La méditation thérapeutique

Bien entendu ça ne vous dispense pas de prendre conseil auprès d'un professionnel de santé.
La méditation est une pratique qui consiste à entraîner l’esprit afin qu’il se libère des pensées négatives et néfastes. Évidemment, bien des pensées sont utiles pour gérer sa vie ou résoudre les problèmes pratiques. Mais, les mécanismes mentaux sont tels qu'ils produisent sans cesse des pensées souvent délétères. L’objectif de la méditation est donc de faire en sorte que ces pensées n’aient plus le contrôle sur nous, et de nous libérer de nos ruminations négatives qui nous empêchent d’avancer dans notre vie.



Méditer, c’est bien. Tout le monde en parle, c’est à la mode. Façon de se reconnecter avec soi- même, de prendre le temps de respirer et de goûter l’instant. Mais pour soigner une dépression, pour prendre en charge une douleur chronique, pour éviter Alzheimer et le déclin cognitif ? Là, on se dit qu’il ne faut pas exagérer. Les machins à la mode, ça va un moment. Après, il faut passer le relais aux médecins, les vrais. Eh bien, les médecins sont en train de nous dire que la méditation a des effets bénéfiques dans tous les domaines que je viens d’énumérer. Des études scientifiques de grande ampleur semblent indiquer qu’une bonne discipline de méditation ralentit le vieillissement cérébral, et les bénéfices sur les rechutes dépressives sont d’ores et déjà établis. Signe parlant : un diplôme intitulé Médecine, neurosciences et méditation, créé à Strasbourg, attire des médecins et scientifiques du monde entier.



La méditation thérapeutique, certes, n’est pas une méthode miracle. Elle ne soigne pas toujours. Mais elle fait vivre la maladie différemment, de façon moins dévastatrice, et on ne lui connaît pas d’effets indésirables. Peu de médicaments peuvent en dire autant.

La méditation, qui connaît un succès spectaculaire auprès du grand public, est-elle aussi bien acceptée dans le milieu médical ?


Bien entendu ça ne vous dispense pas de prendre conseil auprès d'un professionnel de santé.

Il est clair que l’intérêt du monde pour la méditation va grandissant. Après avoir mis en place ce dispositif à l’hôpital en 2010, nous avons développé en 2012, avec le professeur de psychiatrie Gilles Bertschy, un diplôme universitaire de médecine, méditation et neurosciences, pour les professionnels de santé, médecins, psychiatres, psychologues, chercheurs en neurosciences. Aujourd’hui, nous recevons des inscriptions de partout en France métropolitaine, mais aussi des territoires d’outre-mer, du Canada, de Suisse, de Belgique. Outre la recherche et la formation des médecins, psychologues et neuroscientitiques, de nouveaux projets de recherche et de susciter des rencontres: ainsi, le projet européen d’évaluation des effets de la méditation sur la prévention de la maladie d’Alzheimer, mené par Gaël Chételat et Antoine Lutz a pris forme quand la première est venue assister aux enseignements du second dans ce diplôme.

Quelles douleurs la méditation permet-elle aujourd’hui de prendre en charge ?
Il peut s’agir de toutes les formes de douleurs, qu’elles soient osseuses, articulaires, musculaires, liées à un mal de dos, viscérales. Car le principe est très général et toujours le même: il s’agit de changer l’expérience vécue de la douleur. La méditation vous apprend à entrer en relation avec la douleur d’une façon différente, et dans une certaine mesure paradoxale car il n’est pas question de faire en sorte que la sensation elle-même s’arrête, ni de l’occulter, ni même de s’en distraire (ce que l’hypnose fait très bien) : le maître mot est « lucidité ». La méditation fait vivre la douleur avec plus de lucidité.

