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forum marmhonie des religions
Forum franco-chinois de l'histoire des religions et des civilisations. 中法宗教與文明史論壇。日仏宗教史フォーラム。फ्रेंको-इंडियन फोरम ऑफ रिलिजन एंड सिविलाइजेशन। 종교와 문명사를 위한 한불포럼.
Pédophiles, viols en secrets, les victimes témoignent.
5 participants
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Babeth
Messages : 415 Date d'inscription : 13/11/2019
Sujet: Pédophiles, viols en secrets, les victimes témoignent. Sam 25 Juil - 0:22
Voilà ce que le site officiel des Témoins de Jéhovah donne comme conseil aux femmes subissant un viol... 25 Août 2019
Le Collège Central demande de protéger les violeurs
Invité Invité
Sujet: Re: Pédophiles, viols en secrets, les victimes témoignent. Sam 25 Juil - 6:59
Salut babeth. ^^
Cette citation, sortie de son contexte original peut être interprétée de plusieurs manières.
Le texte original dit qu'un violeur est avant tout un être humain qu'on peut raisonner en lui récitant les comptes des milles et une nuits. :lol!:
Si on en croit le CC, il suffit d'implorer Jéhovah et de réciter des passages bibliques pour que le violeur redevienne un bisounours. Le texte complet est là.
Citation :
Elles ont résisté à des violeurs EN GÉNÉRAL, un violeur cherche à surprendre une femme dans un lieu isolé. Parfois il porte une arme et menace de s’en servir si la victime lui résiste. Une chrétienne devrait-elle lui céder? Non! La situation n’est pas la même que lorsqu’un voleur réclame simplement de l’argent ou d’autres biens matériels. Dans un tel cas, une femme agira sagement en abandonnant ses biens à son agresseur. Mais il en va différemment quand ce dernier veut la forcer à enfreindre la loi de Dieu en commettant la fornication. Dans ce cas, une chrétienne est obligée de résister. — I Corinthiens 6:18. ‘Mais le fait de résister ne présente-t-il pas un danger?’, demandera-t-on. Oui, c’est parfois le cas. Mais il peut être encore plus dangereux de céder. D’ailleurs, c’est ce que note un professeur qui enseigne des techniques contre le viol. “Le violeur peut très bien vous tuer après, pour que vous ne puissiez l’identifier.” Une célèbre oratrice a tenu sur le viol des propos dignes d’attention: “Malgré le mythe populaire de la violence masculine, et bien que l’on puisse se croire en sûreté si l’on cède, on n’a jamais prouvé qu’une victime du viol qui se défend ait incité son assaillant à commettre un meurtre.” Le fait suivant illustre ces paroles: Deux jeunes femmes se trouvaient dans une laverie automatique quand surgit un homme armé d’un revolver qui les fit reculer dans une pièce à l’arrière. Là, il leur ordonna de se déshabiller. Elles refusèrent, priant tout haut Jéhovah Dieu de les aider. Finalement, elles dirent au malfaiteur dérouté qu’elles étaient Témoins de Jéhovah et que leurs croyances leur interdisaient de faire ce qu’il exigeait. Elles ne le feraient donc pas, même s’il les tuait. Que s’est-il passé? L’homme, frustré, s’enfuit. Traitez-le avec respect La femme qui fait l’objet d’une tentative de viol devrait se rappeler que son agresseur est un être humain. Nul doute que des circonstances ont amené celui-ci à se conduire de cette façon. C’est pourquoi si une femme ne doit pas se laisser intimider, elle doit néanmoins faire preuve de compréhension. Une femme qui vivait dans une cité, à New York, écrit: “En général, je suis prudente quand j’entre dans un ascenseur. Comme d’habitude, j’ai vérifié celui-ci avant de pénétrer et tout était parfait. Cependant, juste avant que la porte ne se referme complètement, un homme de grande taille la rouvrit et entra dans la cabine. Il me lança aussitôt un pack de bière que j’attrapai. Je m’étais laissée surprendre. “Comme la porte se fermait, il me tourna le dos et toucha son pantalon, puis il me fit face. Je n’ai pas regardé son pantalon, mais je l’ai fixé dans les yeux. Je lui ai lancé ses boîtes de bière en disant: ‘Voilà vos bières.’ “À ce moment-là, avant qu’il n’ait pu faire quoi que ce soit, j’ai commencé à parler. Je lui ai dit que j’étais Témoin de Jéhovah et que j’allais au douzième étage pour enseigner la Bible à une famille qui m’attendait. Je n’ai pas cessé de parler et lui ai expliqué notre œuvre d’enseignement biblique. Comme nous étions arrivés à mi-chemin et que je parlais toujours, ne montrais aucune crainte et le regardais droit dans les yeux, il se passa quelque chose de curieux. Il me dit qu’il aimait la Bible, qu’il était originaire du sud des États-Unis et que sa famille aimait Dieu également. “Entre-temps, nous avions atteint le douzième étage et l’homme ouvrit la porte pour me laisser passer. Il me demanda si je voulais lui faire l’honneur de lui serrer la main. Je le fis et il m’écrasa presque les doigts. Puis il déclara qu’il désirait me remercier parce que j’étais la première femme blanche qui ne l’avait pas regardé avec mépris et que je lui avais parlé avec sincérité. Ensuite, il me dit au revoir et me souhaita bonne chance pour mon étude biblique.” Comment résister chez soi Subir un viol dans son foyer peut être particulièrement traumatisant, car tout vous rappelle constamment ce qui s’est passé. Combien il vaut mieux résister! Une mère de famille, qui a pu éviter d’être violée chez elle, à Detroit, aux États-Unis, raconte ce qu’elle a fait: “Il était 5 heures 30 du matin quand j’ai été réveillée par des bruits de pas. Tout d’abord, j’ignorais leur provenance exacte. Je jetai un coup d’œil à ma montre et vit qu’il était trop tôt pour que ce soit ma fille aînée qui se prépare pour l’école. Mon mari, qui est musicien, était en tournée. J’avais dormi au rez-de-chaussée et, comme je savais qu’il n’y avait personne à l’étage, j’ai supposé que le bruit venait de la véranda. J’ai donc allumé la lampe. Aussitôt j’ai entendu des pas descendre l’escalier en courant et, quand je me suis retournée, un étranger se trouvait là. “L’homme avait la main dans la poche de son manteau, comme s’il tenait un revolver, aussi lui ai-je dit: ‘Si vous voulez me tuer, faites-le!’ Il me répondit qu’il avait une arme et qu’il me tuerait si je ne faisais pas tout ce qu’il m’ordonnerait. Il me dit d’éteindre toutes les lumières et de m’asseoir sur le divan. J’ai éteint les lumières, mais j’ai refusé de m’asseoir. Il me menaça de me tuer si je ne le laissais pas me violer et se mit à me pousser vers le canapé. J’ai alors cité Matthieu 16:26 qui dit: ‘Quel profit, en effet, aura un homme s’il gagne le monde entier, mais qu’il le paie de son âme? ou qu’est-ce qu’un homme donnera en échange de son âme?’ “L’homme cessa de me pousser et me demanda ce que cela signifiait. Je lui ai donc expliqué que si je lui résistais et que je restais fidèle à mon Dieu et à mon mari, mais que je sois tuée à cause de cet acte de fidélité, j’aurais l’espoir de ressusciter pour vivre éternellement dans un paradis terrestre. Mais si je lui cédais, je mourrais finalement, sans l’espoir de ressusciter. “L’intrus savait qu’il n’arriverait pas à me persuader de lui céder, aussi essaya-t-il de m’arracher mes vêtements. Je me suis rappelé le passage du Deutéronome, chapitre 22, qui précise que si une femme est attaquée dans la ville et qu’elle ne crie pas, elle est considérée comme consentante. J’ai donc dit très haut: ‘Arrêtez, je vous en prie! Non, ne faites pas cela, monsieur! S’il vous plaît, partez d’ici!’ “Je savais que cela plaisait à Jéhovah. De plus, mes enfants sauraient qu’il ne s’agissait pas d’un dialogue à la télé et que leur mère était attaquée. Je disais aussi ‘Monsieur’ pour que les enfants sachent que je ne connaissais pas l’homme en question. Il m’enjoignit de me taire, mais je lui ai dit que je hurlerais chaque fois qu’il m’attaquerait. “L’homme se lança de nouveau sur moi et je me mis à prier tout haut: ‘Ô Jéhovah, je t’en prie, aide-moi!’ Il s’arrêta et me demanda à qui je parlais. Je lui ai expliqué que Jéhovah est le nom de Dieu et que Dieu a un nom tout comme lui-même en avait un. “Afin de parvenir à m’effrayer, il me demanda si j’avais déjà entendu parler de familles entières qu’on avait assassinées. Il me dit qu’il allait nous tuer, mes enfants et moi, si je ne lui permettais pas de me caresser. J’ai refusé. L’homme continuait à me menacer, et chaque fois que je disais en moi-même: ‘Ô Jéhovah, que dois-je faire?’, je pensais au passage biblique approprié et je savais comment agir. “Au bout de vingt à trente minutes, l’homme comprit qu’il n’arriverait pas à me violer. Il me demanda alors: ‘Quel âge ont vos enfants?’ Je répondis: ‘Quatorze, douze, huit, cinq et quatre ans.’ “‘Je vais violer votre fille de quatorze ans si vous ne me laissez pas vous violer’, dit-il. “Je me demandais comment il savait que mon enfant de quatorze ans était une fille. ‘C’est une chrétienne elle aussi, répondis-je, elle ne se laissera pas faire non plus.’ Il dit ensuite qu’il allait tous nous tuer et se dirigea vers les chambres de mes enfants. Encore une fois je me suis demandé comment il savait où se trouvaient les chambres. Avant que je n’aie pu reprendre suffisamment mes esprits pour le suivre, il revint vers la salle de séjour, l’air étrange. Il passa devant moi et ordonna: ‘Déverrouillez la porte de la rue.’ “‘Elle s’ouvrira si vous tournez le bouton’ dis-je. Il sortit; je refermai la porte aussitôt et mis la chaîne. “Je suis allée immédiatement jusqu’aux chambres de mes enfants et j’ai compris pourquoi l’homme s’était dirigé vers la porte de la rue. Les enfants étaient partis. La semaine précédente, j’avais vu une émission spéciale à la télévision expliquant qu’il fallait montrer aux enfants quelles sorties de secours permettaient de quitter la maison. J’en avais parlé à mes enfants et leur avais dit que le moyen le plus efficace consistait à emprunter les fenêtres de la chambre à coucher situées du côté nord. Ils pourraient ainsi arriver chez les voisins et demander du secours. Parce qu’ils avaient obéi, ils se trouvaient maintenant en sécurité dans la maison voisine. “Deux voitures de police ne tardèrent pas à arriver, l’une en réponse à mon coup de téléphone, l’autre à la suite de l’appel des voisins. Les policiers n’étaient pas surpris d’avoir été appelés ce matin à cause d’un viol. Depuis plusieurs mois, expliquèrent-ils, il y avait eu de nombreux viols à cette heure-là dans le voisinage. Ils parlaient même de l’agresseur comme de ‘notre homme’. “Ils furent stupéfaits en apprenant que je n’avais été ni violée ni cambriolée. Ils me dirent que quelqu’un se mettrait en rapport avec moi. Plus tard, ce jour-là, on me demanda de venir au commissariat pour une identification. Je fus très déçue parce qu’ils n’avaient pas attrapé l’homme en question. “Le lendemain, j’ai reçu un appel à mon lieu de travail me demandant de venir de nouveau pour une identification. Cette fois, dès que je suis entrée dans la pièce, j’ai reconnu l’homme et j’ai failli m’écrouler... J’ai appris que, depuis sa sortie de prison, huit mois auparavant, il avait violé au moins treize femmes dans le quartier, y compris une femme policier armée. La police me dit que, quelle que soit ma foi, c’était elle qui m’avait permis de ne pas être la quatorzième victime.” Comment résister à l’extérieur C’est sans nul doute une terrible épreuve que de se trouver face à un homme qui veut vous violer. Quand l’homme a une arme et qu’il n’y a personne d’autre dans le voisinage, la situation est particulièrement effrayante. Cependant, même dans ce cas, au lieu de se laisser intimider par les menaces