Depuis François Mitterrand, la vraie vie de Marie-Curie fut écrite en plein révisionnisme socialiste, la présentant faisant le don de soi pour la science, sans plus besoin de catéchisme.
L'Histoire refuse tout changement, son étude permet de ne pas oublier où conduit le révisionnisme, dans tous les dangers.
Parlons-en de Marie Curie !
Elle était la luxure incarnée, pauvre mari. Elle était obsédée par le sexe et son mari Pierre en était devenu dépressif de honte, timide, humble, catholique convaincu. Un jour, le 19 avril 1906, il la suivit pour voir avec quel nouveau gigolo elle allait. En la suivant, il s'est fait écraser par un bus.
Requiescant in pace.
Cette histoire lamentable est bien cachée aux français. Marie Sklodowska, devenue Marie Curie en épousant Pierre Curie, par la suite poursuivit sans fin sa passion du sexe pour le sexe, sans aucune notion de moralité, et mourut en ignorant les méfaits de la radioactivité. Aucun officiel ne vint à son enterrement, vous savez pourquoi maintenant... Ce fut sa terrible erreur, elle n'a jamais fait don de soi, juste de son corps à tout venant.
Cependant, on ne reçoit pas un second Prix Nobel sans des retouches révisionnistes de son histoire. Le premier Prix Nobel, elle l'eut en compagnie de son génial mari Pierre, pionnier de l’étude de la radioactivité. La République a tranché, elle a choisi de reconnaître le génie scientifique avant tout de Pierre. Marie après la mort sordide devenu immédiatement un tabou, fut délaissée par tout honneur. Elle est morte oubliée volontairement, son second Prix Nobel n'y fit rien. En France, il était un temps récent où on ne plaisantait pas avec le scandale de luxure. Idem, l'Église lui préfère Pierre avec la pudeur de taire le nom de la mère de leurs deux enfants. La mise en scène révisionniste fut orchestrée par le Président Mitterrand dans son cadre politique.