Méditation, relaxation ou prière ?

A la différence d’autres pratiques le méditant joue un rôle actif important dans la mesure où il s’agit d’une démarche personnelle qui peut l’inviter à changer ses habitudes de vie. Dans la méditation, une fois la pratique diffusée, c’est le sujet qui est l’acteur fondamental de son bien-être en construction et c’est par la pratique quotidienne qu’il va pouvoir se loger dans une démarche de vie différente. Le méditant se retrouve seul face à lui-même. Cette responsabilité est grande.

La spiritualité est un moyen de créer un lien avec Dieu considéré comme autre. Il n’y a pas d’exercices particuliers, il suffit de laisser une place à Dieu dans notre cœur qu’il va utiliser pour remplir notre vie. L’altérité permet une relation d’amour qui n’est pas possible si nous faisons partie du tout et chaque individu est considéré comme un personne avec sa personnalité propre. Dieu s’adresse donc à chaque individu en particulier et propose à chacun un chemin qui lui sera personnel. Je rencontre souvent des candidats adultes au baptême catholique et je me rend compte que chaque expérience de Dieu est différente et permet à chacun de trouver sa place.
Pour les catholiques, la méditation orientale par le vide est considéré comme nocive, car elle ne permet pas de faire le tri entre les nombreux esprits qui pourraient s’installer dans notre cœur. Seul le Christ est bienvenu, car avec lui, il n’y a aucune contrepartie. Il nous donne son amour et nous pouvons répondre volontairement en redistribuant cet amour.
Toutes les techniques de méditation fonctionnent, mais il faut être conscient du but recherché avant d’utiliser telle ou telle technique. L’occultisme permet réellement d’obtenir une guérison ou un pouvoir par exemple, mais les contreparties sont rarement explicités et peuvent se révéler catastrophiques.

Bien qu’à la mode, la méditation est tout sauf un gadget récent. Son histoire date d’au moins 2500 ans, puisqu’elle est notamment associée à l’émergence du bouddhisme. Les premiers écrits chrétiens à propos d’exercices explicites remontent aux Pères du désert, aux 3e  et 4e  siècles : « Assieds-toi, tais-toi et apaise tes pensées », conseille Abba Arsène au disciple qui l’interroge sur le chemin à emprunter pour être sauvé. Evagre le Pontique explique dans son Traité des pensées, « comment ne pas se disperser »  
Traduction avec Google translate 

La méditation consiste simplement à observer le foyer où nos pensées prennent naissance. C'est ce qui permet de développer l'esprit juste ou la vision juste de la nature de l'esprit et les conditions d'apparition de nos pensées et des mécanismes de leur développement.

"Vipassana" est la vision pénétrante dans la méditation, l’une des plus anciennes techniques bouddhistes de l’Inde, vise, en dehors des illusions, à retrouver la vraie nature de l’esprit. Il s’agit de laisser les penses surgir sans les forcer ni les retenir, sans les condamner ni les approuver. Contentez- vous d’observer ce qui se présente comme des nuages dans le ciel apparaissant et disparaissant. N'y prêtez pas attention, le "bavard" est la condition de l'esprit. Il ne s'arrête pas quand on veut.

Le Bouddhisme vient de l'Inde et s'inspire de la voie du sans appui. Un esprit sans appui est un esprit qui ne sème rien de particulier et ne récolte rien de particulier, il vie sans perte ni gain, il est libéré des conséquences de ses fantasmes, il n'accorde pas d'importance à ce qui n'en a pas réellement.

