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| 13 février : le bombardement de Dresde | |
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simple curieu
Messages : 1019 Date d'inscription : 05/04/2019
| Sujet: 13 février : le bombardement de Dresde Ven 14 Fév - 18:23 | |
| 13 février : le bombardement de Dresde, une démonstration d’éthique démocratique[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Dans la ville de Dresde, joyau architectural, s’étaient réfugiés pas moins de 750 000 civils qui avaient fui devant l’invasion de l’armée soviétique et campaient dans les parcs, sur les trottoirs, dans les rues. Chacun se sentait en sécurité puisque Dresde n’était pas une cible militaire, c’était une ville hôpital qui pouvait se vanter de posséder 25 grandes installations médicales. La ville ne fabriquait pas de matériel de guerre, et par conséquent était laissée sans défense. Mais, ce 13 février 1945, les démocraties anglaise et américaine commencent le plus brutal bombardement de la 2e Guerre mondiale (exceptées les bombes atomiques sur le Japon). 7 000 tonnes de bombes incendiaires sont larguées sur Dresde et des dizaines de milliers d’hommes, femmes, vieillards, enfants meurent (entre 200 000 et 400 000 tués), souvent brûlés au phosphore, dans des souffrances terribles. La destruction de cette ville ne répondait pas à des objectifs militaires ou économiques mais s’inscrivait dans une logique de terrorisme, hors de toute morale, visant à ébranler le moral des Allemands. Plus précisément : « À 22h15, 800 bombardiers britanniques, avions d’escorte et de diversion convergeaient sur Dresde et larguaient des bombes incendiaires qui mettaient le feu à la ville d’une extrémité à l’autre. Une fois le ciel dégagé des avions ennemis, ceux qui avaient survécu dans des abris ressortaient dans les rues pour aider les blessés et enlever les morts. Des unités de service de secours de la région environnante se précipitaient dans la ville détruite pour apporter leur aide. Les Anglais faisaient alors croire aux Allemands que le raid était terminé pour la nuit, mais ils envoyèrent une deuxième vague de bombardiers pour « faire coup double » en revenant piéger les secouristes dans les rues en feu. Ce deuxième raid allait tuer des milliers de personnes qui se trouvaient en plein air, et eut aussi pour effet de produire la tempête de feu planifiée par les Anglais, provoquant dans la vieille ville des températures atteignant le niveau incroyable de 3 000 degrés Fahrenheit [1 600°C]. Ce crime contre l’humanité était tel que les victimes étaient aspirées dans un mur de flammes par un vent si puissant qu’il en avait renversé des wagons. Les sauveteurs découvriront dans les caves, à plusieurs pieds de profondeur, de la chair humaine fondue et des os. En tous les cas, de toutes les horreurs que peut produire une tempête de feu dans une ville surpeuplée, la plus déchirante est quand des milliers d’enfants ont perdu leurs parents dans la panique et, essayant de fuir les incendies, se sont retrouvés les pieds englués dans le goudron et l’asphalte en fusion. « Ils empoignaient leurs membres torturés puisque leurs toutes petites jambes brûlées ne les tenaient plus debout … puis ils s’effondraient jusqu’à ce que la mort vienne les libérer de leur misère physique. » Le massacre continuait le lendemain matin, avec une troisième attaque de 400 avions américains qui larguaient des bombes sur la ville déjà détruite, et des avions de combat, volant à basse altitude, mitraillaient le personnel médical et leurs patients étendus sur des couvertures le long de l’Elbe. Mais ce n’était pas tout. Dresde était bombardée encore trois fois, par un total de 1 172 avions : le 15 février, le 3 mars et le 17 avril 1945. » (Source : Richard Odorfer)Dresde, avec Hiroshima et Nagasaki, sont les exemples les plus connus de la barbarie anglo-américaine, mais on ne doit pas oublier les civils volontairement assassinés par de lâches bombardements un peu partout, dont des dizaines de milliers en France (voir Quand les Alliés bombardaient la France). Quelques images d’archives (après la publicité) :
La résistance nationale d’outre-Rhin rend chaque année hommage aux morts de Dresde, au cours d’un défilé généralement perturbé par la police.
