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| La liberté de culte est moins importante que la liberté de consommer | |
| | Auteur | Message |
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simple curieu
Messages : 1017 Date d'inscription : 04/04/2019
| Sujet: La liberté de culte est moins importante que la liberté de consommer Lun 25 Mai - 23:26 | |
| La liberté de culte est moins importante que la liberté de consommer!!Le Parti chrétien-démocrate a déposé devant le Conseil d’État un recours fondé sur la Constitution et le décret de déconfinement.Ce qui frappe quand même les auditeurs, c’est que la consommation, elle, autorise beaucoup de choses, on ouvre les magasins, on ouvre les grandes surfaces, mais les églises… «Nous considérons, explique Jean-Frédéric Poisson, président du Parti chrétien-démocrate, que la décision du premier ministre de maintenir depuis le 11 mai l’interdiction de célébrer des cultes constitue une atteinte aux libertés fondamentales et une double discrimination quant au principe de la liberté de culte. La première discrimination porte sur l’activité: on autorise, par exemple, la reprise des salons de coiffure mais pas celle des cultes. Pourquoi l’activité religieuse serait-elle plus dangereuse que celle d’un petit commerce, à précautions sanitaires égales? La seconde discrimination est géographique: dès lors que des départements offrent peu de risque de contamination, pourquoi le culte ne pourrait-il être rétabli dans les départements verts avec les mesures nécessaires?» Ce responsable politique rappelle d’ailleurs que la liberté de culte est un «droit fondamental» posé par la Constitution et qu’il comprend «la liberté de conscience, le droit d’accès au lieu de culte et le droit de célébrer pour tous les cultes». Le Conseil d’État, qui a jugé recevable la requête, pourrait rendre son avis dans la journée de lundi.
Il y a un espèce d’ostracisme sur les églises parce que l’on peut très bien, je dirais, marcher, papoter, sur les Champs-Elysées en grand nombre, on peut même faire des rassemblements de cinq mille personnes dans la mesure où elles auraient une certaine distance sur un stade de foot, enfin on peut faire tout ce qu’on veut finalement, sauf se rassembler, ou plutôt se regrouper, dans une église. Cela paraît contradictoire, on a l’impression qu’il y a un espèce d’ostracisme contre la religion.
C’est assez cocasse parce qu’en fait le décret a changé à partir du 12 mai, avant le culte n’a jamais été interdit, le prêtre avait le droit d’exercer son culte mais les fidèles n’avaient pas le droit de se déplacer, c’était complètement contradictoire. Le culte était permis, les églises étaient ouvertes, mais les fidèles ne pouvaient pas venir, on se demande pourquoi elles étaient ouvertes, il y avait une espèce de contradiction des décrets. Maintenant, les fidèles ne sont plus confinés, ils peuvent venir, mais le culte est interdit. Ils peuvent venir au compte-goutte, sans masques parce qu’il faut recevoir la sainte communion, il faut être un peu cohérent. Il y a heureusement un déplacement plus facile des fidèles qui viennent, cela c’est vrai, qui fréquentent davantage nos chapelles et les prieurés partout.
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| | | dan26
Messages : 3075 Date d'inscription : 25/11/2019 Age : 77 Localisation : sud
| Sujet: Re: La liberté de culte est moins importante que la liberté de consommer Mar 26 Mai - 8:31 | |
| peux tu nous dire d'où est partie , la pandémie en France !!!? Il me semble que c'est du à un mouvement religieux, qui a regroupé plus de 2000 personnes . Pour moi ce n'est pas le thème qui pose problème , mais le nombre de personnes qui se regroupent dans un milieux fermé .
Comment expliquer que dieu n'ai pas protégé ses fidèles ?C'est quoi ce dieu ?
Amicalement
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| | | jesuiscri
Messages : 521 Date d'inscription : 06/04/2019
| Sujet: Re: La liberté de culte est moins importante que la liberté de consommer Mer 27 Mai - 0:18 | |
| Une pandémie est par définition une épidémie internationale. Il n'y a pas de " d'où est partie , la pandémie en France !!!?". Je ne reste pas à dialoguer, l'ambiance est devenue trop agressive. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La liberté de culte est moins importante que la liberté de consommer Mer 27 Mai - 3:35 | |
| Bonjour à tous. - dan26 a écrit:
- peux tu nous dire d'où est partie , la pandémie en France !!!?
Tu ne sais même pas ce qu'est un patient zéro ??? - Citation :
- peux tu nous dire d'où est partie , la pandémie en France !!!?
Personne ne le sait. Peut-être de France ? - Citation :
- Il me semble que c'est du à un mouvement religieux, qui a regroupé plus de 2000 personnes .
N'importe quoi. Tu vis sur quelle planète ? - Citation :
- Pour moi ce n'est pas le thème qui pose problème , mais le nombre de personnes qui se regroupent dans un milieux fermé .
Encore une fois, tu ne me lis pas ........... Si tu lisais mon sujet Pékin annule .................., tu saurais comment ça à commencé. - Citation :
- Comment expliquer que dieu n'ai pas protégé ses fidèles ?C'est quoi ce dieu ?
Encore une fois, tu prouves que tu crois toujours en Dieu. Tu n'es rien d'autre qu'un Apostats ou un déçus qui veut se venger de l'ECR pour ne pas avoir eu de réponses. Mais, malheureusement pour toi, l'ECR ne t'a rien fait. - Citation :
Amicalement Cordialement.
Dernière édition par Admin le Mer 27 Mai - 21:59, édité 1 fois (Raison : Code erreur : status=off topic (host said: off topic (in reply ))))) |
| | | dan26
Messages : 3075 Date d'inscription : 25/11/2019 Age : 77 Localisation : sud
| Sujet: Re: La liberté de culte est moins importante que la liberté de consommer Mer 27 Mai - 13:22 | |
| - jesuiscri a écrit:
- Une pandémie est par définition une épidémie internationale. Il n'y a pas de " d'où est partie , la pandémie en France !!!?".
Je ne reste pas à dialoguer, l'ambiance est devenue trop agressive. donc quand tu lis cela de ma part "Pour moi ce n'est pas le thème qui pose problème , mais le nombre de personnes .s qui se regroupent dans un milieux fermé .", tu prends cela pour de l'agressivité!!! désolé mais tu sembles ne rien comprendre amicalement
Dernière édition par Admin le Mer 27 Mai - 21:59, édité 1 fois (Raison : Code erreur : status=off topic (host said: off topic (in reply ))))) | |
| | | dan26
Messages : 3075 Date d'inscription : 25/11/2019 Age : 77 Localisation : sud
| Sujet: Re: La liberté de culte est moins importante que la liberté de consommer Mer 27 Mai - 22:04 | |
| " - Citation :
- kaboo" a dit
Tu ne sais même pas ce qu'est un patient zéro ???
encore uen fois tu ne réponds pas à ma question la réponse étant d'un rassemblement évangélique de Mulhouse - Citation :
- Personne ne le sait. Peut-être de France ?
réponse Mulhouse - Citation :
- N'importe quoi. Tu vis sur quelle planète ?
je viens de te répondre - Citation :
- .. Si tu lisais mon sujet Pékin annule .................., tu saurais comment ça à commencé.
si tu savais lire tu verais que je parle de la France !!! - Citation :
- Encore une fois, tu prouves que tu crois toujours en Dieu.
Tu n'es rien d'autre qu'un Apostats ou un déçus qui veut se venger de l'ECR pour ne pas avoir eu de réponses. Mais, malheureusement pour toi, l'ECR ne t'a rien fait. tu dis vraiment n'importe quoi, j'utilise les arguments des croyants pour leur retourner , et toi tu traduis par "tu crois toujours en Dieu.". tu as un sacré problème mon cher Kaboo , un problème de compréhension grave très grave!! Ta signature d'ailleurs le montre bien !! Amicalement, ou cordialement, cela montre que tu n'as rien à dire , encore . Amicalement
Dernière édition par Admin le Jeu 28 Mai - 0:03, édité 1 fois (Raison : Code erreur : status=restricted area (host said: troll (in reply )))))) | |
| | | undesdouze
Messages : 959 Date d'inscription : 05/04/2019
| Sujet: Re: La liberté de culte est moins importante que la liberté de consommer Mar 9 Juin - 6:50 | |
| La messe publique interdite Avant que le Conseil d’État ne vienne ordonner un « déconfinement » pour les cérémonies du culte, le 18 mai 2020, le gouvernement français n’envisageait pas la reprise de la célébration publique des messes dans les églises avant le 2 juin. Plusieurs observateurs se sont interrogés sur la légitimité d’une telle mesure, et sur la docilité de l'épiscopat à l’appliquer, quand il ne l’avait pas anticipée ! Ainsi l’abbé Claude Barthe dans la lettre d’information et d’analyse Res Novæ du 14 avril, qui dénonce la « dictature jacobine » provoquant une « éclipse de la religion publique au nom du “principe de précaution” » : « Les évêques de France eussent pu, faute de mieux, organiser les assemblées liturgiques en fonction de ces contraintes légales passablement tyranniques, essentiellement en multipliant le nombre de messes pour des petits groupes. Bien au contraire, ils ont anticipé les mesures gouvernementales (les messes publiques étaient interdites à compter du 14 mars, – alors que l’arrêté du ministre des solidarités et de la santé est du 15 mars), et ils les ont même amplifiées. La Conférence des évêques a traduit ainsi l’arrêté du 15 mars : “Aucune messe avec une assemblée, de quelque taille qu’elle soit ne doit être célébrée. Les obsèques peuvent, pour le moment, être célébrées dans les églises dans la plupart des diocèses. L’assemblée devrait être inférieure à 20 personnes” (Message de Mgr de Moulins-Beaufort, du 17 mars 2020). Du coup, un arrêté du 24 mars interdisait les messes, sauf les “cérémonies” pour les obsèques. « Si l’on doit confiner non seulement les malades ou leur proches, mais les malades et les bien-portants, pourquoi ne prend-on pas des dispositions de confinement semblables, par exemple, lors de la grippe saisonnière qui peut faire jusqu’à 650.000 victimes par an ? La réponse – dans un contexte où le scientifique idéologiquement survalorisé se heurte à ses limites – tient à la méconnaissance du virus actuel, pour lequel on ne dispose ni de vaccin, ni encore de médicament efficace, sans parler de l’impréparation sanitaire. Si bien que les médecins et épidémiologistes ont demandé l’application du “principe de précaution”. Sauf que celui-ci, sorti de la giberne des écologistes et intégré à la Constitution en 2005, là où il suffisait d’invoquer le bien commun de la Cité recherché prudemment et intelligemment, se heurte ici au bien commun surnaturel dont l’Eglise est seule juge. « Certes, elle se doit de favoriser la santé corporelle, et donc tenir compte de l’avis des gouvernants – ou de ceux qui, de facto, tiennent lieu de gouvernants et dont, s’agissant de “santé publique”, on doit tout de même se souvenir que leurs “lois” autorisent le meurtre de quelque 220.000 innocents par an en France –, mais elle est, quant à elle, en charge de la santé spirituelle des hommes, de leur salut éternel ». Car il faut le rappeler : « Aussi étrange que cette assertion puisse aujourd’hui paraître, non seulement le gouvernement de la Cité devrait favoriser le culte divin célébré par l’Eglise, mais il devrait aussi s’y associer en tant que tel. Pas plus que le père de famille, le gouvernant n’a à se réfugier dans la “neutralité”. Rendre à Dieu un culte public est un devoir “qui oblige en premier lieu