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 Bergoglio-François, le pape dictateur

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mgr gaum

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Date d'inscription : 04/04/2019

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MessageSujet: Bergoglio-François, le pape dictateur   Bergoglio-François, le pape dictateur EmptyMer 17 Avr - 23:50

Bergoglio-François, le pape dictateur

Bergoglio-François, le pape dictateur Le-pape-dictateur-560bbdd

Extraits avec la permission du bon Dieu


"Vous pouvez tromper tout le monde parfois, et certains d'entre eux tout le temps, mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps." Abraham Lincoln

Si vous parlez aux catholiques de Buenos Aires, ils vous parleront du changement miraculeux qui a pris le contrôle de Jorge Mario Bergoglio. Leur archevêque, sournois et discret, s'est transformé du jour au lendemain en le souriant et joyeux Pape François, l'idole du peuple avec lequel il s'identifie si pleinement. Si vous parlez à quelqu'un qui travaille au Vatican, ils vous parleront du miracle à l'envers. Quand les caméras de publicité sont éteintes, le Pape François se transforme en une autre figure : arrogant, dédaigneux des gens, prodigue du mauvais langage et célèbre pour ses accès de colère furieux connus de tous, des cardinaux aux chauffeurs.

Comme le disait lui-même le Pape François le soir de son élection, les cardinaux du Conclave de mars 2013 semblaient avoir décidé d'aller « jusqu'aux extrémités de la Terre» pour choisir leur Pape, mais la prise de conscience est en train de se faire qu'ils n'avaient pas eu la peine de vérifier leur marchandise. Au début, il semblait une bouffée d'air frais, ses refus de la convention étant les signes d'un homme qui allait apporter une réforme audacieuse et radicale dans l'Église. Au cours de la cinquième année de son pontificat, il apparaît de plus en plus clairement que la réforme n'est pas menée à bien. Au lieu de cela, ce que nous avons est une révolution dans le style personnel, mais une révolution qui n'est pas une révolution heureuse pour ce que les catholiques considèrent comme le poste le plus sacré sur Terre. Les catholiques conservateurs s'inquiètent des changements que François semble introduire dans l'enseignement moral, tandis que les libéraux sont insatisfaits parce que ces changements sont vaguement exprimés et ne vont pas assez loin. Mais au-delà de ces craintes, il y a des fautes qui devraient faire bouger tous les catholiques concernés par l'intégrité de l'Église et la charge papale. Après près de cinq ans de pontificat, François démontre qu'il n'est pas le dirigeant démocratique et libéral que les cardinaux pensaient élire en 2013, mais un tyran papal comme on n'en a pas vu depuis des siècles. Aussi choquante que puisse être l'accusation, elle est étayée par des preuves incontestables. Ce livre retrace les réformes ratées qui ont faussé les espoirs placés en François et décrit en détail le règne de la peur au Vatican que le Pape d'Argentine a introduit.

Coups de poignard et massacre à la Curie
Le journaliste anglais Damian Thompson cite un prêtre qui travaille à la Curie, et qui a commencé comme un fervent partisan du Pape François, en ces termes :« Bergoglio divise l'Église entre ceux qui sont avec lui et ceux qui sont contre lui — et s'il pense que vous êtes dans ce dernier camp, alors il vous pourchassera. » (162) Ce fut l'expérience de trois prêtres de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi. Au cours de l'été 2016, ils ont été convoqués en personne devant le Pape, accusés d'avoir fait des remarques défavorables à son égard et destitués (163). Le Cardinal Müller essaya de les défendre, et, dans une audience qu'il obtint après plusieurs mois d'essais, protesta auprès de François : « Ces personnes sont parmi les meilleures de mon dicastère... qu'ont-ils fait ?» Le Pape a repoussé ses protestations et a clôturé l'audience par les mots :« Et moi je suis le Pape, je n'ai pas besoin de donner les raisons de mes décisions. J'ai décidé qu'ils doivent partir et ils partiront.»(164)

Le Cardinal Müller lui-même, en tant que chien de garde ex officio de l'orthodoxie catholique, a encouru la défaveur du Pape pour son
opposition à la modification de l'enseignement de l'Église sur le mariage. Après un certain nombre d'échecs sur quatre ans, au cours desquels il a été effectivement remplacé par le Cardinal Schonborn comme autorité doctrinale officielle, le Cardinal Müller a été envoyé à la retraite en juillet 2017, à la fin de son mandat de cinq ans. Le non-renouvellement de son mandat contraste avec la pratique normale, tout comme sa retraite à l'âge de 69 ans (alors que le Cardinal Coccopalmiero, par exemple, continue de bénéficier du patronage du Pape à 79 ans) (165). Il convient également de noter que son remplaçant dans la Congrégation, l'Archevêque Ladaria, a été accusé de protéger un prêtre qui a agressé
des garçons.

