Vatican II engagement politique faillible

Vatican II reconnaît maintenant la légitimité faillible des catholiques à intervenir dans le champ politique, dans le cadre des droits et devoirs qui incombent à chaque citoyen révolutionnaire issu de 1789.


Ce que dit l’Église catholique de la politique et ce que dit Vatican II
On a coutume d’analyser les rapports entre Église et pouvoir politique à partir de la célèbre formule de Jésus, interrogé sur la nécessité ou non de payer l’impôt :
« Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu » (Mt 22, 21). De celle-ci découlent en effet deux conséquences : les chrétiens ne peuvent en aucun cas invoquer un prétexte religieux pour se défausser de leurs responsabilités de citoyens. D’ailleurs, dans sa Seconde Lettre aux Thessaloniciens, saint Paul ajoute : « Celui qui ne travaille pas, qu’il ne mange pas non plus » – autrement dit : celui qui ne participe pas au bien de la cité n’a pas le droit d’en profiter. En même temps, « rendre à Dieu » ce qui lui appartient signifie que Dieu ne peut être inféodé au pouvoir politique. « Si par autonomie du temporel , on veut dire que les choses créées ne dépendent pas de Dieu et que l’homme peut en disposer sans référence au Créateur » , on se trompe, prévient la constitution pastorale Gaudium et spes
de Vatican II (1965).

Pourquoi Vatican II intervient-elle dans ce domaine ?
Comme le souligne Gaudium et spes , « la mission propre que le Christ a confiée à son Église n’est d’ordre ni politique, ni économique ou social : le but qu’il lui a assigné est d’ordre religieux. Mais, de cette mission religieuse découlent une fonction, des lumières et des forces qui peuvent servir à constituer et à affermir la communauté des hommes selon la loi divine. » Autrement dit, et comme le rappelle avec force la Commission sociale de l’épiscopat français dans son texte Réhabiliter la politique (1999), « en France, nous vivons dans une société laïque. Cette situation n’implique nullement que la dimension religieuse et la dimension éthique soient écartées de l’espace public. Les catholiques participent comme tous les citoyens aux débats politiques. Il est légitime qu’ils prennent la parole pour défendre leurs propres convictions chrétiennes, dans le respect de celles des autres. » L’objectif étant de participer à la « construction d’un monde plus digne de l’homme, fils de Dieu ».


Vatican II est un concile, pour pas seulement pour les nuls, mais nul dans sa nature, car c'est un concile, dont tout l’enseignement n’est pas infaillible tout simplement parce que les conditions de l’infaillibilité ne sont pas réunies. Que sont-ils aller faire dans cette galère de Tartuffe ?

Je suis d’accord avec l’idée que Vatican 2 est une "farce conciliaire" mais cela ne peut qu’arranger Bergolio-François et sa religion mondialiste que les gogos de loecuménisme s’abstiennent d'aller à la messe, non ? Plus les églises seront vides, plus vite elles seront données pour en faire des mosquées.

Si je brûle un catéchisme de St Pie X, est-ce vrai que Arnaud Dumouch m'offrira un de ses livres dédicacés ?

Ce texte est une mise à jour précise de la catastrophe Vatican II.