La méditation thérapeutique

Rappel du premier message :



Bien entendu ça ne vous dispense pas de prendre conseil auprès d'un professionnel de santé.
La méditation est une pratique qui consiste à entraîner l’esprit afin qu’il se libère des pensées négatives et néfastes. Évidemment, bien des pensées sont utiles pour gérer sa vie ou résoudre les problèmes pratiques. Mais, les mécanismes mentaux sont tels qu'ils produisent sans cesse des pensées souvent délétères. L’objectif de la méditation est donc de faire en sorte que ces pensées n’aient plus le contrôle sur nous, et de nous libérer de nos ruminations négatives qui nous empêchent d’avancer dans notre vie.



Méditer, c’est bien. Tout le monde en parle, c’est à la mode. Façon de se reconnecter avec soi- même, de prendre le temps de respirer et de goûter l’instant. Mais pour soigner une dépression, pour prendre en charge une douleur chronique, pour éviter Alzheimer et le déclin cognitif ? Là, on se dit qu’il ne faut pas exagérer. Les machins à la mode, ça va un moment. Après, il faut passer le relais aux médecins, les vrais. Eh bien, les médecins sont en train de nous dire que la méditation a des effets bénéfiques dans tous les domaines que je viens d’énumérer. Des études scientifiques de grande ampleur semblent indiquer qu’une bonne discipline de méditation ralentit le vieillissement cérébral, et les bénéfices sur les rechutes dépressives sont d’ores et déjà établis. Signe parlant : un diplôme intitulé Médecine, neurosciences et méditation, créé à Strasbourg, attire des médecins et scientifiques du monde entier.



La méditation thérapeutique, certes, n’est pas une méthode miracle. Elle ne soigne pas toujours. Mais elle fait vivre la maladie différemment, de façon moins dévastatrice, et on ne lui connaît pas d’effets indésirables. Peu de médicaments peuvent en dire autant.

Nous allons au cœur et aux origines, tout y est, et sans Copyright qui sont commerciaux. Pourquoi payer pour prier ou méditer ? La clef de la méditation est très antérieure au bouddhisme. Elle est dans l'Inde, et dans la Bhagavad-gita au chapitre six. L'homme doit s'élever - et non pas se dégrader - par son propre mental. Le mental seul est notre ami autant que notre ennemi. Le mental est l'ami de celui qui le contrôle, et le mental agit comme ennemi de celui qui ne le contrôle pas. Les "petits vélos" dans la tête quand on rumine, le "bavard" qui n'en fait qu'à sa tête, tel est le problème majeur de l'humain : son cerveau beaucoup trop développé par rapport aux autres animaux sur terre, agit aussi indépendamment de lui. Or nous ne pouvons arrêter qu'il tourne en boucle. Il le fait même durant la phase paradoxale du sommeil. Il ne reste donc qu'à méditer sans penser pour le maîtriser, et chaque fois qu'il nous détourne, nous recentrer sur rien. Il est un organe physique autant que les autres parties du corps. Et donc il est possible de l'entraîner pour être mieux, autant que notre cœur, nos muscles, etc. Corps-esprit ne sont qu'un. Et une saine alimentation est aussi à suivre avec autant de respect, chacun la sienne en se découvrant tel qu'on est chacun, chacun différent et unique, idem pour une hygiène du sommeil.

Les occidentaux vivent dans le stress. La pandémie du 21e siècle n'est pas le covid 19, il est le stress qui touche maintenant mon pays. Nos solutions sont sans médicaments. Nous vous les vendons par millions de tonnes. Pourquoi ne pas vivre simplement l'instant présent ? Vous devez apprendre à vivre dans le présent et à observer ce qui est, réellement, à ce moment. Vous devez consacrer du temps à apprendre à observer, à aider l'esprit à rester tranquille et alerte au milieu de l'activité mentale et physique, même à des niveaux élevés.
Que vous preniez soin des besoins de la famille à la maison, que vous soyez au bureau, à l'usine ou quand vous travaillez, vous devez redevenir détendus, heureux de vos relations avec les autres. Quand vous avez des activités dures, vous pouvez observer vos pensées, vos actions, vos relations avec les autres. Les provocations au stress sont partout.
Quand vous regardez la vie en paix, la vie redevient en paix autour de vous.

La méditation de la pleine conscience est pratiquée dans les hôpitaux français. Cette révolution est historique.



Bien entendu ça ne vous dispense pas de prendre conseil auprès d'un professionnel de santé.