et de céder, il vaut mieux suivre le conseil des Écritures et résister. À maintes reprises on a pu constater que c’était la meilleure façon d’agir. Une femme Témoin de Jéhovah qui vivait en dehors d’une agglomération raconte ce qui suit: “En revenant de la boîte aux lettres, je vis un homme, portant un masque, courir derrière moi armé d’un couteau. Il me saisit et essaya de m’entraîner dans les bois. Il voulut me jeter à terre, mais avant qu’il n’y parvienne je me suis mise à crier. Il me plaqua sa main sur la bouche, mais je continuai à appeler Jéhovah, le priant de me donner de la force. L’homme me montra le couteau et menaça de m’en frapper si je ne restais pas tranquille. Je saisis le couteau et le repoussai. Il remit l’arme dans sa poche et commença à m’entraîner. Je lui mordis le doigt et il me donna un coup de poing à la tête. “Il me dit qu’il ne me ferait pas de mal si je me laissais faire tranquillement. Je criai: ‘Non!’ J’étais décidée à m’échapper ou à mourir là, dans l’allée, mais pas dans les bois. Je lui donnai un coup de poing au visage. Surpris, il m’en donna un autre sur la joue. Je fus renversée à terre, mais je donnai de furieux coups de pied pour éloigner l’homme de moi. “Je parvins à me relever et je courus vers la route. En jetant un coup d’œil derrière moi, je vis mon agresseur filer à travers bois en direction de ma maison. J’ai couru jusqu’à la maison la plus proche et j’ai appelé la police. Elle arriva en force, cerna l’endroit et attrapa le malfaiteur. Il avoua tout; je n’ai donc pas eu besoin de l’identifier.” Soyez prête à résister Pour une femme, il n’y a sans doute rien de plus effrayant ou d’éprouvant qu’un viol. Peut-être refuse-t-elle même d’y penser. Cependant, c’est une réalité. La Bible elle-même parle de viols et de tentatives de viols qui ont eu lieu il y a des milliers d’années. — Genèse 19:4-11; 34:1-7; Juges 19:22-27; II Samuel 13:1-14. En ces temps critiques, les viols sont devenus des événements quotidiens dans de nombreuses villes. La revue American Medical News, en date du 4 février 1983, faisait remarquer ceci: “Peut-être une femme sur six dans ce pays [les États-Unis] sera victime d’un viol, un mal qu’on a qualifié de crime violent au rythme d’accroissement le plus rapide.” C’est pourquoi, au lieu de se refuser à envisager la possibilité d’une tentative de viol, il est raisonnable pour une femme de prévoir ce qu’elle ferait en cas d’agression. Avec réalisme, elle devrait être prête à résister. “L’opinion selon laquelle une femme qui résiste risque davantage d’être blessée ou tuée est un conte de vieilles femmes”, dit James Bannon, chef adjoint de la police de Detroit. Il ajoute: “Il n’y a jamais eu aucune preuve pour appuyer ces dires.” Dans l’ancien Israël, la loi de Dieu exigeait qu’une femme attaquée crie, donc oppose de la résistance (Deutéronome 22:23-27). C’est la voie sage. Selon Keith Kilbride, inspecteur en chef du bureau de la prévention du crime du West Yorkshire, en Angleterre, “si une femme est attaquée, ses meilleures armes sont encore ses poumons”. Pour mieux faire face à la menace grandissante du viol, vous désirerez peut-être lire les renseignements publiés dans Réveillez-vous! du 8 octobre 1980 et La Tour de Garde du 15 janvier 1981. Ces périodiques contiennent des articles qui ont pour but d’aider à éviter le viol. En outre, une femme fera bien de s’adresser à son mari, à son père ou à un ami digne de confiance qui pourra la conseiller sur les mesures défensives à prendre. De même, un garçon peut discuter de la chose avec ses parents. De plus, les faits rapportés dans cet article contiennent certainement des suggestions utiles qui vous aideront à résister avec succès à un agresseur éventuel. [Entrefilet, page 27] “Si une femme est attaquée, ses meilleures armes sont encore ses poumons.”
