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 Histoire des plus anciens manuscrits du Coran

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MessageSujet: Histoire des plus anciens manuscrits du Coran   Histoire des plus anciens manuscrits du Coran EmptyMer 17 Avr - 11:35

Dans le Coran moderne actuel, historiquement, presque aucun personnage biblique n'a d'existence. POURQUOI ?


Dans le Coran moderne !
Car les personnages historiques ont tous été islamisés. Jésus est un personnage historiques par l'archéologie, les auteurs grecs et latins contemporains, l'anathématisation des juifs chrétiens, ces nazaréens, mis hors des synagogues après la destruction du Temple en 70 par Titus. Ce Jésus bien historique est pour les juifs, et rien n'a changé aujourd'hui en Israël, un faux messie, un "bâtard", un Esaü, un Îsa en arabe. Moïse est devenu Moussah, musulman dont son frère Aaron (Aroun en arabe) est en relation avec Myriam la mère de cet Îsa. Abraham dont la vallée ancestrale d'Hébron en Palestine porte toujours son nom géographique depuis des millénaires, devient le musulman Ibrahim. Et la Mecque n'existait pas au VII siècle ! Voici ce qu'est le négationnisme complet de l'Histoire par le Coran moderne, qui ne se fixe définitivement qu'après le génocide arménien au début du XX siècle.

Génocide toujours nié par la cinquantaine de pays sous dictature et religion d'Etat Islam. La Bible "est falsifiée" selon le Coran moderne. C'est un prosélytisme qui commence avec les califes, les rois de Damas, et se combat par des tueries et des haines sans fin depuis le IX siècle.

Pourquoi ?
D'abord, on ne change pas le nom d'un personnage inventé puisqu'étant imaginaire, on n'a de compte à rendre à personne sur son histoire. Ce galiléen Jésus a son nom totalement changé. Pourquoi s'il n'a jamais existé réellement ? René Goscinny est mort, son Astérix, son Luky Luke, continuent de vivre leurs histoires avec leurs noms sous d'autres dessinateurs et scénaristes. Qui se permettrait d'ajouter un faux historique sur De Gaulle, Clovis, Jules César, Napoléon ? A part les musulmans qui affirment qu'ils s'étaient tous convertis à l'islam, personne d'autre dans le monde, car c'est immoral et négationniste.

Qui pouvait bien être ce Mahomet ?
On n'en sait strictement rien. Comment un personnage apparemment historiquement si important, est un inconnu total des historiens de son temps. Les plus vieux corans, ces lectionnaires de la mouvance juive talmudique juive au VII siècle qui se diffusent en Arabie par l'interdiction du Pape sur ces horreurs négationnistes et ces insultes sur Marie. C'est juste une transposition dans un pays informe, l'Arabie sans droit, structuré par les lois claniques de son époque, le paradis en somme des sectes interdites dans la chrétienté.
Sources d'approfondissement solides : Odon Lafontaine
&

&


Sujet plus complexe :


Mahomet était certainement un personnage bien réel
...Mais on n'a rien, donc plus rien. Et seule l'archéologie nous sauve, par ses découvertes. Les plus vieux corans sont d'origine syriaque, les personnages auxquel s'adressait ce Mahomet (surnom adjectivé signifiant "le béni"), surnom officiel dans l'Arabie christianisée complètement au V siècle pour Jésus le Messie. Curieux, non ?
Source : Claude Gilliot
&
Autre source savante : Origine du coran

Bon courage !

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MessageSujet: Re: Histoire des plus anciens manuscrits du Coran   Histoire des plus anciens manuscrits du Coran EmptyMer 17 Avr - 11:37

Le sujet, c'est que les infidèles (les musulmans) affirment sans jamais avoir lu ni la Bible qui est impie pour eux, ni le coran arabe original (ils ne lisent pas le coran, ils lisent la Sira).

Or pour qu'un prophète soit biblique, il doit être juif. Dans la Bible, tous les prophètes sont juifs. Jésus le Messie, le Christ, est juif aussi.

Donc si leur Mahomet est dans la continuation de la Bible (ils disent Injil), il était juif ! C'est imparable !

Et tous les savants occidentaux et tous les savants LIBRES orientaux, affirment pareil : le Coran arabe dans les plus vieux codex, c'est du judaisme ébionite juif typique. 90% de ce Coran est du copié/collé de textes anciens juifs ébionites.

Sources savantes 2018
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Couverture-moyen-10-2014-558a603
&
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Koran-558a609
&
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran 3_visages_du_coran-558a620
&
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Gallez-558a622
&
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Raquin_livre-558a626
&
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Cropped-icone-centre-558a629
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MessageSujet: Re: Histoire des plus anciens manuscrits du Coran   Histoire des plus anciens manuscrits du Coran EmptyMer 17 Avr - 11:38

Analyse du musulman Îsa (Jésus)



Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Isa-pas-jesus-514e14f
Îsa n’est pas une figure historique.
Le Îsa coranique n’est pas un personnage historique crédible, car son identité, comme son rôle de « prophète de l’islam », se basent sur de présumées révélations individuelles à Mahomet, ayant eu lieu plus d’un demi millénaire après la vie et la mort du Jésus historique, au sujet duquel seuls les écrits néo-testamentaires sont les témoignages tangibles les plus proches.
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Isa-pas-jesus-514e14f

Le véritable nom de Jésus n’a jamais été Îsa.
La langue maternelle de Jésus était l’araméen. Du temps de son existence personnelle, il a été appelé Yeshua en araméen, puis Jesu en grec. Yeshua est une variante de l’hébreu Yehoshua, qui signifie « Yahvé sauve ».

Yeshua de Nazareth n’a jamais été appelé Îsa, le nom que lui attribue le Coran. Îsa ne veut rien dire en arabe; Jésus est délibérément privé de son identité.

Jésus n’a jamais reçu un « livre »!
Selon le Coran, un livre a été révélé à Îsa, comme aux autres prophètes: c’est l’injil.

Le terme arabe « injil » n’est que la déformation du grec ev-angelion qui veut dire bonne nouvelle ou évangile. Jésus annonçait en effet une bonne nouvelle libératrice de la part de Dieu, dans la ligne de ses prédécesseurs, en se référant à une expression de la période du retour d’exil où une annonce de bonheur avait été faite au peuple d’Israël déporté à Babylone.

L’expression eu-angelion ne se comprend donc pas par rapport à un texte de révélation que Jésus lui-même aurait reçu tout rédigé, et que le Coran appelle « injil ».
Le terme « évangile » n’a été utilisé qu’après la mort de Jésus pour donner un titre biblique aux récits biographiques rédigés par Matthieu, Marc, Luc et Jean comme base de confessions de foi des communautés. C’est sans doute à partir de ces rédactions apostoliques que Mahomet s’est fait cette fausse idée d’un injil comme livre de révélation donné au prophète Îsa par Allah.
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Mahomet-vs-jesus-514e1b0

L’ensemble des prophètes de l’islam dont les noms sont puisés dans les Ecritures hébraïques n’ont pas reçu de livre ou de code de lois. Par exemple les psaumes ne sont pas un livre révélant l’islam, comme le prétend le Coran, mais une collection de chants liturgiques, dont quelques-uns sont de David. Les Israélites qui se référaient alors à la Torah de Moïse n’ont jamais cherché de prescriptions légales dans les psaumes. Ainsi, David ne pouvait pas être un « prophète » au sens coranique du terme, c’est-à-dire un transmetteur de loi; de même, nombre de personnages cités comme tels par l’islam n’ont jamais été des porte-parole d’une loi.

Prophéties bibliques et prophéties coraniques: rien à voir !
La compréhension biblique de la prophétie est totalement différente de celle de Mahomet. Une prophétie n’est pas considérée comme extrait d’un texte céleste préexistant éternellement, à l’instar du Coran, mais comme message de Dieu inspiré à des êtres humains pour un temps et un lieu spécifiques.

Un prophète biblique est une personne vivant dans un contexte précis, à qui Dieu révèle des réalités encore cachées à tous et qui est appelée à agir comme son porte-parole. La variété des textes inspirés dans la Bible montre bien que ceux-ci ne sont pas dictés à partir d’un livre céleste intemporel et an-historique.

Erreurs et anachronismes du Coran
L’affirmation du Coran selon laquelle Jésus ne fut pas exécuté sur une croix n’a aucune base factuelle, et rappelle étonnamment la polémique développée quelques siècles plus tôt par les courants hérétiques hostiles au christianisme naÎsant.

Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Img_7982-519249d

Or, l’un des points forts orthodoxes sur lequel se rejoignent toutes les sources chrétiennes originelles est précisément la crucifixion de Jésus.

La mère d’Îsa est appelée Mariam dans le Coran, et elle est présentée comme la sœur de Moïse et d’Aaron, et la fille d’Imram (en hébreu Amram). Mahomet a visiblement confondu Marie avec la Myriam de l’Exode, treize siècles auparavant !

Le Coran reproche aux chrétiens d’adorer trois dieux: Dieu le Père, le Fils Jésus, et la Mère Marie. Ce qui est une caricature grossière. Il accuse aussi à tort les juifs et les chrétiens de polythéisme. (voir Deutéronome 6.4 et Jacques 2.19a), impiété gravissime.
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Img_6959-5141252

De nombreuses séquences du Coran évoquent des récits populaires juifs ou chrétiens, et d’autres rappellent la littérature apocryphe datant d’un siècle minimum après la mort de Jésus. Ainsi, le récit coranique de Jésus (Îsa) né sous un palmier-dattier est la reprise d’une fiction tardive, de même que celui de Jésus enfant insufflant la vie à des oiseaux d’argile.

Les titres que le Coran donne à Jésus, tels que Messie et Parole de Dieu ne trouvent aucune explication dans la propre logique islamique. Par contre dans la Bible, d’où ils ont été expatriés, ces titres prennent un sens précis, lié à un système théologique cohérent, que le Coran méconnaît totalement.

Le Coran mentionne le Saint Esprit en connexion avec Jésus, utilisant ainsi des phrases extraites de l’Evangile. Ibn Ishak, le biographe de Mahomet, rapporte que, pour ce dernier, l’Esprit est l’ange Gabriel (Jibril), (de même que les sourates 2.97 et 16.02).
C’est pourquoi l’expression biblique « Esprit de Dieu » ou ruah Elohim, ne peut se comprendre qu’à la lumière des saintes Ecritures hébraïques; cela ne correspond en tout cas pas à un ange.

L’allégation coranique selon laquelle Jésus aurait annoncé la venue de Mahomet (61.6) semble fondée sur une lecture complètement reformulée de Jean 14.26, un passage qui se réfère à la venue du Saint-Esprit.
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Isa-annonce-le-coran-514e15c

Les Ecritures saintes hébraïques étaient la bible de Jésus. Il a toujours affirmé leur autorité et leur pertinence, et il a prêché à partir de leur message théologique. C’est en fonction de ces mêmes Ecritures que Jésus a reconnu et présenté Dieu comme Adonaï Elohim, le Dieu d’Israël. Il n’a jamais appelé Dieu Allah, nom d’une divinité païenne arabe dont le culte existait à la Mecque bien avant Mahomet (son propre père, mort avant sa naÎsance, se nommait d’ailleurs Abd allah = serviteur d’Allah).

Les développements narratifs de la Bible sont riches de détails historiques souvent confirmés par la recherche archéologique. Ils recouvrent plus d’un millier d’années et révèlent un long processus de créativité culturelle.

A l’opposé, l’histoire religieuse du Coran ne s’appuie sur aucun support archéologique; les récits fragmentaires et discordants qui la composent n’offrent jamais le reflet de cultures historiques. Aucune localisation possible de l’Israël ancien n’y est mentionnée, et le nom de Jérusalem, si central dans la Bible, n’y apparaît jamais !
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Img_7973-519249f

La plupart des événements prétendument historiques relatés dans le Coran n’offrent aucune possibilité de vérification indépendante. Ainsi, on nous explique qu’Abraham et Ishmaël ont construit la Kaaba à la Mecque (1.127) mais il n’y a aucun support historique à cette affirmation. Le texte biblique original, antérieur de plus de mille ans, ne place Abraham dans aucun lieu proche de l’Arabie.

Le Coran, écrit par étapes à partir du 7ème siècle de notre ère, et dont les sourates innombrables ont été finalement sélectionnées et peut-être reformulées par Othman (modifications jusqu’au 10 ème, selon Mondher Sfar) n’est pas crédible lorsqu’il parle de Jésus Christ. Il n’est pas compétent en histoire biblique, contient de nombreux contresens historiques, et ne peut donc faire autorité en la matière.
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Img_7980-519249a

Appropriation, par l’islam, de l’histoire du judaïsme et du christianisme
A la lumière des événements ultérieurs, on peut analyser la prétention selon laquelle l’islam est la religion primordiale et les prophètes antérieurs à Mahomet déjà musulmans: cela s’appelle une appropriation abusive au profit de l’islam. Cette captation d’héritage spirituel prive le judaïsme et le christianisme de leur propre histoire.

N’oublions pas que de nombreux sites bibliques, comme les tombeaux des patriarches hébreux et le Mont du Temple, sont réclamés par l’islam comme étant des sites islamiques, et non pas juifs ou chrétiens (le Coran nous raconte qu’Abraham était le prototype du croyant de l’islam. D’où la revendication d’une Palestine arabe et musulmane, sans tenir aucun compte des bénéficiaires historiques de la Promesse, les Juifs).

Il est vrai que sous la loi islamique (le waqf), après la sortie des Arabes d’Arabie et l’invasion de la Terre sainte, les juifs et les chrétiens ont effectivement été bannis de ces sites chargés de mémoire juive et chrétienne exclusivement.
Le rôle des Ecritures hébraïques dans le christianisme n’a pas de parallèle avec la place que l’Islam donne à la Bible

Il y a une différence fondamentale entre l’attitude chrétienne vis-à-vis des Ecritures hébraïques et l’attitude musulmane envers la Bible. Les chrétiens acceptent telles quelles les Ecritures hébraïques, qui étaient celles de Jésus et de ses apôtres, et celles de la primitive Eglise, entièrement juive.

L’essentiel de la foi chrétienne s’appuie sur elles, et les concepts essentiels tels que Messie, Esprit de Dieu, Royaume de Dieu, salut, etc, s’enracinent profondément dans la tradition biblique. L’Eglise a même excommunié l’hérésiarque Marcion qui voulait exclure la Bible hébraïque du Canon des Ecritures!
Dans les temples et les églises, on lit chaque dimanche les mêmes Ecritures hébraïques que celles lues le samedi dans les synagogues. Les prêtres et les moines prient les psaumes chaque jour, louange typiquement juive.

Au contraire, la façon qu’a l’islam de traiter la Bible est d’une arrogance insupportable : d’un côté le Coran prétend « confirmer » les révélations précédentes, en même temps il n’accorde strictement aucune place au contenu réel de la Bible.
En déclarant sans aucun argument précis que les juifs et les chrétiens ont falsifié leurs Ecritures, le Coran cherche surtout à couvrir ses fantaisies historiques et théologiques. Il est très rare que les étudiants musulmans connaissent quelque chose des textes ou de la théologie bibliques, les imams ne lisent jamais la Bible et ils restent ainsi enfermés dans leur autoproclamation coranique sans aucun repère critique.
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MessageSujet: Re: Histoire des plus anciens manuscrits du Coran   Histoire des plus anciens manuscrits du Coran EmptyMer 17 Avr - 11:40

Le Juif Jésus (YESHUA) des évangiles n’est pas le Jésus (Îsa) du coran et des hadiths !




Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Yeshua

A l’époque du multiculturel et du politiquement correct, il est devenu banal d’entendre affirmer, au nom de la « tolérance », que le christianisme et l’islam, l’un autant que l’autre, vénèrent Jésus!
Qu’il soit appelé Jésus ou Îsa ne serait qu’un détail sans conséquence, puisqu’il appartiendrait de droit aux deux religions…
Dans la même perspective, sous l’influence de Massignon et de ses émules, l’appellation de civilisation « abrahamique », a remplacé ce que précédemment on nommait civilisation judéo-chrétienne! Les journalistes se réfèrent maintenant aux « trois monothéismes », ce qui permet, au passage, de placer l’islam au même niveau que le judaïsme et le christianisme, laÎsant croire que la religion de Mahomet (Mohamed) appartient à l’héritage biblique…
Des commentateurs chrétiens n’hésitent pas (par ignorance) à reprendre à leur compte l’expression pourtant spécifiquement islamique de « religions du Livre », qui désigne juifs et chrétiens jugés par l’ultime « révélation coranique ». Alors qu’en fait ni le judaïsme ni le christianisme ne sont une religion du livre, et que seul l’islam donne littéralement au livre du Coran un statut aussi central et sacralisé.
Toutes ces expressions hyperconsensuelles reflètent une idéologie qui gagne du terrain dans les médias et les mentalités, traduisant surtout l’influence fulgurante de l’islam en ce début de troisième millénaire. Actualisation du hadith: « l’islam domine, mais n’est pas dominé… »

Quelle est la logique de ce processus?
L’islam se perçoit comme la religion primordiale. Pour lui, le judaïsme et le christianisme n’en sont que des développements accessoires, et périmés. Les musulmans et eux seuls forment « la meilleure communauté au monde » (3.110)
Car pour le Coran, Abraham (Ibrahim) est le prototype radical du monothéiste, soumis à Allah (3.66), le hânif. Les musulmans et eux seuls sont donc les vrais représentants de cette foi fondamentale d’Abraham dans le monde d’aujourd’hui!
Or la religion de l’Abraham biblique et celle de l’Abraham coranique n’ont pas grand chose de commun. La ressemblance est purement formelle. Si l’Abraham de la Bible est le premier maillon vivant d’une chaîne historique de croyants en la promesse de Dieu, l’Abraham du Coran est un prophète qui proclame une foi intemporelle et abstraite en l’unicité d’Allah. L’Abraham biblique renonce à sacrifier son fils Isaac, (Ismaël, dans le Coran) car le « Dieu des vivants » a en horreur les sacrifices humains.
Mais la relation à Dieu sous forme d’alliance, c’est à dire de réciprocité vivante et confiante, si fondamentale chez les juifs et les chrétiens, est absente dans l’islam. L’Abraham du Coran est le premier « soumis » de toute une série de personnages, Adam, Noé, Jésus, etc. Les prophètes du Premier Testament manquent à l’appel, car le sens du mot « prophète » (nabi en hébreu, rasûl en arabe) n’est pas le même en islam.

Le musulman Îsa (= Jésus?)…
Deux sources décrivent le personnage d’Îsa, Jésus musulman : le Coran et les Hadith, les deux ayant autorité et constituant la sunna, la tradition islamique.
Le Coran donne un bref aperçu de sa vie, tandis que les Hadith (collection de dits du prophète Mohamed) précisent son rôle dans la compréhension islamique des temps à venir.

Îsa dans le Coran:
Selon les sourates qui parlent de lui, Îsa est un prophète de l’islam parmi d’autres, mais dont l’envergure est particulière. Son message est purement islamique, en relation avec Allah (3.84). Comme tous les prophètes avant lui, et comme Mohamed après lui, Îsa n’a pour seul but que de donner la loi de l’islam, et de ce fait, ses disciples appelés chrétiens devraient s’en remettre à cette seule loi (3.50; 5.48) car, au départ, ils étaient naturellement soumis à Allah en affirmant: « nous sommes croyants », en d’autres termes: « nous sommes musulmans » (5.111).

Les Livres
Comme tous les prophètes de l’islam avant lui, Îsa a reçu sa révélation de l’islam sous la forme d’un livre (6.90), appelé injil , (déformation de: évangile). La Torah était le livre d’Abraham (!), et le Zabour (psaumes) était le livre de Daoud (David).
C’est pourquoi les juifs et les chrétiens sont appelés les « gens du livre ». (ahl al kitab) Mais la seule religion révélée dans tous ces livres, c’est l’islam (3.18).
La révélation donnée à Îsa confirme les prophètes qui l’ont précédé (3.49, 84; 5.46; 61.6). Mohamed lui-même, « sceau des prophètes », a authentifié toutes les révélations antérieures, celle d’Îsa incluse (4.47). C’est la raison pour laquelle les musulmans doivent croire dans la révélation que Îsa a reçue (1.136) tout en sachant que son livre, injil, a été détourné de sa forme originelle par ses adeptes, et que, de nos jours, seul le Coran est le guide sûr pour accéder à l’enseignement d’Îsa!

La biographie coranique de Îsa
Selon le Coran, Îsa était « Messie ». Il était sous l’influence du Saint Esprit (2.87; 5.110). Il est également présenté comme parole d’Allah (4.171).
La mère de Îsa, Mariam, était la fille d’Imram (3.34,35) (cf le Amram de l’Exode) et la sœur d’Aaron et de Moïse (19.28). Elle avait été adoptée par Zakariah (père de Jean-Baptiste) (3.36). Toujours vierge, Mariam donna naÎsance à Îsa, seule dans un lieu désert, non pas à Bethlehem de Judée, mais sous le palmier dattier (19.22s) d’une oasis.
Îsa se mit à parler, encore bébé, dans son berceau (3.46; 5.110; 19.30). Il réalisa de nombreux prodiges, comme d’insuffler la vie à des oiseaux d’argile, de guérir les aveugles et les lépreux, de relever des morts (3.49; 5.111). Mais surtout, il annonça la venue de Mohamed (61.6).

Îsa n’est pas mort sur une croix
Le Coran rectifie les messages qui l’ont précédé, car « les chrétiens et les juifs ont corrompu leurs Ecritures » (3.74-77; 113). Bien que les chrétiens croient que Jésus est mort en croix, il ne fut en réalité ni tué ni crucifié, et ceux qui affirment la crucifixion sont des menteurs (4.157).
Îsa n’est jamais mort, mais a connu une ascension auprès d’Allah (4.158). C’est pourquoi, au jour de la résurrection, Îsa en personne portera un témoignage d’accusation contre les juifs et les chrétiens qui ont cru à sa mort en croix (4.159).

Les vrais chrétiens devraient accepter l’islam
De la part des chrétiens et des juifs, il est impardonnable d’ignorer le fait que Mohamed a transmis le Coran comme claire évidence de la révélation d’Allah (98.1). Mohamed était même le cadeau d’Allah aux chrétiens, venu corriger leur mauvaise interprétation et leur déviance. Ils devraient donc accepter Mohamed comme messager d’Allah, et le Coran comme la révélation finale! (5.15; 57.28; 4.47).
Les « vrais » chrétiens étant par définition incapables d’aimer les ennemis de Mohamed (58.22), de ce fait, quiconque s’oppose au message de Mohamed ne peut pas être un vrai chrétien.

Les chrétiens qui refusent ou acceptent l’islam
Quelques juifs et chrétiens sont de vrais croyants, car ils acceptent l’islam, ne parlent ni n’agissent en sa défaveur; mais la plupart, indifférents ou hostiles, sont des transgresseurs (3.109) qui seront châtiés, puisque ceux qui refusent de reconnaître la mission de Mohamed iront en enfer (98.6).
Pour le Coran, il est clair que les musulmans ne devraient « jamais prendre pour amis des juifs ou des chrétiens » (5.51). Ils doivent plutôt les combattre jusqu’à ce qu’ils se soumettent, payent la taxe de dhimmi, et soient humiliés (9.29).
Des centaines de versets coraniques sont de fait consacrés au « jihad dans le sentier d’Allah » (= guerre armée contre les infidèles). On trouve dans ce livre « sacré » plus fréquemment les termes de combattre et de tuer que le mot prier.
Il existe un Livre du Jihad dans toutes les collections de Hadith, ce qui prouve la centralité de ce thème combattant, assimilé à un 6ème pilier de l’islam pour tout un courant historique.

Les croyances des chrétiens
Il est expressément demandé aux chrétiens de ne pas croire que Îsa est le Fils de Dieu. La paternité étant perçue sur le plan purement biologique, la transcendante majesté d’Allah est évidemment incompatible avec le fait d’avoir un « fils » (4.172; 25.2). Îsa n’était simplement qu’une créature humaine, et un serviteur d’Allah. (4.172; 3.59).
Le Coran accuse les chrétiens de blasphémer, parce qu’ils croient en une famille de dieux: Dieu le Père, Marie la mère, et Îsa le Fils… Pourtant Îsa a rejeté cet enseignement (5.116). La doctrine de la trinité est une mécréance, et une destinée douloureuse attend inévitablement ceux qui y adhèrent (5.73) car le blasphème mérite les plus sévères sanctions. Les « associateurs » auront un châtiment particulièrement sévère en raison de cette impiété impardonnable aux yeux de l’islam (shirk).

Îsa (Jésus) dans les Hadith:
Îsa, le destructeur de la chrétienté
La deuxième source officielle de la croyance islamique (aussi importante que le Coran lui-même) considère que le prophète Îsa va jouer un rôle important à la fin des temps: il fera la guerre à toutes les religions, jusqu’à leur destruction, démontrant ainsi le triomphe de l’islam…
Dans une tradition, nous lisons que de nouveaux prophètes n’apparaîtront plus sur terre avant que Îsa ne revienne, comme un homme de taille moyenne, au teint rougÎsant, portant deux vêtements légers, des gouttes tombant de sa tête, bien qu’il ne soit pas mouillé. Il combattra pour la cause de l’islam.
Îsa « brisera la croix », « tuera les porcs » et abolira la taxe imposée aux infidèles soumis. Allah détruira alors toutes les religions, à l’exception de l’islam. Îsa fera disparaître la figure du mal, vivra sur terre durant quarante ans et ensuite mourra. (Sunan Abou Daoud, livre 37,4310).

Quelle est la signification de ces dits?
La croix est le symbole de la chrétienté: briser la croix veut dire: abolir le christianisme. Dans la culture islamique, les porcs sont associés aux chrétiens, et les singes aux juifs; tuer les porcs est donc une manière d’annoncer leur anéantissement. Le retour d’Îsa purifiera le monde de l’impureté que représentent les chrétiens aux yeux des musulmans.
Sous la loi islamique, payer la taxe de capitation permet de racheter sa survie et ses biens lorsque l’on fait partie des « gens du livre » (9.29). L’abolition de la taxe signifie donc que le jihad a repris contre les juifs et les chrétiens vivant sous l’islam, et que ceux-ci devraient se convertir sous peine de mort ou d’esclavage.
Telle est donc la tâche finale d’assainissement que le musulman Îsa devra accomplir, lorsqu’il reviendra dans les derniers jours!…
Rappelons que le musulman dit plusieurs fois par jour la fatiha, la première sourate du Coran, qui est considérée comme la matrice de toutes les autres. Or dans cette invocation à Allah, il est fait mention de « ceux qui encourent sa colère », c’est à dire les juifs, et de « ceux qui se sont égarés », c’est à dire les chrétiens! (Les commentateurs autorisés du Coran le spécifient traditionnellement ainsi). On voit combien cette incantation répétitive peut ancrer dans les esprits une discrimination religieuse méprisante envers les non-musulmans, ainsi que nombre d’autres sourates du Coran et que certains hadith particulièrement agressifs.
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MessageSujet: Re: Histoire des plus anciens manuscrits du Coran   Histoire des plus anciens manuscrits du Coran EmptyMer 17 Avr - 11:41

Îsâ, le "jésus" musulman, un faux semblant !.




Coran :
Et à cause de leur parole: "Nous avons vraiment tué le Christ, Jésus, fils de Marie, le Messager d’Allah"… Or, ils ne l'ont ni tué ni crucifié; mais ce n'était qu'un faux semblant! Et ceux qui ont discuté sur son sujet sont vraiment dans l'incertitude: ils n'en ont aucune connaissance certaine, ils ne font que suivre des conjectures et ils ne l'ont certainement pas tué. (Sourate An-Nissa': 157)

Qui est à l'origine de cette invention ???

Histoire des plus anciens manuscrits du Coran 1640064545

Basilide a enseigné la philosophie à Alexandrie de  l'an 125 à l'an 155.

Il était polythéiste et appartenait au courant gnostique.

Le Coran étant exact en tout selon les musulmans, il n'est nul besoin de le démontrer.

Selon Basilide, le monde a été créé par un démiurge, un dieu inférieur qui règne sur le monde matériel. Ce démiurge, ce dieu inférieur, correspondrait à Yahvé, le dieu redoutable de l'Ancien Testament. Yahvé entretiendrait la violence et le désordre sur terre. Un dieu tout puissant, dominant Yahvé, est lui, bienveillant.

Basilide croyait en la transcendance de ce dieu bon et souverain : la Pensée, puis la Parole, puis la Prudence, la Sagesse et la Force émanent de Lui. Le dieu bon envoie le Christ céleste, l'expression de sa Pensée, prendre chair dans Jésus de Nazareth, un homme ordinaire, afin de corriger les querelles engendrées par Yahvé.

Basilide pense que ce Christ céleste vient en l'homme Jésus à son baptême et le quitte sur la croix.

C'est lui premier qui va imaginer que le Christ a été remplacé par un sosie.

Même si Basilide ne croit pas en Christ, le seul fait que Jésus soit l'envoyé de Dieu, lui rend insupportable qu'il ait souffert et qu'il soit mort... Il va donc inventer la substitution du Christ...

Basilide écrit : « Le Christ ne souffrit pas lui-même la Passion, mais un certain Simon de Cyrène fut réquisitionné et porta sa croix à sa place. Et c'est ce Simon qui, par ignorance et erreur, fut crucifié après avoir été métamorphosé par Jésus pour qu'on le prît pour lui. Jésus s'est métamorphosé lui-même en l'image de Simon et il l'a livré pour être crucifié à sa place. Quand Simon fut crucifié, Jésus se tenait en face en riant de ceux qui avaient crucifié Simon à sa place. Quant à lui, il … s'est retiré au ciel sans souffrir. Quant à Simon, c'est lui qui a été crucifié et non Jésus. ».

Basilide, le philosophe polythéiste travaillant en Égypte au II e siècle a été inspiré par qui pour raconter une telle ânerie sur Jésus ???

En réalité, le Coran, par la voix de "Mahomet" n'a fait que reprendre cette hérésie inventée par un philosophe du 2e siècle, ce qui est confirmé par lui-même dans ses écrits et que plusieurs après lui, ont reprit à leur compte pour en faire une vraie fausse vérité !.

Une raison de plus pour ne croire en la révélation supposée du Coran.
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MessageSujet: Re: Histoire des plus anciens manuscrits du Coran   Histoire des plus anciens manuscrits du Coran EmptyMer 17 Avr - 11:42

Salaam est un mot arabe (سلام) signifiant paix. Sont dérivés de la même racine le Shalom (שָׁלוֹם) en hébreu et le sälam des langues éthiosémitiques.

Salem était le nom de Jérusalem aux temps d'Abraham et du roi-prêtre Melchisédech (selon Genèse XIV, 18), avant d'être Jébus, la ville des Jébuséens (selon Josué XV, Cool. Après sa prise par le roi David, elle fut nommée Jérusalem יְרוּשָׁלַיִם en hébreu, القدس en arabe.

Musulman en arabe مسلم muslim qui vient de la racine سلام salam qui veut dire la paix. Muslim veut bien dire étymologiquement celui qui est en paix. Muslim vient bien du verbe turc أسلم aslama, السلام assalamu qui signifie se confier, une salutation de paix. Se soumettre à Allah est une définition tardive, je le répète ! Le choix d'Anne-Marie Delcambre était de discréditer le Coran à son époque, croyant que Mahomet et la Mecque avaient existé ! C'est complètement faux et dépassé par de véritables savants comme Gallez ou Bonnet Eymard.

Le père Moussali, considère que l'islam est antérieur au Coran. Il fut l'inspirateur du livre "Le Messie et son prophète" de Gallez. Ce dernier livre, qui semble être le plus aboutit en ce qui concerne l'étude scientifique de l'islam, et qui est plus récent, arrive à la même conclusion que Bonnet Eymard concernant la Mecque : cette ville arabe n'existait pas à l'époque de l'auteur du Coran. L'archéologie française vient de confirmer en 2017 à la Mecque.

