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forum marmhonie des religions
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Sujet: Le pape François est-il un hérétique? Sam 27 Avr - 0:44
Le pape François multiplie les annonces en opposition avec la foi catholique. Quelle est la position sédévacantiste sur ce pape? Est-ce que si je devenais sédévacantiste, serais-je une apostate de l'église catholique?
marmhonie Admin
Messages : 2839 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
Sujet: Re: Le pape François est-il un hérétique? Sam 27 Avr - 0:45
Mais de quelle Eglise est le pape François ?
En 2017, deux anniversaires tombent en même temps : les 100 ans des apparitions de Fatima, qui ont eu lieu entre le 13 mai et le 13 octobre 1917, et les 500 ans de la révolte de Luther, survenue à Wittenberg, en Allemagne, le 31 octobre 1517.
Sous ce rapport, les erreurs que la Russie soviétique diffusa à partir de 1917 furent une chaîne d’aberrations idéologiques qui de Marx et Lénine remontaient aux premiers hérésiarques protestants. La Révolution luthérienne de 1517 peut donc être considérée comme l’un des évènements les plus néfastes de l’histoire de l’humanité, à l’instar de la révolution maçonnique de 1789, et de la Révolution communiste de 1917. Et le message de Fatima, qui a prédit la diffusion des erreurs communistes dans le monde, contient implicitement le refus des erreurs du protestantisme et de la Révolution française.
Le 13 octobre 2016, le début du centenaire des apparitions de Fatima est passé sous une chape de silence.
Le même jour, le pape François a reçu dans la salle d’audience Paul VI un millier de “pèlerins” luthériens et une statue de Martin Luther a été honorée au Vatican.
Par ailleurs, le 31 octobre prochain, le pape François se rendra à Lund, en Suède, où il prendra part à la cérémonie commune luthérienne-catholique de commémoration du 500ème anniversaire du protestantisme.
Au cours de l’audience accordée aux luthériens le 13 octobre, le pape Bergoglio a dit également que le prosélytisme est « le poison le plus fort » contre l’oecuménisme. « Les plus grands réformateurs sont les saints – a-t-il ajouté – et l’Eglise doit toujours être réformée». Ces mots contiennent à la fois, comme c’est fréquemment le cas dans ses discours, une vérité et une erreur. La vérité est que les saints, de saint Grégoire VII à saint Pie X, ont été les plus grands réformateurs. L’erreur consiste à insinuer que les pseudo-réformateurs, comme Luther, doivent être tenus pour saints.
L’oecuménisme, comme on l’entend aujourd’hui, est le poison le plus puissant contre l’esprit missionnaire de l’Eglise. Les saints ont toujours été mu par cet esprit, à commencer par ces jésuites qui, au XVIème siècle, débarquèrent au Brésil, au Congo et dans les Indes, tandis que leurs confrères Diego Lainez, Alfonso Salmeron et Pietro Canisio, réunis au concile de Trente, combattaient les erreurs du luthéranisme et du calvinisme.
Mais, pour le pape François, qui est hors de l’Eglise catholique ne doit pas être converti.
Lors de l’audience du 13 octobre, répondant aux demandes de certains jeunes, il a affirmé : « J’aime beaucoup les bons luthériens, les luthériens qui suivent vraiment la foi de Jésus-Christ. Par contre les catholiques tièdes et les luthériens tièdes ne me plaisent pas ».
Par une autre déformation du langage, le pape Bergoglio nomme “bons luthériens” ces protestants qui ne suivent pas la foi de Jésus-Christ, mais une dérive, et “catholiques tièdes” ces fils fervents de l’Eglise qui refusent de mettre au même niveau la vérité de la religion catholique et l’erreur du luthéranisme.
Quand on voit tout cela, on se demande ce qui arrivera à Lund le 31 octobre. Nous savons que la commémoration comprendra une célébration commune basée sur le guide liturgique catholico-luthérien Common Prayer (Prière commune), ébalorée sur la base du document Du conflit à la communion. Commémoration commune luthérano-catholique de la Réforme en 2017, rédigé par la Commission romaine catholico-luthérienne pour l’unité des chrétiens.
Il y en a qui craignent justement une “intercommunion” entre catholiques et luthériens, qui serait sacrilège, parce que les luthériens ne croient pas dans la transubstantiation.
Mais à quelle église appartient donc Jorge Mario Bergoglio ?
Source : Correspondance Européenne/Traduction de Marie Perrin.
marmhonie Admin
Messages : 2839 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
Sujet: Re: Le pape François est-il un hérétique? Sam 27 Avr - 0:46
Luther : quand le R.P. Bergoglio de 1985 contredit le pape François de 2019
Quand le R.P. Bergoglio renie sa foi une fois devenu le pape François ! En 1985, lorsqu'il a fait cette conférence, Jorge Mario Bergoglio avait 49 ans. Il était alors recteur du Colegio Maximo de San Miguel. De 1973 à 1979, il avait été provincial de la Compagnie de Jésus en Argentine. Le R.P. Jorge Mario Bergoglio voyait donc alors dans la Réforme protestante "la racine de tous les maux." Il y prononça un discours terrible contre Luther, il y a 30 ans, à Mendoza, en Argentine.
Aujourd’hui, le pape François qualifie cette même Réforme Protestante de "médicament pour l’Église". Au cours de la conférence de presse qu’il avait donnée pendant le voyage aérien qui le ramenait d'Arménie à Rome, François avait déclaré, en réponse à une question concernant ce grand hérétique, que Luther était animé des meilleures intentions et que sa réforme avait été "un médicament pour l’Église", passant ainsi par-dessus les divergences dogmatiques essentielles qui, depuis cinq siècles, opposent les protestants aux catholiques, parce que – la formule est toujours de François, qui l’a prononcée au temple luthérien de Rome – "la vie est plus grande que les explications et les interprétations".
Source : ildialogo.org/Chiesa.espresso.
marmhonie Admin
Messages : 2839 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
Sujet: Re: Le pape François est-il un hérétique? Sam 27 Avr - 0:46
Rubrique consacrée au pape François élu sur le trône de saint Pierre le 13 mars 2013
https://youtu.be/XSuxvn-FutU Jorge Mario Bergoglio Né le 17 décembre 1936 à Buenos Aires en Argentine, est le 266e évêque de Rome et pape de l'Église catholique sous le nom de François (en latin : Franciscus) depuis son élection le 13 mars 2013. Il a été auparavant archevêque de Buenos Aires et cardinal.
Jorge Mario Bergoglio ne croit pas à son élection divine de pape Il apparait, dans les faits observés depuis son élection et dans son attitude que François récuse systématiquement tous les attributs du pouvoir «impérial» du pape. Il est en ce sens un «antipape». J'ai été tenté si ce raccourci n'avait pas été si connoté, de donner ce titre à mon ouvrage car ce pape repousse avec véhémence tous les attributs du pouvoir tout en étant lui-même, c'est le paradoxe, fort autoritaire. L'exemple du choix des petites autos est symptomatique.
Même s'il est parfois ridicule, comme en Corée où sa petite KIA, cossue, intérieur cuir tout de même, était suivie par un imposant et interminable cortège de puissantes berlines officielles! Le peuple coréen a applaudi. La question n'est toutefois pas dans le style ou le standing car tout cela coûte cher malgré tout comme les appartements à Sainte Marthe, ou ceux vides dans le palais apostolique ou à Castel Gandolfo que des personnels doivent entretenir comme avant. La question n'est donc pas une affaire de gadgets ou de couleurs de chaussures mais c'est celle de l'autorité du pape.
Voilà l'enjeu: À trop désacraliser la fonction, elle perd son autorité. C'est vrai aussi dans le domaine politique. On commence à en voir d'ailleurs les effets depuis que François a annoncé - à trois reprises depuis un an - qu'il renoncera à l'exemple de Benoît XVI, une révolution mentale se produit: de quasi sacrée le ministère pétrinien devient caduque, il était nimbé d'un certain mystère, d'un lien deux fois millénaire, le voilà devenu une fonction purement élective de court terme… Source : Jean-Marie Guénois, rédacteur en chef adjoint du Figaro chargé des religions. Extrait de son livre : Jusqu'ou ira François chez JC Lattes.
marmhonie Admin
Messages : 2839 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
Sujet: Re: Le pape François est-il un hérétique? Sam 27 Avr - 0:47
La compilation des plus grosses hérésies anti-catholiques & anti-bibliques de notre pape François
L’ENFER N’EXISTE PAS ET ADAM ET ÈVE N’ONT JAMAIS EXISTÉ SELON LE PAPE FRANÇOIS Un homme qui est là pour ouvrir de nombreux anciens secrets dans l’église catholique est le Pape François. Certaines des croyances qui ont cours au sein de l’église, mais contraires à la nature aimante de Dieu sont maintenant mises de côté par le Pape qui a été récemment nommé l’homme de l’année par TIME Magazine.
Éclairé, ou illuminé, ou complètement frappé ? Selon notre pape François, "À travers l’humilité, la recherche de l’âme, et la contemplation de la prière, nous avons acquis une nouvelle compréhension de certains dogmes. L’Église ne croit plus en un véritable enfer où les gens souffrent. Cette doctrine est incompatible avec l’amour infini de Dieu. Dieu n’est pas un Juge mais un ami et un amant de l’humanité. Dieu ne cherche pas à condamner, mais seulement à embrasser. Comme la fable d’Adam et Eve, nous voyons l’enfer comme un dispositif littéraire. L’enfer est simplement une métaphore de l’âme isolée, qui, comme toutes les âmes, seront finalement unies dans l’amour avec Dieu."
L'erreur n'existerait plus, tout serait vrai ! "Toutes les religions sont vraies, parce qu’elles sont vraies dans les cœurs de tous ceux qui croient en elles. Quel autre type de vérité y’a t-il? Dans le passé, l’église a été dure envers celles qu’elle jugeait moralement répréhensibles ou pécheresses. Aujourd’hui, nous ne sommes plus juges. Nous aimons tous et adorons le même Dieu."Même les athées ?
Dieu évoluerait lui aussi ! "Dieu est en train de changer et d’évoluer en tant que nous-mêmes; Dieu vit en nous et dans nos cœurs. Lorsque nous diffusons l’amour et la bonté dans le monde, nous touchons notre propre divinité et Le reconnaissons. La Bible est un beau livre saint, mais comme toutes les grandes et anciennes œuvres, certains passages ne sont pas à jour. Certains appellent même à l’intolérance ou au jugement. Le temps est venu pour voir ces versets comme des interpolations plus tard, contrairement au message d’amour et de vérité, qui rayonne autrement par l’Écriture."
Dieu descend-il aussi du singe ?
Pape François, un clone du pape Jean-Paul II devenu sénile en fin de vie ?
Position des sedevacantistes catholiques
https://youtu.be/dcW2KzxzguY
marmhonie Admin
Messages : 2839 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
Sujet: Re: Le pape François est-il un hérétique? Sam 27 Avr - 0:47
L'illusion Libérale ne date pas d'aujourd'hui
Fin 2016, notre pape François dérive complètement dans le Libéralisme, doctrine qu'il annonce "nouvelle" pour une "nouvelle Église ouverte".
Mais cela s'est posé à tous les âges, & dernièrement en 1866 ici : L'illusion libérale, par Louis Veuillot (1866)
Réconfortons-nous les uns les autres, plutôt que de nous diviser en suivant chacun un pape moderne si différents entre eux depuis 50 ans
Rien de nouveau sous le soleil. Conférence doctrinale sédévacantiste de l'abbé Lafitte.
https://youtu.be/qPedcNWnxyE Conférence doctrinale sédévacantiste contre l'imposture du pape François hérétique
marmhonie Admin
Messages : 2839 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
Sujet: Re: Le pape François est-il un hérétique? Sam 27 Avr - 0:48
Le pape François invite les musulmans à lire le coran afin de fortifier leur "foi" & renier la Bible qui serait falsifiée
Blason du pape François 1er.
Un pape très islamophile et aimant autant le Coran que la Bible
A l'occasion de la Journée Mondiale des Migrants et des Réfugié, le pape François s'est adressé à un public majoritairement musulman réuni dans une salle de l'église du Sacré-Coeur qui dépend de la paroisse de la gare centrale de Rome, près de Termini.
Aussi "insolite" que cela puisse paraître à des catholiques, voici ce que le Vicaire du Christ a déclaré aux réfugiés présents dans la salle paroissiale :
"Partager notre expérience en portant cette croix pour arracher de nos coeurs la maladie qui empoisonne nos vies : il est important que vous fassiez cela lors de vos réunions. Que ceux qui sont musulmans le fassent avec le coran. La foi que vos parents vous ont inculquée vous aidera toujours à avancer".
Peut-on, au risque de s'attirer les foudres des papolâtres patentés, parler de propos hétérodoxes ?
Doit-on, sans être rejetés dans l'accusation de "schisme", considérer que le pape nous entraîne chaque jour un peu plus aux limites de l'hérésie ?
Devrions-nous, pour être en "pleine communion", observer un mutisme de circonstance si cher aux communautés Ecclesia Dei adflicta ?
marmhonie Admin
Messages : 2839 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
Sujet: Re: Le pape François est-il un hérétique? Sam 27 Avr - 0:48
Catholiques et protestants depuis Vatican II
Luther déclare la guerre civile aux pays catholiques et contre les papes Qu’est ce qui divise les catholiques et les protestants, en effet ? Luther l’a dit une fois pour toutes, dans un texte décisif, le Manifeste à la noblesse chrétienne de la Nation allemande (août 1520). Ce texte est une déclaration de guerre totale et sans merci à l’Eglise catholique romaine, qui est comparée à la ville de Jéricho. Luther appelle les chrétiens à marcher sur elle, pour en reverser les trois murailles, qui sont : le sacrement de l’ordre, le magistère infaillible du Pape et le primat de juridiction de l’évêque de Rome. Voilà, de l’aveu même de Luther, ce qui sépare les protestants et les catholiques : le sacerdoce (et avec le sacerdoce, le saint sacrifice de la messe) ; la Tradition du magistère ; le pouvoir de la papauté. Et ce sont là les trois pivots sur lesquels repose l’unité de l’Eglise, voulue par le Christ : unité de sacrements et de culte qui dépend du sacerdoce ; unité de foi qui dépend du Magistère et de la Tradition ; unité de gouvernement qui dépend du primat du pape. En définitive, ce qui sépare les catholiques et les protestants, c’est la définition même de l’unité de l’Eglise, prise dans ses trois fondements. Ce sont justement ces trois fondements que la nouvelle théologie du concile Vatican II a sérieusement ébranlés : pour autant, ce concile a accompli une véritable « protestantisation » du catholicisme, au sens où il a introduit dans la pensée des hommes d’Eglise les germes de la révolte luthérienne.