Que signifie : « Vivre la douleur avec plus de lucidité ? »
La souffrance résulte de deux processus : l’un, d’origine physiologique (la transmission d’un stimulus douloureux par une partie du corps jusqu’au cerveau) et l’autre, d’origine cognitive et émotionnelle. Différents réseaux d’aires cérébrales traitent cha- cun de ces aspects. Devenir lucide c'est être capable de faire la différence entre ce qui est d’origine physique d’un côté, et tout ce que notre psychisme ajoute d’émotionnel et de cognitif à cette perception, de l’autre côté. Nous faisons rarement cette distinction, pour la simple raison que nous n’y sommes pas entraînés. Lorsqu’une douleur survient, nous y associons très vite de l’angoisse ou de la peur. Certains se demandent ce qui cause leur douleur, ou bien si elle va revenir, durer, se répèter et devenir chronique, ce qui est le principal problème de nombreux patients, le risque est de l’anticiper, de se demander si « cela sera comme la dernière fois », ou « si cela ne va pas être encore pire ». Parfois, le questionnement est : « Et si c’était une maladie grave ? » Dès que l’on se met à anticiper une douleur, notre psychisme met en branle, parfois des heures à l’avance, un système de pensées et d’émotions qui crée du mal-être en amont, et qui fera en sorte que lorsque l’épreuve démarrera, la souffrance sera plus intense et perdurera plus longtemps. Le ressenti physique est alors mêlé d’automatismes cognitifs et émotionnels qu’il est diffacile de conrôler et la personne vit réellement la douleur comme quelque chose de menaçant qui nous altère profondément.
C’est ici qu’intervient la méditation. La lucidité qu’elle apporte permet d’approcher la composante la plus pure de la douleur ressentie et de mettre de fonctionnement de leur corps et de leur esprit qui évitent de basculer dans des réactions automatiques comme celles que je viens de citer. Ainsi, après deux mois d’un programme de méditation, ces personnes anticipent déjà moins la façon dont la douleur va revenir ou se prolonger. Elles sont capables de la vivre dans l’instant. côté les angoisses ou appréhensions.
La méditation apprend à séparer la pure perception de la douleur, des automatismes d’angoisse et d’anticipation qui la rendent vraiment délétère.

On parle de + en + de la méditation. Il faudra que j'essaie pour voir. Dans la prière on est toujours en train de faire quelque chose. La méditation me permettrait peut-être de tout relâcher sans rien faire, juste se poser ;)

Comment on médite?

Septik a écrit:

Comment on médite?

Le yoga vient soutenir et développer ta force intérieure tout en demandant l’engagement de l’ensemble des muscles du corps. Les postures favorisent la confiance en soi. Les 5 tibetans aide.  
Avec cette pratique tu écoute les sensations physiques et la respiration  


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https://dai.ly/xznw3j


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Les interventions psychothérapeutiques basées sur la "pleine conscience" connaissent depuis quelques années un succès grandissant dans les pays francophones. Soulignant l’importance croissante des alternatives thérapeutiques et s’inscrivant dans la troisième vague des thérapies comportementales et cognitives, elle est encore peu connue en pratique, mais des recherches commencent à apparaître. L’approche basée sur le concept de pleine conscience issue de ma tradition bouddhiste et déclinée dans la méditation a donné naissance à des courants de recherche en Europe qui portent leurs fruits et montrent l’intérêt et la pertinence de ces travaux (Dr Christophe André  ) dans différents axes de prise en charge thérapeutique. L’objet de mes articles n’est pas de présenter un état des lieux des recherches, mais de porter votre attention sur la sagesse scientifique du bouddhisme tibétain tels qu’ils sont découvert maintenant.


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Vidéo passionnante du Dr Christophe André sur la méditation. Il est médecin psychiatre à l'hôpital Saint Anne à Paris.
Ici Chritophe André explique bien ce qu'est la méditation et son intêret en terme de psychiatrie entre autre et à la fin de la vidéo il explique toutes les études scientifiques faites sur la méditation et les preuves maintenant établies qu'on en a.

Mon corps est mon arc, mon intelligence est ma flèche, et la cible est moi-même
La méditation libère de toutes les illusions.

La méditation renforce notre aptitude à prendre conscience de nos propres états mentaux, par exemple en se rendant compte qu'on est en train de se juger négativement. Même si ces pensées négatives persistent, la pratique méditative confère la capacité de se pardonner ses propres insuffisances supposées, voire de prendre soin de soi en s’accordant de petits plaisirs comme un bon restaurant. La pratique de la méditation habitue le sujet à ne pas prendre pour argent comptant ses propres pensées, par la capacité de décentration. Les tendances à ressasser les problèmes en permanence (la rumination) et à se faire des soucis augmentent la colère, l'orgueil, ils deviennent toxiques.