Enfin, historiquement, la Kaaba الكعبة de la Mecque مكة ne fut construite qu'au XVIII siècle.
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Img_0874-546956b
Il est probable que les créateurs de la Kaaba à La Mecque, Arabie Saoudite, au XVIIIème siècle étaient bien conscients qu'ils ont érigé un fac-similé qu’il serait très difficile de faire passer pour une véritable antiquité. Bien sûr, les croyants musulmans peuvent être persuadés, en citant des déclarations officielles des imams. Mais s’ils permettaient des étrangers, des personnes d'autres confessions ou simplement des visiteurs, ce serait extrêmement imprudent et même dangereux. Après tout, les sceptiques pourraient répandre des rumeurs partout qu’il n’y a pas de sainteté ici, que ce qu'ils ont vu ici est quelque chose de très nouveau, tout récemment construit. Il semble donc une solution simple : interdire tous les non-musulmans ici. C'est ce qu’ils ont fait. Sous peine de mort! Les vrais motifs n’ont d'abord été connus que d'un cercle restreint de dirigeants et exécutants du projet, puis ont été oubliés, et l'interdiction a perduré par inertie.

Il suffit de dire les constructeurs ont essayé en Arabie Saoudite. Cependant ils ont beaucoup échoué parce que le bâtiment a été érigé sur un nouveau site qui n’était pas comme celui où était la Première Kaaba. Et certaines choses ont tout simplement été oubliées ou traitées sans attention.

La Première la Kaaba avait la forme d'un carré dont les côtés faisaient environ 11 mètres. Cette exigence, les bâtisseurs de la Kaaba à La Mecque ne l’ont pas respectée. En fait, comme nous l'avons dit, la Kaaba a un plan moderne en rectangle mesurant environ 10 par 12 mètres. Plus spécifiquement, voir. Fig. 192, elle fait d'un côté – 10 m 18 cm et de l'autre côté – 11 m 68 cm. Ce n’est pas un carré. Incidemment, c’est étrange : pourquoi ne pas construire un bâtiment de taille 11 mètres  par 11 mètres sur plan. Ce n’est pas si difficile. Très probablement, ils n’ont pas considéré comme nécessaire de suivre attentivement les anciens témoignages. Surtout si le projet est supervisé par le renseignement britannique pragmatique, sans doute éloigné de la crainte religieuse et du respect des textes anciens.

Dans la Première Kaaba on adorait le Christ
Peut-être il y avait un peu de son caractère, par exemple, une croix de pierre ou une image de crucifix. Initialement, la Kaaba était une ancienne construction de culte du christianisme apostolique. Cette condition ne vaut pas pour la Kaaba de la Mecque. Comme on peut le voir à partir des plans et projets, pas de croix à l'intérieur du bâtiment et pas d’autres symboles chrétiens.
Source
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MessageSujet: Re: Histoire des plus anciens manuscrits du Coran   Histoire des plus anciens manuscrits du Coran EmptyMer 17 Avr - 11:43

Le "mahométisme" est le nom donné en premier par Jean de Damas qui raille la pire des hérésies, ma "101e hérésie" alors qu'il n'en avait cité avant qu'une vingtaine. C'est que Jean Damascène rapporte le "Mahométisme" à la fin du 7e siècle en Arabie, pour lui une compilation arabe d'anciennes hérésies connues, autour d'un personnage inconnu. Mahomet vient de mourir et Jean Mansour sait déjà que c'est une imposture fictive, si vous voulez le style fictif des anciens Rose-Croix apparus soudainement en Allemagne, ou de la découverte du continent Mû dans un roman New Age : n'importe quoi ! Ce livre saint découvert soudainement par les arabes, Jean de Damas en cite un passage inconnu aujourd'hui : c'est une copie des premiers corans, différents entre eux, ces lectionnaires d'une secte juive talmudique. C'est bien une imposture.

Un autre problème, cette fois insoluble pour les plus savants des savants musulmans, est que les plus anciens témoins du prétendu vivant de ce Mahomet, sont tincompatibles avec le dogme sunnite d'un Coran "incréée" d'Allah... Au 5e siècle, toute l'arabie est monothéiste, il n'y a plus un seul culte d'idoles, les missionnaires chrétiens en ont fini. Plus atroce, la Mecque n'a aucune existance archéologique avant le 9e siècle ! Il n'y a jamais eu un Coran, mais ces appels d'une secte juive ébionite à conquérir Jérusalem pour y reconstruire un 3e temple qui précipitera la venue du Messie. Ces recueils ébionites, ce sont ces corans, c'est tout.
Le constat

Ce sont donc ces plus anciens corans qui témoignent de l'histoire du Coran qui évolue au cours des siècles, avec, plus gênant encore, des feuillets de Sanaa par exemple, ou à Cambridge, qui sont couverts d'une écriture rudimentaire sur un support minimal.
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Image-4f3a303
Conclusion intermédiaire tolérante

Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Image-4f3a31a
Tous les plus anciens corans, sans exception, ont été remaniés pour en changer le sens, devenu le sens du Coran moderne actuel.  
Constat historique mondial

Les pays musulmans du Maghreb en prennent conscience en se démarquant du dogme sunnite qui faiblit devant l'état de l'archéologie sur le terrain, confirmant exactement ces plus anciens manuscrits :
Source : Antiquité tardive

Enfin, plus surprenant et inexplicable, tous ces plus anciens corans ont été réécrits, laissant apparaître des textes qui donnent un tout autre sens à la prédication de Mahomet, et cette fois de manière fort simple et claire.  
Source complémentaire
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Image-4f3a3a5

Enfin la géographie sommaire décrite au travers des plus anciens lectionnaires ébionites se trouvent dans des images de paradis, de comparaisons, et toujours au bord d'un fleuve, des troupeaux, des paysans cultivateurs, et ça, c'est une description de la Syrie, pas d'une arabie qui ignore tout de ces valeurs. Cette secte juive est donc bien en fuite de Syrie, et c'est exact, le pape vient d'interdire ces lectionnaires d'insultes anti chrétiennes, avec Îsa ce bâtard, cette Myriam prostituée, etc. Et que deviendront ces compilations à la fin du 9e siècle ? Ces phrases d'informations fausses affirmatives lises en négation : "non Marie tu n'es pas une protituée, non Îsa tu n'es pas un enfant illégitime, etc." Or, on enseigne par l'affirmative, jamais par la négative car on n'apprend plus rien. C'est ça, le futur Coran moderne, une grande lessive de contradictions.

Si Marie n'est pas ceci et cela, le Coran moderne ne nous dit pas ce qu'elle est ! Et cet Îsa qui n'est qu'un simple homme sans père (pas de Joseph...), est pourtant le messie. Et tout est ainsi.
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MessageSujet: Re: Histoire des plus anciens manuscrits du Coran   Histoire des plus anciens manuscrits du Coran EmptyMer 17 Avr - 11:44

Non seulement le noble Coran moderne est parfait, incréé, tombé sur la tête du prophète arabe, mais ses millions de Hadiths authentiques doivent être savamment étudiés !


Bien sûr, en contre partie, on ne peut pas respecter la vie humaine parce qu'on n'a pas de respect à avoir pour la personne humaine différente de soi dans le noble Coran.
C'est normal en Islam, c'est la volonté d'Allah.
Il n'est pas question de respecter la vie humaine dans le noble Coran incréé, où aurait-on lu ça ?

Le bon musulman se laisse pousser la barbe, regarde la lune fendue, comprend que les montagnes ont été plantées comme des carottes tombées du 7e ciel, et selon la chahada شهادة, il respecte les savants des musulmans, parce qu'ils sont les héritiers des prophètes. Toujours en bon musulman, il fait ses 5 prières par jour, donc 15 fois récite la même horreur (plus 2 fois, une en introduction, une en conclusion de sa journée, soit 17 fois !), qu'il ne veut pas être un égaré comme les chrétiens, ni maudit comme les juifs.
Comment voulez-vous que le terrorisme s'arrête ?

Attention le niveau d'intelligence des savants musulmans !
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Savant-idiot_01-4d0109e
&
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Savant-idiot_02-4c023a9
&
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Savant-idiot_03-4c022cc
&
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Savant-idiot_04-4ca920e

On remarque que c'est exactement le niveau mental dégradé requis pour être midérateur dans un forum québécois, certes non des religions mas des pires sectes.

La science coranique et l'étude des dizaines de millions d'hadiths absoluments authentiques du prophète arabe, c'est quelque chose !
C'est pas croyable, qui peut un seul instant croire que les 600 000 habiths parfaitement authentiques de Boukari, sont historiques ? Même Churchill, même JFK, même De Gaulle, n'ont jamais eu une telkle collection de propos historiques dans leurs contextes (hadith). Et Boukari, ce n'est absolument rien dans les dizaines de millions d'hadiths parfaitement authentiques.
C'est humainement impossible de se souvenir de millions de propos en détails deux siècles après la mort de Mahomet.

En terre d'islam, la science des hadiths existe avec la science du coran et la science des sîras.
Cela s'appelle العلم الحديث من الأحاديث النبوية, et c'est ça :
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Img_8996-521c97d

الأحاديث وأقوال أهل العلم والواقع كلها تدل على أن نجد التي ورد في الحديث أنها قرن الشيطان هي العراق وما وراءها
Effectivement, tout dans ces conversations et ces paroles des savants islamiques sur les hadiths, indique qu'ils sont modernes.
Autrement dit, des siècles après la mort du prophète arabe, apparaissait cette littérature considérable.

Or la tradition vocale qui se transmet, n'est plus précise ni cohérente après 3 générations, soit du grand-père au pére et du père au fils. C'est après un flou.
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Img_8999-521c98b

Il est donc impossible que 3 siècles après la mort du prophète arabe, ces millions de hadiths puissent contenir tant de détails.
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Img_8995-521c973
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MessageSujet: Re: Histoire des plus anciens manuscrits du Coran   Histoire des plus anciens manuscrits du Coran EmptyMer 17 Avr - 11:45

Votre coran est un ramassis de textes plagiés de la poésie arabe préislamique, de récits persans ou zoroastriens, de légendes bibliques, etc.

Voici, comme preuve et à titre d’exemple, le pillage de la poésie préislamique effectué par l’auteur de votre prétendu « livre tombé du ciel ». En tant que super plagiaire, il vous a fait croire qu’il était analphabète, ne sachant ni lire ni écrire, et qu’il a reçu le « noble coran » directement d’Allah par l’intermédiaire de son fidèle coursier Djibril sans aucun témoin.

Vous allez constater comment « cet escroc » a plagié, entre autres, mot à mot, des groupes de phrases, des périphrases de la poésie arabe qui existait avant l’islam.

Observons ensemble un panel de cinq exemples qui dévoilent – à vous musulmans comme aux lecteurs francophones – cette ignoble escroquerie :

Dans la sourate 54 « Al-Qamar = La Lune », on trouve au moins quatre phrases prises textuellement d’un poème écrit par le poète « Imru’ al-Qaïs », décédé en 540 de notre ère, soit trente ans avant la naissance même de votre prétendu prophète en 570.
Le poème en question commence par la phrase suivante : « Danat al-sa’a wanchaqqa al Qamar », ((دَنَت السّاعة وانشقّ القَمَر Cette phrase constitue le premier verset de la sourate 54 qui dit « Iqtarabat al-sa’a wanchaqqa al Qamar », et qui se traduit littéralement par « L’heure s’est approchée et la lune s’est fendue ». A signaler que les deux verbes (Danatدَنَت  et Iqtarabatإقتَرَبَت ) sont synonymes en langue arabe et utilisés ici à la forme passée.

Pour rendre cette phrase plus ou moins intelligible pour les lecteurs non arabophones, les traducteurs ont malignement  insinué une périphrase dans leur traduction, sans justifier ni préciser d’où elle est extraite ni la raison de cette invention : « L’heure (du jugement dernier) s’est approchée et la lune s’est fendue. »

Ce qui est en outre bizarre et incohérent, c’est comment l’auteur du coran prétend que le jugement dernier a déjà  eu lieu. N’est-il pas toujours attendu par les croyants de tous bords, notamment par vous les musulmans ?

Ne remarquez-vous pas ici que cet auteur divaguait dans le temps ou se croyait vivre sur une autre planète ?

Le troisième vers de ce même poème se termine par « Fata’âta fa’aqar » ; et le verset 29 de la même sourate 54 s’achève également par la même phrase « Fata’ata fa’aqar » (فًتًعاطى فًعَقًر).
Quant à sa traduction, elle diffère d’un traducteur à l’autre. Le marocain, Mohamed Chiadmi, l’a traduite ainsi : « Il eut l’audace de se saisir et de la mettre à mort. » En revanche, le français, Kasimirski, l’a reproduite autrement : « Il tira le sabre et tua la chamelle. »  Et un autre traducteur français, Jean-Louis Michon, l’interprète comme suit : « Ils appelèrent leur compagnon qui prit le couteau et trancha les jarrets de la bête. » Or dans l’original arabe il n’y a ni compagnon, ni couteau, ni sabre ni chamelle. Comprenne qui peut !

Le quatrième vers de ce poème se termine par le groupe de mots « Kahachimi lmuhtazir » (كَهشيمِ المُحتَظِر). Avec ce même groupe de mots s’achève aussi le verset 31 de la même sourate 54 « Kahachimi lmuhtazir », et qu’on traduit « comme le foin desséché » (Chiadmi), ou « comme des brins de paille qu’on mêle à l’argile » (Kasimirski) ou « réduits à l’état de paille desséchée. » (Jean-Luc Monneret). Qui a raison ? Qui ou quoi croire ?
Le septième vers de ce même poème débute par le groupe de mots « Bi ddouha wal layâli » (بالضّحى والليالي) qui est également le début du premier verset de la sourate 93 (Ad-Dhuha = La clarté du matin) et qui veut dire « (Je jure) par la clarté du matin et les nuits ».
Rien de surprenant de la part de votre malheureux « Allah » qui s’abaisse, quitte son superbe trône au septième ciel pour descendre sur terre et jurer devant le bédouin Mahomet. Mais par quoi ? Oh ! Par la clarté du matin et les nuits ! Qui d’entre vous peut nous expliquer la valeur et l’importance de ces phénomènes naturels pour que la prétendue divinité Allah akbar daigne jurer en leurs noms ?

En effet, ce dieu utopique de l’islam nous a habitués à le voir, tout au long de son coran, prêter moult serments fantaisistes, enfantins, ludiques. Tantôt il jure par lui-même, ou au nom du coran, des traditions païennes, tantôt au nom des anges, d’animaux rapides, d’éléments naturels comme l’olivier, le figuier, la montagne, le territoire, ou au nom de créatures inférieures, etc. Quel bavardage abracadabrant ![1]

Ne voyez-vous pas que le plagiaire en question était mentalement perturbé et sous haute tension ? Il plagiait des textes et ne savait pas néanmoins les intégrer dans un contexte vraisemblable ou plus ou moins cohérent.

Voyons encore ensemble deux tranches de vers du même poème que nous retrouvons – copiées-collées – dans deux sourates différentes :
La première qui dit : « Wa K’annahom min kulli hadbin yansiloun » (وَكَأنَّهم مِن كُلِّ حَدبٍ بَنسِلونٍ), se trouve textuellement dans le verset 96 de la sourate 21 (Les prophètes) et qu’on traduit par : « comme ils(?) dévalaient en masse de toutes les hauteurs. »

 L’autre moitié du deuxième vers dit : « Limithli haza falya’mal al’âmiloun », (لِمِثلِ هذا فَليَعمَل العامِلون). Celle-ci est reproduite dans le verset 61 de la sourate 37 (As-Saffat  = Celles qui sont alignées dans des rangs), et ainsi traduite : « Pour cela (sous-entendu la félicité, selon certains traducteurs trop zélés), que les ouvriers se mettent au boulot. » Une autre traduction dit : « Voilà ce pourquoi doivent œuvrer ceux qui œuvrent. » Comprenne qui peut !

Le poète arabe, « Imru’ al-Qaïs », mort trente ans avant la naissance de votre Mahomet, a bien servi l’auteur de votre coran. Bien qu’il soit malhonnêtement plagié, sans un mot de remerciement ni une mention de la source, certains chercheurs lui ont rendu – post mortem – son honneur et mis en lumière son grand génie, puisque le dieu même de votre islam, ou plutôt votre prophète, a daigné s’inspirer de sa poésie et en piquer frauduleusement plusieurs vers de son œuvre pour composer son coran.

Musulmans ! La probité intellectuelle n’a jamais existé en islam. On pille le patrimoine des autres, on se l’approprie et on l’attribue au « génie » de l’islam. Vous êtes sans gêne, puisque vous prenez l’auteur même du coran, le pilleur, le super plagiaire, comme un « beau modèle ». Quelle conduite et quel type de modèle !