L'homme a toujours cherché à savoir comment il voit et comment il entend ; pourquoi certaines choses sont bonnes et d’autres mauvaises ; comment il bouge ; comment il raisonne, apprend, mémorise et oublie ; quelle est l’origine de la colère et celle de la folie. La recherche dans le domaine des neurosciences commence à éclaircir ces mystères et les résultats de tous ces travaux constituent le contenu de ce sujet. Ma profession parle de "neuroplasticité".

Maladies mentales et environnements toxiques
Bien entendu ça ne vous dispense pas de prendre conseil auprès d'un professionnel de santé.
Vous avez constaté que certains adeptes dans des dérives sectaires inquiétantes ont un comportement de schizophrène dans leurs messages. La probabilité d’être malade chez un tj ou un scientologue est beaucoup plus importante que chez le commun des mortels. Il est certain que ce type de constatation est très en faveur d’une origine de conditionnement de la maladie et, actuellement plusieurs mouvances sectaires ont été identifiées, qui augmentent la susceptibilité à la schizophrénie. De façon intéressante, il est notable que à l'inverse la relaxation, l'hypnose médicale, la méditation, la prière accompagnée de façon raisonnable, la retraite de quelques jours dans un monastère ou une abbaye pour se retrouver soi-même sont des trésors de bienfaits pour réparer vos blessures intérieures. 

La matière grise et blanche de votre cerveau en dit beaucoup sur ce qui se passe lorsque vous faites une pause pour entraîner votre cerveau. Les nombreux bienfaits pour le cerveau engendrés par la pratique quotidienne de la méditation et de la relaxation sont prodigieux.
Les bienfaits pour votre cerveau


https://dai.ly/x88z3sy

https://dai.ly/x2zyzow

La méditation commence avec une intention. Parmi les 10 actes de vertu du bouddhisme tibétain, 4 protège la parole.
• Ne pas mentir
• ne pas calomnier
• ne pas blesser
• ne pas parler pour des choses sans importance.



La méditation se termine avec la compassion. C'est la manière dont nous sommes conscients de nos émotions qui nous enchaîne ou nous libère  

(Traduction automatique.)

Ne pas penser. Vivre l'instant ici et maintenant.

Comment "observer les mouvements du mental" sans décrocher du subjectivisme ? Quand le mental devient l'objet de l'observation du mental, comment ne pas éviter une immense confusion ?
Méditer c'est juste prendre conscience de sa petite respiration inconsciente, sans la modifier. Quand l'esprit ne modifie plus rien et laisse tout le corps s'exprimer tel quel, alors la paix se pose et le mental ne bavarde plus ni contrôle : il s'efface.

La méditation de pleine conscience bouddhiste a un succès considérable chez les occidentaux, mais l'hindouisme a aussi une profonde tradition de méditation meilleure. Pourquoi la "pleine conscience" ? Je réponds qu'il est question d'une infiltration du New Age américain. Les européens ont repris sans voir qu'ils enseignent du bouddhisme


Le regain d’intérêt pour la méditation ces dernières années peut être largement attribué à Jon Kabat-Zinn [1] et ses collègues. Kabat-Zinn, en tant que biologiste moléculaire dans les années 1970, a créé une technique thérapeutique appelée "Réduction du stress" basée sur la "pleine conscience", qu'il a développée à partir du concept bouddhiste de sati 


Décrit dans le bouddhisme comme la première étape du voyage vers l'illumination, sati est l'acte d'attirer l'attention et la conscience sur le présent, et a été traduit par "pleine conscience" — synonyme de "attention" — par Thomas William Rhys Davids [2] un écrivain du 19e siècle. magistrat du siècle qui était un érudit anglais du pali, la langue liturgique de la branche theravada du bouddhisme.


Sachant que de nombreuses personnes dans le monde profane bénéficieraient de la méditation, mais estimant que beaucoup seraient également rebutées par ses connotations religieuses, Kabat-Zinn a intitulé sa technique sous le nom de "pleine conscience" de Davids et l'a décrite comme "la conscience qui surgit en prêtant attention, volontairement, dans le moment présent et sans jugement" – une définition avec tact dépourvue de toute allusion à des connotations religieuses. Or la "pleine conscience" ouvre au bouddhisme seulement. La porte était ainsi ouverte au commerce considérable de la "formation à la pleine conscience" 
Alerte Info infiltration [3]

Ainsi, alors que de plus en plus de gens dans le monde profane donnaient une chance à la pleine conscience et en bénéficiaient par la suite – même les dirigeants d’entreprises commençaient à apprendre la technique – Kabat-Zinn et sa méthode reçurent une grande partie du crédit pour avoir causé la prévalence de la méditation en Amérique. Il est devenu millionaire. 
Et autant que Kabat-Zinn, et par extension, les enseignements bouddhistes méritent en effet une grande partie du mérite, pour parvenir à une compréhension complète de la méditation et de son essor en Amérique, il faut remonter à l'origine de la pratique !!