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Dans cette vidéo éclairante, nous plongeons dans la profonde sagesse du 14e Dalaï Lama, une figure respectée dans le bouddhisme tibétain et un lauréat du prix du prix Nobel. Il partage ses 10 meilleures règles de réussite, fournissant un aperçu de l'importance de la paix intérieure, de la compassion et du pouvoir d'un esprit calme. Chaque règle est un phare de conseils, visant à favoriser une vie remplie de bonheur, de santé et de connexions significatives. Qu'il s'agisse de faire face à la colère, de pratiquer la compassion ou de comprendre le rôle de la confiance dans les relations, les enseignements du Dalaï Lama offrent des leçons précieuses pour tout le monde. Rejoignez-nous alors que nous explorons ces principes qui changent la vie, et n'oubliez pas de partager quelle règle vous résonne le plus dans les commentaires ci-dessous.

Tout au long de la vidéo, le Dalaï Lama souligne l'importance de notre monde intérieur et son impact sur notre bien-être général. Il explique comment un esprit pacifique peut conduire à un corps sain, illustrant le lien profond entre la tranquillité mentale et la santé physique. Ses enseignements nous encouragent à nourrir la compassion et la chaleur, non seulement comme une pratique religieuse, mais comme un besoin universel de bonheur personnel et de bien-être de ceux qui nous entourent. Avec des anecdotes et des expériences personnelles, il rend ces enseignements profonds accessibles à tous, montrant comment ils peuvent être appliqués dans la vie quotidienne pour une plus grande épanouissement et joie.

Au fur et à mesure que la vidéo se déroule, le Dalaï Lama aborde également la valeur de la patience, de la détermination et de l'engagement à long terme requis pour réaliser une véritable transformation intérieure. Il partage des histoires personnelles qui mettent en évidence l'importance d'une véritable amitié basée sur la confiance et l'ouverture, et comment ces qualités peuvent conduire à une vie plus paisible et satisfaite. En considérant les autres comme des frères et des sœurs, il explique, nous nous ouvrons à un monde de soutien et de compagnie. Cette vidéo n'est pas seulement une collection d'enseignements, mais un appel à l'action pour quiconque cherche une vie utile, heureuse et significative à travers la pratique de la compassion, du calme et de la résilience. Partagez vos pensées et vos idées dans les commentaires, et discutons de la façon dont ces principes peuvent faire une différence dans nos vies  

MÉDITATION

La méditation est une réflexion prolongée, guidée et soutenue par une méthode. Elle peut être savante ou philosophique, religieuse ou profane, dexpression littéraire ou spontanée. Elle porte sur nimporte quel objet de pensée, pourvu que lesprit sy applique avec soin, avec constance ; il y faut un effort psychologique (recueillement) et un effort logique dordre et danalyse (ce qui la distingue de lassociation libre ou de la rêverie). Dans lhistoire des idées, la méditation a suscité, avec Descartes, Malebranche, Maine de Biran, des philosophies en première personne, où la singularité dun itinéraire spirituel et la rigueur dune suite de raisons coïncident. Dans le domaine religieux, elle sest greffée sur la contemplation pour ajouter à lintuition mystique des actes discursifs qui dirigent lattention sur des points de doctrine ou des préceptes de conduite. La plupart des religions ont encouragé sa pratique. Certaines dentre elles ont même fourni des directives à cet effet. Pour sa part, le catholicisme appelle oraison une méditation qui fait alterner considérations réfléchies et prières. Diverses écoles de spiritualité ont codifié loraison : Saint-Sulpice, lOratoire, Ignace de Loyola (qui, dans ses Exercices spirituels, règle une ascétique de la pensée méditante en même temps quil cultive une mystique du choix, de lengagement volontaire). Narcissime et moralisme sont souvent reprochés à certains styles de méditation. Les religions les moins centrées sur la psychologie du sujet recommandent plutôt la contemplation désintéressée et loubli de soi.