Paul VI, le pape qui abandonne la foi catholique pour le protestantisme Le concile a ébranlé la doctrine traditionnelle du sacerdoce : le chapitre II de la constitution Lumen gentium sur l’Eglise ne fait plus la distinction entre le sacerdoce des membres de la hiérarchie, qui est un sacerdoce au sens propre, et le sacerdoce commun des fidèles, qui est un sacerdoce au sens impropre. Pie XII affirme que, si l’on peut parler d’un certain « sacerdoce » des fidèles, cette expression équivaut à un titre simplement honorifique et qu’il se distingue comme tel du sacerdoce vraiment et proprement dit (5). Cette dernière précision a disparu dans le n° 10 de Lumen gentium : le sacerdoce commun des fidèles y est présenté comme essentiellement différent du sacerdoce ministériel des membres de la hiérarchie, mais cette différence n’est plus désignée comme celle qui existe entre un sacerdoce spirituel et un sacerdoce vraiment et proprement dit. Cette omission autorise à définir le sacerdoce commun des fidèles comme un sacerdoce au sens propre du terme. Et c’est ce que voulait Luther : tous les fidèles chrétiens baptisés sont pour lui des prêtres au sens propre de ce terme, parce que leur foi les met en relation directe avec Dieu. Après le concile, mais dans la logique de celui-ci, le pape Paul VI modifia le rite de la messe, de façon à y introduire cette nouvelle conception du sacerdoce, où le rôle du célébrant est occulté au profit de l’action commune des fidèles. De plus, à cause des ambiguïtés de ce nouveau rite, la messe apparaît beaucoup plus comme le mémorial de la Cène du Jeudi Saint que comme le renouvellement et la réactualisation du sacrifice du Vendredi Saint. C’est encore ce que voulait Luther : faire de la messe le simple souvenir du repas du Jeudi Saint, afin de stimuler la foi des fidèles.
Le danger du protestantisme Le principe fondamental du protestantisme est en effet le principe du libre examen. Ce principe équivaut à établir la primauté de la conscience sur tout le reste. La règle de la croyance et de l’agir moral est non pas ce qui est vrai et bien, mais ce que la conscience présente comme vrai et bien. Ce présupposé subjectiviste et relativiste est à la racine de la déclaration Dignitatis humanae sur la liberté religieuse. En découle l’autonomie de l’ordre temporel posée également en principe par la constitution Gaudium et spes (n° 36), qui fait écho au principe protestant du « cujus regio ejus religio » : il n’y a pas de religion d’Etat, mais il y a seulement autant de religions que de citoyens. En découle aussi l’œcuménisme : si la religion est une affaire de conscience, l’unité religieuse, dans et par l’Eglise, est un idéal vers lequel convergent toutes les consciences, sans jamais l’atteindre. Et c’est bien la démarche qui inspire le décret Unitatis redintegratio du concile.
Des papes conciliaires faibles & naïfs jusqu'à l'irresponsabilité du pape François hérésiarque dans les actes Le concile a donc contribué à cette guerre sans merci par laquelle le protestantisme a voulu mettre à bas le triple pouvoir de la sainte Eglise, pouvoir de son sacerdoce, de son magistère et de son gouvernement monarchique. Il s’est donc fait le complice de Luther. Et il donne à présent aux papes imbus de ses enseignements le moyen de faire cause commune avec les protestants, en leur disant : « Ce qui nous unit est beaucoup plus que ce qui nous divise ».
Certes, oui, mais à quel prix ? Au prix du salut éternel des âmes, qui sont ballottées au vent de ces nouvelles doctrines protestantisées.
Le salut éternel des âmes est pourtant la loi suprême, la loi qui doit inspirer toute la foi et tout l’apostolat de la sainte Eglise : il représente une exigence qui rend impossible et vaine la démarche entreprise par François et ses prédécesseurs.
marmhonie Admin
Messages : 2839 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
Sujet: Re: Le pape François est-il un hérétique? Sam 27 Avr - 0:49
Et ce pape moderniste François va prier dans une mosquée pendant que les coptes sont exterminés en Égypte par les musulmans
Il y a 50 ans, quand le pape Paul VI visita l'Égypte, 40% de cptes. Le pape François va rencontrer 0,4% de coptes !
C'est chouette l'Œcuménisme islamophile !
François, qu'as-tu fait en abandonnant les chrétiens d'Orient aux mains des djihadistes ?
Une disculpation absurde de l'Islam par le pape iconoclaste François
Le pape François se prend pour un savant islamique En assumant le rôle d'un exégète Coranique afin de disculper le culte de Mahomet de son lien historique ininterrompu visant à conquérir et à persécuter brutalement des Chrétiens, vous déclarez : « Face aux épisodes de fondamentalisme violent qui nous inquiètent, l’affection envers les vrais croyants de l’Islam doit nous porter à éviter d’odieuses généralisations, parce que le véritable Islam et une adéquate interprétation du Coran s’opposent à toute violence ». [Evangelii gaudium, 253]
Vous ignorez toute l'histoire de la guerre de l'Islam contre le Christianisme Qui continue à ce jour ainsi que l'actuel code juridique barbare et la persécution des Chrétiens dans les Républiques Islamiques du monde dont l'Afghanistan, l'Iran, la Malaisie, les Maldives, la Mauritanie, le Nigeria, le Pakistan , le Qatar, l’Arabie saoudite, la Somalie, le Soudan, les Émirats Arabes Unis et le Yémen. Ce sont des régimes d'oppression intrinsèques à la Loi de la Charia que les Musulmans croient qu'Allah a prescrite pour le monde entier et qu'ils tentent d'établir partout où ils deviennent un pourcentage important de la population. Comme vous l'avez dit vous-mêmes, cependant, toutes les Républiques Musulmanes manquent d'une compréhension « authentique » du Coran !
Vous essayez même de minimiser complètement le terrorisme Islamique au Moyen-Orient, en Afrique et au cœur de l'Europe En osant faire une équivalence morale entre les fanatiques Musulmans brandissant le Djihad — comme ils l’ont fait depuis que l'Islam est apparu — et le « fondamentalisme » imaginaire de la part des Catholiques pratiquants que vous ne cessez de condamner et d’insulter publiquement. Au cours de l'une des conférences de presse lors d’une envolée au cours desquelles vous avez si souvent embarrassé l'Église et sapé la Doctrine Catholique, vous avez prononcé cette opinion infâme et typique de votre insistance absurde que la religion fondée par le Dieu incarné et le culte perpétuellement violent fondé par le dégénéré Mohammed sont sur un pied d'égalité morale : « Je n'aime pas parler de violence islamique, parce qu'en feuilletant les journaux je vois tous les jours que des violences, même en Italie: celui-là qui tue sa fiancée, tel autre qui tue sa belle-mère, et un autre…... et ceux-ci sont des Catholiques baptisés ! Ce sont des Catholiques violents. Si je parle de violence Islamique, je dois parler de violence Catholique... Je crois qu'il y a presque toujours dans toutes les religions un petit groupe de fondamentalistes. Nous en avons. Quand le fondamentalisme arrive à tuer… mais on peut tuer avec la langue comme le dit l'apôtre Jacques, ce n'est pas moi qui le dit. On peut aussi tuer avec le couteau, non? Je ne crois pas qu'il n’est pas juste d'identifier l'Islam avec la violence ».
Ça défie l’imagination qu'un Pontife Romain Puisse déclarer que les crimes communs de violence commis par des Catholiques et leur simple mention, soient moralement équivalents à la campagne mondiale de l'Islam radical en matière d'actes terroristes, d’assassinats de masse, de tortures, d'esclavage et de viols au nom d'Allah. Il semble que vous êtes plus rapide à défendre le culte ridicule et mortel de Mohammed vis-à-vis une juste opposition qui cherche à le contrer que vous êtes à défendre la seule véritable Église contre ses faux accusateurs innombrables.
Contre l'Église pérenne face à l'Islam C’est bien loin de votre esprit cette affirmation de l'Église pérenne de l'Islam exprimée par le Pape Pie XI dans son Acte de Consécration de la race humaine au Sacré-Cœur : « Sois le Roi de tous ceux qui sont encore impliqués dans les ténèbres de l'idolâtrie ou de l'Islamisme et ne refuse pas de les attirer dans la Lumière et le Royaume de Dieu ».
Messages : 2839 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
Sujet: Re: Le pape François est-il un hérétique? Sam 27 Avr - 0:50
Les plus grands criminels de l'humanité sont les dirigeants communistes
Lénine, l'inventeur historique des camps de concentration, puis d'extermination. Staline, 70 millions de morts, dont 40 millions en dehors des guerres. 毛泽东 Mao Zedong, au moins 110 millions.
Ils se sont recyclés après l'effondrement de l'URSS dans les sectes les plus extrémistes, toutes croyances confondues. Fanatique pour un jour, fanatique pour toujours.
L'Islam veut mieux faire encore Les islamistes cependant rattrappent leur retard. Nous pensions que les plus grands massacres des chrétiens aux 4 premiers siècles de notre ère, ne seraient pas dépassés. Erreur ! C'est Soljénitsine qui l'avait prévu, quel visionnaire de génie. Les plus grands massacres de chrétiens se font maintenant, dans tous les pays musulmans, sans exception ! Des génocides par pays entiers.
Et un pape François très collabo avec cet Islam terrifiant, qui ne songe qu'à son image médiatique, au lieu de défendre les chrétiens. Là encore, du jamais vu pour sa complicité par un pape en 2000 ans.
Cependant, des cardinaux s'opposent à ce simulacre de pape, pendant que les premières manifestations pour déchoir ce pape apparaissent.
Un sous-pape et pas de moteur Je trouve assez cocasse qu’au moment même où le Pape François fait des pieds et des mains pour reprendre à son compte les thèmes favoris de la gauche, tels que la culpabilité post-colonialiste, l’anticapitalisme, la critique du consumérisme, l’importance des changements climatiques et des atteintes à l’environnement, le multiculturalisme et l’islamophilie, il s’attire les critiques les plus dures de la part d’un gauchiste qui va même jusqu’à l’accuser d’hypocrisie et de racolage !
Dernièrement, le Saint-Père s’est mis en frais de paraître islamophile au détriment des Chrétiens occidentaux et orientaux, en ramenant des musulmans de Lesbos, mais pas de Chrétiens, en fustigeant l’égoïsme des Européens face aux réfugiés syriens et en recevant avec effusion le Grand Imam Al-Tayeb.
François Zéro et la médiocratie bureaucratique Nous avons un pape sénile qui commente en éloges un livre construit dans le temps, un faux, le Coran. Un pape François Zéro qui a renié tous ses prédecesseurs en affirmant que la foi catholique doit changer.
La seule comparaison à faire: combien d’attentats commis par des chrétiens ces dernières années et combien commis par des musulmans ?
La réponse donne la mesure de la calamité qu’est François Zéro pour l’Occident.
marmhonie Admin
Messages : 2839 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
Sujet: Re: Le pape François est-il un hérétique? Sam 27 Avr - 0:50
Non plus cinq mais sept propositions hérétiques
1. Non plus cinq, mais sept. Il y eut en effet jadis cinq propositions hérétiques : comme telles, elles furent condamnées par un Pape, et pas seulement dénoncées par une certaine élite du clergé et des fidèles catholiques. L'épisode est resté non seulement célèbre, mais aussi emblématique d'une difficulté quasiment insoluble. Les mêmes causes produisant les mêmes effets, il est bien à craindre que le scandale (car c'en est un) suscité par Amoris lætitia ne soit pas près d'être réparé comme il le mérite.
2. Les cinq propositions (**) furent condamnées le 31 mai 1653 par le Pape Innocent X dans la Bulle Cum Occasione (1). Elles expriment toute la substance du jansénisme, doctrine contraire au dogme catholique de la grâce et de la prédestination, mais pourtant défendue par l'évêque d'Ypres Cornelius Jansénius (1585-1638) dans son ouvrage l'Augustinus, paru à titre posthume en 1640. Ce livre ayant été déféré au Pape Urbain VIII, celui-ci le condamna dans sa Bulle In Eminenti du 6 mars 1642. Mais la condamnation fut vite éclipsée par les disciples de Jansénius, l'abbé de Saint-Cyran, Jean Duvergier de Hauranne (1581-1643) et surtout Antoine Arnaud (1612- 1694), frère de Mère Angélique, supérieure du couvent devenu janséniste de Port-Royal, et auteur d'un traité De la fréquente communion, qui tire les conséquences pratiques et morales de la doctrine janséniste. C'est à l'occasion de la parution de ce livre que plusieurs théologiens de l'Université de Paris se décidèrent à étudier de façon plus approfondie la doctrine de l'Augustinus. Ils agirent sur leurs pasteurs, et c'est ainsi qu'en 1651, quatre-vingtcinq évêques français envoyèrent à Rome pour examen cinq propositions tirées de l'Augustinus.