La pleine conscience est un mode d'attention caractérisé par l'ouverture, l'acceptation et favorisant une meilleure capacité à répondre au moment présent. Elle permet de mieux comprendre comment les pensées, les émotions et les comportements ont un impact sur la santé et sur la qualité de vie. Les pratiques de pleine conscience amènent l'individu à reconnaître la tendance à être happé par les processus cognitifs itératifs tels la rumination et les inquiétudes, par la distraction et par la résistance. « En accordant une attention particulière: délibérément, au moment présent et sans porter de jugement » (Kabat-Zinn, 1990), l'individu découvre la capacité inhérente de l'esprit et du corps à se rééquilibrer et à tendre vers le bien-être. Il s'ouvre à de nouvelles perspectives, comportements et solutions. La méditation de pleine conscience est pratiquée depuis plus de 2000 ans. Au cours des 30 dernières années, elle est devenue l'objet d'un intérêt croissant dans les champs de la médecine et de la psychologie. Elle a d'abord été popularisée par Kabat-Zinn, en 1979, lorsqu'il a proposé un atelier de réduction du stress basée sur la conscience au Centre médical de l'Université du Massachusetts aux individus présentant différents problèmes de santé. Les applications et les utilisations des MBI en médecine et en santé mentale ont connu une croissance exponentielle et ont rapidement été adoptées dans différents milieux (santé, travail, école). Des centaines d'études en démontrent maintenant les bénéfices.
Bien entendu ça ne vous dispense pas de prendre conseil auprès d'un professionnel de santé.

En principe, les yeux sont mi-clos, le regard est posé – sans fixer – à un mètre devant soi. L’idée est de fermer suffisamment les paupières pour ramener l’attention vers l’intériorité, tout en restant relié au monde environnant. Pour commencer, si votre regard est sans cesse détourné par un objet ou une lumière, mieux vaut fermer les yeux. Si, au contraire, vous vous sentez proche de la somnolence, ouvrez-les grand pour retrouver votre vigilance. La respiration est, après la posture, le second pilier de la méditation. La technique de "l’anapana" (le "va-et-vient du souffle") recommande de se concentrer sur la "porte des narines", la zone triangulaire qui s’étend du bout du nez à la lèvre supérieure. Il s’agit simplement de prendre conscience de sa respiration, en la laissant être ce qu’elle est, tantôt fluide, tantôt saccadée, jusqu’à ce qu’elle ralentisse et devienne plus légère. Cet exercice d'attention simple sur sa respiration permet de lutter contre la dispersion des pensées. En même temps qu’il prend conscience de sa petite respiration inconsciente, il apaise son esprit qui devient fluide comme sa respiration naturelle dont on ne prête jamais attention.

Le yogi indien Krishnamacharya considère que l’asâna, la posture, est svâdhyaya, une
étude du soi, car elle permet de comprendre quelque chose sur nous-mêmes. Sa tenue aide à
dépasser cet état d’agitation qui à la fois affecte et reflète le mental. En effet, l’agitation est l’un
des obstacles principaux à la pratique posturale et au Yoga en général, elle apparaît dans la
difficulté d’atteindre un équilibre subtil entre l’effort et le non-effort, l’initiative, l’activité et la réceptivité comme abandon physique et mental. Le pratiquant doit exercer et équilibrer la force et la souplesse de son corps et adopter une bonne hygiène de vie pour parvenir au fil du temps à
l’alignement harmonieux des vertèbres et au raffinement du mouvement corporel qui ont un
impact immédiat sur son activité mentale. Cet entretien de la structure du squelette, liée à la
structure mentale par les connexions nerveuses, doit être fait de manière quotidienne pour que la
transformation soit progressive sans causer des chocs qui déséquilibrent le pratiquant dans son
parcours. La posture devient avec le temps un art d’expressivité et un moment privilégié entre soi
et soi-même qui favorise la guérison et qui prépare la voie à une vie d’émerveillement continu, à la
philosophie comme mode de vie
La méditation tibétaine offre à l’humanité les moyens de s’exercer à la méditation pour sortir de l’état de division entre le corps et l’esprit, le soi et les autres, le soi et le divin et qui est source de souffrance. L’une des premières étapes est la prise de conscience que "ça respire" sans modifier inconsciemment ce souffle naturel en nous. La paix s'épanouit alors progressivement partout.