Si lon veut mesurer lécart qui subsiste entre une méditation où prédominent représentations distinctes, discours intérieur, réflexion articulée, et une méditation de repli silencieux, de paix unificatrice, dindivision des facultés, il suffit de penser soit à lhésychasme de lascèse orthodoxe, qui exténue lémoi de conscience par la dépossession du cur, soit au dhyâna bouddhique ou hindou, qui supprime toute adhérence, quelle soit de désir, dintellection, de satisfaction, et qui parvient au détachement total (même dans un corps toujours conscient de ses attaches), soit enfin aux techniques du yoga : le contrôle du souffle et la concentration intime aboutissent au vide mental, aux surperceptions, à lintuition de lun, ou, plus simplement, à lexonération de toutes les tendances, même dans le besoin apparent ; létat didentification (samâdhi) laisse agir le corps en automate, tandis que lesprit est ailleurs, absorbé et ramassé en un point fixe.

Cest cependant par fausse équivalence que les Occidentaux assimilent à la méditation les exercices déradication de soi que lOrient prescrit à lindividualité psychosomatique (dont les limitations sont illusoires, illusionnantes). Bien que le latin meditor (également le grec meletáô) puisse désigner nimporte quel entraînement, nimporte quelle application, lactivité méditante implique dans les traditions dOccident un élément de rationalité, une mise en forme de la pensée, qui peut être éventuellement une étape vers la contemplation pure (sans repères, ni sensible, ni intellectuel) ou vers lextase mystique, mais qui ne peut se confondre avec aucun procédé de déliaison, dindifférenciation, deffacement des divers registres de laffectivité et de la réflexion conscientes.

Source et recherches à approfondir :

https://www.universalis.fr/

Septik a écrit:

Comment on médite?

La méditation "classique" se concentre sur un objet comme le souffle ou un son, alors que la méditation de "pleine conscience" a pour objectif une attention fluide et vigilante sur plusieurs objets successifs. La position n'a aucune importance, assis, debout, couché. Tu regarde un point fixe devant toi et tu ne fais que le regarder. Si tu es distrait en pensant par quelque chose, tu te recentre sur cet objet. L'absence de penser vient avec l'entrainement. Ton mental ne t'ennui plus.

Bhagavad-gita 6:3
Par l'action progresse le néophyte qui emprunte la voie du yoga en huit phases, alors qu'il s'agit, pour le parfait yogi, de cesser toute action matérielle. C'est ce qui fut établi.

Explication
L'adepte du yoga doit, au début, suivre des principes régulateurs et s'exercer à diverses postures (qui sont de simples exercices physiques) avant d'aborder la méditation. Ces pratiques conduisent à l'équilibre mental qui convient pour maîtriser les sens. Lorsque le yogi s'est stabilisé dans la méditation, aucune pensée extérieure ne peut plus l'en détourner. Cependant, les principes et les exercices de ce yoga sont encore dans le champ matériel.

Bhagavad-gita 6:19
Maître du mental, le yogi demeure ferme dans sa méditation sur l'Etre Suprême, tel une flamme qui, à l'abri du vent, point ne vacille.

Explication
Une fois son mental dominé grâce à la méditation, à la méditation et à l'arrêt de toute action des sens déréglés, le yogi doit se fixer dans le samadhi, où disparaît tout danger. La méditation est complémentaire aux médecines. Le yogi qui progresse graduellement sur l'échelle du yoga se situe
donc sur la vraie voie de l'éternelle bonne fortune dans l'instant présent. Il maitrise sont souffle, son mental, ses souffrances physiques, émotionnelles, psychologiques, ses angoisses se clament.

J'ai commencé la méditation par curiosité en lisant ce sujet. La méditation m'aide à me sentir mieux, plus détendu et en accord avec moi-même.

J'ai été amené à rencontrer d'autres personnes dans ma ville qui pratiquaient la méditation sans être religieux et qui avaient l'air bien. La méditation est aussi une autre manière de connaître le monde qui nous entoure qui nous est donnée. Bien sûr ce n'est pas dès la première méditation que nous allons ressentir de nouvelles choses. C'est une pratique que le corps et l'esprit doivent apprendre pour nous connecter au monde sensitif que nous avons un peu perdu. Elle permet bien évidemment de se relaxer, et avec de la pratique cela peut même aller au-delà. voilà un bon principe. Se retirer en soi, en rejetant de son temple les marchands ! Ainsi que les autres personnes détestables... Laisse parler la part de négatif qui est en toi. Mais, ensuite, oblige-toi aussi à évoquer ce qui est bon et positif ! Je pourrais mieux le formuler, mais c’est l’idée. Elle permet aussi d'accéder à une paix intérieure. Dans un sens le mode de compréhension sensitif permet de répondre plus facilement à la question comment être en paix intérieur que le mode rationnel. Ceux qui sont en paix porterons donc la paix mais se heurterons aussi aux forces contraires que symbolisent ceux qui sont en guerre à l'intérieur d'eux même. Rencontrer ceux qui sont en guerre favorise une sorte de contamination qui amène les autres à être en guerre à leur tour. L'inverse est aussi vrai. La paix intérieur comme l'amour et la tendresse font partis des choses qui ne s'achètent pas. Elles n'ont donc pas de prix, mais demandent de la sincérité  
Bien entendu ça ne vous dispense pas de prendre conseil auprès d'un professionnel de santé.