Le traitement réservé au Cardinal Robert Sarah, Préfet de la Congrégation pour le Culte Divin, a été encore plus draconien, à certains égards. Le Pape François l'a nommé à ce poste en novembre 2014 et l'a chargé à l'époque de poursuivre la ligne liturgique tracée par le Pape Benoît XVI (166). Sa chute s'est produite lorsqu'il a exprimé son point de vue sur la manière moderne de dire la Messe. En juillet 2016, le Cardinal Sarah, s'adressant aux participants d'une conférence à Londres, a exhorté à la restauration de la pratique traditionnelle de la célébration ad orientem, c'est-à-dire avec le prêtre face à l'Orient liturgique.

Contrairement à ce qui est généralement supposé, aucun ordre n'a jamais été donné pour que le prêtre dise la Messe face au peuple ; c'était une pratique introduite dans les années soixante, alors qu'on croyait que c'était l'usage de l'Église primitive, une idée qui est maintenant connue pour être erronée. Le Cardinal Ratzinger avait déjà fait cette remarque en 1993, alors qu'il était préfet de la Congrégation pour la Foi, et qu'il était familier avec ses écrits liturgiques en général. Instruire l'Église sur l'authenticité liturgique est censé être l'une des fonctions de la Congrégation pour le Culte Divin ; mais les paroles du Cardinal Sarah ont été reçues avec les protestations de ceux qui ont supposé que la pratique des cinquante dernières année est incontestable.

Ce qui s'est passé ensuite, c'est d'abord une illustration du coup de poignard qui est devenu trop courant dans la Curie actuelle. Les lettres de protestation sont arrivées à Rome alors que le Cardinal Sarah était absent de Rome pour l'été. Sans lui donner l'occasion de les examiner, le Secrétaire de la Congrégation, Mgr Arthur Roche, remis les lettres au Pape François, qui n'est pas connu pour son savoir-faire en matière liturgique, et il a agi à partir de la connaissance d'un seul côté de la question, le côté ignorant. Sa réaction a été peut-être la plus proche d'une purge stalinienne que le Vatican a vue. En octobre, presque tous les membres de la Congrégation pour le Culte Divin, dont beaucoup avaient été nommés par Benoît XVI et avaient suivi sa ligne liturgique, ont été licenciésen masse, et 27 nouveaux membres ont été nommés pour prendre leur place, laissant ainsi le Cardinal Sarah complètement isolé (167).

Il a été obligé d'annuler sa participation à une conférence liturgique à laquelle il devait prendre la parole sur « Le sens du Motu Proprio Summorum Pontificum pour le renouveau de la liturgie dans l'Église Latine ». Cette action contre le Cardinal Sarah s'inscrit dans le modèle du Pape François qui donne une série d'assurances à un fonctionnaire qu'il nomme, avant d'exécuter unevolte-face ; et aussi de son attaque contre ceux qu'il considère comme des ennemis non pas en les rejetant, mais en les minant et en les laissant impuissants. Quant à l'Archevêque Roche, sa récompense pour son intervention a été qu'il est maintenant la personne qui règne en maître dans la Congrégation pour le Culte Divin.

Le mot d'ordre du Groupe de Saint-Gall était la libéralisation de l'Église, et avec leur candidat au pouvoir, nous voyons maintenant ce que cela signifie. Une attitude d'horreur sacrée à l'égard de quiconque montre une dissidence de la ligne papale est l'orthodoxie régnante.

Lorsque les quatre cardinaux Brandmüller, Burke, Caffarra et Meisner signèrent une lettre demandant des éclaircissements sur les ambiguïtés d'Amoris Laetitia, le doyen de la Rote Sacrée, l'Archevêque Vito Pinto, fit la déclaration :« Ce que ces cardinaux ont fait, c'est un scandale très grave qui pourrait conduire le Saint-Père à les priver du chapeau de cardinal... On ne peut pas douter de l'action de l'Esprit Saint.» (168) Pour sa part, le Cardinal Blase Cupich de Chicago (qui a reçu le chapeau rouge en octobre 2016 de préférence à plusieurs autres prélats américains dont beaucoup pensaient que les choix étaient plus évidents) a déclaré que les cardinaux avaient « besoin d'une conversion».