3. La réaction des jansénistes fut très subtile. Ils distinguent entre la question de droit et la question de fait. Ils reconnaissent que les 5 propositions sont véritablement hérétiques et qu'elles méritent d'être condamnées comme telles (question de droit) mais ils prétendent qu'elles ne se trouvent pas dans l'Augustinus, ou du moins qu'elles ne rendent pas le compte exact des idées qui s'y trouvent (question de fait). Textuellement, c'est vrai, seule la première proposition se trouve dans l'Augustinus. Mais les quatre autres s'y trouvent en substance. Le 29 septembre 1654, un Bref d'Innocent X précise que, par la Constitution de 1651, se trouve condamnée la doctrine de Jansénius telle qu'elle est contenue effectivement dans son ouvrage l'Augustinus. Mais les jansénistes s'obstinent dans leur thèse, et se contentent de ne pas contredire davantage les prescriptions de Rome, sans pour autant leur donner leur assentiment : ils adoptent ainsi la tactique d'un assentiment purement extérieur, celui d'un religieux silence. Le Pape Alexandre VII les condamne à nouveau par la constitution Dum ad sancti Petri sedem du 16 octobre 1656 (2), mais cette fois-ci il englobe dans la condamnation infaillible la distinction entre le droit et le fait : « Nous déclarons et définissons que ces cinq propositions ont été tirées du livre du précité Cornelius Jansen, évêque d'Ypres, qui porte le titre Augustinus, et qu'elles ont été condamnées selon le sens visé par ce même Cornelius Jansen, et Nous les condamnons à nouveau comme telles. » Sur la demande du clergé de France, et pour parer à la tactique janséniste du religieux silence, le Pape ajoute à la publication de ce texte un Formulaire, à signer par tout le clergé, et qui est une déclaration d'adhésion formelle à la condamnation des 5 propositions. Cette mesure rencontra des résistances telles qu'Alexandre VII se vit obligé (d'ailleurs sans succès) de promulguer la Bulle Regiminis ecclesiastici du 15 février 1665 pour imposer la signature de ce Formulaire. Ce fut le début d'une guerre sans merci, qui devait durer plus d'un demi-siècle. Et c'est dans ce contexte que l'archevêque de Paris, Mgr Hardouin de Péréfixe (3) prononça une phrase qui devait faire fortune : les religieuses de Port-Royal sont « pures comme des anges mais orgueilleuses comme des démons ».
4. Il ne nous appartient pas de juger si, dans son for intérieur, le Pape François ressemble à l'ange, au démon ou aux deux. Mais si c'est aux actes que l'on juge les personnes, comme l'arbre à ses fruits, nous sommes suffisamment renseignés, jusqu'ici, pour pouvoir tirer des conclusions incontestables. Nous les avons nous-mêmes signalées à quelques reprises dans les colonnes du Courrier de Rome (4). Et voici à présent qu'à la suite des Dubia présentés au pape par les quatre cardinaux et restés sans réponse, une Correctio filialis signée par soixante-deux personnalités catholiques, clercs et laïcs, dénonce comme hérétiques sept propositions présentes dans l'Exhortation Amoris lætitia, en demandant au Saint-Père d'en faire la prompte et claire condamnation.
5. En effet, oui, les sept propositions indiquées par les signataires sont contraires à la doctrine divinement révélée, telle que Dieu nous l'a fait connaître par la proposition infaillible du Magistère ecclésiastique : elles méritent bel et bien la censure de l'hérésie. Cependant, comme le précise le texte de la Correctio, ces propositions ne correspondent pas aux hérésies et erreurs « qu'un lecteur sans préjugés, tentant de lire Amoris lætitia dans son sens naturel et obvie, pourrait de manière plausible estimer avoir été affirmées, suggérées ou favorisées par ce document ». Non, ces sept propositions équivalent seulement, dans leur signification, aux « paroles, actions et omissions » que le Saint-Père a effectivement « soutenues et propagées, plaçant les âmes dans un danger grave et imminent ». Cela est déjà grave, et suffisant, pour justifier la démarche entreprise avec cette Correctio. Mais avec cela, quoi qu'en peuvent ou veulent les signataires, la porte est largement ouverte à la distinction entre le droit et le fait. Et tous les inconditionnels d'Amoris lætitia ne se sont pas fait faute de s'y engouffrer. Les sept propositions, répondent-ils en substance, sont hérétiques (question de droit), mais ne correspondent nullement ni à la pensée, ni aux dires ni aux gestes du Pape (question de fait).
6. La presse s'est d'ailleurs empressée de se faire l'écho des déclarations diversement autorisées allant dans ce sens (5). La plus symptomatique est celle du cardinal Ouellet : « Toute interprétation alarmiste dénonçant un bris de continuité avec la tradition, ou bien laxiste, célébrant un accès enfin concédé aux sacrements pour les divorcés remariés, est infidèle au texte et à l'intention du pape (6). » Nous retrouvons ici la distinction alléguée par Antoine Arnaud et ses disciples, et elle nous procure au moins la satisfaction de dire exactement le contraire de ce que nous croyons vrai. C'est précisément en cela qu'elle nous satisfait, car au moins les choses sont claires et nous savons ainsi que nous ne pourrons plus nous entendre sur rien. Il y a bel et bien, au sein même de la sainte Église, deux religions et deux morales absolument inconciliables : la religion et la morale catholiques de toujours d'une part, que combattent d'autre part la nouvelle religion et la nouvelle morale issues de Vatican II, religion et morale nouvelles parce que de tendance néomoderniste et néo-protestante. Et comme vient de le rappeler fort à propos Mgre Fellay, en citant la Déclaration du 21 novembre 1974, nous avons toujours refusé de suivre cette nouvelle religion et nous refusons aujourd'hui de suivre avec elle la nouvelle morale qui en découle de plus en plus explicitement. Tout cela s'entend. Mais cela n'est pas tout. Car cette nouvelle religion et cette nouvelle morale bénéficient de l'aval d'une « nouvelle Rome ». Nous nous trouvons ainsi dans la situation paradoxale et tragique où, pour reprendre l'expression utilisée par le cardinal Bacci, « la chaire de Pierre et les postes d'autorité de Rome sont occupés par des antichrists ». Car c'est Rome qui défend à présent les sept propositions, au lieu de les condamner. N'oublions pas en effet que, si l'hérésie est une chose, les artisans de l'erreur et de l'hérésie en sont une autre.
Dans son Encyclique Pascendi, le Pape saint Pie X ne dénonce pas seulement les erreurs du modernisme ; il dénonce surtout les fauteurs (fautores), les artisans de ces erreurs, ceux qui les favorisent. « Ce qui exige surtout que Nous parlions sans délai », dit-il, « c'est que, les artisans d'erreurs, il n'y a pas à les chercher aujourd'hui parmi les ennemis déclarés. Ils se cachent et c'est un sujet d'appréhension et d'angoisse très vives, dans le sein même et au coeur de l'Église. » Et nous voyons pareillement que, dans la Déclaration du 21 novembre, le cardinal Otaviani ne dit pas seulement qu'il refuse les erreurs de Vatican II. Il dit très précisément qu'il refuse de suivre les artisans de ces erreurs, ceux qui les favorisent, ceux qu'il désigne en recourant à cette expression d'une nouvelle Rome : « Nous refusons et nous avons toujours refusé, de suivre la Rome de tendance néo-moderniste, néo-protestante qui s'est manifestée clairement dans le concile Vatican II, et après le Concile dans toutes les réformes qui en sont issues.»
8. Selon le plan de Dieu, et pour s'en tenir aux voies ordinaires de la Providence, c'est Rome qui constitue la sauvegarde du catholique perplexe. En cas de perplexité, le catholique doit pouvoir en effet trouver le moyen de dirimer les questions en litige, par un simple recours à une autorité légitime et reconnue de tous, celle que le Christ a établie une fois pour toutes en remettant à saint Pierre et à tous ses successeurs les clefs du royaume des cieux. La Correctio filialis, remarque justement Roberto de Mattei, « a eu un impact extraordinaire dans le monde entier », avec des répercussions « dans tous les médias des cinq continents, et même jusqu'en Russie et en Chine ». Que signifie cela, sinon que la Rome de toujours, telle qu'elle s'exprime par la voix de ces soixantedeux signataires, à travers leur « sensus catholicus », conserve encore tous ses droits ? Car ce « sens catholique » de la Tradition est à la fois l'effet et le signe d'une intervention antérieure du Magistère infaillible de l'Église. Le silence du Pape actuel est peut-être, humainement parlant, la seule réponse cohérente, de la part d'une Rome néo-moderniste, à tous ces nouveaux « catholiques perplexes », qui ont pour eux tout le poids de l'autorité divine. Et finalement, pour un regard dénué du préjugé moderniste, que représente ce déni du Pape François, sinon une forme à peine renouvelée du « religieux silence » des jansénistes ?
Source : Courrier de Rome n° 602.
Notes du rédacteur
(1). DS 2001-2007. (2). DS 201-2012. (3). C'est lui qui, par ordonnance du 11 août 1667, interdit, sous peine d'excommunication, à Molière de jouer la pièce Le Tartuffe, pour le motif que « sous prétexte de condamner l'hypocrisie et la fausse dévotion, [cette pièce] donne lieu d'en accuser indifféremment tous ceux qui font profession de la plus solide piété et les expose par ce moyen aux railleries et aux calomnies continuelles des libertins » (Cité par Pierre Gaxotte, Molière, Flammarion, 1977, p. 197-198). Ce fait est remarquable, car il atteste l'impartialité d'un bon pasteur. Il n'y avait pas, chez l'archevêque de Paris, deux poids et deux mesures, car il frappe également et la rigidité des jansénistes et le libéralisme des libertins. (4). Cf. les articles « Pour un Magistère de la conscience ? » dans le numéro de décembre 2013 ; « Évêque de Rome ? » dans le numéro de mai 2014 ; « Miséricorde papale et lamentations catholiques », « Le sens de la foi, principe et fondement d'une Église synodale », « Une Église de l'écoute », « Pour un Magistère synodal ? » dans le numéro d'octobre 2015 ; « Vraie ou fausse indulgence » dans le numéro de janvier 2016 ; « Brèves considérations sur le chapitre VIII de l'Exhortation apostolique Amoris Lætitia » dans le numéro de mai 2016 ; « Un nouveau Syllabus ? » dans le numéro de juillet-août 2016 ; « François hérétique ? » dans le numéro de janvier 2017 et « Retour sur Amoris Lætitia » dans le numéro de mai 2017. (5). Principalement le site Zénith. (6). Propos tenus le mardi 26 septembre 2017, à l'Assemblée plénière annuelle de la Conférence des évêques catholiques du Canada au Centre Nav Canada, à Cornwall, en Ontario et reproduits sur le site Zénith dans sa page du 27 septembre 2017. (7). Corrispondenza romana n° 340 du 27 septembre 2017.
marmhonie Admin
Messages : 2839 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
Sujet: Re: Le pape François est-il un hérétique? Sam 27 Avr - 0:51
Abdul ben Bergoglio a fondu sa soupape
Quand Bergoglio rime avec Rigolo Après que le pape eut récemment prétendu que le Coran était un livre de Paix et d'Amour :
Le Père Samir Khalil Samir, l’un des plus grandes sommités chrétiennes sur l’islam, l’a corrigé : "Non. C’est une interprétation inexacte. L’Evangile propose et l’islam impose par la force, et pas qu’un peu. Au contraire de Mahomet, Jésus n’a jamais porté les armes ni fait la guerre à personne. Il a fait des reproches à Pierre qui avait coupé l’oreille de celui qui voulait de capturer avant de le guérir. L’Evangile n’a aucune logique ni intention de conquête, il s’agit seulement d’une annonce pacifique et volontaire de la Bonne Nouvelle, au prix de la mort sur la Croix."
Bergoglio humilié officiellement ! Le Père Samir Khalil Samir, cette immense sommité chrétienne mondalement reconnue sur l’islam, l’a humilié : "Désinformer n’est pas chrétien. Certaines affirmations proviennent certainement de quelqu’un qui n’a pas compris l’Evangile ou qui ne connaît pas tout le Coran ou qui ne s’entoure pas de bons conseillers. Pour aborder ces sujets, il faut le faire avec sérieux et disposer de compétences spécifiques." Source
Et encore une nouvelle ineptie du micro sous-pape François Ridiculisé, Bergoglio l'a congédié le lendemain de ses fonctions. "Le P. Samil Khalil Samir vient d’être informé par l’Institut pontifical de Rome où il enseignait que sa présence n’était plus souhaitée et qu’il était renvoyé chez lui au Caire. Quand on est con, on est con !
Le naufrage du papet Bergoglio François est cynoque, il a juste 3 mois de différence avec le 14e dalaï-lama qui s'est retiré à cause de son grand âge et sa perte de raison progressive.
On attend que François s'en aille, de sa volonté ou les pieds devant, pour voir un pape qui sache encore lire et comprendre ce qu'il lit. Sa vieillesse est un grand naufrage, son cerveau un grand courant d'air, son cœur une porcherie, son âme un feu sans fin.
La page de couverture du prochain catéchisme du pape François
marmhonie Admin
Messages : 2839 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
Sujet: Re: Le pape François est-il un hérétique? Sam 27 Avr - 0:52
LA PROFANATION DE L'EUCHARISTIE A COMMENCÉ - LA MESSE OECUMÉNIQUE DE TURIN !
Chers frères et sœurs, tout va aller très vite maintenant. La profanation de l’Eucharistie a commencé.
Je vous avais parlé il y a quelque temps d’une messe unifiée qui se préparait en secret. Et bien cela a commencé à Turin (non, pas Purin)
La profanation de l’Eucharistie a commencé et est une réalité dans le diocèse de Turin » par Fra Cristoforo
Je suis désolé que les rumeurs que j’écris soient toujours de mauvaises nouvelles. Mais il est juste de faire connaître à tous les lecteurs la démolition en cours que Omissis cherche à accomplir contre l’Église catholique.
Nous avons parlé dans diverses spéculations selon lesquelles il existe une commission privée qui prépare des textes « expérimentaux » pour des «messes œcuméniques».
L’expérience de la «messe œcuménique» a déjà commencé à Turin, dirigé par le prêtre catholique don Fredo Oliviero qui bénéficie du grand soutien de son évêque, mgr Cesare Nosiglia.
Donald Trumpet Mickey François
Ce groupe œcuménique – «briser le pain» – fondé par Don Fredo il y a quelque temps a commencé à célébrer «la messe œcuménique» avec les valdenses, les orthodoxes, les anglicans et les luthériens.
