Genèse [2.6]: Le paradis de la Bible est "emprunté" au poème sumérien (rédigé vers -2800) "Enki et Ninhursag"où l'Eden hébraïque et le Dilmun sumérien ne font qu'un: mêmes fleuves, même endroit, même souffrance, même péché originel.
Genèse [2.7] "L'éternel Dieu forma l'homme poussière de la terre" récupéré de la légende sumérienne ("poussière" se dit "tit" en hébreu et "ti.it" veut dire "ce qui est en vie" en sumérien).
Genèse [2.21] Le mystère de la côte d'Adam est aussi "emprunté" au poème sumérien "Enki et Ninhursag": c'est là ou est le mal d'Enki, la côte vient du jeu de mot sumérien "ti" ("côte" ou "faire vivre") jeu de mot qui n'a plus de sens en hébreu.
Genèse [2:22] La femme a été créée à partir d'une côte de l'homme. Faux! on pourrait même presque affirmer l'inverse: tous les embryons sont féminins et ne se différencient qu'au bout de quelques jours. Encore aujourd'hui, beaucoup de gens sont persuadés que l'homme a une côte de moins que la femme.
Genèse [2:14] Le genre humain est né au proche Orient près de l'Euphrate, (en Irak, ancien empire de Sumèr - Akkad - Babylone), là où ont vécu les rédacteurs. Au jour d'aujourd'hui, on ne sait pas exactement d'ou vient l'Homo sapiens (la théorie de l'Afrique de l'Est n' est pas fiable).
Genèse [3:2] Adam et Ève et le fruit défendu, un fable recopiée à l'identique d'une ancienne légende sumérienne qui fait dépendre l'origine du mal de la première femme qui, induite par un serpent à désobéir au dieu créateur, convainc son compagnon de manger le fruit de l'arbre interdit. Les sceptiques peuvent admirer le cylindre de la tentation au British muséum à Londres où l'on voit la femme, l'homme, le serpent et le pommier. Aujourd'hui, personne de sérieux ne croit en la réalité historique d'Adam et Ève. Source: "Au cœur des mythologies" Lacarrière
Genèse [6:14] L'arche de Noé: cette fable est reprise à l'identique d'une légende sumérienne (Utnapishtim qui débarque sur le mont Nishir et lâche une colombe puis un corbeau). Des générations de chercheurs chrétiens ont cherché les vestiges de l'arche sur le mont Ararat pour rien!
L'exode [2:10] Moïse retrouvé dans un panier flottant: encore une fable tirée du récit du roi mésopotamien Sargon 1er qui fonda le royaume d'Akkadé qui est retrouvé à sa naissance abandonné dans un panier flottant et sera élevé par le jardinier. On sait aujourd'hui que Moise, Isaac et Abraham n'ont pas existé. "Sargon d’Akkad : Abandonné par sa mère dans une corbeille de roseaux qui est confiée au fleuve, le nouveau-né est recueilli et adopté par un jardinier. La faveur de la déesses Ishtar fait plus de lui un échanson à la cour de Kish puis un prince."
L'exode [7:17] Le thème du "fléau du sang" et de l'ombrage protecteur est tiré directement du mythe sumérien "Inanna et Shukallituda ou le péché mortel du jardinier".
L'exode [20] Les dix commandements ont été recopiés du code babylonien du roi Hammourabi. (vers -1800)
Samuel [28] Inspiré du poème sumérien où l'on voit l'ombre d'Enkidu sortir du Kur et se jeter dans les bras de Gilgamesh.
Esther: L'Esther du livre d'Esther vient de la déesse babylonienne Ishtar. Mardochée est le dieu assyrien Mardukéa.
Le livre de Job: Le thème de Job découle directement des tablettes sumérienne de Nipur. Il utilise les termes même du "poème de la Création" qui décrit le combat de Mardouk contre Kingou: Yahvé brise le crâne de Léviathan comme Mardouk celui de Tiamat. (Source:, "Au cœur des mythologies" Lacarrière).
Cantique des cantiques: Une suite empruntée au chant sumérien du mariage sacré: même style, même thèmes, détails, vocabulaire, mêmes personnages, monologues, dialogues, même langage fleuri et redondant. Voir par exemple le chant d'amour de Shu-Sin au chapitre XXI. Shu-Sin qui ressemble fort au roi Salomon dont l'existence n'est pas certaine et, s'il a existé, son règne n'a rien à voir avec celui décrit dans la Bible.
Lamentations de Jérémie: Ces lamentations sont reprises de "La lamentation sur la destruction de Nippur", récit sumérien.
Ézéchiel: Inspiré de la déesse babylonienne Ishtar. Les sumériens l'adoraient sous le nom d'Innana, épouse de Dumuzi, le Tammouz de la Bible.
Isaïe [ 9:11] Inspiré du texte sumérien qui décrit la descente aux enfers du monarque Ur-Nammu qui arrive dans le Kur.