Dans un autre domaine, l'Archevêque Rino Fisichella, Président du Conseil pour la Nouvelle Évangélisation, a ouvert l'Année de la Miséricorde en suggérant que ceux qui critiquent le Pape encourent l'excommunication prescrite par le droit canonique pour ceux qui font des violences physiques au Pontife, au motif que « les mots aussi sont des cailloux et des pierres » (169). C'est ainsi qu'on s'entend dans l'Église du Pape François, et la leçon est en train d'être bien apprise.

Notes
(162) Article dans The Spectator du 14janvier 2017 : « Why more and more priests can't stand Pope Francis. » (Pourquoi de plus en plus de prêtres ne supportent pas le Pape François.)
(163) II faut rappeler qu'avant de décider d'entrer dans l'état clérical, Jorge Bergoglio travaillait comme videur de boîte de nuit dans une banlieue de Buenos Aires. L'expérience semble avoir été formatrice.
(164) LifeSiteNews, 12janvier 2017, article de Lisa Boume : « Pope yet again dérides defenders of Church teaching as not like Christ. » (Le Pape se moque encore une fois des défenseurs de l'enseignement de lÉglise comme n'étant pas comme le Christ.) II s'agit du rapport le plus authentique d'une anecdote qui circule depuis quelques semaines dans les cercles du Vatican.
(165) Le licenciement du Cardinal Müller et de ses subordonnés n'a pas respecté les normes de traitement des employés qui devraient être observées dans toute entreprise ordinaire, et encore moins dans une Église qui prêche le respect des droits des travailleurs. Le sujet est traité par Damian Thompson dans The Spectator du 12 juillet 2017 : « Le Pape François se comporte comme un dictateur latino-américain — mais les médias libéraux ne s'y intéressent pas.»
(166) Sarah a été transférée à la Congrégation pour le Culte Divin, du Conseil Pontifical Cor Unum où il avait été chargé par le Pape Benoît XVI de "re-catholiciser" l'organisation puissante et riche Caritas Internationalis qui avait promu des causes politiques de gauche. Comme président de Caritas Internationalis, le Pape François a installé le Cardinal Tagle (que beaucoup considèrent comme son successeur naturel en tant que candidat papabile libéral), mettant ainsi un terme à la tentative de réforme
de Benoît XVI.
(167) OnePeterFive,31 octobre 2016 : article de Maike Hickson, « Shake- up at Congrégation for Divine Worship Described as a 'Purge'.» (Remue-ménage à la Congrégation pour le Culte Divin décrit comme une "Purge".)
(168) Cité dans II Foglio du 29 novembre 2016.
(169) Article dans LifeSiteNews, 7 décembre 2015 : « Papal critics threatened with excommunication as Year of Mercy begins. » (Les critiques du Pape menacés d'excommunication au début de l'Année de la Miséricorde.)
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mgr gaum

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MessageSujet: Re: Bergoglio-François, le pape dictateur   Bergoglio-François, le pape dictateur EmptyJeu 18 Avr - 0:18

Bergoglio-François, le pape dictateur - suite

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Extraits avec la permission du bon Dieu


2) QU'ENSEIGNE LE PAPE FRANCOIS ?

Amoris Laetitia et les Dubia des cardinaux
Le Pape François a donné suite au Synode sur la Famille en publiant en mars 2016 l'Exhortation Apostolique Amoris Laetitia, destinée à transmettre l'enseignement du Synode. Avec plus de cent pages, l'Exhortation est difficile à résumer, mais ses sections les plus controversées se trouvent principalement au chapitre 8.

Plus précisément, le paragraphe 305, ainsi que sa note de bas de page 351, ont été interprétés par divers évêques comme autorisant directement la Communion pour les catholiques divorcés et remariés civilement :« En raison de certaines formes de conditionnements et de facteurs atténuants, il est possible que dans une situation objective de péché- qui n'est peut-être pas subjectivement coupable, ou totalement coupable — une personne puisse vivre dans la grâce de Dieu, aimer et grandir aussi dans la vie de grâce et de charité, tout en recevant l'aide de l'Église à cette fin.» La note de bas de page 351 disait clairement : « Dans certains cas, cela peut inclure l'aide des sacrements.»