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Il s’agit donc de votre moi pensant et de votre vision physique. 
Comment se fait la pensée de soi et la fonction physique de soi gogi r ? Il y a un lien entre les deux et cela constitue un riage en anglais occidental que nous appelons souffle. toret ici et le souffle est la vie. Notre souffle crée un gamin gerbetweis dans notre processus de pensée et dans notre corps.
Pfeis, faites attention à ce schéma, il vous aidera. Nous sommes constamment divisés en deux compartiments, l'esprit agréable et l'esprit inconscient. Il y a deux gardes qui gardent constamment la ville de la vie et on les appelle inspiration et expiration. C’est un lien très important, mais voyez ce que font les scientifiques. Ils parlent de corps, de nourriture, de vitamines, d'exercices ; ils parlent de l'esprit et de son analyse ; mais alors personne ne parle de la respiration, parce que personne ne le sait. Très peu d’expériences sont réalisées. Pour les femmes enceintes, des exercices de respiration sont pratiqués.

Sinon, personne ne sait grand-chose sur la respiration.
"Nous respirons tous", disent-ils, "que pouvons-nous apprendre ?" Je dis que vous respirez, mais vous ne respirez pas correctement, vous ne respirez pas correctement. Il existe cinq pranas principaux et cinq pranas secondaires dans votre corps.
Certains d’entre eux fournissent de l’énergie à votre corps et d’autres le nettoient.
Expliquons ce schéma et comprenons la vie avec ses courants et courants croisés, avec toutes ses valeurs. Que représente pour nous le corps ? L'être humain est-il un corps seul ? Non, il respire aussi. Le corps sans souffle n'a pas valeur, et si nous avons un corps et un souffle mais s'il n'y a pas de pensée, alors cet être humain ne sert à rien non plus.
Et s’il existe un être humain qui pense, qui respire et dont le corps fonctionne, cela n’a également aucun sens s’il ne dirige pas toutes ses énergies, son esprit, son action et sa parole selon le but de la vie. L'inspiration et l'expiration gardent constamment la ville de la vie. L'inhalation deviendra impossible si vous n'expirez pas.
L'expiration deviendra impossible si vous n'inspirez pas. Si vous prenez bien soin des systèmes de nettoyage de votre corps, de vos pores, de vos poumons, de vos reins et de vos intestins, les systèmes nourrissants du corps resteront également actifs. C’est pourquoi les manuels de yoga parlent de certains kriyas, méthodes de nettoyage de votre corps. Ce sont des techniques simples, ne compliquez pas les choses. Si quelqu'un vous dit de saisir votre nez, faites-le directement, ne faites pas le tour de votre tête.


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Une fois que nous comprenons le corps, l’alimentation et la nutrition, nous devons alors savoir respirer. Nous respirons tous mais nous ne respirons pas correctement, c'est pourquoi nous souffrons. La respiration diaphragmatique - comme elle est saine. Si vous ne pratiquez pas la respiration diaphragmatique, vous ne pourrez apprendre aucun pranayama. Les professeurs ne peuvent pas vous enseigner correctement. De nombreux enseignants ne comprennent pas l’importance de la respiration diaphragmatique profonde et enseignent de nombreuses méthodes de pranayama car le pranse ne les aidera pas. La respiration diaphragmatique profonde est primaire, quelque chose de basique, qui vous aidera à vous préparer au pranayama, à des méthodes d'exercices respiratoires plus élevées. Maintenant, observez le mouvement de votre abdomen en tant que corps, pour pouvoir. Lorsque vous poussez dans votre abdomen, cela aidera votre diaphragme, le muscle le plus sain de votre corps, à pousser dans vos poumons, ce qui vous aidera à expirer complètement, en expulsant le dioxyde de carbone. Lorsque le diamètre se déplace vers l'extérieur, il dilate les jambes et libère complètement de l'espace pour l'oxygène. La respiration diaphragmatique profonde est très bonne pour la santé.