Bien sûr aucun tribunal pénal international pour les crimes contre l'humanité qu'ont perpétré les « libérateurs » anglo saxons laissant la désolation et la mort partout ou ils sont passés et cela continue! Libye, Iraq, Syrie, Afghanistan, Vietnam, Corée…………….. il fallait ANEANTIR l Allemagne et le Japon et les rendre comme des « toutous » bien obeissants: bombes atomiques et massacres de civils à Dresde !!!! L'histoire est toujours écrite par les vainqueurs! On ferme sa gueule et on baisse la tete! Résultats obtenus: des peuples consommateurs de décérébrés sans aucune mémoire! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] | |
| | | Habaqouq
Messages : 685 Date d'inscription : 06/04/2019
| Sujet: Re: 13 février : le bombardement de Dresde Ven 14 Fév - 19:03 | |
| Le plus grand génocide occulté du 20° siècleApres l'armistice de la seconde guerre mondiale , des millions d'allemands ont été sauvagement exterminés , il s'agit du plus grand génocide caché de notre histoire , avec Holodomor Other losses de James BacqueUne enquête sur les morts en masse de prisonniers allemands aux mains des Français et des Américains après la Seconde Guerre mondiale Other Losses a provoqué un scandale international lorsqu'il a été publiées en 1989 en révélant que les politiques du Commandant suprême allié Dwight Eisenhower avaient causé la mort de quelque 1 000 000 captifs allemands dans des camps d'internement américains et français par la maladie, la famine et l'exposition de 1944 à 1949. la politique des Alliés occidentaux, qui, avec les Soviétiques, a régné en tant que gouvernement d'occupation militaire sur l'Allemagne de mai 1945 à 1949. Une tentative de dispute d'"autres pertes" a été publiée en 1992, avec des essais d'historiens révisionnistes britanniques, américains et allemands (Eisenhower et les prisonniers de guerre allemands: Facts Against Falsehood, édité par Ambrose & Günter). Cependant, la même année, Bacque se rendit à Moscou pour examiner les archives du KGB récemment ouvertes, où il trouva une nouvelle preuve méticuleuse et exhaustive de la mort de près d'un million de prisonniers de guerre allemands dans ces camps occidentaux. L'un des historiens qui soutient le travail de Bacque est le colonel Ernest F. Fisher, 101e division aéroportée, qui participa en 1945 aux enquêtes sur les allégations d'inconduite des troupes américaines en Allemagne et devint plus tard un historien chevronné de l'armée des États-Unis. Dans l'avant-propos du livre, il déclare: "A partir d'avril 1945, l'armée américaine et l'armée française annihilèrent par hasard un million d'hommes allemands, la plupart dans des camps américains ... La haine d'Eisenhower passa par la lentille d'un compliant la bureaucratie militaire, a produit l'horreur des camps de la mort sans égal dans l'histoire militaire américaine ... Comment cet énorme crime de guerre a-t-il vu le jour? Les premiers indices ont été découverts en 1986 par l'auteur James Bacque et son assistant. " Cette troisième édition mise à jour d'Autres Pertes existe non pour accuser, mais pour nous rappeler qu'aucun pays ne peut revendiquer une innocence ou une exemption inhérente aux cruautés de la guerre. | |
| | | mgr gaum
Messages : 855 Date d'inscription : 05/04/2019
| Sujet: Re: 13 février : le bombardement de Dresde Ven 14 Fév - 19:14 | |
| Après l'armistice de la seconde guerre mondiale , des millions d'allemands ont été sauvagement exterminés , il s'agit du plus grand génocide caché de notre histoire , avec Holodomor
Une enquête sur les morts en masse de prisonniers allemands aux mains des Français et des Américains après la Seconde Guerre mondiale Other Losses a provoqué un scandale international lorsqu'il a été publiées en 1989 en révélant que les politiques du Commandant suprême allié Dwight Eisenhower avaient causé la mort de quelque 1 000 000 captifs allemands dans des camps d'internement américains et français par la maladie, la famine et l'exposition de 1944 à 1949. la politique des Alliés occidentaux, qui, avec les Soviétiques, a régné en tant que gouvernement d'occupation militaire sur l'Allemagne de mai 1945 à 1949.