Bien que la controverse ait fait rage sur l'interprétation correcte ou voulue de ces passages, avec de nombreux évêques insistant sur l'impossibilité pour un document papal de contredire l'enseignement antérieur, les évêques de Buenos Aires ont publié leurs directives en septembre 2016 (133). Ils ont admis que « les prêtres peuvent suggérer une décision de vivre en continence», mais ont dit que « si les partenaires échouent dans ce but », après avoir suivi « un processus de discernement », Amoris Laetitia « offre la possibilité d'avoir accès au sacrement de la Réconciliation », sans avoir l'intention de cesser les relations conjugales (13W).

Alors que la controverse sur l'interprétation se poursuivait, François garda le silence et n'a pas corrigé les évêques comme Chaput de Philadelphie et Stanislaw Gadecki de Poznan, qui ont adopté la position conservatrice. Mais les seules approbations du Pape ont été envoyées aux évêquesde Buenos Aires etde Malte (135) sous forme de lettres de remerciement pour leurs interprétations libérales.

François a écrit à ses anciens collègues argentins en les remerciant pour leurs «très bonnes » lignes directrices qui « reflètent pleinement le sens du chapitre Vlll d'Amoris Laetitia ». Le pape a ajouté : « II n'y a pas d'autres interprétations. » (136) Une lettre similaire aurait été envoyée à Malte par l'intermédiaire de la procuration du Pape, le Secrétaire Général des Synodes des Évêques, le Cardinal Lorenzo Baldisseri.

Compte tenu des interprétations divergentes et de l'apparente subjectivité qu'Amoris Laetitia introduisit dans l'enseignement moral catholique, plusieurs cardinaux adressèrent au Pape une lettre demandant des éclaircissements sur le document. Les signataires sont maintenant au nombre de six, bien que seulement quatre noms aient été rendus publics — les Cardinaux Brandmüller, Burke, Caffarra et Meisner — mais ils auraient le soutien d'une vingtaine ou d'une trentaine d'autres.

Ils ont commencé par envoyer au Pape et au Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi une lettre privée le 19 septembre 2016 avec les demandes mentionnées. Celles-ci ont été formulées sous la forme traditionnelle des dubia, c'est-à-dire des points contestés qui sont soumis à la Congrégation pour la Doctrine de la Foi lorsque l'enseignement de l'Église semble incertain. Les cinq dubia peuvent se résumer comme suit :

1. Est-il devenu licite d'admettre les personnes divorcées et remariés à la Sainte Communion ?

2. Est-ce encore l'enseignement catholique selon lequel il existe des normes morales absolues ?

3. Ceux qui vivent en violation d'un commandement, par exemple le commandement contre l'adultère, doivent-ils être considérés comme vivant dans le péché objectif ?

4. L'enseignement catholique enseigne-t-il encore que les circonstances ou les intentions ne peuvent jamais transformer un acte intrinsèquement mauvais en un acte "subjectivement" bon ?

5. Est-ce encore l'enseignement catholique que la conscience ne peut pas légitimer les exceptions aux normes morales absolues ?

À ces questions, la Congrégation pour la Doctrine de la Foi a refusé de répondre, contrairement à la pratique habituelle, et il est clair qu'elle agissait sur les ordres du Pape François. C'est dans ce contexte que les signataires ont rendu publique leur lettre en novembre, rendant ainsi publique leur défi à l'enseignement d'Amoris Laetitia. Le Pape n'a pas répondu explicitement, mais il aurait encouragé ceux qui l'entouraient à discréditer les dissidents par des moyens indirects.

La plupart des cardinaux signataires étaient à la retraite ; le seul d'entre eux qui occupait encore un poste officiel était le Cardinal Burke, qui était Patron de l'Ordre de Malte, et ses péripéties seront décrites dans le chapitre 5.

En dehors de cela, l'effet des instructions officieuses du Pape est l'attitude d'indignation choquée qui a été exprimée par plusieurs porte-paroles de l'aveuglement des cardinaux face à la nouvelle ouverture de l'enseignement catholique. Ce que cette ouverture est précisément, l'Église ne l'a pas encore découverte, puisque François ne répond pas aux questions qui lui sont posées.