Pour respirer par le diaphragme, vous devez prendre conscience des mauvaises habitudes de respiration. Maintenant, les animaux qui respirent peu profondément ne vivent pas longtemps.

Votre souffle dépend de celui qu'il prend. Vous pouvez élargir votre vie si vous comprenez cette science. Endolori et à scanner, je suis profond sans aucun son. Il ne faut pas respirer librement. Parfois, les gens crient et vous pouvez les entendre même dans le bâtiment voisin. L'haleine saccadée n'est pas non plus bonne pour vous. Entre l'inspiration et l'expiration et également entre l'expiration et l'inspiration suivante, vous créez une pause momentanée. l’usage signifie la mort. Si j'inspire et n'expire jamais, que se passera-t-il, mort. Et si j’expire et que je n’inspire jamais, que se passera-t-il ? Je suis mort. La mort signifie une pause entre l'inspiration et l'expiration. Inconsciemment, vous créez une pause. Avez-vous vu ce que font les enfants parfois ? Ils n'expirent pas pendant un certain temps et s'évanouissent. Dans le murcha pranayama, nous apprenons à nos élèves à contrôler la pause. Ne permettez pas que cette pause soit augmentée. La pause est une "tuerie". Un être humain tue constamment de très nombreux tissus de son cerveau. Il y a plus de 10 milliards de cellules dans votre cerveau. Et beaucoup de ces cellules meurent constamment. Pourquoi? À cause de la pause. Si cette pause se prolonge, nous mourrons. Grâce à une bonne respiration, vous pouvez rester en bonne santé. Vous pouvez maintenir votre santé avec des choses simples. Vous pouvez vous protéger de nombreuses maladies grâce à ces méthodes préventives. Vous pouvez vivre longtemps, comme vous le souhaitez, et profiter du monde. Mais il faut avoir la capacité, il faut avoir la force. Et cette force devrait être une force intérieure, une force venant de l’intérieur.


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Ainsi, lorsque vous comprenez quelque chose à propos de ces deux gardiens de l’inspiration et de l’expiration, vous comprenez beaucoup de choses sur la vie. Dans les manuels de yoga, trois phases de respiration sont mentionnées : l'inspiration, le puraka, l'expiration, le rechaka et la rétention contrôlée ou kumbhaka. Pause signifie kumbhaka. Cela devrait être contrôlé, cela devrait être sous votre contrôle. Celui qui a contrôlé la pause est victorieux et est libéré de l'appel de la mort. Il a contrôlé la mort. C'est comme ça que les yogis font. C'est le pranayama.
Votre respiration est le pont entre les deux, et tant que cette respiration est intacte, vous vivez.
Dès qu’ils s’effondrent, cela s’appelle la mort. Chacun est devant des choix de vie. Le bonheur simple ou la richesse et la popularité? Quel est le chemin que vous traversez dans la vie ici, là maintenant? 


Le trajet de l'obscurité existe. La drogue, l'alcool, la prostitution, vous comprenez bien. 


La paix dans la vacuité de l'esprit pour que la conscience se repose, vous l'avez vu dans la nature. 

La séparation de ce processus de pensée et du corps s'appelle la mort.
La respiration est liée à votre réflexion et à votre corps, c'est un lien. Qui est responsable de l’entretien de l’encre ? Pourquoi ne s'effondrent-ils pas ? Lorsque vous envisagez d'aller à votre bureau, pourquoi n'y allez-vous pas ? le bureau de quelqu'un d'autre ? Quand vous envisagez de rentrer chez vous, pourquoi n'allez-vous pas chez quelqu'un d'autre ? Qu'est-ce que cette coordination entre la partie pensante de votre moi et votre corps ? Dites-moi. Votre respiration est un pont entre les deux, et aussi longtemps que cette respiration est intacte, vous vivez. Dès qu’ils s’effondrent, c’est la mort. La séparation de ce processus de pensée et du corps s'appelle la mort. Donc, tant que nous sommes des conneries. qu'est-ce que ces unités fonctionnent ensemble. Au cours du processus d'impression, deux gardes cessent de fonctionner, une séparation se produit. Vous êtes en séparation ? La mort. Qu'est-ce que l'unité ? C'est une habitude du corps, une habitude profondément ancrée chez les mangeurs de corps, tu ne veux pas t'en lasser, n'y pense pas. C'est le "fantôme", l'illusion de l'ignorance qui hante ta séparation. Tu dois conserver l'unité en toi car c'est la vie.