Sujet: Re: Pédophiles, viols en secrets, les victimes témoignent. Sam 25 Juil - 7:18
Pourquoi les Témoins de Jéhovah s'entrainent sans cesse au pire? :shock: J'aimerais avoir l'avis d'un pratiquant d'arts martiaux sur l'attitude à avoir face à un violeur.
Invité Invité
Sujet: Re: Pédophiles, viols en secrets, les victimes témoignent. Sam 25 Juil - 8:49
Bonjour jendur. 8)
jendur a écrit:
Pourquoi les Témoins de Jéhovah s'entrainent sans cesse au pire? :shock: J'aimerais avoir l'avis d'un pratiquant d'arts martiaux sur l'attitude à avoir face à un violeur.
Citation :
J’ai alors cité Matthieu 16:26 qui dit: ‘Quel profit, en effet, aura un homme s’il gagne le monde entier, mais qu’il le paie de son âme? ou qu’est-ce qu’un homme donnera en échange de son âme?’ “L’homme cessa de me pousser et me demanda ce que cela signifiait.
Je lui ai donc expliqué que si je lui résistais et que je restais fidèle à mon Dieu et à mon mari, mais que je sois tuée à cause de cet acte de fidélité, j’aurais l’espoir de ressusciter pour vivre éternellement dans un paradis terrestre. Mais si je lui cédais, je mourrais finalement, sans l’espoir de ressusciter.
C'est une secte basée sur la peur du jugement dernier. Bien qu'apocalypse signifie bel et bien révélation, le CC préfère éviter ce mot afin de se démarquer des sectes apocalyptiques. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
undesdouze
Messages : 959 Date d'inscription : 06/04/2019
Sujet: Re: Pédophiles, viols en secrets, les victimes témoignent. Sam 25 Juil - 20:38
Une conférence sur la secte des Témoins de Jéhovah:
종화
Messages : 464 Date d'inscription : 06/04/2019
Sujet: n'importe qui Sam 25 Juil - 21:10
jendur a écrit:
J'aimerais avoir l'avis d'un pratiquant d'arts martiaux sur l'attitude à avoir face à un violeur.
Mr Marmhonie répète avec sagesse, je le cite: "un combat qui n'a pas lieu est un combat gagné". Il a raison.
Je fais du kick boxing. Un low kick derrière le genou balaye n'importe qui. Mon maitre enseigne d'imaginer une bulle qui nous entoure. Son rayon est la longueur de notre jambe. Si le violeur est extèrieur à votre bulle, vous vous enfuyez en criant "AU FEU!!!". Le feu est une menace collective. Si on crie "au secour" l'appel de détresse est faible. Si le violeur entre dans votre bulle, on entre sur lui d'un low kick ou calf kick au genou enchaînant avec une frappe aux yeux.
Sujet: Re: Pédophiles, viols en secrets, les victimes témoignent. Dim 26 Juil - 11:26
kaboo a écrit:
C'est une secte basée sur la peur du jugement dernier. Bien qu'apocalypse signifie bel et bien révélation, le CC préfère éviter ce mot afin de se démarquer des sectes apocalyptiques. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Kaboo dit vrai J'ai longtemps cherché une preuve totale que les Témoins de Jéhovah annonçaient la fin du monde en se trompant. J'ai trouvé :study: