méditation, ou relaxation

Rappel du premier message :


Je n'arrive pas à comprendre la différence entre la méditation, et la relaxation , si certains pouvaient (sans m'agresser ) .
J'ai l'impression que c'est la même chose , avec un terme bouddhiste (méditation ), et un terme Occidental (relaxation ).

Amicalement
et merci d'éviter si possible de dévier sur JC

La nature est la vie  


une photo pour vous

Ton pays est si beau


Des importantes statues bouddhistes dans le comté de Drago dans la préfecture autonome tibétaine de Kardze sont démolies depuis 2021. Le groupe de recherche Tibet Watch, basé à Dharamsala en Inde, a révélé que les autorités chinoises forcent des moines tibétains à détruire les statues tantriques de Padmasambhava.

Voici la définition pratique de la méditation ; après avoir reçu le mantra d'un maître spirituel, un dévot doit, conformément à toutes les règles et réglementations, méditer sur la forme sombre du Seigneur, qui ressemble à des graines de lin sombres. fleurs, ou sur sa forme au teint clair, qui est comparée à l'or fondu.

L'hindouisme et le bouddhisme enseigne la méditation. Celui, envieux de rien, qui se comporte avec tous en ami bienveillant, qui de rien ne se croit le possesseur, qui, plein de pardon, toujours connaît le contentement, et dont le mental et l'intelligence sont en accord avec la fraternité envers son prochain, fut-il son pire ennemi, celui-ci est devenu un sage. Il accède au royaume de Dieu qui s'est approché de lui par la prière ou la méditation.

Le méditant en yoga n'est jamais troublé, quelles que soient les circonstances. Il n'est envieux de personne.
Il ne se fait pas l'ennemi de son ennemi. Il pense que l'inimitié à son égard vient de ses propres méfaits dans le passé; aussi préfère-t-il souffrir plutôt que protester. Le Bouddha et Krishna enseignent d'ailleurs que dans la détresse ou la difficulté, le simple pratiquant s'il est sincère dans son coeur se sent toujours béni par la miséricorde de son Seigneur. "Mes péchés sont tels, pense-t-il, que j'aurais du souffrir mille fois plus. Si je ne reçois pas tout le châtiment qui m'est dú, c'est par la miséricorde du Seigneur Suprême. Par Sa grâce, je n'en subis qu'une portion infime." Aussi est-il toujours calme, serein et patient, même dans les pires circonstances. Le méditant tombe en état de bonté naturelle à l'égard de tous, et même de son ennemi. Il est tolérant, et se satisfait de ce qui lui vient par la grâce de Dieu. Comme il n'investit pas de grands efforts en vue d'acquérir de la reconnaissance hiérarchique dans une organisation religieuse, il est toujours joyeux, paisible. Il est le plus parfait des spiritualistes, car il suit la vraie paix de son âme; et parce qu'il domine ses sens, il est plein de détermination pour voir toujours le bon côté des choses. Il ne critique plus, il se garde de juger, il devient autonome. La méditation permet de nous unir à la paix divine. La pratique du méditant consiste en une série de respirations échelonnées menant à la relaxation de tous ses blocages. L'échelle qu'il représente prend appui sur la condition matérielle la plus basse. et ses échelons constituent les diverses pratiques qu'on y trouve, classées en trois groupes: le hatha-yoga, le bhakti-yoga et le raja-yoga. Mais l'échelle elle-même garde le nom de yoga.
L'adepte du hatha yoga doit, au début, suivre des principes régulateurs et s'essayer en douceur toujours à diverses postures qui sont de simples exercices physiques avant d'aborder la méditation. Cette pratique conduit à l'équilibre mental qui convient pour maîtriser les sens. Lorsque le yogi s'est stabilisé dans la méditation, aucune pensée extérieure ne peut plus l'en détourner. Cependant, les principes et les exercices de ce yoga sont encore dans le champ matériel du ressenti de son corps qui se libère de toute contracture puis de ses maladies invalidantes. Le bhakta yoga est la prière tout simplement. Il se trouve plongé dans la méditation et son coeur rayonnant d'amour réchauffe son esprit de gratitude. Aucun de ses actes, par ailleurs, n'est matériel, puisqu'ils ont pour seul but de remercier la vie.
Il n'est plus attaché à une organisation religieuse dont l'autorité supérieure le rappelle à l'ordre et l'oblige. Le pratiquant n'a plus rien à tirer profit de ses actes. Et, comme on ne peut vivre sans agir. celui qui ne connaît pas cette joie intérieure devra fatalement poursuivre les plaisirs matériels. Ainsi, en dehors de sa pratique personnelle. l'homme se livrera toujours à des actes égoïstes, visant son propre plaisir ou celui des gens auxquels il s'identifie: par exemple, les membres de sa famille, de sa nation, de son église, etc. Dans la gymnastique du yoga, au contraire, l'être peut, au service du bien-être, assumer tous les actes, et rester, malgré cela, tout à fait détaché des plaisirs matériels. C'est pourquoi celui qui désire s'élever au sommet de l'échelle du yoga sans aller directement dans un style précis, devra d'abord apprendre à se connaître et s'accepter tel qu'il est.

Le mental peut être l'ami de l'âme heureuse, comme il peut être son ennemi. L'homme doit s'en servir pour s'élever, non pour se dégrader. Le yoga est un terme sans importance. Le pratiquant met plus particulièrement l'accent sur les aspects suivant: son corps qui le fait souffrir, son mental qui se trouble, ses émotions qui le détruisent, et et découvre qu'il est aussi une âme. Comme le mental est le centre d'intérêt du monde actuel en constante ébullition, le terme atma ne peut ici désigner ce mental intellectuel. Le but du yoga est de dominer ses souffrances pour qu'elles se guérissent en allant toujours par la douceur, sans se fixer des objectifs de compétitions qui nous à des choses qu'il n'emportera pas en quittant sa vie un jour. Des céphalées chroniques, un mal de dos, des ligaments blessés, un vieillissement trop douloureux, la perte d'un ami, un deuil familial, une grave, longue et cruelle maladie ? L'effet de la relaxation puis de la respiration, de la visualisation reconstruit son être malade, de telle sorte que ce dernier stabilisé son état inconnu conditionné par l'ignorance de ses maux où il est maintenu. En fait, il se découvre formaté depuis sa naissance et la méditation le libère de tous les conditionnements, qui nous donne une fausse conception de nous-même, qui fait germer en nous le désir de dominer en prédateur son voisin, sa compagne. Il devien, chacun à son rythme, lentement, ce qui est à l'origine de l'emprisonnement de son être devenu trop malheureux dans ce monde impitoyable où il n'y a ni fort ni faible mais seulement des relations fortes et des relations faibles, ce qui n'est pas du tout pareil ni ce qu'il croyait naïvement. Si le mental, donc, est dirigé de façon à ne pas se laisser fasciner par le miroitement de la matière, son corps s'échappera à ce conditionnement de souffrances.
En aucun cas nous ne devons nous laisser aller aux objets des sens, car selon un processus de dégradation, ils nous enlisent toujours plus dans l'existence matérielle. Le meilleur moyen pour nous dégager de cet enlisement, ce sera de ne jamais offrir à nos pensées qu'un seul objet: le devoir sacré de se rencontrer avec soi-même. La respiration de feu nettoie son esprit. Elle redresse sa colonne vertébrale. Son éveil est plus fin, subtil.
La rumination, les crises d'angoisses, les phobies sont causes de l'emprisonnement de l'homme dans la gaine de sa vie sociale tressée, et donc une fois qu'il en a pris conscience, également de sa libération. Absorbé dans les objets des sens, il emprisonne l'être; détaché des objets des sens, il le libère." Concentré sur sa pratique, engagé sur sa volonté de grandir en lui ce premier bie-être surprenant découvert, il va s'apporter beaucoup plus et de plus en plus par l'expérimentation personnelle prudente de la libération bienveillante. Croyez en priant que cela va arriver et cela est en cours de route. Refermez la porte des regrets, ils sont inutilisables et encombrants. La nature, un jardin par exemple ou le regard attentif aux nuages, à la pluie, tout est beau.

Citation :

Le mot « méditation » résulte de la traduction mais n’existe pas dans le sanskrit.

Vous dites des bêtises ou quoi ? Dhyāna, en Sanskrit ध्यान, est la septième des huit étapes de l'astanga-yoga (le yoga de la méditation]. Elle consiste à la pratique de la méditation. ध्यान Dhyāna est reprise dans les pratiques de yoga et constitue un moyen d'accès au samadhi et à la connaissance de soi. Les huit étapes du yoga sont contrôle de soi, discipline, assise, contrôle du souffle, intériorisation, concentration, méditation et samadhi

Les concepts du dhyāna et de sa pratique sont originaires de l'Inde ancienne et ont influencé les traditions de l'hindouisme, du bouddhisme et du jaïnisme. Dans l'hindouisme, le dhyāna fait partie d'un processus de yoga par lequel le yogi réalise le Soi, sa relation avec les autres êtres vivants et la Réalité ultime. Le terme dhyāna apparaît dans les Vedas et les Upanishads, où il est décrit comme une contemplation et une méditation importantes pour la connaissance de soi. Il est également mentionné dans les Yogasutras de Patanjali, un texte clé de l'école de yoga de la philosophie hindoue.
Extrait des Soutras de Patanjali