La mort ne signifie pas l’anéantissement complet. Vous vivez même après la mort. Oui, votre corps et votre esprit conscient sont séparés de votre esprit et de votre âme inconscients. Votre corps, votre respiration et votre esprit conscient qui fonctionnent pendant l’état de veille constituent votre moi mortel. La combinaison de l’inconscient et de l’âme individuelle est semi-immortelle. L’âme individuelle est immortelle en elle-même. Lorsque l’âme individuelle et l’inconscient se séparent de l’esprit conscient, de la respiration et du corps, cette séparation est appelée la mort. Nous trouvons ici une définition claire de la mort. Après la mort d'une personne, elle existe toujours. Beaucoup de gens pensent que la mort les libérera de toutes leurs angoisses, de tous leurs problèmes. 


Oublie ça. Ce n'est pas possible. 


C'est comme s'endormir. Si vous dormez huit heures, comment cela va-t-il résoudre vos problèmes financiers ? Une longue nuit de sommeil s'appelle la mort. Cela ne résoudra jamais les problèmes de qui que ce soit. N'attendez pas la mort. Les problèmes de la vie ne sont jamais résolus par la mort. Nous devons les résoudre à l’état vivant et cela peut être fait ici et maintenant. les femmes disent souvent que leurs maris respirent horriblement. Comment respirent-ils ? Une longue inspiration avec une expiration courte ou une longue expiration avec une courte inspiration. Qu'est ce qui t'arrive? Cela perturbe le mouvement des poumons. Les poumons sont comme le volant d’une machine appelée corps. Toute la nuit, parce que le cœur, cette grande machine, est perturbé, le nerf vague droit est perturbé, donc la station de pompage ou les cœurs sont perturbés et donc le cerveau est perturbé. Comment peux-tu dormir ? Vous ne pourrez jamais avoir une bonne zone de bac à mémoire comme celle-ci. Une chose simple est de ne pas permettre une longue pause. L'inspiration et l'expiration peuvent être contrôlés très facilement. Donc votre sommeil est nora, vous êtes nity elep, vous ne pouvez pas vous reposer. Quel type de repos prenez-vous ? C'est pourquoi dans la mou très mal. Le repos doit vous redonner de la fraîcheur au visage.

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Vous ne pourrez jamais garder un bon souvenir si vous respirez ainsi. Une chose simple est de ne pas permettre une longue pause. Le prana et l'apana, l'inspiration et l'exhalation, peuvent être contrôlés très facilement  


Lorsque le sommeil ne peut pas donner une réadaptation totale, il est important d'apprendre. Cinq à dix minutes le matin et cinq à dix minutes le soir, vous devriez décider de vous reposer par la méditation, un simple bon-sens.



Apprenez à rester assis. Si vous avez l'habitude de vous asseoir les jambes croisées sur le sol, c'est votre méthode. dans cette posture appelée maitreyi asana dans les écritures bouddhistes. Placez vos mains sur vos genoux, fermez doucement les yeux et respirez. Respirez avant-toit de manière diaphragmatique sans bruit, saccades ou pause. Ensuite, mangez le flux de votre respiration. Vous n’avez pas besoin de rechercher un autre objet sur lequel vous concentrer. En observant le flux de votre respiration, votre esprit trouvera facile d’atteindre et de goûter la paix. Vous savez ce qu'est la paix ? La paix est perdue entre deux guerres. Cette paix que vous goûtez est un écart entre deux pensées. Une pensée vient et vous vous débarrassez de cette pensée. Il y a un moment où une autre pensée n’est pas encore venue. Cette période est appelée paix. Si vous pouvez élargir ce moment qui se situe entre deux pensées, cela s’appelle la méditation.