En un mot, ces personnes ont conçu une sorte d’hospitalité eucharistique, où l’une et l’autre sont célébrées ensemble, toutes faisant «la communion» (catholiques, protestants, valdenses, etc.) …) et cédant ainsi à la fameuse « masse œcuménique » intentionnellement recherchée par Omissis.
Il est habituel qu’une fois par mois, le groupe se réunisse dans une église catholique, luthérienne, valdense ou baptiste pour partager l’Eucharistie, participer au culte ou à la Messe – officié selon la liturgie de l’église hôte – et collaborer avec différents rôles à la célébration. Répartition de la communion, des lectures et des commentaires.
Messages : 2839 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
Sujet: Re: Le pape François est-il un hérétique? Sam 27 Avr - 0:52
Pape François : "la branletta cosi, la pédérastie caca"
https://youtu.be/hpbOUiAXcTU François, un pape absurde dans ses réformes et de plus en plus impopulaire au sein de l'Église et des fidèles Beaucoup commencent à se demander si le pape ne serait pas prisonnier de ses propres réformes. Comment ce pape argentin, élu pour réformer l’Eglise et la Curie met-il sa confiance dans des hommes dont la réputation est parfois sulfureuse ? Lui, le pape jésuite, censé savoir discerner, serait-il mal conseillé ? Le pape aurait pu laisser Georges Pell prendre sa retraite à 75 ans, l’an dernier, mais lui a toujours maintenu sa confiance, malgré les accusations déjà anciennes qui pesaient sur lui.
Vatican papers, l'argent roi.,. pour les riches seulement La polémique qui concerne l’Eglise malienne avec à sa tête l’archevêque de Bamako, accusé de posséder des comptes en Suisse et d’y avoir déposé 12 millions d’euros, n’améliore pas la situation. Un temps annoncé absent à Rome, Mgr Zerbo a pourtant bien reçu la barrette cardinalice des mains du pape, mais on a senti le Vatican gêné : au dernier moment, Jean Zerbo, qui devait remercier le pape au nom des nouveaux cardinaux a été remplacé par son homologue de Barcelone, comme si on ne souhaitait pas trop le mettre en avant.
Le pape a fermé les yeux malgré tout sur ces accusations, préférant honorer un homme reconnu pour son dialogue avec les autres religions.
Un pape détonnant, ou une soupape fêtée ? Une chose étonne : François est populaire à l’extérieur et l’est de moins en moins à l’intérieur, derrière les hauts murs du Vatican.
Faites ce que je vous semble, ne dites pas ce que je cautionne Il prône la tolérance zéro envers les comportements inadmissibles de certains ecclésiastiques et appelle sans cesse à l’exemplarité, mais peine à faire le ménage chez lui.
François au clairon : tata râta tata Il y a quelques jours, la gendarmerie vaticane a arrêté un haut prélat, le cardinal Pell, lors d’une soirée gay où circulait de la drogue, soirée organisée dans un appartement du Vatican à un jet de pierre de la résidence du pape !
Vati-cancan 2 : un lupanar ?
Le pape semble impuissant à endiguer ce qui a pourtant poussé son successeur à démissionner.
Par ici la sortie, Bergoglio !
marmhonie Admin
Messages : 2839 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
Sujet: Re: Le pape François est-il un hérétique? Sam 27 Avr - 0:53
Le pape François se soumet au Coran, son livre de paix
L'effondrement du monde catholique islamisé par le pape François
Le cri d'alarme au danger de garder ce pape islamisant Depuis des millénaires, à la suite de Notre Seigneur, les catholiques sont invités à manifester leur charité envers leurs semblables, celle-ci s’exprime par le plus vif et le plus noble désir, celui de les voir un jour bénéficier du plus grand don : devenir des fils et des filles de Jésus Christ par la grâce du baptême. Ce serait donc mésestimer notre prochain que de ne pas espérer de tout notre cœur qu’il s’écarte résolument des obstacles qui l’éloignent du Christ et de la Sainte Église qu’il a instituée. Parmi ces obstacles, les religions fabriquées par les hommes, telles que le bouddhisme, l’Islam ou le Judaïsme talmudique, figurent au premier plan.
Tout commence avec Vatican II qui renie 2000 ans de christianisme Or, depuis Vatican II et sa déclaration Nostra Aetate, ces obstacles ont soudainement été perçus comme des objets d’estime, voire comme des véhicules de la grâce. Alors qu’ils empêchent les âmes de trouver la vérité et d’adhérer au Christ, unique voie de salut, bon nombre de pasteurs poussent désormais à s’intéresser à ces systèmes spirituels, invitent les non-chrétiens à approfondir leurs propres croyances. En certains cas, ils les encouragent même à demeurer dans leurs erreurs !
La première trahison fut par le baiser du pape Jean-Paul II Lorsque des papes, par leurs gestes, comme le baiser du Coran, ou par leurs écrits, quand ils souhaitent une bonne fête de l’Aïd al-Fitr, confortent les musulmans dans la pratique de l’Islam, nous ne pouvons qu’être bouleversés ! Ce faisant, ils semblent perdre de vue la nécessité qu’ont les âmes de s’éloigner de ces chemins qui ne mènent pas et ne pourront jamais mener au salut.
L'Islam a pour but d'exterminer juifs et chrétiens Saint François d’Assise lequel rencontra le sultan Al Malik Al Kamil, à qui il manifesta une charité exigeante, témoignant d’une véritable compréhension pour cet homme, mais ne désirant qu’une seule chose : que son âme aille à Jésus Christ et qu’il quitte l’Islam. Il ne l’a ni insulté, ni violenté. Mais il n’a pas non plus reculé.
Sans détour, il lui dit : "Si tu veux te convertir au Christ, et ton peuple avec toi, c'est très volontiers que, pour son amour, je resterai parmi vous. Si tu hésites à quitter pour la foi du Christ la loi de Mahomet, ordonne qu'on allume un immense brasier où j'entrerai avec tes prêtres, et tu sauras alors qu’elle est la plus certaine et la plus sainte des deux croyances, celle que tu dois tenir."
Le 3 avril 1991, Jean-Paul II honorait le Ramadan comme une fête à laquelle se soumettre 25 ans plus tard, le pape François rappelle la demande de Jean-Paul II, le 2 août 2016. Folie !
Ces actes ont été justifiés par une nouvelle pratique de l’amitié héritée du Concile. Elle voulait répondre au souhait d’entretenir des liens pacifiques dans les zones de coexistence.
Non, une mosquée n'est pas une église Mais comment ne pas voir qu’aux marges des régions où vivent peuples chrétiens et mahométans, ce ne sont jamais les Chrétiens qui persécutent ? Comment ne pas s’apercevoir qu’en nos terres d’Occident, ce sont partout des mosquées qui se construisent et ce sont partout des églises qui s’effondrent ? Comment ne pas remarquer que là où l’Islam avance, c’est au détriment de nos sanctuaires et de nos calvaires ? Cette expansion ne se produit-elle pas à la faveur d’un irénisme qui a renié la prudence et épousé l’inconscience ?
Revenir à la foi chrétienne et au respect de la Bible Le Père de Foucauld, qui avait vécu au contact des Musulmans, n’avait pas compté son amour pour ces hommes, s’était toujours méfié avec lucidité de leurs croyances erronées. A propos de ceux d’Afrique du Nord, il affirmait : "Ils peuvent se battre avec un grand courage pour la France, par sentiment d’honneur, caractère guerrier, guerre de corps, fidélité à la parole, comme les militaires de fortune des XVIe et XVIIe siècles mais, d’une façon générale, sauf exception, tant qu’ils seront musulmans, ils ne seront pas français, ils attendront plus ou moins patiemment le jour du medhi, en lequel ils soumettront la France."
Pourquoi la mise en garde réaliste de ce saint missionnaire serait-elle finalement perçue comme un jugement exagéré et une manifestation craintive d’animosité ? Par amour de Dieu, par amour pour les âmes, nous prions pour que les autorités de l’Église, et particulièrement le Souverain Pontife, retrouvent ce langage de clarté qui consiste à manifester son amour du prochain, mais jamais d’estimer des erreurs qui peuvent les tenir éloignées de Dieu.
Comme l’apôtre des Gentils mettant en garde saint Pierre, nous désirons à notre modeste place lancer un cri d’alarme auprès de son successeur. Qu’il affermisse les âmes avec la charité de l’esprit missionnaire qui ne peut engager un dialogue qu’avec l’unique idée de mener résolument les âmes à Jésus Christ.
Le pape François vénère l'Islam et le Coran, "livre de paix" selon François
https://youtu.be/RVf6gUdPHBw
Sources Le prix à payer, Joseph Fadell, Le vrai visage de l’Islam, Alcader Jean, L’Islam sans complaisance, Bernard Antony. A toi mon frère qui es né dans l’Islam. R.P. Marziac.
marmhonie Admin
Messages : 2839 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
Sujet: Re: Le pape François est-il un hérétique? Sam 27 Avr - 0:54
Le pape François en chute de popularité parmi les catholiques d’après les statistiques du Vatican
L'effondrement est impressionnant Les médias adulent le pape François, mais ce n’est pas le cas des catholiques, bien au contraire si on en croit les statistiques de fréquentation des audiences du mercredi publiées par les services du Vatican. 2014 : - 46 % par rapport à 2013 2015 : - 47,8 % par rapport à l’année précédente 2014, (soit – 71,3 % par rapport à 2013). 2016 : - 53% par rapport à l’année précédente 2015. 2017 : - 78,3% par rapport à l’année précédente 2016. 2018 : "le gouffre". Sans commentaire.
Un pape qui n'est pas catholique Le constat est dramatiquement simple : François, coqueluche des médias mondialistes majoritairement anti-catholiques, semble avoir perdu rapidement chez les fidèles de base le bénéfice de l’état de grâce due à son élection inattendue. En pleine crise face à la majorité des cardinaux qui font une fronde contre ses propos islamisants, François excommunie à tour de bras.
Rome n'est pas la Mecque et Jésus n'est pas Mahomet, n'en déplaise au pape François C'est en résumé le message fort que Bergoglio refuse d'entendre des cardinaux. Le Souverain Pontife, promu "pape des pauvres" par la presse mondialiste, a perdu le contact avec les catholiques dont il est le Chef Suprême depuis le début de ses offenses en 2015 contre 2000 ans de christianisme. Il est devenu, malgré lui, le symbole d’un humanitarisme argentin se soumettant à la dictature des pays islamisés, et où Notre Seigneur n'est plus qu’une option de second rang derrière le prophète Mahomet.
Il est certainement insolite, et même très inquiétant, que le Souverain Pontife se soit transformé en porte-parole onusien alors qu’il est, de fait et de droit, celui du Christ-Roi.
Radio Vatican sombre aussi dans l'écoute Selon les chiffres publiés par la Préfecture de la Maison pontificale, moitié moins d'audience qu’au début de son pontificat, l'effet de curiosité d'un pape d'Amérique Latine ayant, après les attentats et les massacres des chrétiens, laissé ce pape islamophile seul dans son coin.
En cette fin d'année 2018, la baisse de l'affluence est particulièrement abyssal. Près du Vatican, les restaurateurs se montrent très déçus de l'infime affluence suscité par ce pape anti-papes. Source : Sources : Osservatore Vaticano/Radio Vatican/ janvier 2019.
marmhonie Admin
Messages : 2839 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
Sujet: Re: Le pape François est-il un hérétique? Sam 27 Avr - 0:54
François va vers les Rohingya et les évite
To be Pape, or not to be ? Zat ize François François, très âgé, ne sait pas s'il doit prononcer officiellement le mot Rohingya.
François hésite à appeler ce génocide "Rohingya". Après tout, il n'y a pas le feu...
L'avis de plus en plus important des cardinaux Ce pape ne serait pas le premier en 2000 ans à devenir complètement cynoque. Et il faut bien constater que de nombreux cardinaux l'invitent à partir le plus vite.
Démission de François après celle de Benoît XVI ? Pas de fêlé chez L'eusses-tu cru !
marmhonie Admin
Messages : 2839 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
Sujet: Re: Le pape François est-il un hérétique? Sam 27 Avr - 0:55
Nous ne suivrons pas le pape François dans ses erreurs
Tandis que le pape François vient d’attribuer une valeur magistérielle à la déclaration des évêques argentins en faveur des divorcés remariés, 37 mouvements pro-vie et pro-famille de 13 nations différentes publient une déclaration historique de prise de distance par rapport aux erreurs du pape Bergoglio.
"En cas de contradiction entre les paroles ou les actes d’un membre de la hiérarchie – fut-il le pape – et la doctrine que l’Église a toujours professée, nous resterons fidèles à l’enseignement immuable de l’Eglise ; si nous devions nous éloigner de la Foi catholique, nous nous séparerions de Jésus Christ à qui nous voulons rester unis pour toute l’éternité."
C’est là le point central de la "Promesse de fidélité à l'enseignement authentique de l'Eglise" diffusée sur le site fidelitypledge.com, sous le titre "Fidèles à la vraie doctrine, non aux pasteurs qui s’égarent", pour exprimer la résistance des leaders des principaux mouvements pro-vie et pro-famille internationaux, face aux paroles et actes de nombreux pasteurs, y compris du pape François lui-même, qui contredisent l'enseignement de l'Église.
L’un des signataires les plus connus, John-Henry Westen, cofondateur et directeur de Lifesitenews, le plus grand portail international pour la défense de la vie et de la famille, a déclaré : "Aujourd'hui, même dans certains bastions catholiques fidèles, les préoccupations concernant le réchauffement climatique ont pris le pas sur l'holocauste des enfants dans le sein maternel ; le chômage des jeunes sur la menace qui pèse sur l'âme de nos enfants par la déviance sexuelle; et l'immigration sur l'évangélisation. La confusion doit cesser et le moment est vraiment venu de tracer une ligne de démarcation sur le sable."
Un autre signataire de renom, John Smeaton, directeur de la Society for the Protection of the Unborn Children (SPUC), la plus ancienne organisation pro-vie du monde, a déclaré à son tour : "La foi catholique a été, pour beaucoup de nos partisans, la source de clarté sur la valeur de chaque vie humaine et le devoir qui en découle de protéger tous les enfants à naître, sans exception. La propagation du déni des absolus moraux à travers l'Église peut potentiellement détruire tout ce que le mouvement pour la vie a fait au cours des 50 dernières années : la ligne de front s'est déplacée du champ de bataille politique national et avec des institutions internationales telles que l'ONU, au cœur de l'Église catholique."
Au cours des deux dernières années, le pape François et les autorités vaticanes ont cédé à la "culture de la mort" en soutenant les objectifs de développement durable pro-avortement des Nations Unies et en promouvant l'agenda du lobby international de l'éducation sexuelle par Amoris laetitia, et le programme pornographique d’éducation sexuelle élaboré par le Conseil Pontifical pour la Famille. Tout cela a un effet direct et concret sur les enfants et les familles.
Nous devons sans cesse demander à nos prêtres et à nos évêques d'enseigner la plénitude de la doctrine de l'Eglise et de ne pas coopérer, même un instant, à la propagation des erreurs tragiquement propagées par Sa Sainteté le Pape François et par de nombreux autres membre éminents de la hiérarchie.
Si nous ne prenons pas cette position, nous manquerons à notre devoir envers les enfants faibles et vulnérables que nous nous sommes engagés à protéger. Source : https://archives.dici.org
marmhonie Admin
Messages : 2839 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
Sujet: Re: Le pape François est-il un hérétique? Sam 27 Avr - 0:55
François a dit :"Jésus sur la croix cela a été un échec"
https://youtu.be/SXBM9V3Dnrc
C'est historique en 2000 ans par un pape blasphémateur, c'était le 26 septembre 2015 en la cathédrale St Patrick de New-York : "Jésus fut un échec sur la Croix"
Voici la liste des blasphèmes de l'étrange pape François considéré comme "dérangé" par de nombreux cardinaux au Vatican.
Ce n'est pas le pape du peuple, c'est celui des journalistes, et encore, il a mauvaise réputation !
marmhonie Admin
Messages : 2839 Date d'inscription : 04/04/2019 Localisation : Asie
Sujet: Re: Le pape François est-il un hérétique? Sam 27 Avr - 0:56
1 OCTOBRE 2017 Le pape est hérétique, c’est officiel
On attendait un signe à l’occasion de l’alignement planétaire du 23 septembre 2017 reproduisant la Femme dans le ciel décrite par l’Apocalypse, la lune sous ses pieds et couronnée de 12 étoiles. Le Ciel a tenu ses promesses : dès le lendemain eu lieu l’événement annoncé par ce signe : la divulgation publique d’une Correctio Filialis signée par 62 clercs, universitaires et laïcs catholiques, dont Mgr Bernard Fellay supérieur général de la Fraternité saint Pie X, déclarant le pape François hérétique sur 7 points dans son exhortation apostolique Amoris Laetitia. Le document original est daté du 16 juillet 2017, remis au pape le 11 août, et en l’absence de réponse du Vatican, rendu public le dimanche 24 septembre en la fête de Notre-Dame de la Merci. Les connaisseurs noteront au passage que les trois dates correspondent à des apparitions ou des fêtes de Notre-Dame : Notre-Dame du Mont Carmel le 16 juillet, apparition de Marie à Cotignac le 11 août, et fête de Notre-Dame de la Merci le lendemain de l’alignement historique de la Femme dans le ciel. Désormais cette Femme dans le ciel a un nom : Notre-Dame du Mont Carmel, car tout commence le 16 juillet. Or les apparitions hautement eschatologiques de Lourdes et de Fatima se terminent toutes les deux par Notre-Dame du Mont Carmel : la 18ème et dernière apparition à Lourdes a lieu le 16 juillet 1858 ; et le 13 octobre 1917, le dernier tableau vu par Lucie pendant le miracle du soleil fut la vision de Notre-Dame du Mont Carmel.
Or cette Correctio Filialis, nous allons le voir, est un document capital dans la lutte entre la Vierge et la Bête qui a pris le contrôle du Vatican. Le point de départ véritable de la chute de la bête. Elle est triplement signée par la Sainte Vierge, car le moment est venu pour elle d’écraser la tête de Satan. Elle le fait avec des armes divines.
La genèse du document Une lettre de 25 pages signée par 40 clercs, universitaires et laïcs catholiques, datée du 16 juillet 2017 en la fête de Notre-Dame du Mont Carmel porte le nom en latin de : Correctio filialis de haeresibus propagatis (littéralement : « Une correction filiale concernant la propagation d’hérésies »). Selon ses signataires, « elle affirme que le pape, par son Exhortation apostolique Amoris laetitia (8 avril 2016) ainsi que par d’autres paroles, actions et omissions en rapport avec celle-ci, a effectivement soutenu sept propositions hérétiques par rapport au mariage, à la vie morale et à la réception des sacrements, et qu’il a été à l’origine de la diffusion de ces opinions hérétiques au sein de l’Eglise catholique. Ces sept hérésies ont été exprimées par les signataires en latin, langue officielle de l’Eglise. » Toujours selon les signataires, cette lettre a été remise au pape François le 11 août 2017. Probablement en mains propres puisqu’ils disent « au pape François » et non au Vatican. N’ayant reçu aucune réponse du pape ou du Vatican, ils ont décidé de la rendre publique le 24 septembre 2017, en la fête de Notre-Dame de la Merci. Le jour de cette publication, le nombre de signataires était parvenu à 62, dont celui de Mgr Bernard Fellay, Supérieur général de la Fraternité Saint-Pie X, seul évêque à avoir signé le document. Y figurent aussi le supérieur du district de la Fraternité au Royaume-Uni, l’abbé Robert Brucciani, ainsi que le supérieur du district d’Afrique, Marc Vernoy ; également l’abbé Claude Barthe, le frère Jehan de Belleville, l’abbé Guy Pagès… ; mais aussi Ettore Gotti Tedeschi, ancien président de l’Institut pour les œuvres de religion (le fameux IOR)de 2009 à 2012. Au jour où j’écris ces lignes, ils sont 216 signataires.
La montée des critiques envers le pape et sa nouvelle doctrine s’est faite progressivement. La première « grande » critique fut émise par quatre cardinaux -donc par quatre sommités au plus haut niveau de l’Eglise-, Walter Brandmüller, Raymond L. Burke, Joachim Meisner et Carlo Caffarra, – ces deux derniers étant décédés cette année, respectivement le 5 juillet et le 6 septembre. Ils émirent le 19 septembre 2016 cinq Dubia (c’est à dire cinq questions) où ils demandaient respectueusement au pape François de « faire la clarté » sur cinq points hétérodoxes d’Amoris lætitia. Les Dubia, restés sans réponse, furent suivis d’une demande d’audience de la part de leurs auteurs le 25 avril 2017. Audience non accordée. Je note au passage que ces Dubia ont été émises le jour anniversaire de l’apparition de Notre-Dame à la Salette (19 septembre) ; une fois de plus, il apparaît que non seulement la Sainte Vierge veille au grain, mais qu’elle conduit personnellement les actions décisives face à la bête.
Le 29 juin 2016, 45 théologiens avaient fait parvenir au cardinal Angelo Sodano, doyen du Collège des Cardinaux une étude critique portant sur 19 points d’Amoris lætitia. Critique, elle aussi, restée sans réponse. Dans la liste des 62 signataires de la Correctio filialis on retrouve plusieurs noms figurant déjà dans celle des 45 théologiens de 2016.
Qu’est ce qui change avec la Correctio Filialis ? 1) D’abord les signataires se donnent les moyens de la contestation. Leur action est la troisième du genre, restée elle aussi sans réponse. Mais elle regroupe 62 clercs, universitaires et laïcs de 20 pays différents. Eux aussi attendent respectueusement un certain délai avant de rendre publique leur initiative, mais en lui donnant une portée mondiale. Leur détermination se concrétise par un site internet spécialement créé pour l’occasion, traduit en six langues (français, anglais, italien, espagnol, portugais et allemand), et par une opération de relations presse d’envergure, puisque cette information a été traitée par les grands médias. La grande presse en France en a parlé. On sort donc du microcosme des catholiques contestataires habituels, souvent assimilés avec ce que l’on appelle les intégristes, pour se retrouver dans une dimension grand public et de portée internationale. Avec la volonté affichée d’être vus et connus du plus grand nombre.
2) Ensuite, comme l’écrit avec justesse Christian Lassalle dans Média-Presse-Info du 30 septembre, « La Correctio Filialis est un coup de tonnerre dans le monde catholique : pour la première fois depuis la crise déclenchée par le concile Vatican II, l’orthodoxie du pape est remise en question, non plus par la Fraternité Saint Pie X, mais par une base beaucoup élargie. Auparavant les Dubia des 4 cardinaux avaient également pointé les affirmations du pape François contraires avec le dogme catholique. » Cela veut dire qu’il y a une remise en cause franche et directe du pape, exposée au grand public, et exprimée par des catholiques n’appartenant pas uniquement aux milieux traditionalistes.
3) Malgré tout, la présence parmi les signataires du supérieur de la Fraternité saint Pie X donne au document une légitimité incontestable, car il agit en tant que dirigeant de l’entité représentant officiellement la Tradition -même le Vatican ne le conteste pas-, soit, pour nous, la véritable Eglise de Jésus-Christ. « Notre fidélité à la Tradition n’est pas un repli sur le passé, mais un gage de pérennité pour l’avenir » explique Mgr Fellay en rappelant, à l’appui des propos de Mgr Lefebvre, fondateur de ce mouvement, que l’Eglise n’est pas « la Rome de tendance néo-moderniste et néo-protestante » qu’ils ont toujours refusé de suivre. Or, continue Mgr Fellay, « ce sont précisément ce néo-modernisme et ce néo-protestantisme que les auteurs de la Correctio filialis dénoncent à juste titre comme les causes des changements opérés par Amoris laetitia dans la doctrine et la morale du mariage. »
4) Elle est là l’intelligence et la clairvoyance de Mgr Fellay : n’associer son nom -et celui de son mouvement- qu’à un document portant sur le dogme et la doctrine, évitant de tomber dans les pièges d’autres hérésies vaticanesques comme l’encyclique sur le climat, plus politique et donc plus piégeuse. En se plaçant sur le terrain de la théologie et de ses applications concrètes dans la vie de l’Eglise, Mgr Fellay oblige le pape et le Vatican à répondre sur le fond et non pas sur la forme. A juste titre il rappelle que « désormais dans certains pays les évêques acceptent la communion des divorcés civilement remariés, dans d’autres ils la refusent. Est-ce que la morale catholique est à géométrie variable ? Peut-elle être soumise à des interprétations contradictoires ? » C’est pourquoi il ajoute : « dans cette triste situation de confusion, il est très important que le débat sur ces questions majeures s’amplifie, afin que la vérité soit rétablie et l’erreur condamnée. » On sent par ces propos que Mgr Fellay veut encore donner un ton modéré à son approche, masquant ce qui pourtant s’apparente à une véritable déclaration de guerre ; nous allons le voir.
5) D’autre part, certains regrettent le ton trop révérencieux de cette lettre, que l’on s’adresse respectueusement au pape, lui demandant de condamner ces hérésies, et que l’on n’aborde pas d’autre sujets connexes comme le concile. Il ne faut pas oublier que nous avons face à nous des interlocuteurs qui sauront habilement déporter la polémique sur des sujets secondaires, évitant le débat sur le principal. Il ne faut donc pas leur donner la possibilité de dévier le sujet sur un terrain où ils pourront facilement faire oublier le fond de la critique pour s’étendre sur l’accessoire, comme l’hostilité envers le pape, la dénonciation du concile, la recherche de divisions à l’intérieur de l’Eglise etc, sans oublier bien entendu l’habituelle accusation d’intégrisme, de repli sur soi, de fermeture au monde, et pourquoi pas, de radicalisation. En s’exprimant ainsi et en se focalisant sur l’essentiel, les rédacteurs de la Correctio Filialis désamorcent à l’avance les bombes qu’on pourrait leur lancer. D’où l’embarras du Vatican qui préfère le silence, car apporter une réponse les obligerait à répondre sur le fond. Christian Lassalle déplore que le texte contienne 8 références au concile Vatican II mais là aussi c’est suprêmement intelligent. On sait que le concile manie le double langage : des références théologiques traditionnelles cohabitent avec des innovations modernistes. En utilisant les propres armes de l’ennemi, on le met dans une position difficile puisque, si l’on trouve dans les textes de leur concile de référence des éléments favorables à notre argumentation (et il y en a toujours ! sinon la nocivité du concile aurait été trop visible), on leur démontre leurs propres contradictions. D’ailleurs pour le moment, les réactions que j’ai pu lire montrent bien leur embarras : tous bottent en touche et abordent le sujet non seulement en minimisant l’accusation d’hérésie, mais même en l’évitant soigneusement. Par exemple Jean-Marie Guénois dans le Figaro du 30 septembre explique que « le pape trouble une partie significative des catholiques » (titre révélateur !); puis il poursuit que ce document est « très discutable sur le fond et sur la forme et émanant d’une sensibilité ecclésiale ouvertement critique vis-à-vis du pape François » mais sans jamais expliquer en quoi elle est discutable et n’aborde à aucun moment le fond du problème : les hérésies visées ; seul point intéressant, il reconnaît qu’elle « a néanmoins obtenu un écho au-delà de ce petit cercle d’opposants. » De son côté, Mgr Ricard, cardinal archevêque de Bordeaux, donc une haute autorité de l’Eglise, dans une interview donnée début octobre, pense qu’à Rome « on ne donne pas trop d’importance à ces interpellations qui se veulent filiales, mais qui restent intransigeantes » sans dire un mot sur l’accusation d’hérésie. On évite donc pour le moment soigneusement le problème, et on le minimisera le plus longtemps possible. Mais le pavé est lancé et personne n’arrêtera la Sainte Vierge.