Pour en déduire si le Pape a l'intention de suivre l'enseignement de l'Église, nous devons étudier la politique qu'il a suivie dans les organismes du Vatican destinés à protéger l'institution de la famille.

Notes
(133) Catholic Voices Comment, 18 septembre2016.
(134) Ainsi, l'exigence précédente, celle de vivre ensemble « comme frère et sœur», a été reléguée à une suggestion. Walter Kasper a résumé la situation dans une interview avec Commonweal :« Vivre ensemble comme frère et sœur? Bien sûr, j'ai beaucoup de respect pour ceux qui font cela. Mais c'est un acte héroïque, et l'héroïsme n'est pas pour le chrétien
moyen.»
(135) Les "Critères pour l'application du Chapitre Vlll d'Amoris Laetitia" des évêques maltais ont été critiqués par les juristes canonistes et certains responsables du Vatican qui ont soutenu qu'ils semblaient affirmer la primauté de la conscience sur la vérité morale objective. Ces Critères stipulent que les divorcés remariés peuvent recevoir la communion après une période de discernement, avec une conscience informée et éclairée, et s'ils sont « en paix avec Dieu ».
(136) "Pope Francis on the correct interprétation of the Amoris Laetitia" (Le Pape François sur l'interprétation correcte d'Amoris Laetitia), Vatican Insider, Andrea Tornielli, 12 septembre 2016.
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mgr gaum

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MessageSujet: Re: Bergoglio-François, le pape dictateur   Bergoglio-François, le pape dictateur EmptyJeu 18 Avr - 0:30

Bergoglio-François, le pape dictateur - suite et fin

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Extraits avec la permission du bon Dieu


Le prochain Pape
Nous en revenons à l'erreur sans précédent commise par les cardinaux en 2013 en élisant un homme comme Jorge Bergoglio. Comme on l'a déjà dit, les catholiques sont habitués à ce que l'élection d'un pape soit digne, ou du moins adéquate, et ils auront du mal à croire (même avec une clique de cardinaux intrigants pour l'expliquer) qu'une erreur aussi impie aurait pu être commise.

Que François démissionne ou que nous attendions la manière plus habituelle de Dieu de provoquer une vacance au Siège Apostolique, la grande question sera de savoir ce qui se passera lors de l'élection du prochain pape, et il n'y a aucune certitude que la même erreur ne se reproduira pas. Notons que les cardinaux dont on dit qu'ils se mobilisent contre le Pape François sont précisément les curialistes qui, en 2013, ont décidé de mettre leur poids derrière Bergoglio et ont ainsi assuré son élection. Cette fois, le candidat qu'ils proposent est le Cardinal Parolin. Donc : de l'équipe qui vous a amené le Pape Bergoglio, accueillez maintenant le Pape Parolin. On espère sincèrement que le Sacré Collège a appris une meilleure leçon.

Nous pouvons penser que même les cardinaux qui ont été créés par le Pape François pendant son pontificat — apparemment dans une tentative délibérée de préparer le prochain Conclave - ne partagent pas nécessairement la vision de François de l'Église comme instrument politique. Faisons-leur appel et prions Dieu pour qu'ils rejettent la vision désastreuse qui a amené l'Église à la confusion et reviennent à un modèle spirituel de ce que devrait être un pape.

Prions pour que les participants au prochain Conclave s'assurent tout d'abord qu'il n'y a pas de clique qui essaie de faire passer l'élection à son propre ordre du jour ; deuxièmement, qu'ils savent bien qui ils élisent. Qu'il soit un homme de renom dans l'Église, et surtout connu comme un homme de Dieu et non comme un politicien ; un homme dont les priorités sont les trésors spirituels qu'il est appelé à garder ; un homme qui enseigne la doctrine ouvertement et non dans des accords ambigus en coulisses ; un homme qui sera un réformateur sincère et qui ne s'alliera pas avec les corrompus dans le but de contrôler l'Église. C'est aux cardinaux de faire ce qui est juste dans leur conscience et de laisser le reste entre les mains de Dieu. Et prions pour que, aussi rare que soit le monstre de la nature qui a été involontairement poussé sur le Siège de Pierre, il faudra peut-être aussi longtemps avant qu'une autre catastrophe de ce genre ne soit à nouveau vécue dans l'Église Catholique.
FIN
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