Musulmans ! Les exemples cités ici ne sont qu’un échantillon très restreint quant à l’ampleur du plagiat dans votre coran. Vos prétendus « grands savants » en sont bien conscients, mais ils continuent, contre vents et marées, par fanatisme et obstination, de nier ce plagiat. Ils usent de leur ergotage habituel et vous rabâchant en permanence, sans honte ni pudeur, à l’instar des frères Ramadan et Consorts : « Notre coran est incréé. Allah l’a révélé à notre prophète ! » Et vous, comme les moutons de Panurge, et en l’absence de tout raisonnement, vous suivez à l’aveuglette.

Je vous rappelle enfin, dans ce contexte, un des grands hommes de lettres égyptiens, Taha Hussein (1889-1973), qui est le premier égyptien ayant obtenu un doctorat ès-Lettres de la Sorbonne en 1919. Il est l’un des premiers critiques ayant mis en lumière l’influence de la poésie préislamique dans le coran. Il illustre cette évidence criante dans son fameux ouvrage, « De la littérature préislamique ». Il y confirme la fraude et le plagiat dans le coran. Son œuvre a ouvert l’esprit de nombreux lecteurs et chercheurs à une réalité irréfutable et choquante.

Cependant, à cause de l’éclairage lumineux qu’il a diffusé, ce fameux écrivain a été forcé à plusieurs reprises de démissionner de ses postes de professeur d’université, de doyen de faculté et même de ministre de l’Éducation en Égypte. L’université islamique d’Al-Azhar l’a accusé de mécréance et d’apostasie, uniquement parce qu’il a dévoilé des phénomènes troublants dans le coran et manifesté des doutes et des réserves quant à son contenu. Voilà la justice d’Allah et des gardiens de son temple sur terre.

Malheureusement, cet obscurantisme absurde domine toujours, puisque le même phénomène et les mêmes accusations se répètent de nos jours en Égypte, en Arabie Saoudite et dans d’autres pays arabo-musulmans, mais aussi en France, là où le nombre des lèche-babouches et ses islamo-collabos dans la sphère politique et médiatique se multiplie quotidiennement.

Malek Sibali

[1] Voir « Les serments du dieu Allah », dans notre ouvrage : « ALLAH, qui es-tu ? », Editions de Paris 2014, p. 51-59

Source
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MessageSujet: Re: Histoire des plus anciens manuscrits du Coran   Histoire des plus anciens manuscrits du Coran EmptyMer 17 Avr - 11:46

Le Coran est un texte qui surprend par son absence totale de complément circonstanciel de temps et de lieu

L'absence quasitotale de nom propre complique et rend caduque toute historicité
En effet, la seule évocation évanescente de figures bibliques schématiques, espèces de prototypes désincarnés et marionnettes du système islamique, ne conduit qu'à des conjectures très variées voire diamétralement opposées selon les méthodes et paradigmes postulés.

b]Le Coran est un texte abscons, obscur, un texte en souffrance[/b]
Le Livre nous tombe vite des mains. Pourquoi ? Pour comprendre cette chute incongrue des objets pourtant saints, il faut parler brièvement de la genèse de ce texte. Une annexe plus détaillée est adjointe à la fin de cette étude. Il a existé bien des Codex. Campbell dans son étude approfondie des codex du Coran nous éclaire sur sa genèse.

Sami Adeeb a récemment recensé les raisons de ces obscurités
Il relève les fréquentes fautes d'orthographe et de grammaire, l'absence de la ponctuation et le mélange permanent des pronoms personnels attribués au seul locuteur qui serait Allah. « Ceci confère au texte une impression d'extême instabilité psychologique d'autant plus que le texte contient de très nombreux passages répétitifs ou changeant de sujet très abruptement...qui ressemblent à des passages intercalés, des interpolations ».
Sami Aldeeb signale également des expressions ambigües, inconnues pour 25% de l'ensemble. Il souligne des termes erronés tels des faux amis et des contradictions internes et enfin de nombreuses lacunes (15% du texte manque). Tous ces points sombres s'éclairent par la nature de son origine floue.

Qu'est-ce ?
Si on ne peut nier une certaine proximité entre l'ensemble des textes bibliques et le Coran, il ne faut pas faire de contresens. L'écrit arabe serait en fait un recueil d'enseignements et de prédications fondé sur des textes bibliques auxquels il renvoie sans cesse sans les nommer. N'est-il pas comme le catéchisme développé d'une Nième hérésie orientale qui abandonne tous les éléments de discorde dogmatique pour fédérer tous ceux qui se réclament du « Livre », Juifs et Chrétiens, autour d'une attente millénariste et apocalyptique d'un Christ qui n'a plus rien à voir avec l'homme-Dieu compatissant pour les pécheurs ? C'est pour cela que la Bible apparaît en filigrane mais sous un jour différent que celui de l'enseignement chrétien.
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MessageSujet: Re: Histoire des plus anciens manuscrits du Coran   Histoire des plus anciens manuscrits du Coran EmptyMer 17 Avr - 11:46

Le Coran moderne falsifié (PDF)





"Nous dénombrerons ici les noms des sept livres importants et notables qui furent écrits par les savants originels d’Islam, à propos des différences entre Corans :
1- Le livre de la différence des livres (les corans des habitants de la Médine, de Koufféh et de Bassora )écrit par Kassâeï
2- Le livre de la différence des livres (les Corans), oeuvre de Khalaf
3- Le livre de la différence des habitants de Koufféh, de Bassora, et de Damas en matière des livres, écrit par Farrâ.
4- Le livre de la différence de Mossahéf (les corans) d’Ibn Davoud Sédjestani
5- Le livre de Madaéni sur la différence des livres (les Corans ensemble) écrit par Madaéni
6- Le livre de la différence des livres (les Corans de) Damas, Hédjaz, l’Irak écrit par Ibn Amér Yahsébi
7-Le livre de Mossahéf (les Corans) œuvre de Mohammad Ibn Abd al Rahaman Isphahanï."


"Pour ne pas nous étaler, nous n’avons pas cité les noms de toutes les sourates, mais l’on trouve cinq problèmes dans le coran d’Abd al Rahaman Ibn Massoud :
1 – Le nombre et l’ordre des sourates diffèrent considérablement de ceux du Coran d’Othman, car dans le coran d’Ibn Massoud, il n’ y a que cent dix sourates, telles que nous les avons dénombrées.
2 – Les noms de beaucoup de sourates sont plus longs que ceux du Coran d’Othman. 3 – Il y a deux sourates nommées « Sadjdéh (prosternation) ».
4 – Il y avait quelques sourates supplémentaires, comme « Havâmime » ou « Mossabahât » dans le coran d’Ibn Massoud, et qu’on ne trouve pas ailleurs.
5 – Certains versets du Coran d’Ibn Massoud diffèrent de ceux du Coran d’Othman, surtout par la sourate Va al Assre dont l’on ignore le contenu dans le coran d’Othman. Il en est ainsi dans le coran d’Ibn Massoud :
« J’en jure par l’heure de l’après-midi, l’homme travaille à sa perte. Tu en excepteras ceux qui croient et pratiquent les bonnes œuvres, qui recommandent aux autres la vérité et la patience ! ».


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Comment le Coran fut élaboré ?
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"Comme nous l’avons déjà précisé, le Coran est composé d’une collection de récits bibliques et de débats opposant Mohammed à des Arabes, des chrétiens et des juifs. On y trouve également des allusions à sa vie privée et aux guerres qu’il a menées.
La lecture de ce livre ne permet pas de savoir qui est son auteur, ni le lieu et les conditions dans lesquelles il fut élaboré. Selon la tradition musulmane, d’ailleurs assez imprécise sur ce sujet63, ‘Uthmân, troisième calife et gendre de Mohammed, aurait compilé différents documents dispersés dans lesquels étaient consignés des discours de Mohammed, avec ceux en possession d’une veuve de ce dernier, Hafza, fille du calife Umar. Sur la base de ces éléments, aidé de ses scribes, il composa ce qui devint le Coran ; d’où son nom : le Coran Mushaf ‘Uthmân. La tradition musulmane relate que ‘Uthmân aurait veillé à ce que soient effacés, brûlés ou cachés certains documents qui ne lui convenaient pas. Il aurait fait châtier plusieurs personnes qui ne partageaient pas son point de vue. Cela se serait passé au cours des vingt années qui suivirent la disparition de Mohammed.

Une question simple s’impose.
La version actuelle du Coran mentionne que Mohammed aurait dit : « Je vous narre des récits du Coran [...] je vous apporte le Coran en langue arabe », en insistant sur le fait que ce livre en arabe est conforme au livre que Moïse a reçu au Sinaï. Or, Mohammed a vécu au VIIe siècle, soit environ dix- neuf siècles après Moïse. Comment a-t-il pu affirmer que le Coran Moushaf ‘Uthman est identique au Livre de Moïse, étant donné que ce Coran rapporte des discussions et des événements qui ne se sont déroulés qu’au VIIe siècle ?"

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MessageSujet: Re: Histoire des plus anciens manuscrits du Coran   Histoire des plus anciens manuscrits du Coran EmptyMer 17 Avr - 11:47

Christoph Luxenberg, un séisme dans les études coraniques


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Lecture syro-araméenne du Coran
La thèse soutenue en 2000 par Christoph Luxenberg (pseudonyme)  -- publiée en allemand en 2004 et en anglais en 2007-- est assurément une révolution dans le domaine des études coraniques, une révolution dont on n'a pas fini de mesurer les conséquences. Intitulée "Lecture syro-araméenne du Coran. Contribution pour décoder la langue coranique" ("Die Syro-Aramäische Lesart des Koran : Ein Beitrag zur Entschlüsselung der Koransprache"), elle consiste d'abord en une méthode de lecture du texte sacré fondée sur une connaissance de la langue syro-araméenne. C'est la première fois qu'une telle approche philologique et linguistique est tentée de façon à la fois systématique et méticuleuse. Il faut dire qu'on est loin de la verve pamphlétaire d'un Ibn Warraq : il y a un avant et un après Luxenberg...

Attention à la propagande toxique des islamistes
Christoph Luxenberg n'est pas un canular genre du style Emile Ajar.
[/quote]
Il faut citer tes références précises, toujours des références précises, et se méfier sur internet des "on dit que".

Luxember fut le Champollion de l'étude des plus vieux corans
La Tradition musulmane avait déjà signalé dans le texte coranique des passages "obscurs", "mystérieux", voire "insondables". Cela va de mots qui sont inconnus aux expressions à la limite du "mal formulé". Pour expliquer aux croyants ces zones d'ombre face auxquelles ils étaient vraisemblablement désarmés, les commentateurs traditionnels ont rationalisé tant bien que mal. Pour rendre les choses intelligibles, ils mobilisèrent des efforts couteux et un ijtihad intense.

Or, Luxenberg démontre que ces efforts d'exégètes tardifs sont frappés d'une tare constitutionnelle : leur méconnaissance de l'arabo-araméen. Audacieux, parfois aventureux, il applique alors sa nouvelle méthode pour lire, décoder, voire décrypter le Livre Saint, principalement dans ses passages réputés être les plus obscurs . Les résultats sont spectaculaires !
Source historique : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Source documentaliste : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Mise à jour savante : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Texte original : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
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MessageSujet: Re: Histoire des plus anciens manuscrits du Coran   Histoire des plus anciens manuscrits du Coran EmptyMer 17 Avr - 11:48

L’intangibilité du texte coranique défendue par les musulmans orthodoxes est remise en question par les travaux d’un spécialiste allemand


Ces chercheurs qui publient au péril de leur vie !
Le Dr Puin, philologue spécialiste des langues sémitiques, de la calligraphie arabe et de la paléographie coranique a étudié les manuscrits de Sanaa, c’est-à-dire d’anciennes versions du Coran retrouvées à Sanaa, la capitale du Yémen.

Ses découvertes ont provoqué une telle controverse que les autorités yéménites l’ont empêché de poursuivre ses recherches. Il voudrait montrer que les manuscrits apportent un éclairage nouveau sur les premiers développements du Coran en tant qu’ouvrage doté d’une “histoire textuelle”, éclairage qui contredit la croyance musulmane fondamentale selon laquelle le Coran constitue l’immuable parole de Dieu.

Toute remise en cause de l’authenticité divine des textes coraniques donne lieu à des réactions hostiles. Salman Rushdie a fait l’objet d’une fatwa le condamnant à mort.

L'abbé Guy Pagès, Luxemberg, feu Anne-Marie Delcambre, et combien la liste est impressionnante, sont sous le couperets d'appels à leur mort hallal ! Et personne n'en dit rien, les politiques préfèrent acheter de la paix sociale en laissant les pays être islamisés.

Je suis désolé, Courrier International est une autre référence qu'un blog tunisien.

Je dis et répète que le mahométisme fut toujours considéré comme une secte juive ébionite jusqu'à Pie XII. il faut attendre Jean XXIII, canonisé par le pape islamophile François, pour qu'on ne doivent plus parler de mahométisme et "d'Islam, religion de paix, de tolérance et d'amour."
C'est un mensonge historique !
Réveille-toi !
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MessageSujet: Re: Histoire des plus anciens manuscrits du Coran   Histoire des plus anciens manuscrits du Coran EmptyMer 17 Avr - 11:49

Les mauvaises réfutations du noble Coran sont inutiles


Première traduction latine du Coran par Pierre le vénérable
Dans l’Espagne et la Sicile du 12e siècle, Pierre le vénérable est le premier à imaginer combattre les musulmans non pas par les armes mais sur le terrain intellectuel. Il s’agit de traduire le Coran pour mieux le réfuter. C’est ainsi qu’est née la première traduction en latin du livre sacré des musulmans. Elle est fort passionnante pour tout latiniste car la souplesse et l'universalité du latin médiéval offre une meilleure traduction littérale que le français où l'on constate qu'autant de traductions, autant de Coran.

Soit donc on se porte à l'original arabe, soit une 3e voie s'offre à ne pas négliger, le latin neutre et très précis, ordonné avec grande rigueur.

De même que la meilleure traduction de la Bible est celle de Jérôme de Stridon au 5e siècle en latin, anoblissant ce grec vulgaire de la koïné du Novum Testamentum, ou Écritures grecques, la traduction latine si admirable de finesse de Pierre le vénérable, anoblit l'estime respectueuse que tout lecteur non arabisant portera au texte.

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Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Fleche-gif-003-10a1736 Consultation en ligne : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Qui a écrit le Coran ?
Le premier texte historique suite à la mort de Mahomet est de Jean de Damas. Pour lui, c'est Mahomet.

"1. Il y a également chez les Ismaélites une superstition trompeuse qui est toujours agissante, et qui sert de précurseur à l’ Antéchrist. Elle a pour origine Ismaël, qui est né d'Abraham et d'Agar, et c'est pour cette raison qu'ils s'appellent Agarènes et Ismaëlites. On les appelle également Saracènes du fait, parait-il, d’avoir été renvoyés sans rien par Sarah; car Agar a dit à l'ange: "Sarah m’a renvoyée sans rien."

Les Saracènes étaient idolâtres, et vénéraient l'étoile du matin ainsi qu'Aphrodite. Ce nom dans leur langue signifie Majestueux (Habar) c'est ainsi que jusqu’au temps d’Héraclius, ils étaient assurément idolâtres.

2. A partir de cette époque, un faux prophète survint au milieu d’eux ; il s'appelait Mameth. Il a entendu quelquefois l’Ancien et le Nouveau Testament, et est censé avoir rencontré un moine arien, par la suite. Finalement il créera lui-même sa propre hérésie."

"De Haeresibus" de Saint Jean Damascène (Jean de Damas)
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Jean Damascène (ou Jean de Damas), né vers 676 et mort le 4 décembre 749.
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MessageSujet: Re: Histoire des plus anciens manuscrits du Coran   Histoire des plus anciens manuscrits du Coran EmptyMer 17 Avr - 11:49

Les premiers corans, étude de Mireille Vallette


Avant le 7e siècle déjà
Il y a des fragments plus anciens, mais disparates, qui ne forment pas un livre. Il y a notamment les manuscrits de Sanaa, dont la teneur est encore incertaine. Les premiers sont de la fin du VIIe siècle

Comment s'est construit le Coran ?
La doxa musulmane nous dit que le troisième calife, Othman, en a fait une recension définitive en 656, avec quatre à sept copies, et a détruit le reste du matériel. On connaît aujourd’hui une demi-douzaine de corans présentés comme l’authentique Coran d’Othman, notamment au Caire, à Istanbul, à Tachkent.

Mais ce sont des faux – même les paléographes musulmans admettent qu’ils ne datent pas d’Othman. Tout indique que lors des premières conquêtes arabes, il n’y avait pas de Coran écrit. Les premières versions complètes n’apparaissent qu’aux VIIIe et surtout IXe siècle, sous les Abbassides. Selon toute probabilité, il s’agit d’un agglomérat de textes épars, rassemblés et adaptés pour convenir à ce que les dirigeants de l’époque souhaitaient faire savoir.

Et les hadiths ?
Les grandes collections de hadiths datent de 200 à 300 ans, voire plus, après les faits qu’ils décrivent. Et plus le temps passait, plus ils étaient précis et meilleurs étaient leurs isnads, leurs chaînes de transmission. Ce qui est extrêmement suspect. Leur grande variété permet aux écoles juridiques de l’islam de cimenter leurs différences. Tout le monde admet qu’une partie a été inventée. Les principaux auteurs des collections, Bukhari et Muslim, avancent même n’avoir jugé valables que quelques pour cent des anecdotes collectées. Ce sont simplement des fables, basées sur le Coran et qui reflètent les luttes d’influence de diverses époques.

Peut-on croire la première biographie de Mahomet, la Sira ?
On doit aussi la Sira aux Abbassides. L’auteur, Ibn Ishaq, aurait été mandaté par Al-Mansûr dans les années 750-760. Le Coran existait déjà en partie, et quand on lit les deux, on a vite l’impression que la Sira est là pour expliquer le Coran, pour lui donner un sens précis. La Sira est un livre de contes… et de comptes – elle est pleine de listes de noms: des gens qui côtoyaient le prophète, qui l’ont cru, l’ont aidé, ont participé aux expéditions. Et ceux qui portaient ces noms à l’époque d’Ibn Ishaq en tiraient du prestige, de l’influence politique, voire des droits monnayables. Tout cela passionnait les lettrés et les puissants. Mais au fond, je pense que ce qui a fait l’attrait de cette nouvelle religion pour les gens, c’était le retour à un monothéisme pur, unitaire, contre les dogmes de l’époque, notamment trinitaires, liés à des empires sur le déclin.

C’est à ces grandes idées que l’islam a dû son succès initial, et ses textes dits fondateurs ont simplement servi à organiser et entériner le résultat de cette évolution.
Source : Mireille Vallette : "Boulevard de l'islamisme"
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MessageSujet: Re: Histoire des plus anciens manuscrits du Coran   Histoire des plus anciens manuscrits du Coran EmptyMer 17 Avr - 11:50

Géographie coranique: Enquête et évaluation des références géographiques dans le Coran


Pour la plupart des musulmans, la foi est davantage définie par l’orthopraxie que par l’orthodoxie. Au cœur de leur pratique se trouvent les cinq piliers de l’islam et, en particulier, la Salat qui, chaque jour à travers le monde, réunis des millions de musulmans priant en direction de La Mecque.

Pourquoi la prière musulmane met-elle l’accent sur la Mecque? Parce que, de toute évidence, c’est là que l’Islam a commencé et que la Ka’ba et sa pierre noire ont toujours été, depuis l’époque de Mahomet ! Tout le monde sait cela, n’est-ce pas? Il faut pourtant noter qu’il y a dans l’islam beaucoup de choses que nous tenons pour acquises mais très peu qui soient vraiment documentées. Les historiens ont compris depuis longtemps que des questions très importantes se posent à propos de la Mecque.

Par exemple, Patricia Crone note dans son livre Meccan Trade (Princeton University Press, 1987) que les descriptions de la ville sainte de l’Islam dans les sources islamiques primitives ne s’accordent pas bien avec le site actuel de la Mecque. C’est la raison pour laquelle le livre de Dan Gibson, Qur’anic Geography, se propose d’explorer deux questions en détail: Où l’islam a-t-il réellement commencé et la cité sainte originelle était-elle La Mecque?

Trois civilisations septentrionales
Gibson commence son étude en soulignant que le Coran contient peu d’éléments géographiques. On en compte que 65 qui ne mentionnent pas plus de neuf lieux par leur nom, au nombre desquels ‘Ad (23x), Thamud (24x) et Madian (7x). C’est une claire indication que ces trois civilisations étaient importantes pour les destinataires originaux du Coran. Où donc étaient-elles situées?

Concernant ‘Ad, le Coran offre quelques indices: le peuple de ‘ Ad construisit des autels, des monuments et des forteresses dans la roche. Ils avaient des jardins et des sources et vécurent dans des vallées luxuriantes. Mais où ‘Ad se situait-il ? Gibson suggère que ‘Ad est l’équivalent arabe d’un mot appartenant à la langue ancienne à partir de laquelle les langues sémitiques se sont développées. Selon lui, il correspond à « Uts » nom biblique d’une région qui se trouvait en Edom (Lamentations 4:21). Les descriptions bibliques de «Uts » correspondent à celles de ‘Ad, dans le Coran. De plus,  le Coran et la Bible s’accordent pour dire que le peuple de ‘ Ad / ‘Uts fut détruit par des vents violents (c. 89:6-8; Job 1:18 – 19). Le Coran voit également un lien entre les ‘Ad et Pharaon (Q. 89:6-14) et Gibson propose toute une série de preuves démontrant que les Edomites étaient un peuple aussi connu sous le nom de Hyksos, peuple qui a envahi l’Egypte entre 1500 et 1800 avant J.-C. Il écrit: «Dès qu’on considère les Hyksos, les ‘Ad, et Edom comme un seul peuple, beaucoup d’aspects énigmatiques de l’histoire s’harmonisent.” Nous prenons alors conscience de leur importance et comprenons pourquoi la Bible et le Coran mentionnent si souvent cette ancienne civilisation.

Quant à Madian, Gibson fait remarquer que c’était un autre empire puissant qui a uni les tribus arabes. Leur mention dans le Coran suggère une nouvelle fois que l’auditoire de Mohamed devait les connaître. Pourtant, comme le peuple de ‘Ad, ils étaient une tribu arabe du nord, qui semble avoir vécu entre Tayma (leur région la plus méridionale) et l’extrémité nord de Wadi Sirhan. Le Coran indique aussi que le prophète Shueyb vint à eux (Q. 22:43-45; 29:36) et que le site traditionnel de sa tombe se trouve au centre de la Jordanie, situant les Madianites encore plus au nord.

Pour ce qui concerne les Thamud, Gibson suggère que le mot coranique dérive de thuma + ‘Ad =  après ‘ Ad. D’après les traditions, ils étaient un peuple regroupé sur al-Hijr, une ville de l’Arabie septentrionale connue aujourd’hui sous le nom de Meda’in Salih. Pendant des siècles, ses habitants furent appelés Nabatéens. Le Coran parle d’eux comme du peuple qui s’était taillé des habitats dans les montagnes (Q. 7:73-79; 11:61-68; 26:141 – 159; 27:25). Effectivement, des villes nabatéennes comme Petra sont connues pour leurs tombes et leurs palais taillés dans le roc. Lorsqu’on visite Petra et qu’on se promène au milieu de ces bâtiments à l’architecture fabuleuse, sculptés dans la roche, on est frappé par la richesse et la puissance qu’a dû connaître cette civilisation.

Les Nabatéens ont acquis leur immense richesse en contrôlant les trois routes commerciales (la Route de l’encens, celle de la soie et celle de la mer Rouge). Cependant, comme tous les empires, leur pouvoir a finalement décliné et après avoir connu un âge d’or entre 100 av. J.-C. et 100 ap. J.-C., leur puissance est passée. La première cause fut leur déclin économique, auquel se sont ajoutés des tremblements de terre en 363, 551 et 713 ap. J.-C., séismes qui ont d’abord affaibli puis, finalement, détruit Petra. A l’époque de Mahomet, les Arabes se souvenaient des Nabatéens comme les «après ‘Ad» qui avaient été anéantis par des tremblements de terre.

Gibson soutient que ces trois civilisations coraniques – les peuples de ‘Ad, Madian et Thamud – ont certains points communs. Tous étaient de puissants empires dont l’auditoire de Mahomet se souvenait. Mais, fait plus important, tous étaient établis dans la même région, au nord de l’Arabie. Si donc ces trois grandes civilisations du Coran se situaient au nord, que dire de la Ville sainte elle-même. Que dire de La Mecque?

Où était La Mecque?
Le Coran ne mentionne La Mecque qu’une seule fois (Q. 48: 24). La Ka’ba, elle, est mentionnée à plusieurs reprises, mais son emplacement n’est jamais défini. Pour Gibson, l’idée selon laquelle l’emplacement originel de la Kaaba est La Mecque soulève beaucoup de problèmes. Par exemple, le Coran décrit la Ka’ba comme résidant dans la «Mère des cités» (Q. 6:92). Pourtant les relevés archéologiques à la Mecque ne révèlent rien avant 900 ap. J.-C. – pas de trace d’une ville fortifiée avec maisons, jardins, bâtiments et temples. Pas de cartes avant 900AD ne mentionne La Mecque tandis que la première référence littéraire n’apparaît qu’en 740 ap. J.-C.

Les descriptions de la ville sainte qu’on trouve dans la littérature islamique primitive pose aussi des problèmes. Le Coran et les hadiths la situent dans une vallée, avec une autre vallée à côté de la Kaaba où coulait un ruisseau. Rien de tout cela ne correspond à La Mecque. Nous lisons aussi que la ville sainte avait des champs, des arbres, de l’herbe, de l’argile et du limon. Encore une fois, ce n’est pas vrai de La Mecque, qui est aride et inhospitalière.  Aucune preuve archéologique ne permet de soutenir l’idée d’une activité agricole à la Mecque.

Qiblas et temps de la confusion
Que dire alors de la qibla qui indique la direction pour la prière? Certes, les musulmans ont toujours prié en direction de la Ka’ba et sa pierre noire, située à La Mecque, n’est-ce pas? La réponse est non. Il est bien connu que la qibla a changé au début de l’Islam, le Coran mentionne ce changement (Q. 2:143-145), sans indiquer la direction qui a été abandonnée. (La plupart des musulmans croient que Jérusalem fut la première qibla, mais cette idée n’est exprimée que 300 ans après Mahomet).

Gibson considère que l’archéologie soutient l’idée d’un changement de qibla, mais beaucoup plus tardif qu’on le croit traditionnellement. Après avoir visité plus d’une douzaine mosquées des débuts de l’islam, il a découvert qu’un nombre surprenant d’entre elles ont leur qibla orientée non pas vers la Mecque, mais vers Petra. Au cours du second siècle de l’islam, l’orientation vers La Mecque a été introduite, puis, au troisième siècle, la qibla de toutes les nouvelles mosquées a été orientée vers la Mecque.

Gibson pense que l’archéologie peut nous aider à dater le changement de qibla. Les premiers bâtiments sur le complexe de la citadelle d’Amman, construits autour de 700 ap. J.-C. sont orientés vers Petra, tandis que les constructions plus tardives, aux environs de 740 ap. J.-C., sont orientées vers la Mecque. Qu’est-ce qui s’est passé entre 700 et 740 ap. J.-C. pour provoquer ce changement ?

Le contexte historique
En 64AH (683 ap. J.-C.), ‘Abdallah ibn al-Zubayr se révolta contre les Omeyyades à Damas. Se proclamant lui-même calife dans la ville sainte, Al-Zubayr détruisit la Ka’ba, et pris la pierre noire pour la mettre en lieu sûr. L’année suivante, Tabari rapporte que Al-Zubayr prétend avoir découvert les fondations de l’authentique Ka’ba construite par Abraham. Gibson pense que c’était à La Mecque, un lieu choisi pour sa position éloignée du pouvoir omeyyade.

La rébellion se propagea et en 71AH, Kufa en Irak s’allia à Al-Zubayr, en affirmant : « nous sommes des gens qui se tournent vers la même qibla que vous ». En 73-74AH, les armées syriennes attaquèrent la ville sainte, utilisant un trébuchet (une grande catapulte) contre elle. (Les archéologues ont mis au jour quantité de pierres pour trébuchet à Petra, mais aucune à La Mecque).

Aux environs de 85AH, les mosquées commencèrent à suspendre des signes pour indiquer une nouvelle qibla, puis en 89AH, le mihrab (niche de prière) fut introduit pour montrer aux fidèles dans quelle direction prier. En 94AH, le dernier d’une série de tremblements de terre détruisit Petra. Gibson pense que cela peut avoir  été considéré comme un jugement divin sur l’ancienne ville sainte. Enfin, en 132AH, les Abbassides commencèrent à régner depuis l’Irak et suivirent le modèle établi par Kufa, adoptant officiellement la nouvelle qibla. Désormais, toutes les nouvelles mosquées sont orientées vers La Mecque.

Conclusion
La thèse de Gibson selon laquelle la qibla a changé en 70AH, non de Jérusalem mais de Petra, allie l’exégèse coranique, une lecture attentive des sources islamiques, ainsi que archéologie, la littérature et l’histoire. Plusieurs éléments de preuve, affirme-t-il, militent en faveur de l’idée que Petra a été la première ville sainte. Il est à noter que de manière générale l’attention du Coran se porte sur le nord de l’Arabie ce qui contribue à l’impression d’inadéquation des descriptions de la ville sainte dans la littérature, descriptions qui correspondent parfaitement à Petra mais pas à la région de la Mecque. Il y d’autres éléments de preuve, tels les rapports d’historiens comme Tabari, selon lesquels les affrontements militaires qui ont opposé les Médinois aux Quraysh (la tribu mecquoise), se sont produits au nord de Médine. Pourtant, si les Qurayshites venaient de la Mecque, à 300 km au sud, pourquoi l’action s’est-elle déroulée au nord?

La thèse de Gibson est audacieuse, mais son argument suit une ligne de crête entre les approches «traditionaliste» et «révisionnistes» de l’islam primitif. Trop de «traditionalistes» ignorent le contexte du Coran et se contentent de répéter les sources primitives, tandis que les «révisionnistes» ne leur accordent souvent aucun crédit. Le livre de Gibson, lui, s’efforce de prendre le Coran, les hadiths et les sources islamiques au sérieux. Plutôt que de les ignorer, il affirme simplement qu’ils sont plus cohérents si on lit «Petra» à la place de  «La Mecque» avant 700AD, une conclusion que l’histoire, la littérature et l’archéologie suggèrent fortement.

Le livre n’est pas sans quelques faiblesses. Parfois Gibson tente de couvrir trop de sujets, et certaines parties de son livre laissent une impression de précipitation. Par exemple, son traitement des manuscrits coraniques est un peu mince et aurait pu bénéficier d’interactions avec la littérature critique, comme la recherche de Keith Small sur les variantes textuelles dans le Coran. Néanmoins Qur’anic Geography semble défendre un point de vue pertinent. Une grande partie de l’histoire islamique semble plus logique à la lumière de sa thèse, qui, soit dit en passant, éclaire d’autres questions telle que celle des liens forts du Coran avec un autre phénomène du nord de l’Arabie, le christianisme syriaque.