L'hindouisme est la religion la plus ancienne du monde et la méditation fait partie de sa pratique depuis toujours. Selon les textes hindous, toute personne est un être spirituel provenant d'une source spirituelle suprême appelée Brahman. Tout comme les étincelles de feu s'éteignent lorsqu'ils sont séparés du feu, les êtres oublient leur véritable nature spirituelle lorsqu'ils sont séparés de cette source divine. Ainsi, selon les enseignements hindous, la méditation est traditionnellement un outil qui permet aux êtres d’apaiser les perturbations de l’esprit afin qu’ils puissent puiser dans leur nature innée. La religion n'est pas une obligation pour pratiquer la méditation. Pourquoi donc "la pleine conscience" ouvre uniquement au bouddhisme tibétain qui est éloigné du bouddhisme originel ? 


De manière générale, la pleine conscience bouddhiste et la méditation hindoue, bien que similaires dans leur pratique, ont une différence sous-jacente dans leur objectif. La pleine conscience consiste à s'élever au-dessus des pensées et des émotions afin que l'on puisse comprendre objectivement la vraie nature de la réalité, tandis que la méditation hindoue consiste davantage à apaiser l'esprit afin que l'on puisse être pleinement conscient dans la nature.
Quoi qu’il en soit, la méditation bouddhiste s'est ancrée de manière indélébile dans le tissu de la culture américaine et dans le contexte de stress violent de leur propre culture.


Après tout, récolter les bénéfices spirituels d’une pratique, sans reconnaître la culture dont elle est issue, est intrinsèquement pathogène et peut perpétuer la possibilité de négliger d’autres processus médicaux puissants qui soignent les gens depuis des milliers d’années.


Si l’histoire de la méditation en Amérique vous apprend quelque chose, c’est que vos problèmes d’aujourd’hui peuvent souvent être résolus avec les connaissances du passé, si vous apprenez à garder l’esprit ouvert. Je remercie la MIVILUDES pour avoir alerté de l'infiltration du bouddhisme tibétain dans les écoles laïques. La méditation hindouiste est bien aussi. Les religions sont séparées de l'Etat en France. Cette idée universelle est sage.

La méditation de pleine conscience, une pratique pas si innocente
Depuis plusieurs années, ce sujet de la méditation en milieu scolaire clive et oppose les pro et les anti dans des débats souvent sans nuance, dans lesquels le bien-être de l'enfant n'est pas toujours au centre.

Ainsi, en juin 2021, la Ligue des droits de l'homme a très vertement réagi à la proposition faite au ministre de l'Éducation par le député LREM d'Ille-et-Vilaine Gaël Le Bohec d'expérimenter dans près de 250 classes, du CM1 à la 5e, la méditation de pleine conscience (ou mindfulness). C'est une forme de méditation développée dans les années 1970 par le médecin américain Jon Kabat-Zinn et déclinée sous la forme de programmes destinés à réduire le stress.

Malik Salemkour, président de la Ligue des droits de l'homme, ne mâche pas ses mots: «Le lobbying mené par le Mind & Life Institute, et par les associations promotrices de la méditation pleine conscience à l'école, était sur le point de porter ses fruits en rentrant ainsi dans l'Éducation nationale par ce cheval de Troie qu'est la méditation. Si certains sont dupés par l'apparence bon enfant de ces pratiques et par les solutions miracles qu'elles prétendent apporter, il ne faut pas se laisser berner sur l'entrisme qui serait ainsi mené.»


Si Malik Salemkour dénonce en outre le caractère non laïque de la méditation de pleine conscience (inspirée par le bouddhisme), il avance aussi l'existence de liens entre le Mind & Life Institute et par association, tous les promoteurs de la méditation à l'école en France avec l'anthroposophie – mouvement d'ésotérisme pointé du doigt par les organismes de vigilance des sectes.

Un autre point générateur de débats concernant la méditation à l'école porte sur ses bénéfices avérés pour les enfants et sur ses éventuels dangers en matière de santé psychologique. Sur cet aspect, la littérature scientifique pointe du doigt, notamment lors de pratiques isolées, non encadrées et longues, le risque de développer ou d'aggraver certains troubles psychiques comme des troubles dissociatifs, de la dépression ou des troubles anxieux. Il existe d'ailleurs des contre-indications comme la dépression en phase aiguë, le trouble bipolaire ou la schizophrénie.
Source

Je pense que pratiquer chaque jour des exercices de méditation développe l’attention et la conscience de nos propres sensations ou émotions. Cela se traduit par un renforcement des zones associées face aux atteintes du vieillissement

La première chose que la méditation apporte dans son sillage est infime, aussi infime que le premier fil de soie qu'une misérable petite créature entraîne de nuit vers le haut d'un mur noir et très haut, Cela, c'est le début de la méditation. Mais en recommençant. en persévérant, on finit par attirer un fil plus gros, puis une cordelette, puis une corde et enfin un cordage suffisant pour supporter le poids d'un homme.




https://dai.ly/x5gg1qi

On demande à Bouddha :
Qu'avez vous gagné avec la méditation ?

Il répond:
"RIEN.
Par contre, laissez-moi vous dire ce que j'ai perdu :

• la colère, 
  
• l'anxiété, 
  
• la dépression, 
  
• l'insécurité, 
  
• la peur de vieillir 
  
• et la peur de la mort !
  

La santé et la paix intérieure sont les trésors d'une vie heureuse."

La méditation n’est pas quelque chose qui peut se pratiquer. Si on la pratique en une activité dirigée par la pensée, alors ce n'est plus de la méditation. La véritable méditation est quand la pensée n’est pas. Elle ne peut être le fruit de la pensée et d’une activité de la pensée.

Ma méditation est le fait de ne pas penser. On écoute sa respiration inconsciente.


Chaque fois qu'une pensée nous sort de cette attention douce, nous nous recentrons sur l'attention de la respiration.  Les états mentaux perturbateurs avec de graves distorsions de la réalité diminuent. L'existence des réalités extérieures, la publicité, l'information des journaux TV, le malheur partout diffusé dans le monde, la violence, la pornographie, tout cela reste extérieur. Elles ne sont pas nos caractéristiques de la paix intérieure. Ces illusions sont fausses. Ces descriptions extérieures ne sont en général que des projections de notre esprit angoissé.


La méditation dissipe chaque jour ces angoisses maladives  

La méditation m'aide dans mon quotidien. Je découvre une merveilleuse pratique neutre
Fortifions-nous dans l’espérance de parvenir à la paix inconditionnelle.

undesdouze a écrit:

La méditation m'aide dans mon quotidien. Je découvre une merveilleuse pratique neutre  
Fortifions-nous dans l’espérance de parvenir à la paix inconditionnelle.

Vingt minutes de méditation, l’antique technique orientale de concentration passive, modifient la consommation d’oxygène, le flux artériel et réduisent parfois spectaculairement dans le sang le niveau du lactate, substance associée à des symptômes d’anxiété. Le temps de réaction est réduit, et la perception auditive est aiguisée de façon mesurable, immédiatement après une période de méditation. Pendant les fortes douleurs physiques, des yogis se concentrent sur la localité incriminée de leur physique. Au début, plus ils se concentrent, et plus la douleur semble vive, jusqu'à un point où plus rien n’existe en dehors de soi et de cette douleur intolérable; puis ce n’est plus exactement une douleur et puis, tout d’un coup semble-t-il, ils ne sentent plus rien. Le phénomène de la douleur disparaît soudainement a été observé en cliniques. La force de l'esprit est très puissant quand il est entrainé par la méditation.

La vie est une évolution. La méditation se concentre sur un son, sur sa respiration. Elle donne naissance a un type de conscience très particulier. Les occidentaux recherchent maintenant la méditation parce que leurs souffrances n'ont pas de solution dans la chimie.

La méditation athée appaise les dépressifs, soulage les phobies, relaxe le mental. Elle permet de régulariser les émotions. Le sommeil devient calme et stable. Pourquoi cette pratique neutre n'est pas enseignée pour le bien-être des peuples ?

केरल a écrit:

La méditation athée appaise les dépressifs, soulage les phobies, relaxe le mental. Elle permet de régulariser les émotions. Le sommeil devient calme et stable. Pourquoi cette pratique  neutre n'est pas enseignée pour le bien-être des peuples ?