6) Enfin, et c’est le plus important, on affirme et on démontre, argumentation théologique à l’appui, que le pape s’est rendu coupable d’hérésies !! Il s’agit bien d’une mise en cause de façon directe du pape, sans aucun doute ni ambiguïté. Reprenons leur texte de présentation : Cette lettre « affirme que le pape, par son Exhortation apostolique Amoris laetitia ainsi que par d’autres paroles, actions et omissions en rapport avec celle-ci, a effectivement soutenu sept propositions hérétiques par rapport au mariage, à la vie morale et à la réception des sacrements, et qu’il a été à l’origine de la diffusion de ces opinions hérétiques au sein de l’Eglise catholique. » Oui vous avez bien lu : les 62 signataires disent carrément, je cite leurs propres mots, que le pape a soutenu sept propositions hérétiques et qu’il a été à l’origine de la diffusion de ces opinions hérétiques au sein de l’Eglise. Ceci s’appelle une mise en cause personnelle du pape François et une accusation claire d’hérésie ! Car ils disent bien : le pape ; ils disent bien que c’est lui qui a été à l’origine de la diffusion de ces hérésies. Par conséquent, puisqu’il est signataire de cette lettre, le supérieur de la Fraternité saint Pie X, qui s’était refusé jusqu’à ce jour à s’en prendre nommément au pape, le traite d’hérétique sans ambiguïté aucune.
Le 20 août dernier, Mgr Fellay avait déjà commis un acte demandé par le Ciel au pape, comme s’il se substituait à lui, en consacrant solennellement la Russie au Cœur Immaculé de Marie. Un mois après, il traite publiquement le pape François d’hérétique. Ce durcissement du ton fait suite à la réception par la Fraternité fin juin d’une lettre de Rome exigeant à nouveau la reconnaissance par ses soins du concile Vatican II en préalable à la régularisation de sa situation dans l’Eglise. Cette exigence mettait fin aux pourparlers entre la Fraternité et Rome car elle est heureusement impossible pour la Tradition. Dès lors, on peut se demander si le prélat dirigeant ce qui est probablement la véritable Eglise du Christ sur terre ne commence pas à prendre conscience que le mystère d’iniquité lève petit à petit le voile sur ses mystères et que Rome n’est décidément plus à Rome mais… là où d’autres comprennent qu’ils doivent faire le « travail » du pape en se demandant qui est le plus légitime des deux… pas forcément celui qu’on croit.
Mgr Fellay rappelle haut et fort que son attitude est celle de Mgr Lefebvre et de la Fraternité Saint-Pie X depuis le début. Dans sa déclaration du 21 novembre 1974, Mgr Lefebvre la définissait ainsi : « Nous adhérons de tout cœur, de toute notre âme à la Rome catholique, gardienne de la foi catholique et des traditions nécessaires au maintien de cette foi, à la Rome éternelle, maîtresse de sagesse et de vérité. Nous refusons par contre et avons toujours refusé de suivre la Rome de tendance néo-moderniste et néo-protestante ». Au fond de lui, Mgr Fellay sait bien que la Fraternité remplace actuellement la Rome défaillante. Que la véritable Eglise se trouve dans la Tradition et non chez les hérético-modernistes de la Rome issue de Vatican II. Il a compris, ou il commence à comprendre, qu’il est temps de les jeter dehors.
L’accusation d’hérésie invalide le pape Il y a eu par le passé des papes tombés dans l’hérésie. Roberto de Mattei, historien, dans son livre Apologie de la Tradition, cite le cas célèbre du pape Honorius, qui fut jugé hérétique par son successeur, Léon II, s’appuyant sur l’anathème prononcé par le 3ème concile de Constantinople (681). Depuis, explique Roberto de Mattei, les historiens considèrent Honorius non pas comme un hérétique, mais comme un fauteur d’hérésie, ajoutant que ce fut la même chose pour les papes Zosime et Virgile. On a donc eu par le passé plusieurs cas de papes jugés hérétiques, mais ce fut à chaque fois après leur mort et non pas de leur vivant. Il ajoute que « le cas d’Honorius est l’un des arguments qu’emprunte saint Robert Bellarmin dans son De Romano Pontifice afin de démontrer qu’un pape peut être hérétique. »
Toujours selon de Mattei, « la possibilité qu’il y ait un pape hérétique ne contredit pas le dogme de l’infaillibilité puisque l’infaillibilité ne suppose pas l’inerrance du pape en tant qu’individu, mais bien celle de la charge pontificale en tant que telle« . Il ajoute, et c’est important, que « la divine Providence épargna à l’Eglise la tragédie d’un pape reconnu hérétique, mais pas celle de papes hérétisants qui, dans l’exercice de leur gouvernement, se rendirent coupables de graves fautes en se montrant être d’indignes Vicaires du Christ, mais sans jamais perdre leur charge pour autant. » Jusqu’à aujourd’hui.
Car Roberto de Mattei rappelle aussi les conditions dans lesquelles un pape peut être jugé. Il faut bien connaître ces éléments car ils sont essentiels dans la compréhension de la portée des événements qui se déroulent sous nos yeux. « Le pape saint Nicolas Ier (585-867), dans une lettre célèbre adressée à l’empereur byzantin Michel III écrite le 28 septembre 865, récapitula de manière formelle la doctrine de la Primauté romaine. C’est dans cette lettre que l’on retrouve l’expression fameuse « Prima Sedes non judicabitur a quoquam » (Le premier siège ne sera jugé par personne), évoquée par Gratien dans son Décret célèbre par ces mots: « A nemine est judicandus, nisi deprehenditur a fides devius » (Il ne doit être jugé par personne, excepté le cas où il s’éloignerait de la foi). La règle du Prima sedes non judicabitur n’admet qu’une seule exception : le péché d’hérésie. » Roberto de Mattei ne fait qu’exprimer ici des règles bien connues des théologiens, du Vatican et des grandes institutions religieuses. Les 62 signataires de la Correctio, à commencer par le supérieur de la Fraternité saint Pie X ne pouvaient pas les ignorer : c’est en toute connaissance de cause qu’ils accusent le pape d’hérésie, sachant que seul ce péché peut lui être formellement reproché. Donc le choix de pointer sur 7 points litigieux et de démontrer qu’il s’agit d’hérésies est d’une portée sans précédent dans l’histoire de l’Eglise puisque cette accusation est faite du vivant d’un pape alors que les précédentes, on l’a vu, l’ont été par les successeurs des papes incriminés.
Quelles en sont les conséquences ? Continuons avec Roberto de Mattei : « La possibilité de juger le pape s’il se rend coupable d’hérésie a été -ainsi que l’attestent les grandes collections canoniques- une maxime incontestée durant toute l’époque médiévale. Mais qui peut juger le pape, si nul ne lui est supérieur ? Les décrétistes médiévaux expliquent que, une fois tombé dans une erreur contraire à la foi, le pape cesse d’être le chef de l’Eglise : il s’exclut lui-même de la hiérarchie et de ce fait, tout catholique peut à la rigueur, l’accuser. » Or c’est exactement ce qui s’est passé : puisqu’il s’agit d’hérésies authentiques, vérifiées et vérifiables, non seulement les 62 signataires ont autorité pour les dénoncer, car ils font leur devoir de chrétiens, mais en plus cette démarche prouve au monde que de facto le pape François n’est plus le chef de l’Eglise et le Vicaire du Christ à partir du moment où la dénonciation de ces hérésies est rendue publique. Ça aussi Mgr Fellay et les théologiens le savent très bien. La réponse de la Femme dans le Ciel du 23/09 aux provocations de l’Antéchrist est donc particulièrement cinglante.
Il est certain que l’autorité la plus légitime et incontestable pour déposer un pape de son vivant serait un concile ; mais de toute façon, comme l’explique Roberto de Mattei, toujours en s’appuyant sur les précédents médiévaux, « la sentence de l’Eglise ne serait que la constatation d’un fait« . En l’occurrence, « il ne s’agit pas de déposer un pape, mais simplement de constater qu’un pape est dépouillé de sa fonction en raison de son hérésie. » Dans ces pages, Roberto de Mattei ne parlait pas des papes Vatican II mais de la position de l’Eglise concernant un pape reconnu coupable d’hérésie. La sentence est sans appel et convient exactement à la situation que nous vivons depuis quelques jours : pour la première fois, du vivant d’un pape, un groupe de laïcs et de religieux, dont l’évêque chef de file de la tradition, affirme et prouve l’hérésie du pape, ce qui revient à déposer le pape officieusement, car il s’est lui-même exclu de l’Eglise par ses positions hérétiques.
La suite est simple : si le pape ne réagit pas à ces accusations et ne condamne pas lui-même, publiquement et sans ambiguïté les hérésies qu’il a formulées ; ou si le pape ne démontre pas par une contre-argumentation théologique que ces accusations sont nulles et non avenues parce qu’il ne s’agissait pas d’hérésies ; alors tout catholique pourra prendre acte que le pape s’est dépouillé lui-même de sa fonction par sa propre faute. Tout catholique saura que le pape François n’est plus pape, si tant est qu’il l’ait été un seul instant, la réalité de la démission de Benoît XVI restant très douteuse.
Quelles sont les hérésies en question ? Tout le monde en parle mais personne ne les cite ; il serait pourtant intéressant de savoir sur quels points et en quoi le pape se rend coupable d’hérésies.
Les auteurs se sont focalisés uniquement sur l’exhortation apostolique Amoris laetitia ; heureusement car s’ils s’étaient étendus au reste de la doctrine conciliaire, ce n’est pas 7 hérésies qu’ils auraient pointées, mais des dizaines. Ils expliquent que les passages d’Amoris laetitia auxquels ils font référence sont : AL295, 296, 297, 298 (+ note de bas de page 329), 299, 300 (+ note de bas de page 336), 301, 303, 304, 305 (+ note de bas de page 351), 308 et 311. Les auteurs citent également un certain nombre de paroles, actions et omissions du pape en liaison avec ces passages.
Avant d’aborder leur argumentaire sur les hérésies, voici quelques morceaux choisis extrait de ce document, qui montrent que leur démarche se situe au-delà de la critique, mais constitue plutôt une sévère admonestation du pape et de l’esprit moderniste qui sévit dans l’Eglise depuis le concile, ainsi qu’une mise en garde sur les graves dérives de Rome à l’attention de tous les catholiques.
Florilège :
« Tandis que certains évêques et cardinaux ont continué de défendre les vérités divinement révélées sur le mariage, la loi morale, et la réception des sacrements, d’autres ont nié ces vérités et ont reçu de Votre Sainteté non pas une réprimande mais des approbations. »
« Le Saint Esprit n’a pas été promis aux successeurs de Pierre pour qu’ils fassent connaître, sous sa révélation, une nouvelle doctrine, mais pour qu’avec son assistance ils gardent saintement et exposent fidèlement la révélation transmise par les Apôtres, c’est-à-dire le dépôt de la foi » (concile Vatican I).
« Les pratiques aujourd’hui encouragées par les paroles et les actions de Votre Sainteté sont contraires non seulement à la foi et à la discipline pérenne de l’Eglise mais également aux affirmation magistérielles de vos prédécesseurs. »
« Une proposition hérétique est une proposition qui contredit une vérité divinement révélée incluse dans la foi catholique. (…) Le péché d’hérésie est commis par une personne qui possède la vertu théologale de foi, mais qui choisit alors librement et en toute connaissance de cause de ne pas croire ou de douter d’une vérité de la foi catholique. Une telle personne pèche mortellement et perd la vie éternelle. »
« En second lieu, nous nous sentons obligés en conscience de mettre en évidence la sympathie sans précédent de Votre Sainteté à l’égard de Martin Luther, et l’affinité entre les idées de Luther sur la loi, la justification et le mariage, et ce qu’enseigne ou favorise Votre Sainteté dans Amoris laetitia et ailleurs. Cela est nécessaire afin que notre protestation contre les sept propositions hérétiques dont la liste est donnée dans ce document puisse être complète ; nous souhaitons montrer, fût-ce de manière sommaire, que ce ne sont pas des erreurs sans relation entre elles, mais plutôt, qu’elles constituent une partie d’un système hérétique. Les catholiques doivent être mis en garde non seulement contre ces sept erreurs, mais également contre ce système hérétique en tant que tel. »
Voici maintenant la liste des 7 hérésies et leur réfutation par des arguments théologiques.
Introduction « Par ces mots, actes et omissions et par les passages allégués du document Amoris laetitia, Votre Sainteté a soutenu, d’une manière directe ou indirecte (si Vous en étiez conscient et jusqu’à quel point, cela nous ne le savons pas et ne voulons pas en juger), les propositions suivantes, fausses et hérétiques, propagées dans l’Eglise tant ex officio que par des actes privés » :
1) Première hérésie «Une personne justifiée n’a pas la force, avec la grâce de Dieu, d’accomplir tous les commandements de la loi divine, comme si certains des commandements étaient impossibles à observer pour celui qui est justifié; ou comme si la grâce de Dieu, en produisant la justification d’un individu, ne produisait pas invariablement et par sa nature même la conversion de tout péché grave, ou qu’elle n’était pas suffisante à la conversion de tout péché grave». Réfutation (Correction filiale) : Concile de Trente, session 6, canon 18 : «Si quelqu’un dit que les commandements de Dieu sont impossibles à observer même pour l’homme justifié et établi dans la grâce : qu’il soit anathème».
2) Deuxième hérésie «Les chrétiens qui ont obtenu le divorce du conjoint avec lequel ils étaient validement mariés et ont contracté un mariage civil avec une autre personne (pendant que le conjoint était encore en vie), même s’ils vivent more uxorio* avec leur partenaire civil et ont choisi de rester dans cet état tout en étant pleinement conscients de la nature de leur action et avec le plein consentement de la volonté de rester dans cet état, ils ne sont pas nécessairement en état de péché mortel et peuvent recevoir la grâce sanctifiante et croître dans la charité». *more uxorio : en mari et femme Réfutation (Correction filiale) : Marc 10,11-12: «Il leur dit: Celui qui répudie sa femme et qui en épouse une autre, commet un adultère à son égard; et si une femme quitte son mari et en épouse un autre, elle commet un adultère».
