La réponse est oui, le modèle n’a pas changé, le virus va continuer de circuler au fil de l’hiver », explique-t-il.

[size=42]« Ce début d’année ne sera pas différent de 2020 »[/size]

Concernant le vaccin, le président du Conseil scientifique, estime qu’il « sera une solution pour sortir de cette pandémie à l’été ou à l’automne 2021 ». Jean-François Delfraissy relève que tout n’est pas encore réglé et qu’« il reste des questions, la durée de la réponse immunitaire et les effets secondaires qu’il va falloir surveiller avec une très grande attention ».

Un vaccin prouve son résultat en fin de saison. Ce président du conseil scientifique enfonce une porte ouverte :D

[size=48]Royaume-Uni, Allemagne, Italie... Ces pays qui se reconfinent avant les fêtes

Alors que les fêtes de fin d'année approchent, de nombreux pays sont contraints de prendre des mesures drastiques et d'imposer couvre-feu ou confinement à leurs habitants, dans le but d'endiguer l'épidémie.

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[size=10][size=10]Une rue commerçante déserte dans la ville néerlandaise de Nijmegen, , aux Pays-Bas. (Photo by Romy Arroyo Fernandez/NurPhoto)
NurPhoto via AFP


[size=13]Par LEXPRESS.fr avec AFP
publié le 20/12/2020 à 14:56 , mis à jour à 19:12[/size]

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• Actualité
  
• Société
  
• Santé
  

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Àl'approche des fêtes de fin d'année, plusieurs pays durcissent les mesures prises afin de contenir la nouvelle vague de la pandémie qui menace. Tour d'horizon non exhaustif.  
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• Le Royaume-Uni reconfine partiellement
  
  

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Depuis ce dimanche, Londres et le sud-est de l'Angleterre sont reconfinés, pour tenter de juguler une envolée des contaminations attribuée à une nouvelle souche du nouveau coronavirus. Les habitants de cette zone sont placés sous un nouveau niveau d'alerte, le quatrième et le plus élevé. Ils auront pour consigne de rester chez eux et les commerces non essentiels ne pourront plus rouvrir après avoir baissé le rideau samedi, mettant un terme aux achats de Noël de dernière minute. 
LIRE AUSSI >> VIDÉO. Covid-19 : l'évolution inquiétante de l'épidémie à l'approche des fêtes
Rejeté il y a encore quelques jours par Boris Johnson, un strict tour de vis est aussi donné au relâchement qui était prévu pour permettre à jusqu'à trois foyers de se retrouver pendant cinq jours autour de Noël. Désormais, tout rassemblement est interdit pour Noël dans le niveau d'alerte le plus élevé, tandis que les retrouvailles devront se concentrer sur un seul jour, le 25 décembre, dans les autres. 
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• L'Italie classée "rouge" pour les fêtes
  
  

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L'Italie qui, avec le Royaume-Uni, est le pays d'Europe le plus durement frappé par la pandémie avec plus de 68 000 morts, va, elle aussi, se reconfiner pour les fêtes. 

"Nos experts craignent que la courbe de contagion n'augmente pendant la période de Noël", a expliqué le chef du gouvernement Giuseppe Conte. 
Toute l'Italie sera classée "rouge" pour les fêtes, soit le niveau de confinement le plus strict, pour les fêtes de Noël et de Nouvel an, mais les Italiens auront le droit de sortir de chez eux pour participer à un repas de famille en nombre limité, a annoncé un décret publié samedi.  
Les Italiens pourront d'ailleurs se déplacer une fois par jour dans leur région pour rendre visite à des parents ou des amis, en dehors du couvre-feu qui existait déjà (22H00-5H00).  
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• En Allemagne, Noël en petit comité
  
  

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Depuis mercredi, tout le pays tourne depuis au ralenti : seuls les commerces "essentiels" (supermarchés et autres magasins d'alimentation, pharmacies, librairies) peuvent rester ouverts. Les écoliers ont aussi été invités à rester chez eux avant les vacances de fin d'année qui débutent vendredi et seront prolongées jusqu'au 10 janvier. Le télétravail doit aussi être privilégié. 
LIRE AUSSI >> Covid-19 : la France fait-elle vraiment mieux que l'Allemagne ?
Les Allemands s'apprêtent également à passer Noël en petit comité tandis que les célébrations de la Saint-Sylvestre ont été interdites, tout comme la vente de pétards et de feux d'artifice dont ils raffolent. 
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• Troisième confinement en Autriche
  
