La monstruosité de nos merdias et de leurs valets journalopes

Il ne suffira pas de ne faire que des citations d'articles, francaisdesouche le fait mieux.
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Ce n'est qu'une revue de presse.

Nous devons activer notre réflexion, sortir du bois aux informations, apprendre à penser pzr nous-mêmes, car en ce moment, la thématique contre le journalisme est à l'indignation des "merdias" et des "journalopes". À tel point que la chute des connexions des grands sites, des radios et des tv d'informations, met en danger tout le service public français.

Les principales figures médiatiques se sont posées en victimes de la colère du peuple français.
Que voulez-vous, quand à la première manifestation bonne enfant des premiers gilets jaunes le 17 novembre 2018, déjà, les journalistes d'un seul ton les ont traité de "chemises brunes" (des nazis) et des "pédophiles", les pauvres humiliés de montrer leur désespoir, se sont vus en plus salis, ils ont été profondément blessés.

Il en va de même de la LICRA et SOS RACISME, grandement financés, appartenant pour leur élite à la Jet Set, ça ne passe plus. Israël serait devenu le pays des bisounours, les palestiniens civils massacrés tous des terroristes, bébés compris dans les représailles aveugles. Personne ne sort gagnant d'une guerre parce qu'elle a eu lieu.

Il n'y a pas de race, encore moins de peuple élu divinement, le racisme est toujours une monstruosité de l'esprit.

Quand nos faux dirigeants illégitimes et ces vrais dictateurs qui persécutent le peuple démuni de l'ombre, auront compris cela, certainement la crédibilité reviendra lentement. Cela prendra des années.
Rien ne change sous le soleil, seule l'enseignement de l'Histoire, pas la fausse des journaleux, nous permet de comprendre les mécanismes de fonctionnement des dictatures. Bergoglio-François, grand admirateur des généraux fascistes argentin et grâce à qui il a construit sa carrière sanglante, désabuse de plus en plus de chrétiens aussi. Il faut remonter bien des siècles en arrière pour trouver un pape aussi cruel, tyran, dictateur psychotique.

Les pauvres désespérés, les abandonnés de leurs religions, peuvent bien clamer aux forces de l'ordre : "visez à la tête, c'est tout ce qui nous reste."
L'humain se détruit de l'intérieur. Les chinois disent un peu différemment, "le poisson pourrit toujours par la tête". C'est le même constat.

Honte à celles et ceux qui laissent à l'abandon un enfant, une maman, c'est de la barbarie humaine.