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MessageSujet: Re: Histoire des plus anciens manuscrits du Coran   Histoire des plus anciens manuscrits du Coran EmptyMer 17 Avr - 11:51

Le Coran, plagia de la Bible et du Talmud


Le Coran moderne
Le Coran moderne actuel fut écrit autour du Xème siècle et pour rappel, le prétendu prophète surnommé "le béni", Mahomet, serait mort en 632 donc on peut penser que les Califes avaient d'autres préocupations que la parole d'Allah et c'est pour ces raison que les paroles du Coran construit autour du X siècle sont si peu pacifiques.
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Absence de documents historiques
Il n’existe aucun document historique attestant l’existence de l’islam en tant que religion avant le neuvième siècle, soit deux cents ans après Mahomet (mort en 632). Il y a bien eu une biographie de Mahomet rédigée par Ibn Ishaq vers 750, c’est-à-dire 118 ans après la mort du prophète, mais le texte original est perdu et il n’est que partiellement restitué dans des versions revues et modifiées par des historiens ultérieurs comme Ibn Hisham (mort en 834) et surtout Al Tabari (mort en 923). Comme c'est dommage, dirait un chrétien conciliaire adepte de toutes les inepties, pourvu qu'il n'y ait plus de guerre en ce monde. Comme si donc l'Islam pouvait se dissoudre ou se calmer : impossible !
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Ne tendez ni votre joue, ni votre cou, le Coran annule le christianisme
Le contraste avec le christianisme est frappant si l’on considère que pas moins de vingt-cinq mille manuscrits du nouveau testament ont été découverts ou conservés dès le premier siècle, soit à peine quelques dizaines d’années après le début de la mission évangélique. Et tout cela aurait été "falsifié" en même temps dans mille endroits différents du monde ?
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La fabrication de cet islam
Pour soutenir la comparaison avec le judaïsme et le christianisme, les savants musulmans se devaient de donner à l’islam des assises et des caractéristiques similaires, Mahomet, dont l’image était largement négative, a été élevé au rang de Moïse. Attention, de l'hébreu Moïse, pas du juif Jésus-Christ qui n'est pas toléré seulement qu'on respecte son nom dans "le noble Coran". Îsa, jeu de mot talmudique railleur, allait tellement mieux.
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La Hijra (l’émigration de Mahomet et de ses compagnons de la Mecque à Médine) est devenue l’équivalent de l’Exode des hébreux, le mont Hira où Mahomet a été visité par l’ange Gabriel est devenu le pendant du mont Sinaï où Moïse a reçu les tables de la loi, le sanctuaire de la Mecque est devenu l’équivalent du temple de Jérusalem, le coran a été confirmé comme la parole incréée d’Allah à l’égal et encore plus que la Torah.

Et pas, pas une seule fois, jamais, le nom de la Mecque n'apparaît dans ce Coran. Tant mieux, cette ville n'existait pas encore sortie des sables au VII siècle.

...Afin d’assurer la suprématie de l’islam
Les patriarches et les prophètes d’Abraham à Jésus ont été récupérés et qualifiés de musulmans....
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L'Islam repose sur les cendres des civilisations qu'elle récupère
À défaut d’un concept original, l’islam s’est approprié des éléments tirés des autres religions pour les mettre au service de l’empire et ainsi assurer sa stabilité. Le dogme une fois établi, tous les sujets de l’empire devaient s’y soumettre sans discussion...
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Une idéologie sans état d'âme ni démocratie
L’idéologie religieuse conçue pour soutenir l’arbitraire des califes et imposer à leurs sujets la soumission ne pouvait avoir pour fondateur un prophète pacifique et humble, voilà pourquoi les califes se sont donné un prophète à leur image.
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Une compilation de rêve devenu infernal à vivre
Il est peu probable que Mahomet soit l’auteur ou l’inspirateur principal du coran, cet écrit a de multiples sources, la Bible, le Talmud, la littérature rabbinique, les évangiles apocryphes, les textes hérétiques chrétiens, les textes de la liturgie syriaque, les contes et les légendes grecques et syriennes, les récits mythologiques zoroastriens, les légendes arabes, la poésie arabe préislamique etc.
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Sans haine, à quoi bon la Charia et le Djihad !
D’autre part les versets haineux et intolérants, les menaces de l’enfer, les appels au meurtre des incroyants, les dispositions légales et les châtiments barbares peuvent être attribués, du moins en partie, à Hajjaj ibn Yousuf gouverneur de l’Irak sous le règne du calife omeyade Abd-el-Malik.
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MessageSujet: Re: Histoire des plus anciens manuscrits du Coran   Histoire des plus anciens manuscrits du Coran EmptyMer 17 Avr - 11:52

La seule arme pour démolir la pensée   salafiste ; rétrograde ; primitive ; ignorance sacré ; consiste à utiliser la raison et la logique !!


Effectivement... servons-nous de notre tête.
Si le Coran était réellement de Dieu, il ne contiendrait pas de sadisme.
Si le Coran était réellement de Dieu, il ne contiendrait pas d'incohérence.
Si le Coran était réellement de Dieu, il ne contiendrait pas de contradictions.
Si le Coran était réellement de Dieu, il ne contiendrait pas d'erreurs scientifiques,
Si le Coran était réellement de Dieu, il ne contiendrait pas d'erreurs historiques,
Si le Coran était réellement de Dieu, il ne contiendrait pas d'erreurs théologiques.
Or, le Coran contient de tout cela.
(références sur demande)

... donc le Coran n'est pas un texte divin !
C'est juste une divagation bédouine, pleine d'horreurs, d'erreurs et de terreurs.


CQFD !

Il n'y a pas que le salafisme qui soit obsolète,
c'est tout l'islam qu'il faut voir disparaître... avec l’éducation des musulmans, on devrait y parvenir.
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MessageSujet: Re: Histoire des plus anciens manuscrits du Coran   Histoire des plus anciens manuscrits du Coran EmptyMer 17 Avr - 11:53

Le verset du Coran qui ordonne la lapidation


Existe-t-il un seul verset du Coran qui ordonne la lapidation ?
Oui, Coran 5-43 :
وَكَ‍‍يْ‍‍فَ يُحَكِّمُونَكَ ‌وَعِ‍‌‍نْ‍‍دَهُمُ ‌ال‍‍تَّوْ‌رَ‍‌اةُ فِيهَا‌ حُكْمُ ‌اللَّ‍‍هِ ثُ‍‍مَّ يَتَوَلَّ‍‍وْنَ مِ‍‌‍نْ بَعْدِ‌ ‌ذَلِكَ ۚ ‌وَمَ‍‍ا‌ ‌أ‍ُ‍‌وْل‍‍َ‍ائِكَ بِ‍الْمُؤْمِنِينَ

Je propose ma traduction en français : Coran 5-43 :
Mais comment te prendraient-ils pour être leur juge puisque ayant la Torah, où se trouve le jugement d'Allah dont ils se détournent de l'application ? Ceux-là ne sont pas les croyants.


Quelle est l'application de la Torah ? La lapidation.
أنت زنديق. , hérétique ! Hérétique est le musulman car il s'inscrit dans une secte du judaïsme, ébionique talmudique.

Au fait, pourquoi lapidez-vous ô mahométans, dans les pays musulmans selon la prescription juive ?  
Allah est bien l'Eloah hébraïque, "fils d'Ismaëls" selon le Coran moderne. C'est l'aveu total de l'appartenance au judaïsme primitif.
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MessageSujet: Re: Histoire des plus anciens manuscrits du Coran   Histoire des plus anciens manuscrits du Coran EmptyMer 17 Avr - 11:54

La blessure des corans découverts dans la plus vieille mosquée de Sanaa



Père, pardonne-leur, parce qu'ils ne savent pas ce qu'ils font
“La découverte lors de travaux dans la grande mosquée de Saana (Yémen), de deux pages d’un très vieux Coran, datant probablement de l’an 640, dans une bibliothèque universitaire britannique, a donné lieu à de nombreux articles dans la presse”. Or les plus vieux exemplaires connus du Coran se trouvent tout simplement à Sanaa (capitale du Yémen). Et Sanaa est presque quotidiennement bombardée par l’aviation saoudienne [qui soutient le président yéménite en exil, contre les milices houthistes]. Ella a déjà frappé des bâtiments civils, un camp de réfugiés et des parties du centre historique de la ville. Je suis pétrifié à l’idée que les bombes aient pu détruire également ces précieux ouvrages.” Par Hanane Harrath.

Manuscrit du Coran : une trouvaille d’une grande valeur historique
Entre 1965 et 1972, des centaines de manuscrits ont été mis au jour lors des travaux de réfection de la Grande Mosquée de Sanaa. Mais ce n’est que plus tard qu’on a découvert qu’un de ces manuscrits était un palimpseste, c’est-à-dire qu’il avait été écrit sur le même support qu’un texte plus ancien. Et celui-ci doit dater d’avant 650 de notre ère. Il a en effet la particularité de ne pas suivre l’ordre des sourates tel qu’il a été fixé par le calife Othman, qui régna de 644 à 656. Ce qui en fait une pièce d’une importance majeure pour la recherche.

Or, s’étonne Juan Cole, “même dans les milieux de la recherche au Moyen-Orient, on n’en a que très peu entendu parler”. Et de conclure : “Il faut espérer que cette guerre stérile du Yémen se terminera le plus tôt possible (on ne peut pas venir à bout d’un mouvement de guérilla avec des bombardements aériens), afin d’épargner des vies civiles et de sauver le patrimoine yéménite d’autres destructions. Les Saoudiens se vantent d’être les gardiens de La Mecque et de Médine. Ils devraient également se considérer comme les gardiens du Coran, et arrêter de bombarder Sanaa.”

L’inavouable vérité des manuscrits de Sanaa
Des scientifiques de plusieurs pays travaillent sur les manuscrits de Sanaa dans la plus grande discrétion. Peu de musulmans connaissent véritablement l’histoire de ces mines archéologiques qui pourraient bousculer profondément leurs croyances sur l’histoire du texte sacré. Tant le secret est bien gardé.

Les premiers, les plus célèbres, ont été trouvés en 1973, lorsqu’il a fallu réparer le toit de la Grande Mosquée de Sanaa, au Yémen, endommagé par de fortes pluies. C’est là, dans la cachette d’un faux grenier, que les ouvriers découvrent des amas de vieux parchemins rongés par le temps. Comme dans la tradition juive qui conservait dans des guenizah, des sortes de cachettes, les textes sacrés inutilisés qu’on ne pouvait pas détruire, il semblerait que les musulmans aient voulu mettre là des vieilles “copies” du Coran.

Les responsables du chantier qui font cette découverte ne mesurent pas immédiatement l’importance de ces écrits, qui demeurent encore quelque temps conservés sous un escalier de la mosquée. C’est grâce à la vigilance du président des Antiquités yéménites de l’époque, Qadhi Ismaïl Al Akwa, qu’ils sont finalement exhumés de l’ombre.

Il cherche alors des moyens et des spécialistes pour travailler sur ces documents inédits. Il sollicite le professeur Gerd Puin, un spécialiste allemand des langues sémitiques, de calligraphie arabe et de paléographie coranique à l’université de Sarre, qui, présent au Yémen en 1979 pour ses recherches, accepte d’analyser ces écrits. Il demande une aide au gouvernement allemand pour subventionner un projet de restauration de ce matériau.

Quand les saoudiens flippent grave !
Le travail commence alors véritablement, et les premières conclusions tombent rapidement : les manuscrits coraniques de Sanaa sont probablement les plus anciens jamais découverts à ce jour, puisqu’ils datent, selon les conclusions de Puin, des VIIe et VIIIe siècles, la période première de l’islam. Jusqu’alors il n’existait au monde que trois exemplaires aussi vieux du texte coranique : deux du VIIe siècle, conservés l’un à la bibliothèque de Tachkent, en Ouzbékistan, et l’autre à celle de Topkapi, à Istambul, et un troisième dit “le manuscrit de Ma’il”, daté de la fin du VIIe siècle et conservé à la British Library de Londres. Le professeur Puin parvient à réaliser des microfilms de ces manuscrits, malgré les réticences très fortes du gouvernement yéménite qui a pressenti entre- temps les conséquences potentielles de ces trouvailles et ne souhaite plus tellement que leur contenu soit révélé au grand public.

Mahométans de tant de foi orgueilleuse, pourquoi tant de craintes ?
C’est que, selon la tradition orthodoxe musulmane, le Coran est la parole de Dieu telle qu’elle a été révélée à son prophète Mohamed, sur la période allant de 610 à 632, retranscrite sur des feuilles de palmiers, des omoplates de chameaux ou des bouts de peau, puis retransmise avec fidélité, oralement, par les premières générations de musulmans.

C’est seulement près de trente ans après la mort du prophète que le troisième calife Uthman, se rendant compte de divergences dans la récitation des versets coraniques, décide d’établir une recension unique du texte. Une fois cette vulgate établie, il l’expédie dans les plus grandes villes de l’empire islamique alors en pleine expansion, à Bassora, Damas, Coufa, La Mecque, et donne l’ordre de brûler toutes les autres versions qui circulent.

Une petite parenthèse mise en oubli d'urgence
Tous les historiens et spécialistes des débuts de l’islam ne sont pas d’accord sur la date de rédaction du Coran. Leur argument est qu’il n’existe aucun écrit du texte sacré antérieur à la fin du VIIe siècle, soit une cinquantaine d’années après la mort du prophète Mohamed. Gerd Puin affirme qu’il n’existe aucune preuve archéologique que le Coran tel qu’il se présente aujourd’hui existait dès l’époque d’Uthman.

Jacqueline Chabbi, qui enseigne l’histoire des origines de l’islam à Paris VIII et qui est l’auteure d’une thèse très remarquée intitulée Le seigneur des tribus. L’islam de Mahomet” (Noësis, 1997), considère pour sa part que le Coran n’a été mis sous sa forme actuelle qu’au début du VIIIe siècle, sous le règne du calife Al Malik à Bagdad. Selon elle, le développement de l’Etat musulman à cette époque rend nécessaire la mise en place d’un Livre, à l’instar des autres Etats voisins, et d’une écriture.

François Déroche enfin, paléographe et professeur à l’Ecole pratique des hautes études, met en doute également une fixation définitive du texte sous Uthman. Il rappelle que la graphie qui était alors en usage à la fin du VIIe siècle dans la région de La Mecque et de Médine, la graphie hidjazienne, était défective. Elle ne note en effet ni les voyelles brèves ni les points diacritiques qui permettent de différencier les consonnes. Contrairement à ce que retient donc la tradition, qui dit que le calife Uthman voulait mettre fin aux divergences de la récitation, tous ces spécialistes estiment que la recension définitive intervient plus tard.

C’est tout cela que viennent justement confirmer les manuscrits de Sanaa. Alors que, pour la croyance musulmane orthodoxe, aucune modification majeure n’a pu intervenir après la recension d’Uthman, ces documents viennent prouver les retouches successives qu’a connues le texte coranique bien longtemps après l’établissement du Coran “officiel”. Tout ce que la tradition admet, c’est que certaines précisions ont pu être progressivement apportées pour améliorer la compréhension du texte : elle rapporte ainsi que Al Hajjaj, gouverneur d’Irak au début du VIIIe siècle, est celui qui a le plus fixé le sens du texte en y ajoutant les voyelles notamment.

Deux couches d’écriture… Ou comment ils ont falsifié leur propre coran quand ils raillaient les autres Livres Saints
Parmi tous les manuscrits exhumés à Sanaa, Puin fait une découverte importante : il s’agit d’un palimpseste, c’est-à-dire un manuscrit avec deux couches d’écriture. Le premier texte a été lavé, effacé, et des scribes ont réécrit par-dessus. “Cela peut vouloir dire deux choses, explique Jean-Baptiste Robin, directeur de recherche au CNRS. Soit le scribe a simplement été négligent et a été obligé de recommencer, soit le texte ne correspondait pas à la forme coranique qui avait été imposée par Uthman.” D’où l’hypothèse de Puin que la première version écrite pourrait être très différente du Coran que l’on connaît aujourd’hui.Mais, se trouvant dans l’impossibilité de restituer le texte de la première couche, il n’a pas pu apporter de preuves à cela.
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Palimpseste

Dis-moi ce que tu nous racontes, je te dirai si tu es un beau menteur
Les manuscrits de Sanaa révèlent d’autres choses, sur deux points essentiellement. D’abord, certains passages contiennent des récits que les contemporains du prophète de l’islam ne pouvaient pas connaître parce qu’ils n’appartiennent pas à la tradition arabe. Ainsi, les manuscrits mentionnent deux tribus, les As-Sahab ar-Rass (les compagnons du puits) et les As-Sahab al-Aiqa (les compagnons des buissons épineux), qui vivaient pour les premiers au Liban et les seconds en Egypte, au IIe siècle. Puin en tire comme conclusion que des sources non musulmanes, intégrées à mesure que l’empire islamique s’étendait, sont également intervenues dans la rédaction du texte. La deuxième découverte majeure est que, dans les manuscrits de Sanaa, il y a une sourate qui n’est pas placée au même endroit que dans le Coran définitif que l’on connaît. On imagine les conséquences d’une telle “révélation” : outre la mise par écrit qui s’est étalée dans le temps, l’ordre même du texte appréhendé aurait été le fruit d’un long processus.
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Palimpseste-folle-histoire-110310653

Même pas un complot, tout simplement un grand mensonge que les saoudiens cachent encore plus
Très peu de choses ont été publiées sur les manuscrits coraniques de Sanaa, bien que beaucoup de chercheurs, notamment tunisiens, italiens et allemands, travaillent dessus. Gerd Puin a été chassé du Yémen en 1983, les autorités du pays craignant la réaction des autres pays musulmans face aux résultats de ses recherches. Durant l’été 2006, d’autres manuscrits coraniques ont été découverts à Sanaa, mais il a fallu attendre plusieurs mois avant que cette nouvelle soit rendue officielle. Une équipe d’historiens et de paléographes italiens est actuellement sur place pour les étudier.

