Macron est un produit financier recyclable

Rappel du premier message :

Union européenne VS Sylvie Goulard = une violente gifle pour Macron l’arrogant


L'arrogance sanctionnée par une violente gifle de revers, c'est somme toute un grand classique. Sarkozy s'en est pris quelques-unes bien méritées avant d'être rejeté. Macron, en voulant imposer sa candidate - Sylvie Goulard - "contre l'avis de tout le monde", s'en est pris une lui aussi, d'humiliation.


https://youtu.be/Qhl9iIjuQ6I
Natacha Polony, Sud Radio :
"C'est inédit et c'est une claque : 82 voix contre, et 29 voix pour"

"C'est un camouflet absolument énorme ! Emmanuel Macron a cru qu'il pouvait mépriser le parlement européen, comme il méprise le parlement français..."

"Il n'a pas écouté ceux qui lui disaient que Sylvie Goulard était une très très mauvaise candidate"

"Il a péché une fois de plus par arrogance"

Ce n'est bien sûr pas une journaliste qui s'exprime, ni cette radio insignifiante, mais un des 4 milliardaires détenant la presse audio visielle qui l'exprime. Macron est KO, il est lâché alors qu'il est en campagne pour 2022. La pillule d'un an de gilets jaunes ne passe pas.

En outre, l'Europe affaiblie voit son principal fondateur, la France, ne même plus respecter les Droits de l'homme, son seul joker face à la Russie, la Chine et les Etats-Unis.

Goulard était un gros boulet comme Castaner.
Cette France politique indigne devra panser cette plaie de violences plolicières ahurissantes et, pour bien faire, il est temps pour les pays européens, de changer Macron qui est une catastrophe. Macron voit son ombre s'allonger. Allo maman bobo !

Habaqouq a écrit:

Ce n'est pas la définition d'un hoax qui est une légende urbaine ne reposant rien de réel.
Il y a un fond de vérité, dixit Ruffin dans Marianne : "Je n’ai pas honte. J’étais dans un combat pour sauver des salariés d’une boîte située au fin fond de l’Isère. J’avais une carte Macron à jouer, je l’ai jouée. Et j’ai d’ailleurs joué d’autres cartes avec d’autres candidats à la présidentielle au même moment".
C'est comme le dit Marianne "un faux scoop". Ce n'est pas du tout pareil.

D'accord : le mot était mal choisi. L'idée que je m'en faisais ne correspond pas à la définition donnée ici. Je me suis donc mal exprimé, mea culpa.

L'idée que je voulais défendre, c'est que l'interprétation que Juan Branco faisait de l'affaire était orientée, voire limite mensongère.

Marc Hassyn a bien parlé.

Un banquier formé chez Rothschild n'a jamais de remords pour la misère croissante en France. Même pas de regrets pour les gilets jaunes victimes... Tout simplement la pétoche pour sa réélection !