les hommes pris en particulier, mais c’est aussi un devoir collectif de toute la communauté humaine basée sur des liens sociaux réciproques, parce qu’elle aussi dépend de l’autorité suprême de Dieu” » (Pie XII, Mediator Dei). La liberté religieuse promue au Concile explique, en définitive, le mutisme épiscopal : « Tolérant, parce qu’ils n’en peuvent mais, cette réalité d’institutions qui ignorent la loi divine, ils [les évêques] ont à réserver jalousement dans le principe les droits de Dieu. Or, c’est tout le contraire, puisque, depuis Vatican II, ils considèrent que c’est par exception qu’a été jadis accordée à l’Epouse du Christ une “reconnaissance spéciale”, alors que la règle est désormais pour elle le droit commun associatif qui résulte de la liberté religieuse (Dignitatis humanæ n. 6) ». Une politique matérialiste Dans Valeurs Actuelles du 29 avril, Guillaume Bernard, maître de conférence à l’Institut catholique d’études supérieures (ICES) remet en cause le bien-fondé des mesures gouvernementales contre la reprise des messes publiques : « A partir du moment où le début du déconfinement est annoncé pour le 11 mai (avec la réouverture de tous les magasins), il est ubuesque pour ne pas dire tyrannique que les messes avec des fidèles continuent à être prohibées. Le pouvoir politique n’est-il pas supposé être religieusement neutre ? Il est, sans doute, habilité pour établir des normes en matière de salubrité et de sécurité publiques mais, celles-ci étant respectées, il n’a pas à dicter idéologiquement les conduites. Si des mesures de prudence sont mises en œuvre (distance entre les personnes, nettoyage des lieux, etc.), il n’y a pas de raison que le pouvoir politique affiche une prédilection pour certaines activités sociales et une hostilité pour d’autres (en interdisant la pratique religieuse). Qui oserait sérieusement soutenir que le virus se transmettrait plus dans une église que dans les queues à l’entrée et aux caisses des supermarchés ? […] Que le pouvoir politique donne des consignes sanitaires est une chose, qu’il se croit légitime pour autoriser ou non la célébration de messes, y compris dans des lieux privés, en est une toute autre ! » L’universitaire français pointe du doigt le matérialisme qui sous-tend la politique gouvernementale : « Réduire l’homme à son corps, circonscrire la vie sociale au matériel est extrêmement réducteur. Or, en admettant (pour l’heure, puisque ce n’est pas ici le sujet) que le confinement général puis l’encadrement du déconfinement réalisent le bien commun, il s’avère que, de la manière dont l’Exécutif l’aborde, celui-ci est artificiellement réduit au temporel. Les besoins de l’âme non seulement de chacun mais de tous, le bien commun spirituel pas seulement des personnes mais de la société tout entière sont réduits à néant ». Et de noter que « dans le cadre du confinement général, si les églises étaient autorisées à rester ouvertes (article 8 du décret du 23 mars 2020), il n’y avait aucune mention aux lieux de culte dans les autorisations dérogatoires de déplacement ! Il était explicitement autorisé de se rendre dans un supermarché ou d’aller faire du sport (il est vrai que le corps a ses besoins légitimes) mais, comme pour essayer d’en dissuader, strictement rien n’était indiqué sur le fait d’aller dans une église pour y adorer Dieu et le recevoir… dans son corps par la communion. Il est assez probable que nombre de politiques ignorent totalement la spécificité du catholicisme qui affirme la présence réelle de Dieu dans l’hostie consacrée. C’est dans la même logique matérialiste, doublée sans doute d’une grave méconnaissance, qu’Edouard Philippe a pu, sans sourciller, affirmer que les parcs et jardins étaient indispensables à l’équilibre des personnes mais que les messes avec des fidèles resteraient interdites au moins jusqu’au 2 juin. Personne, hormis Dieu, ne peut juger du for interne d’une personne. Mais tout cela en dit long sur la pauvreté intellectuelle de nos prétendues élites. » – Nous ajouterons que cela en dit long aussi sur leur misère spirituelle. | |
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