Le phénomène est saisissant : la méditation n’est plus d’abord présentée comme une voie d’éveil mais comme une technique étudiée dans les plus grands laboratoires et universités occidentales. Des recherches en sciences sociales et en sciences cognitives veulent expliquer comment elle agit et établir sur des bases scientifiques les bienfaits qu’elle engendre. Présentée comme un remède simple et gratuit qui permet de réduire stress et anxiété, d’améliorer le sommeil, de protéger le cœur, de développer l’empathie. Son usage ne cesse de croître, justifiant un tel sujet d'actualité.
Bien entendu ça ne vous dispense pas de prendre conseil auprès d'un professionnel de santé.
Mais qu’est-ce que la méditation ? Comment s’y engage- t-on ? D’où vient-elle ? Pourquoi connaît- elle cette croissance sans précédent, non seulement en Occident mais dans le monde tout entier ? N’est-elle qu’un simple outil de gestion du stress ou répond-elle à une aspiration plus profonde ?
En sanskrit la méditation elle se nomme bhavana. Le terme est usité dans le langage de l’agriculture pour désigner le fait de cultiver la terre. Il désigne par extension la culture de l’esprit : c’est-à-dire libérer celui-ci de ses impuretés et de ce qui le trouble. stress, dépression, hyperactivité, état d’angoisse chronique, à exercer son esprit à être plus présent. Les européens vivent de plus en plus mal le stress, la dépression, l'hyperactivité, l'état d’angoisse chronique d'angoisses, à exercer leur esprit à être plus présent. Ils consomment trop d’anxiolytiques et de tranquillisants. La médecine est dans une impasse et elle propose l'alternative de la méditation de pleine conscience pour se désintoxiquer de cette habitude de tout solutionner par la prise de médicaments sans essayer le comprendre leurs problèmes. Ils veulent quelque chose, ils appuient sur un bouton et ils pensaient que la solution était réglée. Vous devez essayer de comprendre votre situation historique et comment la méditation vient répondre à un appel de votre époque tout entière.

Si vous êtes adonné à une forme particulière de ce qu’on appelle la méditation, et que l’autre ne l’est pas, il ne peut évidemment y avoir de partage. Vous devez abandonner vos préjugés et vos expériences, et vous devez également abandonner les siens, afin que vous puissiez tous les deux examiner le problème et découvrir ensemble ce qu'est la méditation

L’épanouissement de la méditation est la bonté, et la générosité du cœur est le début de la méditation.
Vous ne pouvez pas méditer si vous êtes ambitieux – vous pouvez jouer avec l’idée de la méditation.

Bien entendu ça ne vous dispense pas de prendre conseil auprès d'un professionnel de santé.
Votre esprit est soumis à l'autorité, lié par la tradition, acceptant, suivant, vous ne saurez jamais ce que signifie méditer sur cette beauté extraordinaire.
Vous devez découvrir ce qu’est la méditation. C'est une chose des plus extraordinaires que de savoir ce qu'est la méditation – non pas comment méditer, ni le système, ni la pratique, mais le contenu de la méditation. Être d’humeur méditative et se lancer dans cette méditation nécessite un esprit très généreux, un esprit qui n’a pas de frontière, un esprit qui n’est pas pris dans le processus du temps. Un esprit qui ne s'est engagé dans rien, dans aucune activité, dans aucune pensée, dans aucun dogme, dans aucune famille, dans aucun nom - seul un tel esprit peut être généreux ; et c'est seulement un tel esprit qui peut commencer à comprendre la profondeur, la beauté et l'extraordinaire beauté de la méditation.
La méditation est un mouvement dans et à partir de l'inconnu... c'est cette énergie que la matière ne peut pas toucher. La pensée est une perversion car elle est le produit d'hier... Tout ce qu'elle rassemble est dans le domaine du bruit, et la pensée ne peut en aucun cas s'arrêter... la pensée elle-même doit être tranquille pour que le silence soit. Le silence est toujours présent, ce que la pensée n'est pas. La pensée, étant toujours ancienne, ne peut entrer dans ce silence toujours nouveau. Le nouveau devient l'ancien lorsque la pensée le touche... L'amour ne peut exister que lorsque la pensée est immobile. Cette tranquillité ne peut en aucun cas être fabriquée par la pensée… cette tranquillité ne peut jamais être touchée par la pensée. La pensée est toujours vieille, mais l'amour ne l'est pas... la floraison du bien n'est pas dans le sol de la pensée.