3)Troisième hérésie «Un chrétien peut être pleinement conscient de l’existence d’une loi divine et choisir volontairement de la violer en matière grave, sans être en état de péché mortel, comme conséquence de cette action». Réfutation (Correction filiale) : Concile de Trente, session 6, canon 20 : «Si quelqu’un dit que l’homme justifié, aussi parfait qu’il soit, n’est pas tenu d’observer les commandements de Dieu et de l’Eglise, mais seulement de croire, comme si l’Evangile était une pure et simple promesse de la vie éternelle sans la condition d’observer les commandements : qu’il soit anathème».
4) Quatrième hérésie «Une personne, lorsqu’elle obéit à la loi divine, peut pécher contre Dieu en vertu de cette même obéissance». Réfutation (Correction filiale) : Psaume 18,8 : « La loi de l’Éternel est parfaite, elle restaure l’âme ». Mais aussi : Ecclésiastique 15,21; Concile de Trente, session 6, canon 20; Clément XI, Constitution Unigenitus, etc.
5) Cinquième hérésie « La conscience peut juger véritablement et correctement que parfois les actes sexuels entre personnes qui ont contracté entre elles un mariage civil, bien que l’un des deux ou tous les deux soient sacramentellement mariés avec une autre personne, sont moralement bons, voulus ou demandés par Dieu ». Réfutation (Correction filiale) : Concile de Trente, session 6, canon 21 : « Si quelqu’un dit que le Christ Jésus a été donné par Dieu aux hommes comme rédempteur, en qui se confier, et non pas aussi comme législateur à qui obéir : qu’il soit anathème ». Concile de Trente, session 24, canon 2 : « Si quelqu’un dit qu’il est permis aux chrétiens d’avoir en même temps plusieurs épouses, et que cela n’a été défendu par aucune Loi divine (Mt 19,9) : qu’il soit anathème ». Concile de Trente, session 24, canon 5 : « Si quelqu’un dit que le lien du mariage peut être rompu en raison de l’hérésie, ou bien d’une vie en commun insupportable, ou bien en l’absence voulue d’un conjoint: qu’il soit anathème ». Concile de Trente, session 24, canon 7 : « Si quelqu’un dit que l’Eglise se trompe quand elle a enseigné et enseigne, conformément à l’enseignement de l’Evangile et de l’Apôtre (Mt 5,32 Mt 19,9 Mc 10,11-12 Lc16,18 1Co 7,11) que le lien du mariage ne peut pas être rompu par l’adultère de l’un des époux, et que ni l’un ni l’autre, même l’innocent qui n’a pas donné motif à l’adultère, ne peut, du vivant de l’autre conjoint, contracter un autre mariage ; qu’est adultère celui qui épouse une autre femme après avoir renvoyé l’adultère et celle qui épouse un autre homme après avoir renvoyé l’adultère : qu’il soit anathème ».
6) Sixième hérésie « Les principes moraux et les vérités morales contenues dans la Révélation divine et dans la loi naturelle n’incluent pas de prohibitions négatives qui interdisent d’une façon absolue certains genres d’actions particuliers qui, par leur objet, seraient toujours gravement illicites ». Réfutation (Correction filiale) : Jean Paul II, Veritatis splendor 115 : « Chacun de nous sait l’importance de la doctrine qui constitue l’essentiel de l’enseignement de la présente encyclique et qui est rappelée aujourd’hui avec l’autorité du Successeur de Pierre. Chacun de nous peut mesurer la gravité de ce qui est en cause, non seulement pour les individus, mais encore pour la société entière, avec la réaffirmation de l’universalité et de l’immutabilité des commandements moraux, et en particulier de ceux qui proscrivent toujours et sans exception les actes intrinsèquement mauvais ».
7) Septième hérésie « Notre Seigneur Jésus-Christ veut que l’Eglise abandonne sa discipline pérenne par laquelle l’on refuse l’Eucharistie aux divorcés remariés et l’on refuse l’absolution aux divorcés remariés qui ne manifestent pas la contrition pour leur état de vie et le ferme propos de le corriger ». Réfutation (Correction filiale) : 1 Cor. 11,27 : « C’est pourquoi celui qui mangera le pain ou boira la coupe du Seigneur indignement, sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur ». Familiaris consortio, 84 : « La réconciliation par le sacrement de pénitence – qui ouvrirait la voie au sacrement de l’Eucharistie – ne peut être accordée qu’à ceux qui se sont repentis d’avoir violé le signe de l’Alliance et de la fidélité au Christ, et sont sincèrement disposés à une forme de vie qui ne soit plus en contradiction avec l’indissolubilité du mariage. Cela implique concrètement que, lorsque l’homme et la femme ne peuvent pas, pour de graves motifs – par l’exemple l’éducation des enfants -, remplir l’obligation de la séparation, “ils prennent l’engagement de vivre en complète continence, c’est-à-dire en s’abstenant des actes réservés aux époux”. 2e Concile du Latran, canon 20, DH 717 : « Parmi d’autres, une chose trouble profondément la sainte Eglise : la fausse pénitence ; nous demandons donc à nos frères dans l’épiscopat et aux prêtres de ne pas souffrir que les âmes des laïcs soient trompées par les fausses pénitences et ainsi enchaînées en enfer. Il appert qu’il y a fausse pénitence lorsque, méprisant la plupart des péchés, on ne fait pénitence que d’un seul, ou lorsqu’on ne le fait que d’un seul sans renoncer à un autre. Aussi est-il écrit : » Celui qui a observé toute la loi, mais trébuche sur un seul point, devient coupable de tous » (Jc 2,10), c’est-à-dire en ce qui concerne la vie éternelle. En effet, qu’il ait été impliqué dans tous les péchés, ou qu’il persiste seulement dans un seul, il ne franchira pas la porte de la vie éternelle. Il y a aussi fausse pénitence lorsque le pénitent ne renonce pas à une charge curiale ou commerciale qu’il ne peut en aucune manière exercer sans péché, ou si la haine habite son coeur, ou s’il ne rend pas satisfaction à celui qu’il a offensé, ou si étant offensé il ne pardonne pas à l’offenseur, ou si l’on prend les armes contre la justice ».
Conclusion Cette Correctio Filialis est un réquisitoire en règle contre le pape et sa doctrine mortifère pour la foi et le salut des âmes. En démontrant théologiquement que le pape s’est rendu coupable d’hérésies, ils mettent l’accent sur le seul point permettant de déposer un pape : le péché d’hérésie. Et même, si l’on se réfère aux précédents dans l’histoire de l’Eglise et aux documents magistériels, en professant une doctrine hérétique, le pape s’exclut de lui-même de l’Eglise, il cesse de facto d’être pape. Les auteurs démontrent aussi, et affirment, que le pape François ne s’est pas rendu coupable d’hérésie par hasard, par ignorance ou par négligence, mais qu’il s’agit bien de la mise en place d’un véritable « système hérétique« , dont la complaisance avec Luther et ses thèses en sont une autre composante. Il s’agit bien d’une mise en cause sévère et argumentée du chef de l’Eglise catholique, qui prouve que celui-ci a atteint, ou dépassé, le point de non-retour. On ne peut pas à la fois se déclarer catholique et suivre cet homme ; il faut choisir. Le fait que le supérieur général de la Fraternité saint Pie X soit un des signataires montre non seulement que ce dernier a choisi, mais aussi que tout catholique digne de ce nom doit lui aussi faire le même choix : celui de la Tradition. Il ne fallait pas quitter la Tradition ; il ne fallait pas quitter l’Eglise véritable, celle qui est réellement apostolique car elle défend l’enseignement des apôtres et de Jésus-Christ sans le déformer ; il ne fallait pas s’aventurer dans cette contre-église qui sème le doute, tue la foi, abandonne les âmes à leur sort, refuse de procurer aux hommes le salut éternel, et finalement réhabilite le péché comme si celui-ci allait de soi et n’était plus à combattre. Oui seule la Tradition a conservé une doctrine saine, une liturgie sainte, un enseignement solide, un engagement missionnaire intact, et une réelle volonté de sauver les âmes. L’Eglise issue du concile Vatican II a voulu gagner le monde, mais « à quoi sert-il à un homme de gagner le monde, s’il perd son âme ? » (Marc 8:36) L’heure des choix a sonné ; personne ne pourra dire qu’il ne savait pas ; mais on ne peut pas suivre un pape hérétique. Il ne reste plus que la Tradition.
marmhonie Admin
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Sujet: Re: Le pape François est-il un hérétique? Sam 27 Avr - 0:57
L'anti-pape François hérétique, récit d'une imposture
Un apostat des catholiques Apostasie de l’antipape François proclamant : « la ‘foi’ des musulmans avec le Coran fait avancer spirituellement ». L’Église catholique enseigne, par les Papes Eugène IV (Concile de Bâle) et Calixte III, que l’islam est une secte «abominable» et «diabolique», et par le Pape Clément V (Concile de Vienne) qu’est «une insulte, une honte et une offense, l’invocation publique du nom sacrilège de l’infidèle Mahomet».
Bergoglio le misérable Il y a eu 260 papes valides dans l’histoire catholique, et plus de 40 antipapes (c’est-à-dire, des hommes qui se sont posés comme papes, mais n’avaient pas été vraiment élus). Il y a eu plus de 200 sièges vacants papaux (périodes sans un pape). Les faits disponibles prouvent que les six derniers hommes qui ont prétendu être papes – François 1er, Benoît 16, Jean-Paul 2, Jean-Paul 1er, Paul 6 et Jean 23, les hommes qui ont amené Vatican II – ont été et sont des antipapes. Il est prouvé qu’ils étaient et sont des hérétiques manifestes et non de vrais catholiques. Cette partie défend l’enseignement catholique et des vrais papes ; elle expose les antipapes manifestement hérétiques qui se sont faussement fait passer pour des chefs de l’Église catholique.
Jorge Mario Bergoglio (né le 17 Décembre 1936) est un personnage public argentin qui est de facto chef de l’État de la Cité du Vatican. Ses partisans dans l’Église Vatican II affirment qu’il a été élu «pape de l’Église catholique», en tant que François Ier en mars 2013.
Il est né à Buenos Aires, en Argentine dans une famille de la classe ouvrière; ses deux parents sont de l’italien (Piémont) l’ascendance du Nord et son père est né en Italie. Il a rejoint la Compagnie de Jésus juste avant le Concile Vatican II et a été « ordonné » prêtre de cette secte en 1969 dans le nouveau rite invalide d’ordination. Il était le supérieur provincial des jésuites en Argentine de 1973 à 1979. Il a commencé à monter les rangs de l’Église de Vatican II en Argentine quand la foi catholique était en déclin ; il est devenu « archevêque » de Buenos Aires en 1998 et un « Cardinal » de Vatican II en 2001 et «Pape» de Vatican II en 2013.
Le nouvel évangile hérétique de Bergoglio 1) Antipape François 1er octobre 2013 : « Et je crois en Dieu. Pas en un Dieu catholique ; un Dieu catholique n’existe pas ; Dieu existe. Et je crois en Jésus-Christ, son incarnation. Jésus est mon maître / enseignant et pasteur, mais Dieu, le Père, Abba, est la lumière et le Créateur. Ceci est mon être. Pensez-vous que nous sommes très éloignés ? », a déclaré François dans l’interview avec le journal italien La Repubblica.
2) Antipape François, Evangelii Gaudium, § Relations avec le judaïsme, # 247, le 24 novembre 2013 : » Un regard très spécial s’adresse au peuple juif, dont l’alliance avec Dieu n’a jamais été révoquée …
3) François, Le Ciel et la Terre, p. 188 : « L’Église [Vatican 2] reconnaît officiellement que le peuple d’Israël continue d’être le peuple élu. Nulle part il n’est dit : «Vous avez perdu le jeu, maintenant c’est notre tour». C’est une reconnaissance du peuple d’Israël ». Cela signifie clairement que François tient que les gens qui rejettent Jésus-Christ sont le peuple élu au regard de Dieu. C’est un blasphème contre Dieu.
4) Dans Le Ciel et la Terre, p. 236, François a écrit sur de nouveaux systèmes et mouvements de croyances religieuses. Il a déclaré : «Je suis respectueux de toutes les nouvelles propositions spirituelles … Survivre au passage du temps est le principal test de pureté spirituelle «
5) Dans son homélie du 8 juillet 2013, François a parlé aux musulmans en disant : «Je pense aussi avec affection à ces immigrants musulmans qui commencent ce soir le jeûne du Ramadan, qui je l’espère va porter des fruits spirituels abondants ». François veut grandir dans l’estime avec les croyants de cette secte diabolique ; il dit qu’ils sont ses frères ; il souhaite des « fruits spirituels abondants » pendant leur jeûne du Ramadan. C’est tout simplement l’apostasie.
6) Dans son encyclique « Evangelii Gaudium » (n° 255), François professe que la liberté religieuse, en sorte que tout le monde a le droit de promouvoir toute vision religieuse en public, doit être considérée comme un droit humain fondamental.
7) La foi catholique évoluerait selon François... François, Penser la foi, p. 13 : » Voir l’enseignement de l’Église comme un monolithe de défendre sans nuance ou de compréhension différente est mauvaise « .