  

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Le gouvernement autrichien va instaurer un troisième confinement généralisé à partir du 26 décembre pour tenter d'endiguer la pandémie, a indiqué vendredi le gouvernement. 
Du 26 décembre au 24 janvier, un couvre-feu s'appliquera à nouveau toute la journée. Après le 18 janvier, seuls les résidents s'étant pliés à un test antigénique pourront reprendre une vie sociale avant la levée générale des restrictions prévue à ce stade pour tous le 24 janvier. 

Le maintien de l'ouverture des sports en plein air, donc des remontées mécaniques pour le ski alpin, à partir du 24 décembre, est laissé à l'appréciation des autorités locales et régionales. 
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• Nouveau coup de vis au Danemark
  
  

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Le Danemark durcit encore ses mesures de restriction en fermant les commerces pendant les fêtes, a annoncé la Première ministre, Mette Frederiksen. Les centres commerciaux sont fermés depuis jeudi. Lundi, ce sera le tour d'une première série d'activités, puis, à partir du 25 décembre, tous les commerces non essentiels devront eux aussi baisser le rideau.  
Ces restrictions rejoignent la longue liste de mesures prises pour juguler la hausse croissante des nouveaux cas, après l'extension à l'ensemble du pays mardi des mesures de semi-confinement (fermeture des collèges et lycées, bars, restaurants, centres sportifs et lieux culturels) à l'ensemble du pays.  
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• Revirement de la Suède
  
  

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La Suède a effectué vendredi un nouveau revirement dans sa stratégie atypique et controversée face au coronavirus, en recommandant pour la première fois le port du masque dans les transports publics. 
LIRE AUSSI >> Covid-19 : la Suède s'est-elle montrée trop insouciante face à la deuxième vague ?
Si un confinement ou des fermetures complètes des bars, restaurants et magasins ne sont pas à l'ordre du jour, le gouvernement a présenté une nouvelle série de mesures et de recommandations plus strictes dont l'introduction de jauges de visiteurs dans les commerces et club de gyms, limitation des tablées à quatre personnes maximum dans les restaurants. 
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• L'Espagne n'exclut pas un durcissement des mesures
  
  

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Alors que la situation s'était nettement améliorée ces dernières semaines en Espagne, me chef du gouvernement Pedro Sánchez a qualifié mercredi d'"inquiétante" la situation épidémique en Espagne, en raison d'un rebond des cas de Covid-19 ces derniers jours. Depuis début décembre, environ 9.000 nouveaux cas sont notifiés chaque jour par le ministère de la Santé.  
Pedro Sánchez a souligné qu'il n'hésiterait pas à "proposer aux gouvernements régionaux de durcir le plan de Noël", un ensemble de mesures dont le but est de contenir les contagions pendant les fêtes de fin d'année. Ces mesures, adoptées en coordination avec les différents gouvernements régionaux, limitent notamment à dix le nombre total de personnes pouvant participer à des réunions familiales ou entre proches et restreignent considérablement les déplacements entre régions. 
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• En Thaïlande, un confinement local autour d'un marché
  
  

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La Thaïlande, relativement épargnée par la pandémie avec un peu plus de 4000 cas et 60 morts signalés, a de son côté imposé samedi un confinement autour de son plus grand marché de produits de la mer, près de Bangkok, où a été détectée une reprise locale de l'épidémie. Samedi soir, les autorités ont annoncé 548 nouveaux cas de contamination liés au marché de crustacés de Mahachai. 
LIRE AUSSI >> Déconfinez-moi #11 : L'année 2020 s'annonçait si belle !
Les autorités locales ont imposé un confinement strict et un couvre-feu autour du marché jusqu'au début du mois de janvier. Il concerne les écoles, les stades, les terrains de jeux et les centres commerciaux, mais les élections locales de dimanche devraient se tenir comme prévu à condition que les électeurs portent des masques de protection. [/size][/size]