Que faire ensuite? Je donne cette leçon maintenant pour les étudiants avancés. Après avoir appris à rester assis, après avoir appris à respirer sereinement, après avoir appris à se concentrer sur la respiration, vous constaterez qu'une des narines reste bouchée, c'est-à-dire moins ouverte que l'autre. Vous constaterez rarement que les deux narines coulent librement. L’activation de la narine gauche est appelée ida et celle de la droite est appelée pingala dans les manuels de yoga. Ida est la lune et pingala le soleil, nuit et jour. Quand le jour épouse la nuit, à l'aube, il y a sandhya ou union de la nuit et du jour. De même, au crépuscule se déroule le sandhya du jour et de la nuit. Ce sont les meilleurs moments pour méditer car à ces moments-là les deux narines couleront librement, avec sandhya entre ida et pingala. Ce sandhya est appelé application de sushumna . Pour l’application sushumna, apprenez à vous concentrer sur l’espace entre les deux narines. Lentement, vous constaterez que les deux narines coulent librement. Lorsque les deux narines commencent à couler librement, pendant ce temps, vous ne pouvez jamais penser à quoi que ce soit de mal. Au cours de ce sandhya des deux narines, vous devriez apprendre à méditer et vous ferez l'expérience de la joie, qui, selon les rishis, les anciens sages, est la joie de sushumna. Cela signifie que vous devez apprendre à créer une situation permettant à votre esprit d’être joyeux si vous souhaitez méditer.


L'activation de la la narine gauche est appelée ida et celle de droite est appelée pingala dans les manuels de yoga. Ida est la lune et pingala le soleil, nuit et jour.

Quand le jour épouse la nuit, à l'aube, il y a sandhya ou union de la nuit et du jour.
Vous pouvez apprendre à respirer avant de vous coucher, avant de manger et le matin. Trois fois par jour, cinq minutes à la fois, cela vous aidera. Respiration profonde et facile qui ne demande pas beaucoup d’effort. Vous voulez manger la meilleure nourriture mais vous ne voulez pas respirer correctement ? Ce n'est pas sain. Dès que vous vous réveillez, asseyez-vous et immobilisez votre corps. Or, si un imbécile mange, il sort de la salle à manger encore imbécile. Si un imbécile a des relations sexuelles, il sort de sa chambre encore imbécile. S'il dort, il se réveille comme un imbécile : s'il se met à la méditation, il en sortira comme un sage. Comment méditer ? La première étape consiste à rester immobile, la prochaine étape consiste à respirer harmonieusement et la troisième étape consiste à lâcher prise.


Bien entendu ça ne vous dispense pas de prendre conseil auprès d'un professionnel de santé.
Maintenant, laissez-moi vous dire quelque chose. Votre esprit et votre souffle sont deux grands amis, inséparables, ils travaillent ensemble. Par conséquent, lorsque vous entraînez votre respiration, votre esprit est entraîné, car ils vivent ensemble et vous êtes des amis très proches. Pour vous amener à contrôler votre respiration, cela signifie entraîner votre respiration à ce que vous puissiez facilement faire. Vous ne pouvez facilement plus avoir d'esprit sous lequel on appelle esprit errant, et une fois que vous êtes un peu plus habitué à faire confiance à vous et ensuite vous irez au-delà. Cela demande un peu plus d’efforts, mais rien n’est impossible.

Pour la bonne compréhension des traductions en français, le Groupe Traduction a corrigé des erreurs. Des animations sont ajoutées avec l'accord.

J'aurais du te rencontrer plutot que ces abrutis de TJ :(
J'imprime ce sujet pour m'aider à me reconstruire.

Devenez juste conscient de l'instant. Vous serez en paix. Vous abandonnez la conscience de l'activité mentale pour créer une absence du mental qui pense en continu tout seul. Vous devenez vigilant et conscient mais vous ne pensez pas. Ceci est l'essence même de la méditation. Les pensées sont des nuages qui passent. Elles ne sont rien.
Dans votre vie quotidienne, vous pouvez etre dans la totale attention pour maitriser votre cerveau. Il deviendra souple comme les autres parties du corps. La méditation est la gymnastique du cerveau. Votre cerveau est une partie du corps. Il n'est pas supérieur au corps. Le taiji quan libère les pensées. L'esprit retrouve la paix.


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