Ils s'assoient dans un coin, ferment les yeux et se concentrent, comme des écoliers essayant de se concentrer sur un livre. Ce n'est pas de la méditation. La méditation est quelque chose d’extraordinaire, si l’on sait la faire. Je vais en parler un peu ;)
Tout d’abord, asseyez-vous très tranquillement ; ne vous forcez pas à vous asseoir tranquillement, mais asseyez-vous ou allongez-vous tranquillement sans force d'aucune sorte. Est-ce que tu comprends? Alors surveillez votre réflexion. Regardez à quoi vous pensez. Vous pensez à vos chaussures, à vos saris, à ce que vous allez dire, à l'oiseau dehors que vous écoutez ; suivez ces pensées et demandez pourquoi chaque pensée surgit. N'essayez pas de changer votre façon de penser. Découvrez pourquoi certaines pensées surgissent dans votre esprit afin que vous commenciez à comprendre le sens de chaque pensée et sentiment sans aucune contrainte. Et quand une pensée surgit, ne la condamnez pas, ne dites pas qu’elle est bonne, qu’elle est fausse, qu’elle est bonne, qu’elle est mauvaise. Observez-le simplement pour commencer à avoir une perception, une conscience active qui voit toute sorte de pensée, toute sorte de sentiment. Vous connaîtrez chaque pensée secrète cachée, chaque motif caché, chaque sentiment, sans distorsion, sans dire qu'il est bien, mal, bon ou mauvais. Lorsque vous regardez, lorsque vous réfléchissez très très profondément, votre esprit devient extraordinairement subtil, vivant. Aucune partie de l’esprit ne dort. L'esprit est complètement éveillé.
Ce n'est que le fondement. Votre esprit est alors très calme. Votre être tout entier devient très calme. Ensuite, traversez ce calme, plus profondément, plus loin – tout ce processus est la méditation. La méditation ne consiste pas à s'asseoir dans un coin en répétant beaucoup de mots ; ou penser à une image et se lancer dans des imaginations folles et extatiques.
Comprendre tout le processus de votre pensée et de vos sentiments, c'est être libre de toute pensée, être libre de tout sentiment afin que votre esprit, votre être tout entier, devienne très calme. Et cela fait aussi partie de la vie et avec cette tranquillité, vous pouvez regarder l’arbre, vous pouvez regarder les gens, vous pouvez regarder le ciel et les étoiles. C'est la beauté de la vie.
"Nous nous demandons donc maintenant : qu'est-ce que le mouvement de méditation ? Tout d'abord, nous devons comprendre l'importance des sens. La plupart d'entre nous réagissent ou agissent selon les pulsions, les demandes et l'insistance de nos sens. Et ces sens ne agissez comme un tout, mais seulement comme une partie - n'est-ce pas ? S'il vous plaît, comprenez cela. Si cela ne vous dérange pas de vous renseigner un peu plus sur cela par vous-même, d'en discuter ensemble, mais tous nos sens ne fonctionnent jamais, ne bougent pas, ne fonctionnent pas dans leur ensemble, de manière holistique. Si vous vous observez et observez vos sens, vous verrez que l'un ou l'autre des sens devient dominant. L'un ou l'autre des sens prend une plus grande part à l'observation dans notre vie quotidienne, il y a donc toujours un déséquilibre dans nos sens. n'est-ce pas ? Pouvons-nous continuer à partir de là ?
Maintenant, est-il possible – cela fait partie de la méditation, ce que nous faisons maintenant – est-il possible que les sens fonctionnent dans leur ensemble ; regarder le mouvement de la mer, les eaux claires, les eaux éternellement agitées, observer ces eaux complètement, avec tous vos sens ? Ou un arbre, ou une personne, ou un oiseau en vol, une nappe d'eau, le soleil couchant, ou la lune montante, pour l'observer, regardez-le avec tous vos sens en éveil... si vous observez cela, si vous observez ce fonctionnement de l'ensemble des sens agissant, vous constaterez qu'il n'y a aucun centre à partir duquel les sens bougent. Essayez-vous cela pendant que nous parlons ensemble ? Regarder votre fille, ou votre mari, ou votre femme, ou l'arbre, ou la maison, avec tous les sens sensibles très actifs. Il n’y a alors aucune limitation. Vous l'essayez. Faites-le et vous le découvrirez par vous-même. C'est la première chose à comprendre : la place des sens. Parce que la plupart d’entre nous font fonctionner des sens partiels ou particuliers. Nous ne bougeons jamais et ne vivons jamais avec tous nos sens éveillés, épanouis. Parce que comme la plupart d'entre nous vivons, fonctionnons et pensons partiellement, 50 l'une de nos recherches à ce sujet est de permettre aux sens de fonctionner pleinement et de prendre conscience de l'importance et de l'illusion que créent les sens - suivez-vous tout cela ?