Inutile d'écouter les bons défendre le Coran moderne unique, c'est impossible pour eux de constater que c'est une construction tardive
Pourquoi ? Parce qu'une fois radicalisé, un musulman n'ose faire une analyse historique ni des recherches sur les plus vieux corans. Ce serait mettre sa vie en danger, et étudier sérieusement en université.
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MessageSujet: Re: Histoire des plus anciens manuscrits du Coran   Histoire des plus anciens manuscrits du Coran EmptyMer 17 Avr - 11:54

La vulgate d'Othman date de 150 ans après sa mort


Il est exact que que le versetde la laidation existe dans tous les vieux corans, pour la simple raison que c'est le reniement de l'Évangile et de la femme lapidée dans l'évangile selon St Jean, début du chapitre 8.
"8 Jésus se rendit au mont des Oliviers. 2 Mais dès le matin il revint dans le temple et tout le peuple s'approcha de lui. Il s'assit et se mit à les enseigner.
3 Alors les spécialistes de la loi et les pharisiens amenèrent une femme surprise en train de commettre un adultère. Ils la placèrent au milieu de la foule
4 et dirent à Jésus: «Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d'adultère.
5 Moïse, dans la loi, nous a ordonné de lapider de telles femmes. Et toi, que dis-tu?»
6 Ils disaient cela pour lui tendre un piège, afin de pouvoir l'accuser.
Mais Jésus se baissa et se mit à écrire avec le doigt sur le sol.
7 Comme ils continuaient à l'interroger, il se redressa et leur dit: «Que celui d'entre vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle.»
8 Puis il se baissa de nouveau et se remit à écrire sur le sol.
9 Quand ils entendirent cela, accusés par leur conscience ils se retirèrent un à un, à commencer par les plus âgés et jusqu'aux derniers; Jésus resta seul avec la femme qui était là au milieu.
10 Alors il se redressa et, ne voyant plus qu'elle, il lui dit: «Femme, où sont ceux qui t'accusaient? Personne ne t'a donc condamnée?»
11 Elle répondit: «Personne, Seigneur.» Jésus lui dit: «Moi non plus, je ne te condamne pas; vas-y et désormais ne pèche plus.»


Les juifs prédicateurs ébionites attendaient le Messie au 7e siècle en reniant la crucifixion de Jésus et qu'il fut le vrai Messie. Pour accéérer Sa venue, ils propageaient à Pétra, dans la Jordanie riche, la reconquête de Jérusalem aux arabes en leursassurant être aussi du peuple élu par Ismaël (belle trouvaille, mais elle arnaque). Reconquérir par la violence divine, le Djihad inventé à ce titre, et suivre les lois mosaïques, donc revenir 700 ans en arrière pour légitimer la lapidation interdite par le Christ.

Les descendants de ces chefs de guerres barbares sont DÆCH, Boko Haram, et autres immondes, toujours aussi cons pour se suicider au nom du dieu des hébreux. Allah, c'est Eloah en araméen et en hébreu.

Si vous lisez le Coran moderne, cet ensemble de lectionnaires talmudiques, sans un poignard ou une kalachnikov, il ne vous sert à rien.
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Horreur-vue-51b0c76

Le Christ avait fait un grand pas en avant : aimer vos ennemis, pardonnez sans cesse, fini la lapidation, heureux les pauvres et malheur aux riches, prie sans mise en scène hypocrite.

L'Islam a fait un spectaculaire retour 700 ans en arrière pour recommencer à lapider, humilier les femmes, crever qui n'est pas de la race élue d'un Dieu sanguinaire. Pourris ! Et cons pour se faire kamikazes, en plus.
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Massacre-01-4f34403
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Img_6959-5141252

L'islamophobie est un devoir révolutionnaire citoyen !
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MessageSujet: Re: Histoire des plus anciens manuscrits du Coran   Histoire des plus anciens manuscrits du Coran EmptyMer 17 Avr - 11:55

Jérusalem dans le Coran moderne


Sourate 17-1
Gloire et Pureté à Celui qui de nuit, fit voyager Son serviteur [Muḥammad], de la Mosquée Al-Ḥarām [La mosquée au sein de laquelle se trouve la Ka˒aba.Mosquée al-Aqṣa: la mosquée de Jérusalem] à la Mosquée Al-Aqṣā dont Nous avons béni l’alentour, afin de lui faire voir certaines de Nos merveilles. C’est Lui, vraiment, qui est l’Audient, le Clairvoyan.
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La Qibla, l'orientation de la prière vers la mosquée d'Al-Ḥarām à Jérusalem, est alors abandonnée pour s'orienter vers la mosquée Al-Aqṣā :
Coran 2-144
Certes nous te voyons tourner le visage en tous sens dans le ciel. Nous te faisons donc orienter vers une direction qui te plaît. Tourne donc ton visage vers la Mosquée sacrée. Où que vous soyez, tournez-y vos visages. Certes, ceux à qui le Livre a été donné savent bien que c' est la vérité venue de leur Seigneur. Et Allah n'est pas inattentif à ce qu' ils font.

Pourquoi ce revirement ? Le Coran de Mahomet se justifie ainsi :
Sourate 2-106
Si Nous abrogeons un verset quelconque ou que Nous le fassions oublier, Nous en apportons un meilleur, ou un semblable. Ne sais-tu pas qu'Allah est Omnipotent ?

À la fin des temps, les musulmans se tourneront de nouveau vers Jérusalem selon la sourate 17-7
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Img_9035-5222ab3


Non, nous ne savions pas qu'Allah changeait ses pantins soumis comme une girouette.
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MessageSujet: Re: Histoire des plus anciens manuscrits du Coran   Histoire des plus anciens manuscrits du Coran EmptyMer 17 Avr - 11:56

Les manuscrits du Yémen le confirment : le Coran a été trafiqué


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Contester le Coran est considéré par l’islam comme le blasphème suprême. Pour tous les musulmans, le Coran a été révélé à Mohammad par l’ange Gabriel puis répandu dans le monde, exactement selon la version révélée, sans ajouts ni retraits, lettre pour lettre, mot pour mot, sourates selon les mêmes séquences, versets selon les mêmes rangs. La croyance dans ce corpus est simpliste et inébranlable : le Coran est incontestablement la parole d’Allah. Elle est la conséquence de répétitions de plusieurs versets : En vérité, c’est Nous qui avons fait descendre le Coran, et c’est Nous qui en sommes gardien (Le Coran 15 :9), En vérité, c’est Nous qui avons fait descendre sur toi le Coran graduellement. (76 :23). Ainsi, Allah se porte garant de toute « intervention du diable » ou de quiconque susceptible d’ajouter ou de retrancher des éléments du Coran, en l’altérant ou en le déformant (تحريف).

Mais la croyance peut-elle résister éternellement face à la recherche scientifique approfondie des textes anciens ? Quand une vérité éclate au visage des croyants, elle provoque en eux un terrible choc dont ils ne peuvent se remettre. Et ils utilisent la violence sous ses différents aspects jusqu’à jeter l’anathème ou tuer celui qui découvre ces vérités.

La découverte des manuscrits de San’a’, capitale du Yémen
Les manuscrits de textes coraniques découverts à San’a’ en 1972 sont les plus anciens textes du Coran qui nous sont parvenus. Nous ne disposons pas de Coran ancien complet, ni de ceux des compagnons de Mohammad, ni de ceux des califes, ni de celui du calife Othmâne (576-656) réputé pour avoir recensé le Coran. Pourquoi Mohammad n’a-t-il pas recensé lui-même le Coran au moment de la révélation en présence de l’ange Gabriel ? En réalité, assembler les versets du Coran n’était pas dans l’intérêt de Mohammad, surtout quand il fut obligé d’inventer des versets pour disculper sa femme de toute accusation d’adultère ou quand il poussa son fils adoptif Zayd à répudier sa femme Zeynab pour que lui-même puisse épouser celle qui était sa belle-fille. Cela à un point tel que sa femme Aïcha s’est trouvée obligée de déclarer « Je ne vois en ton Seigneur que Son empressement [à accepter] tes fantaisies »… Elle ironise sur la révélation, manifestant ainsi ses doutes.

Mohammad était illettré et il ne pouvait retenir qu’une très faible partie de ce que l’ange Gabriel lui aurait révélé.

Toutes les sourates, tous les versets coraniques sont survenus après un événement de la vie quotidienne de la communauté et la révélation est postérieure à l’événement. Le Coran peut donc être considéré comme un recueil historique d’archives.

Les manuscrits de San’a’ ont été découverts par des ouvriers en 1972 lors de la restauration de la Grande Mosquée. Il s’agissait d’une bouillie répugnante de vieux parchemins et de documents en papier (2), de livres endommagés et de feuillets individuels de textes arabes compactés par la pluie et l’humidité, rongés à travers les siècles par les rats et les insectes. Tout a été mis pêle-mêle dans vingt sacs de jute placés sur les marches d’un des minarets de la mosquée. Puis ils sont passés à l’oubli.

Le mécénat du gouvernement allemand
Gerd et Elisabeth Puin de l’Université de la Sarre, tous deux spécialistes de l’étude textuelle du Coran et de la paléographie arabe, ont mené une campagne subventionnée par l’État fédéral allemand pour la restauration d’environ 15.000 fragments de parchemins qui ont été nettoyés, assemblés et microfilmés puis stockés. D’autre part, les Yéménites gardaient profil bas afin de ne pas ébruiter la nature des conclusions. Car si le Coran s’avèrait être un document d’un intérêt historique et non d’inspiration divine absolue, alors toute la lutte islamique des 14 siècles passés deviendrait un non-sens. D’autre part, ils ne voulaient pas divulguer que des Allemands et d’autres étrangers travaillaient sur le Coran.

Dans un article publié par l’Atlantic Monthly en 1999, Gerd Puin dit : «  Selon moi, le Coran est une sorte de cocktail de textes qui n’ont pas tous été compris, même à l’époque de Mohammad. Beaucoup d’entre eux peuvent même être plus anciens que l’islam lui-même d’une centaine d’années ».

Le Coran est considéré par l’islam comme étant écrit en arabe mubeen ( مُبين « clair ») alors qu’une phrase sur cinq n’a pas de sens, ce qui laisse aux exégètes des interprétations cacophoniques  et le rend pratiquement intraduisible. Notons aussi que le mot même de « coran » vient du syriaque.
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Img_9037-5222cad

Transcription d’un palimpseste d’une page d’une sourate : la demi-page de droite représente l’écriture inférieure gommée et les mots de couleur bleue sont ceux qui ont été remplacés par l’écriture ultérieure figurant sur la demi-page de gauche.

Qu’a-t-on découvert dans l’étude de ces manuscrits coraniques ?
D’abord, l’ordre des versets ne correspond pas à la tradition. Il y a des variations dans les textes et les styles. Les textes sont rédigés en écriture arabe hidjazi primitive.

Ensuite, Élisabeth Puin a démontré en 2008 qu’une partie des papyrus montrait manifestement des traces d’une utilisation antérieure délavée  (scriptio inférieure et scriptio supérieure du palimpseste). La superposition de deux textes coraniques de périodes différentes pose un questionnement, d’autant qu’un temps assez long sépare les deux écritures. En effet cette étude a bénéficié de l’analyse au radiocarbone qui prouve que le texte inférieur est antérieur à 671, avec une certitude de 99%.

Si le texte supérieur est presque identique à celui connu actuellement, le texte inférieur comporte une diversion du texte standard. Par exemple : dans la sourate 2, verset 87, le texte inférieur était : wa-qafaynâ ‘alâ âthârihî, ( وكفينا على آثاره) alors que le texte standard est wa-qafaynâ min ba’dihi ( وكفينا من بعده). On relève ainsi, dans l’ensemble de la sourate 2, vingt cinq minimes aberrations mais intrigantes par rapport au texte coranique standard. Dans la sourate 9 : dix huit variations. Dans la sourate 12 : huit variations, la sourate 19 : vingt huit variations, etc …

De telles aberrations ne sont pas surprenantes pour les historiens du texte coranique mais elles sont troublantes pour les croyants car elles s’opposent à la croyance musulmane orthodoxe pour qui le Coran qui nous est parvenu est simplement la parole d’Allah « parfaite, intemporelle et inchangée ». Gerd Puin écrit : « Beaucoup de musulmans croient qu’entre les deux pages de couverture du Coran se trouvent les paroles inaltérées d’Allah » et « L’étude des fragments de San’a’ permet d’aider à présenter le Coran comme un texte historique analogue à la Bible et qui n’est pas tombé tout droit du ciel ».

Les autorités yéménites ouvertes à la recherche ont été, par la suite, sanctionnées. Le chef du Département des antiquités, embarrassé, a dû défendre devant le parlement sa décision de faire appel à des chercheurs étrangers.

Mais, à ce jour, les manuscrits de San’a’ n’ont pas encore livré tous leurs secrets.
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________________________________________________

(1) Un palimpseste est un manuscrit sur parchemin dont la première écriture a été lavée ou grattée et sur lequel un autre texte a été écrit (du grec ancien παλίμψηστος palimpsêstos, gratté de nouveau).

(2) Le papier est anciennement connu en Chine. Il ne fut introduit en Europe qu’au début du 13e siècle. Les arabes n’ont connu, semble-t-il, le papier qu’en prenant Samarcande en 705 au contact de captifs chinois. S’agit-il, pour les manuscrits de San’a’, de manuscrits de papier ou de papyrus ? Une de nos deux sources indique : paper documents , la seconde parle de papyrus.
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MessageSujet: Re: Histoire des plus anciens manuscrits du Coran   Histoire des plus anciens manuscrits du Coran EmptyMer 17 Avr - 11:58

L'innocence des musulmans

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Tout est authentique !

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Ce film en version mondiale « L’innocence des musulmans »
Le film « L’innocence des musulmans » a déjà fait couler beaucoup d’encre et de sang. L’encre sert à diluer le sang, et à cacher ceux qui le versent, dont les iréniques journalistes feignent de comprendre la colère et l’indignation. Le monde s’interroge sur les motivations du producteur/réalisateur, comme si c’était un mystère indéchiffrable. Pourtant, les choses sont bien simples, il suffit de regarder ce que le film montre. Ici, comme ailleurs, il faut regarder la lune, non pas le doigt.

Le contenu de ce film est très clair, encore faut-il en avoir la culture pour le déchiffrer.
Il s’agit, pour la plupart des scènes, d’épisodes de la vie de Mahomet, certes filmées et montées d’une manière extrêmement pauvre, pour ne pas dire ridicule, mais néanmoins fidèles à la vie de Mahomet, telle que la conçoivent les salafistes outrés qui manifestent contre le film, quand ils n’assassinent pas. Sans préjuger de l’ensemble des deux heures que durerait, selon certaines sources, le « biopic » intégral de Mahomet, ce que montre la bande annonce ne prend que très peu de libertés avec la vérité canonique de la vie de Mahomet. Voici le décryptage exact des différentes scènes.

Mahomet, un bâtard indigne
2’ L’adoption de Mahomet par son grand-père Abd al Muttalib. Selon la tradition, il n’est certes pas né d’un père inconnu, cependant, son père, Abdallah meurt avant sa naissance. (1) Le réalisateur prétend que cela est suspect, et fait de lui un enfant illégitime. Il est certain que dans l’Arabie de ce temps, ce statut était le plus indigne possible.