Une tentative de dispute d'"autres pertes" a été publiée en 1992, avec des essais d'historiens révisionnistes britanniques, américains et allemands (Eisenhower et les prisonniers de guerre allemands: Facts Against Falsehood, édité par Ambrose & Günter). Cependant, la même année, Bacque se rendit à Moscou pour examiner les archives du KGB récemment ouvertes, où il trouva une nouvelle preuve méticuleuse et exhaustive de la mort de près d'un million de prisonniers de guerre allemands dans ces camps occidentaux.
L'un des historiens qui soutient le travail de Bacque est le colonel Ernest F. Fisher, 101e division aéroportée, qui participa en 1945 aux enquêtes sur les allégations d'inconduite des troupes américaines en Allemagne et devint plus tard un historien chevronné de l'armée des États-Unis. Dans l'avant-propos du livre, il déclare: "A partir d'avril 1945, l'armée américaine et l'armée française annihilèrent par hasard un million d'hommes allemands, la plupart dans des camps américains ... La haine d'Eisenhower passa par la lentille d'un compliant la bureaucratie militaire, a produit l'horreur des camps de la mort sans égal dans l'histoire militaire américaine ... Comment cet énorme crime de guerre a-t-il vu le jour? Les premiers indices ont été découverts en 1986 par l'auteur James Bacque et son assistant. "
Cette troisième édition mise à jour d'Autres Pertes existe non pour accuser, mais pour nous rappeler qu'aucun pays ne peut revendiquer une innocence ou une exemption inhérente aux cruautés de la guerre.
La guerre d'après-guerre des Alliés contre le peuple allemand Ralph Franklin Keeling 8 mai 1945: c'est la fin des hostilités en Europe. Cependant, aussi choquant que cela puisse paraître aujourd'hui, la guerre contre l'Allemagne se poursuit. Roosevelt, Staline et Churchill ont décrété que le peuple allemand devait souffrir et c'est exactement ce qui se produisit. Expulsés de leurs maisons, dépouillés de leurs biens, décimés par la famine et la maladie, violés, volés, emprisonnés et réduits en esclavage, des millions d'Allemands - en majorité des femmes et des enfants - vont subir ce que le magazine Time qualifiera de "paix la plus terrifiante de l'histoire". Cruelles Moissons fut l'un des premiers ouvrages publiés aux États-Unis à tenter d'alerter l'opinion publique sur la guerre menée par les Alliés contre les Allemands après le 8 mai 1945. Appuyé sur les documents de l'époque et rempli d'une indignation à la fois humanitaire et patriotique, ce classique ose dévoiler de quelle façon les responsables politiques américains et alliés entreprirent la destruction politique, économique et sociale du peuple allemand dans le même temps qu'ils prétendaient lui enseigner la "justice" et la "démocratie". Le constat est accablant. Aujourd'hui, alors que la guerre de la propagande fait toujours rage contre les Allemands dans les médias et jusque dans les universités, Cruelles Moissons nous parle d'une période honteuse oubliée des Français et de la plupart des Européens qui mérite d'être rappelée dans sa réalité et non comme certains esprits pieux voudraient nous la raconter.
L'épuration ethnique des Allemands en Europe centrale et orientale, 1945-1948 Entre 2 et 3 millions d'Allemands sont morts après la seconde guerre mondiale, au coeur de l'Europe, victimes d'une des plus terribles épurations ethniques de l'histoire. On a pu parler à ce propos de véritable génocide. Mais c'est un génocide presque totalement occulté. Il s'agit de la première synthèse en langue française consacrée au sujet des expulsions des Allemands après 1945. L'auteur y relate le déroulement des faits pays par pays, établit un bilan chiffré des massacres et des pertes démographiques, analyse les mobiles de ceux, individus et États, qui ont participé aux crimes de l'expulsion. Il s'interroge enfin sur les raisons du silence assourdissant qui règne en Occident autour de cette somme effroyable de souffrances humaines. "Ce livre est un pavé de 300 pages dans la mare de notre conformisme et de nos habitudes historiques. Il est extrêmement bien documenté et il laissera sa trace dans les livres d'histoire" (Histoire événement, janvier 2002). Un "ouvrage fondamental" (Nouvelle Revue d'Histoire, n° 2, septembre-octobre 2002).