Donnez aux sens leur juste place, ce qui signifie ne pas les supprimer, ne pas les contrôler, ne pas les fuir mais donner la juste place aux sens. C’est important parce que dans la méditation, si vous voulez y aller très profondément, à moins que l’on soit conscient des sens, ils créent différentes formes de névroses, différentes formes d’illusions, ils dominent nos émotions et ainsi de suite.
C'est donc la première chose à réaliser : si lorsque les sens sont pleinement éveillés, épanouis alors le corps devient extraordinairement calme.
Parce que la plupart d'entre nous forcent notre corps à rester immobile, à ne pas bouger, à ne pas bouger, etc., vous savez.
Alors que si tous les sens fonctionnent sainement et normalement, de manière vitale, le corps se détend et devient très, très calme, si vous le faites. Faites-le pendant que nous parlons.
Il faudrait vraiment oublier le mot méditation. Ce mot a été corrompu. Le sens ordinaire de ce mot – méditer, considérer, réfléchir – est plutôt trivial et ordinaire. Si vous voulez comprendre la nature de la méditation, vous devriez vraiment oublier le mot, car vous ne pouvez pas mesurer avec des mots ce qui n'est pas mesurable, ce qui est au-delà de toute mesure. Non pensée, pratique ou discipline. Méditation - ou plutôt si l'on pouvait trouver un autre mot qui ne soit pas si mutilé, rendu si ordinaire, corrompu, qui soit devenu le moyen de gagner beaucoup d'argent - si vous pouvez mettre le mot de côté, alors vous commencez tranquillement et vous finissez doucement. ressentir un mouvement qui n'est pas temporel. Encore une fois, le mot mouvement implique le temps – il s’agit d’un mouvement qui n’a ni début ni fin. UN vague, partant de nulle part et sans plage sur laquelle s'écraser. C'est une vague sans fin.
Le temps, aussi lent soit-il, est plutôt fastidieux. Le temps signifie croissance, évolution, devenir, réaliser, apprendre, changer. Et le temps n’est pas la voie à suivre pour ce qui se situe bien au-delà du mot méditation. Le temps n’a rien à voir là-dedans. Le temps est l'action de la volonté, du désir, et le désir ne peut en aucune façon [mot ou mots inaudibles ici - il se situe bien au-delà du mot méditation  

Cher ཌརུཁདཇིགམེ on ne pense pas pareil. J'ai conscience que nos modes de penser sont très différent. Je nage dans l'inconnu avec toi.

Lorsque la paix du coeur est là,
il n'y a ni intérieur, ni extérieur,
ni moi, ni non-moi, il n'y a que
l'insurpassable paix du coeur.
Lolote

Pour méditer voici quelques techniques simples :

Respiration consciente : concentrez-vous sur votre souffle ;
Observation des pensées : laissez vos pensées passer sans y attacher d'importance ;
Visualisation : imaginez un lieu apaisant ;
Relaxation : détendez chaque partie de votre corps.

Quand vous aurez trouvé ce qui vaut la peine d'être gardé, avec un souffle de gentillesse, faites disparaître le reste

La nature fait bien les choses



Lolote