8) Suicidez-vous, c'est bon ! François, Le Ciel et la Terre, p. 92-93 : «Il fut un temps où ils n’effectuaient pas de funérailles pour ceux qui s’étaient suicidés parce qu’ils n’avaient pas continué vers le but ; ils ont fini leur chemin quand ils ont voulu. Mais je respecte toujours celui qui se suicide ; c’est une personne qui ne pouvait pas surmonter les contradictions dans sa vie. Je ne le rejette pas «
9) Sex over the world ! « L’Eglise n’est pas opposée à l’éducation sexuelle. Personnellement, je crois que cela doit être disponible dans toute éducation des enfants, adaptée à différents groupes d’âge. En vérité, l’Eglise a toujours fourni l’éducation sexuelle, même si je reconnais qu’elle n’a pas toujours été adéquate « . (François, Conversations, p. 111)
10) Donnez-nous de mauvais, de très mauvais curés ! François, Conversations, p. 118-119 : » Il y a des moments où un prêtre tombe vraiment amoureux et doit réévaluer sa vocation et sa vie. Puis il doit aller à l’évêque et lui dire : «J’ai composé avec mon esprit … Je ne savais pas que j’allais ressentir quelque chose de si beau … J’aime vraiment cette femme », et il demande à quitter la prêtrise. Et que faites-vous dans ces cas ? [François:] je reste avec lui ; Je l’accompagne dans son chemin spirituel. S’il est sûr de sa décision, je l’aide même à trouver du travail … Nous demandons ce qui est appelé ‘la dispense’, la permission de Rome, et ensuite il serait autorisé à recevoir le sacrement de mariage ».
11) Croire en l'homme plutôt qu'en Dieu ! François, Conversations, p. 220 : «Pour moi, l’espoir est dans la personne humaine … Je crois en l’homme. Je ne dis pas que l’homme est bon ou mauvais, juste que je crois en l’homme « .
12) D'abord le corps, peu importe la foi ! «Si un enfant a faim et n’a pas d’éducation, ce qui devrait nous intéresser est de lui faire cesser d’avoir faim et d’avoir une éducation. Si l’enseignement est donné par les catholiques, protestants, orthodoxes ou juifs, je ne m’inquiète pas. »
13) Et pour finir, virez 2000 ans de foi catholique et de saints ! François pense que les fruits liturgiques de Vatican 2 sont énormes. Quiconque tient le conservatisme sait qu’ils sont mauvais, horribles et désastreux.
marmhonie Admin
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Sujet: Re: Le pape François est-il un hérétique? Sam 27 Avr - 0:58
La lettre de Benoît XVI ou le “Viganògate”
Le Viganògate La lettre de Benoît XVI à Mgr Viganò (photo) a défrayé la chronique et pas seulement dans la presse catholique. C’est un scandale qui tâche le pontificat du pape François, parce qu’il montre que ces collaborateurs ne reculent devant rien. Rappel des faits.
Le 12 janvier, Mgr Viganò, préfet du secrétariat pour la communication du pape, écrit à Benoît XVI pour lui demander « une page théologique courte et dense » sur 11 petits volumes qui encensent la théologie pratique du pape François.
Le 7 février, Benoît XVI répond par une lettre dont l’enveloppe porte l’indication : « Personnelle – Réservée ».
Le 12 mars 2018 Soit plus d’un mois après, mais veille du 5e anniversaire du pontificat du pape François, Mgr Viganò fait une présentation à la presse des fameux 11 volumes, et lit tranquillement la lettre de Benoît XVI par laquelle le pape émérite, souligne le Vatican, fait l’éloge de son successeur et souligne la continuité entre les deux pontificats. Tout le monde comprend que Benoît XVI a écrit cette lettre à l’occasion du 5e anniversaire de l’élévation au souverain pontificat de son successeur. Toute la presse tombe dans le panneau et souligne la bénédiction apportée par Benoît à François. Il en est fini de la discontinuité apparente entre les deux papes…
Première dissimulation Mgr Viganò communique aussi une photo de la lettre, où étrangement les deux dernières lignes de la première page sont floutées, et où tout le texte de la deuxième page, hormis la signature, est caché par… la pile des 11 volumes. L’Associated press s’étonne du procédé, indiquant que cela ne se fait jamais de flouter ainsi une photo. Face aux protestations, le Vatican publie le 13 mars le texte « intégral » de la lettre, dans lequel Benoît XVI dit qu’il n’écrit que sur les livres qu’il a lus et qu’il a autre chose à faire que de lire ceux-là. Et le texte se termine ainsi :
Seconde dissimulation « Je suis sûr que vous comprendrez et je vous salue cordialement. » C’est une nouvelle dissimulation de la communication du Vatican, qui s’enfonce dans son mensonge. Le 17 mars Sandro Magister fait remarquer que la position de la signature sur la seconde page laisse entendre que le texte au-dessus est bien plus long que ce qui a été communiqué, et que selon ses sources ce paragraphe serait une vive critique de certains auteurs des 11 volumes. Six heures plus tard le Vatican, sur demande de Benoît XVI selon Jean-Marie Guénois, publie enfin la vraie lettre intégrale… Et là c’est la stupeur générale. On s’aperçoit alors que le sens général de la lettre est exactement l’inverse de ce que Mgr Viganò a fait croire, que Benoît XVI s’indigne qu’on lui demande de faire l’éloge d’un texte écrit par un théologien qui a violemment attaqué le magistère, et l’on s’aperçoit aussi que dans la dernière phrase on avait enlevé le mot « refus » :
« Je suis sûr que vous comprendrez mon refus. »
Voici donc l’intégralité de cette lettre : Benedictus XVI Papa Emeritus Rev.mo Signore Mons. Dario Edoardo Viganò Préfet du Secrétariat pour la communication Cité du Vatican
Le 7 février 2018
Monseigneur,
Je vous remercie pour votre aimable lettre du 12 janvier et pour le cadeau qui y était joint contenant les onze petits volumes sous la direction de Roberto Repole. J’applaudis à cette initiative visant à s’opposer et réagir contre le préjugé stupide en vertu duquel le pape François ne serait qu’un homme pratique dénué de toute formation théologique ou philosophique tandis que je ne serais moi-même qu’un théoricien de la théologie qui n’aurait pas compris grand-chose de la vie concrète d’un chrétien d’aujourd’hui.
Ces petits volumes montrent, à juste titre, que le Pape François est un homme doté d’une profonde formation philosophique et théologique et ils aident en cela à voir la continuité intérieure entre les deux pontificats, nonobstant toutes les différences de style et de tempérament. Toutefois, je ne peux pas rédiger une brève et dense page théologique à leur sujet parce que toute ma vie, il a toujours été clair que je n’écrirais et que je ne m’exprimerais jamais que sur les livres que j’aurais vraiment lus. Malheureusement, notamment pour des raisons physiques, je ne suis pas en mesure de lire les onze petits volumes dans un avenir proche, d’autant plus que d’autres engagements que j’ai déjà accepté m’attendent.
Ce n’est qu’à la marge que je veux faire mention de ma surprise devant le fait que parmi les auteurs figure aussi le Pr Hünermann, qui au cours de mon pontificat s’est illustré en prenant la tête d’initiatives anti-papales. Il participa de manière significative à la publication de la Kölner Erklärung [déclaration de Cologne] qui, relativement à l’encyclique Veritatis splendor, attaqua de manière virulente l’autorité magistérielle du pape, spécialement à propos des questions de théologie morale. En outre l’Europäischen Theologengesellschaft [l’association des théologiens européens] qu’il a fondée fut initialement conçue par lui comme une organisation en opposition au magistère papal. Par la suite, le sens ecclésial de nombreux théologiens a empêché cette orientation, faisant de cette organisation un instrument normal de rencontres entre théologiens.
Je suis sûr que vous comprendrez mon refus et je vous salue cordialement. Bien à vous, Benoît XVI
La lettre ne laisse donc pas entendre que François est un remarquable théologien Elle dit seulement qu’il a reçu « une profonde formation philosophique et théologique », ce qui n’est pas du tout la même chose. D’autre part, l’expression « continuité intérieure entre les deux pontificats » ne veut rien dire : un pontificat s’exprime par le magistère, et le magistère est forcément « extérieur », public. Il n’existe pas de « pontificat intérieur ». Cette ironie de Benoît XVI s’explique par le dernier paragraphe de son courrier. Ce paragraphe dont on comprend maintenant pourquoi Mgr Viganò a voulu le censurer.
Ce qui est très étonnant, c’est que le Pape François ne veut pas de démission de Mgr Viganò, dénonçant un canular tant son admiration de lui-même est immense.
marmhonie Admin
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Sujet: Re: Le pape François est-il un hérétique? Sam 27 Avr - 0:59
Scandale Viganògate : Démission du "ministre" de la communication du Vatican
Mgr Dario Vigano, 'ministre' mafieu de la communication du pape François
Mgr Dario Vigano, "ministre" mafieu de la communication du Vatican engagé dans une vaste réforme des médias du Saint-Siège (autrement dit, la censure de toute critique contre le pape François), a démissionné mercredi après le scandale d'occultation de critiques formulées par Benoît XVI contre François.
"Après avoir longuement réfléchi et étudié avec attention les motifs de votre requête (...), je respecte votre décision et j'accepte, avec une certaine difficulté, votre démission", a écrit le pape François à Mgr Vigano, dans une lettre rendue publique par le Vatican.
L'affaire remonte au 12 mars 2018 Quand Mgr Vigano a présenté une collection de livres sur la théologie du pape François et une lettre, diffusée de manière tronquée, de Benoît XVI louant cette initiative mettant en valeur la "profonde formation philosophique et théologique" de son successeur.
Présentée la veille du cinquième anniversaire de l'élection de François, la lettre a été perçue comme un appui public de la part du pape émérite allemand. Il s'agissait en fait d'une réponse privée rédigée un mois plus tôt à une demande de contribution sur l'ouvrage.
Dans un deuxième paragraphe, lu lors de la conférence de presse mais pas évoqué dans le communiqué qui a suivi, Benoît XVI expliquait poliment ne pas pouvoir participer à l'ouvrage faute de temps.
Et dans un troisième paragraphe, dont il n'est pas clair s'il a été lu ou pas, Joseph Ratzinger fustigeait la participation à l'ouvrage d'un théologien qui s'était montré très critique envers Jean Paul II et lui-même.
Le Vatican avait publié une photo de la lettre, mais seulement la première page, avec les deux premières lignes du deuxième paragraphe légèrement floutées. La polémique a couvé plusieurs jours, jusqu'à ce que le Saint-Siège ne diffuse la totalité de la lettre le 17 mars. Source
marmhonie Admin
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Sujet: Re: Le pape François est-il un hérétique? Sam 27 Avr - 0:59
Pape François voit le diable partout dès qu'on le contredit
Vade retro Mahomet ! Dans un entretien diffusé en par la chaîne catholique TV2000 à partir du 13 décembre, le Souverain pontife met en garde ses fidèles : «Je veux dire une chose dont je suis convaincu : avec Satan, on ne peut pas dialoguer. Si tu commences à dialoguer avec Satan tu es perdu, il est plus intelligent que nous et il te renverse, te fait tourner la tête et tu es perdu. Non, va-t-en !» Un vrai metteur en scène de sa seule personne !
Parler du diable pour épater la galerie «Satan», «le Malin», «le grand Dragon», «Belzébuth»… Le pape François ne semble jamais à cours de noms pour évoquer le diable et il en parle plus que ses prédécesseurs.
«Il fait toujours mine d’être éduqué avec nous. Avec nous les prêtres, les évêques, il est éduqué, il entre comme ça et puis ça finit mal si tu ne t’en aperçois pas à temps», a ajouté le souverain pontife argentin.
Dans une messe à la mémoire de Jacques Hamel, prêtre français égorgé par des djihadistes dans son église en 2016, le pape avait par exemple souligné que tuer au nom de Dieu était «satanique». «Satan va-t-en!», avaient également été les dernières paroles du père français de 85 ans lancées à ses assaillants.
Alors pourquoi François dialogue avec l'Islam ? Je le dis, la mort dans l’âme, ce Pape m’inquiète. L’extrémisme idéologique, l’absence de profondeur dans sa façon d’affronter les thèmes actuels qui secouent les fondements de notre Société, m’inquiètent.
Sa stratégie médiatique ponctuelle, parfaitement cohérente avec les exigences des élites mondiales, semble goulûment l’attirer.
Ce pape est inquiêtant Le fait qu’il exprime les idées que les élites mondiales veulent entendre m’inquiète.
Voir l’Église de Rome succomber sur certains thèmes à l’Esprit du Temps présent, conformément au pire mondialisme technocratique islalisant dont nous payons la dérive, m’inquiète.
Entendre le Pape s’exprimer sur l’immigration comme un document de l’Open Society de Soros m’inquiète.
Son amour pour le Coran à la place de la Bible m'inquiète
Et quand le Vicaire du Christ, chef de l’Église catholique romaine, semble être le « Répliquant » de Soros, cela devrait tous nous inquiéter. L’Église a cessé d’être « incroyable » pour devenir tout simplement banale, c'est à dire BARBARE.
marmhonie Admin
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Sujet: Re: Le pape François est-il un hérétique? Sam 27 Avr - 1:00
L'hérétique pape François refuse toujours de s'agenouiller devant la Croix
Quel beau modèle, un vrai Mahomet Depuis son élection en 2013, le Pape refuse obstinément de s'agenouiller devant le Saint-Sacrement. Nombreux sont ceux qui ont invoqué à titre d'excuse des problèmes de hanches ou de genoux, mais il est avéré qu'ils ne tiennent plus devant certaines évidences, apparues notamment lors du rite du lavement des pieds du Jeudi Saint 2016 comme ceux des précédentes années.
C'est à dire qu'au nom de son œcuménisme pour l'Islam, cet étrange pape ferme les yeux sur les persécutions des chrétiens par les musulmans !
L'autre signe d'une raison apparemment non médicale résulte depuis la première rencontre en mars 2013 à Castelgandolfo de Benoît XVI et de François : on y voit les "deux papes" agenouillés côte à côte dans la petite chapelle papale privée. Comme si François n'avait pas osé faire devant son prédécesseur visiblement épuisé physiquement mais prompt à s'agenouiller malgré les difficultés évidentes, ce non-geste du non-agenouillement devant la Croix de Jésus-Christ...
Non, non et non Quoi qu'il en soit, l'obstination affichée du Pape, particulièrement visible lors de la procession de la Fête du Corpus Domini, soulève de plus en plus d'interrogations y compris parmi les plus fervents défenseurs du pape régnant.
Oremus pro Pontifece completamenta cinoque. (Prions pour le Pontife complètement cinglé.)