Dans Le livre noir de l'expulsion (paru en Allemagne en 1999), unique en son genre en langue française sur ce thème, Heinz Nawratil retrace le calvaire des 20 millions d'Européens de l'Est d'origine allemande (parfois installés depuis plus de quatre cents ans) qui durent fuir l'Armée rouge ou furent expulsés. Cette expulsion eut son cortège macabre de meurtres, viols et tortures commis par les troupes soviétiques, les milices polonaises, les résistants tchèques et les partisans yougoslaves. De 2 à 3 millions y trouvèrent alors la mort.
L'auteur démontre que l’épuration ethnique des Allemands en Europe centrale et orientale de 1945 à 1948 ne visait pas seulement les fonctionnaires nationaux-socialistes, les membres et sympathisants du parti, mais l’ensemble des Allemands (hommes, femmes, enfants, vieillards, malades extraits des hôpitaux) rabaissés à l'état de sous-hommes. Cette accumulation de crimes révèle “un plan d’extermination et d’expulsion des Allemands” des territoires de l'Est savamment préparé par certains cercles dirigeants de l'URSS et des autres États socialistes…
On a pu parler à ce propos de véritable génocide. Mais c'est un génocide presque totalement occulté. Il s'agit de la première synthèse en langue française consacrée au sujet des expulsions des Allemands après 1945. L'auteur y relate le déroulement des faits pays par pays, établit un bilan chiffré des massacres et des pertes démographiques, analyse les mobiles de ceux, individus et États, qui ont participé aux crimes de l'expulsion. Il s'interroge enfin sur les raisons du silence assourdissant qui règne en Occident autour de cette somme effroyable de souffrances humaines. openyoureyes.over-blog.ch/article-le-geno…
"L'Europe Barbare" de Keith Lowe La Deuxième Guerre mondiale s'est officiellement achevée en mai 1945, mais son déchaînement de violence perdura des années. Après plus de 35 millions de morts et nombre de villes rasées, les institutions que nous considérons aujourd'hui comme acquises – police, médias, transports, gouvernements nationaux et pouvoirs locaux – étaient à reconstruire. Le taux de criminalité montait en flèche, les économies s'effondraient et la population européenne survivait au bord de la famine. Dans ce livre au souffle épique, Keith Lowe décrit un continent secoué par la violence, où de vastes segments de la population répugnent encore à accepter que la guerre soit finie. Il met l'accent sur la morale pervertie et le désir insatiable de vengeance qui furent l'héritage de ce conflit. Il dresse, enfin, le tableau du nettoyage ethnique et des guerres civiles qui déchirèrent l'existence des gens ordinaires, de la mer Baltique à la mer Méditerranée, avant l'instauration chaotique d'un nouvel ordre mondial qui finit par apporter la stabilité à une génération brisée.
Keith Lowe est considéré comme l'un des jeunes historiens les plus talentueux de sa génération, comme l'a montré l'accueil enthousiaste de ce livre par ses pairs autant que par les médias. Traduit en 10 langues, resté plusieurs semaines dans la liste des " TOP 10 best sellers " du Sunday Times, L'Europe barbare est un livre évènement qui fera date.
Le viol des femmes Allemandes à la fin de la guerre Le 21 avril 1945, l'Armée rouge marche sur Berlin, au terme de six jours de combats au nord de la capitale allemande. Les 800.000 soldats allemands qui protègent les frontières de la ville ne font pas le poids face aux 2,5 millions de soldats russes qui arrivent à la mi-avril avec 6.250 blindés, 7.500 avions et 41.600 pièces d'artillerie. En désespoir de cause, les nazis envoient même des membres des jeunesses hitlériennes et des hommes âgés au combat. En vain. C'est dans une ville dévastée par plus de 300 bombardement qu'arrivent les troupes soviétiques. Pour les 2,7 millions de Berlinois qui s'y trouvent alors –ils était 4,3 millions au début de la guerre– la libération de leur ville sera un cauchemar. Le quotidien berlinois Der Tagesspiegel publie cette semaine des extraits d'un témoignage inédit. | |
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