Martin Luther: Les juifs et leurs mensonges (1543)
Introduction
&
Martin Luther : "Les juifs et leurs mensonges" 1543 PDF
Luther avait une haine maladive des juifs : extraits
Je m’étais fait à l’idée de ne plus écrire à propos des Juifs ou contre eux. Mais depuis que j’ai appris que ce peuple méchant et détestable n’arrête pas de nous attirer à lui par la ruse, nous les Chrétiens, j’ai publié ce petit livre, afin d’avoir ma place parmi ceux qui s’opposent aux activités diaboliques des Juifs (.../...)
Et pour rajouter à leur sottise stupide, folle et délirante, ils s’enorgueillissent et remercient Dieu, d’abord d’avoir été créés humains et non animaux ; puis d’être Israélites et non Gentils ; enfin, d’avoir été créés hommes et non femmes. Ils n’ont pas appris ces âneries d’Israël, mais des Gentils. (.../...)
Maintenant regardez ce peuple misérable, aveugle et insensé. (.../...)
Ce peuple aveugle et misérable ne voit pas que Dieu condamne leur cœur incirconcis très clairement et explicitement dans ces versets, et condamne donc leur circoncision physique, ainsi que leur orgueil et leurs prières. Les Juifs suivent leur chemin comme des idiots, le prépuce de leur cœur s’épaississant régulièrement avec leur fierté hautaine face à Dieu (.../...)
Il apparaît donc que les Juifs étaient une épouse souillée, oui, une incorrigible prostituée et une mauvaise fille avec laquelle Dieu aurait toujours à se quereller, se bagarrer et lutter. Si Dieu les châtie et les frappe de sa parole par l’entremise des prophètes, les Juifs le contredisent, tuent ses prophètes, ou, comme des chiens enragés, mordent le bâton qui les a frappés. (.../...)
Mais cela dépasse l’entendement des Juifs aveugles et endurcis. Leur en parler est à peu près comme prêcher l’Évangile à une truie. Ils ne peuvent pas savoir ce que sont réellement les commandements de Dieu, et encore moins comment les observer. (.../...)
Quand vous voyez ou entendez l’enseignement d’un Juif, souvenez-vous que vous n’entendez qu’un basilic venimeux qui empoisonne et tue les gens par son seul regard. Et avec tout cela, ils clament qu’ils ont raison. Méfiez-vous d’eux ! (.../...)
Bien ! Leur Talmud et leurs rabbins déclarent que, pour un Juif, tuer un Gentil n’est pas un péché, mais que tuer un frère israélite en est un. Ce n’est pas non plus un péché pour un Juif de rompre un serment fait à un Gentil. De même, les Juifs disent que c’est servir Dieu que de voler un Goy, comme ils le font au moyen de l’usure. Car, étant donné qu’ils se croient le noble sang et les saints circoncis et que nous, les Goyim, sommes les maudits, ils ne peuvent pas nous traiter trop sévèrement et pécher contre nous, car ils sont les seigneurs du monde et nous leurs valets, oui, leur bétail. (.../...)
Ensuite, les Juifs appellent aussi Jésus fils de putain, disant que Marie, sa mère, était une putain qui l’a conçu dans l’adultère avec un forgeron. Je dois m’exprimer de cette façon grossière, bien qu’à contrecœur, pour combattre le vil démon. Maintenant, les Juifs savent très bien que leurs mensonges sont inspirés par la haine et la malveillance pures, uniquement pour empoisonner gravement les esprits de leur pauvre jeunesse et les simples Juifs, et les dresser contre la personne de notre Seigneur de crainte qu’ils n’adhèrent à sa doctrine. (.../...)
Il n’est pas nécessaire qu’ils aient leurs propres églises indépendantes pour célébrer cette idolâtrie. En second lieu, je recommande de raser et détruire les maisons des Juifs. Car ils poursuivent là les mêmes buts que dans leurs synagogues. Ils devraient plutôt être logés sous un abri ou dans une grange, comme les bohémiens. Cela leur ferait comprendre qu’ils ne sont pas les maîtres dans notre pays, ainsi qu’ils s’en vantent, mais qu’ils vivent en exil et en captivité chez nous, comme ils s’en plaignent sans arrêt à Dieu. En troisième lieu, je recommande de leur retirer leurs livres de prières et les écrits talmudiques, qui enseignent cette idolâtrie, ces mensonges, ces malédictions et ces blasphèmes. En quatrième lieu, je recommande que leurs rabbins soient dorénavant interdits d’enseigner sous peine d’être frappés dans leur corps et dans leur vie. En cinquième lieu, je recommande d’abolir complètement les sauf-conduits sur les routes principales pour les Juifs. Car ils ne font pas d’affaires dans la campagne, étant donné que ce ne sont pas des seigneurs, des fonctionnaires, des commerçants, etc. Qu’ils restent chez eux.