Que vous soyez religieux ou matérialiste, croyant ou athée, il est crucial de comprendre le fonctionnement de votre esprit. Sinon, vous continuerez à penser que vous êtes en bonne santé, alors qu'en réalité, la racine profonde des émotions conflictuelles, la cause véritable de toutes les maladies psychologiques, se trouve en vous et s'y développe. Et il suffit d'un infime changement extérieur, que quelque chose d'insignifiant aille mal pour qu'en quelques secondes vous soyez complètement perturbé. Pourquoi ? Parce que vous êtes obsédé par le monde sensoriel, aveuglé par l'attachement et sous le contrôle de la cause fondamentale de tous les problèmes : la non-connaissance de votre esprit

Affirmons cette Vérité sans crainte et aussi haut que possible ; mettons la méditation dans l’arène de l’action, et par-dessus les débats politiques, essayons de pénétrer par la méditation pour nous armer sur les troubles de la santé qui sont traités uniquement par la chimie.

L’objectif de la méditation est d’apaiser l’esprit. Sa pratique est simple : il s’agit de demeurer concentré sur un objet de concentration, tel que la respiration, la récitation d’un mot ou d’un mantra, les kasina, la bienveillance, par exemple, et de ramener son attention sur cet objet dès que des pensées distrayantes surgissent. Progressivement, au fil de la séance, l’esprit s’apaise, la concentration se stabilise malgré les pensées, alors un état de bien-être particulier se fait ressentir, comme une sorte de flottement, de la lumière, des couleurs peuvent apparaître. Cet état indique l'accès au calme intérieur du pratiquant et le préparent à aborder la méditation naturellement.

L’objectif est de réaliser la véritable nature de ce qui anime les angoisses ainsi que celle des différents états mentaux. Il existe six sujets d’investigation pour y parvenir, chacun étant libre de choisir celui qui lui convient le mieux.

Pour chacun de ces sujets, le pratiquant doit examiner trois caractéristiques : la souffrance qui en résulte, leur impermanence et leur nature indépendante de sa volonté. On constate ici qu’étudier l’enseignement philosophique du Bouddha permet de progresser plus facilement.

Bien que la méditation ne soit pas forcément indispensable pour accéder à la vipassana, sa pratique est fortement recommandée. En effet, elle développe la force de concentration qui, à son tour, renforce les facultés d’attention, à maturité on parle "d’attention développée". Cette attention développée permet de réaliser réellement les prises de conscience propres aux soins.

Si le bouddhisme n'est pas de l'athéisme la méditation en soins médicaux l'est en dehors de toute croyance puisque elle repose sur l'étude du fonctionnement du cerveau. Les zones traitées sont lethymus, l'hypocampe, l'amygdale et la zone cortex frobtal.

al'zheimer a écrit:

L’objectif de la méditation est d’apaiser l’esprit. Sa pratique est simple : il s’agit de demeurer concentré sur un objet de concentration, tel que la respiration, la récitation d’un mot ou d’un mantra, les kasina, la bienveillance, par exemple, et de ramener son attention sur cet objet dès que des pensées distrayantes surgissent. Progressivement, au fil de la séance, l’esprit s’apaise, la concentration se stabilise malgré les pensées, alors un état de bien-être particulier se fait ressentir, comme une sorte de flottement, de la lumière, des couleurs peuvent apparaître. Cet état indique l'accès au calme intérieur du pratiquant et le préparent à aborder la méditation naturellement.

L’objectif est de réaliser la véritable nature de ce qui anime les angoisses ainsi que celle des différents états mentaux. Il existe six sujets d’investigation pour y parvenir, chacun étant libre de choisir celui qui lui convient le mieux.

Pour chacun de ces sujets, le pratiquant doit examiner trois caractéristiques : la souffrance qui en résulte, leur impermanence et leur nature indépendante de sa volonté. On constate ici qu’étudier l’enseignement philosophique du Bouddha permet de progresser plus facilement.

Bien que la méditation ne soit pas forcément indispensable pour accéder à la vipassana, sa pratique est fortement recommandée. En effet, elle développe la force de concentration qui, à son tour, renforce les facultés d’attention, à maturité on parle "d’attention développée". Cette attention développée permet de réaliser réellement les prises de conscience propres aux soins.

Si le bouddhisme n'est pas de l'athéisme la méditation en soins médicaux l'est en dehors de toute croyance puisque elle repose sur l'étude du fonctionnement du cerveau. Les zones traitées sont lethymus, l'hypocampe, l'amygdale et la zone cortex frobtal.