Mahomet aimait plus l'argent que les femmes
3’ La soumission à Khadija, sa première femme. Cela est attesté, elle était riche et plus âgée que lui. Elle ne lui permit pas d’avoir d’autres épouses de son vivant.(2)

La femme dans l’islam, une déesse opprimée
4’ « Est-ce que tu le vois ? » Cela peut paraître obscur, et le jeu de jambes de Khadija, gratuitement obscène. Cependant, ce dont il s’agit, c’est de la confirmation de la « visitation » de Mahomet par l’ange Gabriel.

Le film reprend littéralement la description canonique : « L’ange Gibrîl visita l’Envoyé de Dieu, comme d’habitude. Et Muhammad cria aussitôt : – Khadija, voici Gibrîl. – Cousin, dit-elle, assieds-toi sur ma cuisse gauche. Il se leva et s’assit sur sa cuisse. – Cousin le vois-tu encore ? – Oui, je le vois. – Mets-toi alors sur ma cuisse droite. Muhammad se mit à nouveau sur la cuisse de Khadija. – Cousin le vois-tu encore ? – Oui, je le vois. – Viens te mettre dans mon giron. Muhammad se blottit dans le giron de Khadija. – Le vois-tu ? – Oui, je le vois. Khadija laissa enfin tomber son voile de tête, se débarrassa de sa robe et mit la tête de Muhammad, toujours dans son giron, sous sa chemise de corps. – Le vois-tu encore ? demanda-t-elle.  – Non, je ne le vois plus. – Cousin, sois heureux et tiens bon. Ton ami est un ange du ciel et non point un démon. » (3)
Ce passage est d’ailleurs capital pour la comprendre la signification du voilement de la femme en islam.

Le Maître rabbin de Mahomet l'élève
4’50’’ Mahomet vise avec Khadija son cousin Waraqa, qui aurait été authentiquement un moine chrétien, ou nazaréen. Le film l’habille en pope copte. Ce Waraqa, très estimé par la tradition musulmane, aurait été le professeur de religion de Mahomet. Cela n’est certes pas ce que pensent les musulmans. Cependant, lorsque Waraqa meurt, Mahomet déclare « L’inspiration a disparu », comme on le voit à 5’27’’.(4) Le film suggère, à la suite de certains travaux, comme par exemple « Le prêtre et le prophète » de Joseph Azzi (5), que c’était Waraqa qui était la véritable source d’inspiration de Mahomet. La conversion de l’âne à l’islam est une licence du réalisateur, cependant les hadiths contiennent tellement d’inepties, que celle-ci est aussi plausible qu’une autre.
Du reste, l’âne est l’animal des prophètes par excellence : Jésus entre à Jérusalem sur le dos d’un âne, et Mahomet part à la guerre sur une mule.

Les tentatives de suicide de Mahomet
5’45’’ Mahomet a eu la tentation de se suicider plusieurs fois, après l’arrêt de la « révélation », c’est attesté. (6)

L'invention du Djihad
6’ La déclaration du Djihad (meurtre, pillage, viol, vente comme esclaves). Cela est authentique, il s’agit peut-être en l’occurrence de l’extermination des Banu Quraydha, tribu juive de Médine. (7)

Mahomet fait parler Allah après ses pervertions
6’45’’ Autorisation spéciale pour le chef de posséder toute femme, même mariée, qui se donnerait à lui. Cela est parfaitement attesté, dans une source canonique, parfaitement officielle : « Aïcha a dit : Je jalousais les femmes qui s’offrent elles-mêmes à l’envoyé d’Allah et disais : -« Comment une femme ose-t-elle faire don d’elle-même ainsi ? » Alors Allah révéla ce verset : ‘ Tu fais attendre qui tu veux d’entre elles et tu héberges chez toi qui tu veux. Puis il ne t’est fait aucun grief si tu invites chez toi l’une de celles que tu avais écartées… (Coran 33/51), et je (Aïcha) dis (à l’envoyé d’Allah): « Il me semble que ton Seigneur se hâte de satisfaire tes désirs ». » [(Muslim, Sahih, 8/3453) (Cool
Le personnage femme à l’écharpe rouge est donc peut-être Aïcha, qui souvent se montrait critique ou ironique envers Mahomet.

Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Fleche-gif-003-10a1736 On remarquera que les « révélations » de Mahomet sont bien opportunes, ce qu’elle ne manque pas de souligner aussi.

Le "Verset de l'épée" Coran 9-29
7’41’’ Débat théologique avec un rabbin. Le choix donné entre la conversion ou la soumission politique (dhimmitude). Mahomet se justifie en prenant un exemple dans sur l’Ancien testament (Torah) : la destruction de Jéricho, pour justifier la destruction et le massacre des juifs eux-mêmes (des Banu Quraydha par exemple). Le massacre est attesté : c’est le fameux verset de l’épée : « Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n’interdisent pas ce qu’Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu’à ce qu’ils versent la capitation par leurs propres mains, après s’être humiliés. » (Coran 9/29)

Mahomet le pédophile
9’ Discussion entre les parents d’Aicha, Abu Bakr et sa femme, au sujet du mariage de celle-ci, à l’âge de six ans, avec Mahomet. L’information est authentique, incontestable, puisque rapportée par Boukhari (7/62/67). (9) Il ne consomme le mariage « que » lorsqu’elle a neuf ans.

Mahomet bisexuel
9’ 20’’ Mahomet homosexuel ? Cela n’est absolument pas attesté par la tradition (sunna) qui punit la sodomie de mort. Cependant, au paradis, les élus d’Allah se voient récompensés pour leur zèle religieux, non seulement par les soixante-douze vierges (houris), mais aussi par les services de beaux éphèbes. « Et parmi eux circuleront des garçons à leur service, pareils à des perles bien conservées. » (Coran 52.24)
Les descriptions de Mahomet lui-même, son engouement pour les parfums par exemple, sont ambigues.

Mahomet incestueux et pervers
9’50’’ Mahomet séduit Zeynab, la femme de son fils adoptif Zayd. Cela est dûment attesté.

Pour qu’il ne soit pas accusé d’inceste, il décidera que l’adoption n’est pas islamique.  « Il n’appartient pas à un croyant ou à une croyante, une fois qu’Allah et Son messager ont décidé d’une chose d’avoir encore le choix dans leur façon d’agir. Et quiconque désobéit à Allah et à Son messager, s’est égaré certes, d’un égarement évident. Quand tu disais à celui qu’Allah avait comblé de bienfaits, tout comme toi-même l’avais comblé : « Garde pour toi ton épouse et crains Allah », et tu cachais en ton âme ce qu’Allah allait rendre public. Tu craignais les gens, et c’est Allah qui est plus digne de ta crainte. Puis quand Zayd eût cessé toute relation avec elle, Nous te la fîmes épouser, afin qu’il n’y ait aucun empêchement pour les croyants d’épouser les femmes de leurs fils adoptifs, quand ceux-ci cessent toute relation avec elles. Le commandement d’Allah doit être exécuté. » (Coran, 33.36-37.)

L’écartèlement d’une vielle dame innocente
11’ L’écartèlement d’une vielle dame. Cela se réfère peut-être à la mort d’Umm Qirfa, un vieille cheffe de tribu, que les séides de Mahomet capturent au cours d’une razzia, menée par Zayd. Celui-ci, blessé au cours de l’attaque, se venge cruellement. « Umm Qirfa bint Rabia ibn Badr » fut faite prisonnière. C’était une vieille femme, épouse de Malik. Sa fille et Abdullah ibn Masada furent également capturés. Zayd ordona qu’elle soit mise à mort avec cruauté, en mettant une corde à chacune de ses jambes, reliées à deux chameaux, qui l’ont écartelée jusqu’à la déchirer. Ensuite, ils amenèrent la fille d’Umm Qirfa et le fils de Masada devant l’apôtre. La fille d’Umm Qirfa fut donnée à Salam ibn Amir ibn Akwa, qui la prit… » (10)

Le pillage de l’oasis de Khaybar, son massacre
11’40’’ Le pillage de l’oasis de Khaybar, la torture et la mise à mort de son chef juif Kinana, et les « épousailles forcées » de Mahomet avec Saffiya, sa veuve. Cela est parfaitement attesté. (11)  Saffiya, butin de guerre, est une des « mères des croyants ». La seule invention, c’est le discours que le réalisateur place dans la bouche de Kinana torturé. Ce qui est erroné, c’est de faire représenter Kinana la moustache rasée, car cela est la marque distinctive des musulmans. De même, selon la sunna, il est d’abord torturé, et c’est seulement quand il ne peut plus parler, qu’il est tué. Les pieux musulmans voulaient savoir où il avait caché son or !

Vie privée sexuelle de Mahomet
12’50’’ Les disputes conjugales, les jalousies d’Aïcha. Cela est parfaitement comique et attesté. (12) Il s’agit d’un épisode précis : Mahomet a eu commerce avec Marya dans la chambre de Hafça, qui était allée rendre visite à ses parents ; elle revient chez elle et surprend les amoureux. Mahomet promet d’être abstinent et demande à Hafsa de garder le secret ; mais elle s’empresse de tout raconter à Aïcha; l’incident est bientôt connu des autres femmes qui manifestent leur mécontentement.
Il faut la force d’une révélation coranique, assortie de la menace de l’enfer si elle continuent de se rebeller contre lui, pour calmer ses femmes en colère : c’est la sourate 66, « L’interdiction ».(13)

Un résumé de l'Islam
13’35’’ La phrase finale « Tous les non musulmans sont des infidèles. Leurs terres, leurs femmes et leurs enfants sont notre butin. » Cela se veut un résumé de l’islam. Comme telle, ce n’est pas une citation du Coran, mais on y trouve bien la sourate 6, « le butin », dont cette phrase résume l’argument.

Une production historique
Ce film est caricatural, mais à voir les réactions de ceux qui s’en sentent offensés, il semble beaucoup plus près de la vérité historique que ne l’aurait été une production de meilleure qualité. Il ne prend que des libertés assez limitées avec l’histoire canonique de Mahomet.
Il n’y a pas de calomnie patente, à part le soupçon sur son illégitimité et sur son homosexualité.

Le reste, qui est beaucoup plus grave, est parfaitement vrai.
Qu’il s’intitule "L’innocence des musulmans" est tragiquement ironique, quand on voit l’empressement mondial à excuser les malades qui s’en revendiquent pour assassiner des innocents.
Les conséquences de ce film, aussi mauvais serait-il, prouvent sa thèse.

L’introduction au film, aussi stupide qu’elle semble, est pourtant vraie. L’inconnue, le « x « qui transforme les hommes en tueurs fous, c’est la vie de Mahomet,  prise comme modèle par les musulmans. Certes, la grande majorité ne connaît pas le quart de la moitié du commencement de la vie du prophète, mais ceux-là, précisément, qui manifestent le plus bruyamment contre ce film : les salafistes, s’en repaissent quotidiennement.

Les « salaf », les pieux ancêtres que les barbus en kamis veulent émuler, ce sont ces rustres qui entourent Mahomet, et qui ne méritaient pas un meilleur traitement cinématographique. C’est la vie de Mahomet qui est un navet, une série Z consternante. L’incroyable, auquel pourtant nous devons croire, c’est qu’elle est portée aux nues par une partie croissante de l’humanité.

Le mystère de l’islam, c’est le mystère de l’admiration fanatique pour cet individu. Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Fleche-gif-003-10a1736 Mais c’est un mystère psychiatrique, non pas religieux. (14)
______________________________________________________________
Notes
(1)    Ibn Hicham, La biographie du prophète Mahomet, Ed. Fayard, 2004, p.49.

(2)    Idem, p.60.

(3)    Idem, p.82-83.

(4)    http://www.searchtruth.com/book_display.php?book=1&translator=1&start=0&number=3

(5)    Ed. Maisonneuve et Larose, Paris, 2001

(6)    « Az Zuhri dit: -Il y eut pendant un certain temps un trou dans la révélation du messager d’Allah et il était très triste. Il partait de bonne heure pour les sommets de la montagne afin de se précipiter en bas. Mais à chaque fois qu’il parvenait au sommet d’une montagne Gabriel lui apparaissait et disait: – Tu es le prophète d’Allah. Alors son inquiétude cessait … » (Az Zuhri, Fragment I, cité par Watt, Mahomet, 1958.) « Après la première révélation qui est venue au prophète, la venue de révélations fut interrompue pendant quelques jours. Comme il ne voyait plus Gabriel, il était très déprimé ; il se rendit à Thabir et encore à Hira avec l’intention de se jeter dans le vide. Mais dès que l’Apôtre d’Allah eut décidé de faire cela depuis le sommet d’une montagne, il entendit un son venant du ciel. L’Apôtre d’Allah s’arrêta un instant à cause du bruit terrible, il leva la tête et… c’était Gabriel assis sur une chaise entre le ciel et la terre. » (ibn Sa’d, Tabaqat, I, 226-7).

(7)    Ibn Hicham, op. cit., p.276. Les mots dits par Mahomet sont identiques.

(Cool    http://hadithcollection.com/sahihbukhari/136-Sahih%20Muslim%20Book%2008.%20Marriage/11138-sahih-muslim-book-008-hadith-number-3453.html

(9)    http://hadithcollection.com/sahihbukhari/95-Sahih%20Bukhari%20Book%2062.%20Wedlock,%20Marriage%20(Nikah)/5288-sahih-bukhari-volume-007-book-062-hadith-number-065.html

(10)The Life of Muhammad by Ibn Ishaq, trad. Guillaume, Oxford University Press, Karachi, Pakistan, 2006, p.664-665.

(11)Voir Ibn Hicham, op. cit., p.315-317.

(12)Voir par exemple Sahih Muslim, livre 9, du divorce. Hadiths 3598 et suivants. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

(13)Voir Mahomet, M. Gaudefroy-Demonbynes, Paris: Albin Michel, 1957, p.230-2, en ligne gratuitement ici. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

(14) Rappelons un vieil article mais toujours d’actualité: Syndrome de Stockholm : l’islam, gigantesque prise d’otages ?
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MessageSujet: Re: Histoire des plus anciens manuscrits du Coran   Histoire des plus anciens manuscrits du Coran EmptyMer 17 Avr - 16:12

Abraham ne pouvait obéir à Mahomet contrairement à ce qu'affirme le Coran moderne



Abraham aurait obéit à Mahomet : impossible
Si Abraham était un vrai musulman (Coran 2.131,135 ; 3.67,95 ; 4.125 ; 16.120 ; 22.78 ; 53.37), et si Abraham n’obéissait pas à Mahomet, puisque Mahomet n’était pas né, alors obéir à Mahomet n’est pas nécessaire pour être musulman. Pourquoi alors Allah commande t-il d’obéir à Mahomet (Coran 3.32,132 ; 5.92 ; 8.1,20,46 ; 24. 52,54,56 ; 33.66,71 ; 47.33 ; 49.14 ; 58.13 ; 64.12) ?

Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Coran-contenu-4d895db

Et comment obéir à Mahomet aujourd’hui puisque Mahomet n’est plus de ce monde (si tant est qu’il le fut un jour) ?
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Image-4e939ae

Dira-t-on qu’aujourd’hui obéir à Mahomet, c’est obéir au Coran ?
Mais alors, comment mieux dire que la parole d’Allah et celle de Mohamed sont une seule et même parole ?

Qui parle ici, Allah ou Mahomet ?
"Fuyez donc vers Allah! Je suis pour vous, de sa part, un avertisseur manifeste." (Coran 51. 50)

Qui parle ici, Allah ou Mahomet ?
"À lui nul associé ! Voilà ce qu’il m’a été ordonné, et je suis le premier des soumis."(Coran 6. 163)

Et là encore : Coran 6. 114 ; 16. 63 ; 17. 1 ; 19. 68 ; 51. 23 ; 70. 40 ; 75. 1 ; 84. 16-18 ; 90.1 ; 91. 1-7.

Bref, s’il est impossible de distinguer la parole d’Allah de celle de Mahomet, le Coran est-il autre chose que du pur associationnisme (Coran 4.116 ; 6. 22 ; 9. 31), le seul péché musulman qui ne peut être pardonné (Coran 4.48) et qui conduit en Enfer ?

Si les musulmans comprenaient que le Coran moderne les conduits en Enfer, ne demanderaient-ils leur salut à Jésus-Christ (Coran 3.55) comme il est dit  ?
Histoire des plus anciens manuscrits du Coran Enfer-lave-50d4346
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