Les gens ne savent pas quel est le sens de la méditation. Ils font de la psychologie ou un traitement médical; ce n'est pas de la méditation. La méditation est différente, la vraie méditation. La vraie méditation consiste à découvrir l’Âme Suprême au cœur du cœur. C'est ça la vraie méditation. Dieu est situé dans le cœur de chacun, alors les yogis essaient de découvrir l'Âme Suprême dans le cœur. C'est du vrai yoga. Un vrai yogi essaye de contacter l'Âme Suprême. Il recherche la divinité dans son aspect omniprésent. L'éveil est simple.

La médecine du dharma bouddhiste.

Dans le bouddhisme Mahayana et Vajrayana, qui sont les écoles du bouddhisme qui ont été établies au Tibet, le concept de bouddhahood va au-delà de la figure du Bouddha historique Shakyamuni qui vivait en Inde il y a plus de deux millénaires.
Dans la vue Mahayana et Vajrayana, la bouddhahood est une qualité d'esprit immanente, inhérente à tous les êtres sensibles, que ce soit des insectes ou des aristocrates. Le but de la vie humaine est donc de découvrir et de réaliser cette qualité d'illumination.
Selon le Mahayana et le Vajrayana, le Bouddha primordial aurait toujours existé, mais pour transcender la dualité de l'existence ou de la non-existence. D'après la nature de Bouddha primordiale constante, les bouddhas infinis sont apparus sous d'innombrables formes dans d'innombrables époques et dans d'innombrables systèmes mondiaux, et ils continueront de le faire.

Néanmoins, la figure historique de Gautama Bouddha ou Shakyamuni Bouddha est comprise comme le Bouddha qui est apparu pour notre âge et notre univers. Il est le quatrième Bouddha dans une ligne de mille bouddhas qui apparaîtront dans notre univers. Le premier Bouddha était Dipankara, et le prochain ou à venir Bouddha est Maitreya, le "Bouddha de l'amour". Du point de vue de Mahayana et Vajrayana, le Bouddha était déjà éclairé lorsqu'il est entré dans le ventre de sa mère. Mais afin de donner un exemple de la voie à l'illumination, il a traversé des étapes progressistes pour gagner la bouddhah dans sa propre vie humaine et afin d'exposer ses enseignements.

De plus, dans le cadre de son exemple, la vie antérieure du Bouddha, ses nombreuses incarnations au cours de sa longue carrière de bodhisattva, lui était connue et sont enregistrées dans la littérature bouddhiste appelée les contes de Jataka. Parmi ses vies passées, il y a de nombreuses incarnations en tant qu'animaux, et cela sert à souligner le caractère sacré avec lequel toute la vie sensible est maintenue dans le bouddhisme; Le Bouddha a également eu des vies passées en tant que médecin ou guérisseur. Au cours de ses incarnations successives, il a développé la sagesse et la compassion à un point tel que lorsqu'il a pris sa renaissance finale en tant que prince Gautama, il a atteint le nirvana et complet de la bouddhéité et a ainsi dépassé les royaumes de la naissance et de la mort.

Celui qui devait devenir le Bouddha, le «complètement éveillé», est né Gautama, prince du clan Shakya, dans le nord de l'Inde, maintenant Népal, au VIe siècle avant JC. Son père l'a délibérément protégé d'une connaissance des horreurs et des difficultés de la vie, et pendant vingt-huit ans, le prince Gautama a vécu une vie de facilité royale et de sensualité raffinée. Mais allant un jour au-delà des portes du palais, il est tombé sur les signes de la vérité - une personne malade, un vieil homme faible, un cadavre et un ascète. Puis il s'est rendu compte que l'humanité était embourbée dans la souffrance. Se ressentant de renoncement au cœur de son cœur et laissant derrière elle une vie de plaisir et de grandeur du monde, il a fui le palais la nuit et est parti pour trouver le remède à la souffrance.

Sept ans plus tard, après six ans de pratiques d'austérités graves qu'il a finalement rejetées comme extrémistes, il s'est assis absorbé par une méditation profonde sous l'arbre Bodhi. Tout au long d'une nuit d'assaut par les forces de la mort et du désir, il est resté immobile dans la méditation, et avec la rupture de l'aube, après avoir surmonté toutes les forces négatives de l'esprit et de la vie, le prince est devenu le Bouddha, le «conquérant». En raison de son énorme compassion, une qualité qui est devenue sa marque de marque, il a enseigné aux autres la vérité qu'il avait, par lui-même et en lui-même, découvert comme la sortie de la souffrance. Sa doctrine s'appelle le Dharma.
Dans son tout premier enseignement, le Bouddha a proposé la doctrine des "quatre nobles vérités." La première vérité, a-t-il dit, est la vérité de l'existence de la souffrance est douloureuse; La seconde est la vérité de la cause de la soif de souffrance. Le troisième est la vérité de la fin de la souffrance - le nirvana, littéralement «explosé», le renvoi complet de l'envie; Et la quatrième vérité est la vérité du chemin vers la fin de la souffrance - le chemin huit résumé comme le triple développement de la moralité, de la méditation et de la sagesse.

Des cinq moines qui ont écouté ce premier discours de la vénérable, il y a grandi une communauté de moines, de religieuses et de laïcs qui étaient les disciples du Bouddha et de son Dharma. Ils sont appelés la Sangha, et ils représentent l'expression vivante de l'aspiration à l'illumination. Le Bouddha, le Dharma et la Sangha forment ensemble la Trinité bouddhiste inséparable connue sous le nom de «les trois bijoux». Le chemin du Bouddha est également appelé "la voie médiane" car il ne repose ni sur l'ascétisme extrême ni sur l'indulgence sensuelle.
Pendant quarante-cinq ans, le vénérable s'est donné à la formation de l'humanité sur la voie de la vérité pour le bien de tous les êtres sensibles, soulignant toujours l'amour et la bonne volonté qui sont à la fois le chemin et l'expression de cette vérité. Au cours de sa quatre-vingtième année, entourée de ses disciples bien-aimés, il est passé au-delà de son corps et est entré dans le dernier Pariirvana. Dans son dernier enseignement, il a réitéré le sentiment de responsabilité de soi et la reconnaissance de l'impermanence au cœur du Dharma. Réconforter et exhortant ses disciples de deuil, il a dit: "Tout ce qui est composé doit se décomposer. Soyez des lampes à vous-mêmes, o moines."

Ainsi, le Bouddha, humain le plus rare et le plus doux, celui qui a combiné la sagesse et la compassion d'une manière jusqu'ici inconnue, celui qui a réalisé la pleine éclaircissement par l'effort de soi héroïque, a changé le cours de la religion, de la philosophie et de la psychologie, de la science, de l'art et de la culture dans le monde à partir duquel il est parti il y a deux mille ans et demi. Au fil du temps, il a été une inspiration et un exemple pour des milliards de personnes qui s'efforcent de se comprendre et de la nature de l'existence et de chercher à apporter la paix et la bonté dans leur propre vie et dans le monde. L'inspiration du Bouddha reste avec nous, et son éclairage brille avec une brillance non diminuée

MANTRA TIBÉTAIN DE LA MÉDITATION


Il est traduit pour la première fois en langue française
ང་ཚོས་སྦྱོང་བརྡར་བྱེད་པའི་ནུས་ཚད་དེ་རིགས་ལ་སེམས་གཏིང་ནས་་པ་དང་། རྣལ་འབྱོར་ཆོས་ལུགས་ཀྱིས་རང་ཉིད་ཀྱིས་འགྲོ་ལམ་ཐོག་གི་མཛུབ་སྟོན་སྟེ་ལུས་ཕུང་དང་། དབུགས་འབྱིན་རྔུབ། བསམ་བློ་བཅས་བཏང་བར་ཐུགས་རྗེ་ཆེ་ཞུ་རྒྱུ་ཡིན།   
Nous nous ouvrons à l'énergie de cette pratique et offrons notre gratitude pour l'orientation des enseignements du Yoga sur le chemin de la découverte de soi – à travers les asanas (postures), le pranayama (techniques respiratoires) et la méditation. 
Tirumalai Krishnamacharya (1888-1989), ཏའེ་ལུའུ་མ་ལེ་ཁི་ལི་ཞི་མ་ན་ཁྲ་ཡ།, तिरुमलई कृष्णमाचार्य.
Mantra


Les endroits suivants pour méditer sont supérieurs : un endroit avec beaucoup d’eau, un endroit fertile, un endroit où il y a une rive d’une rivière sacrée, où il n’y a pas de foule, un endroit propre et solitaire – de tels endroits sont supérieurs. Dans un tel endroit, le yoga peut être pratiqué en méditant car le corps s'unit à l'appel de l'âme. 


Dans un tel endroit, trouvez une région où se trouve un puits, un étang ou un lac. Construisez une clôture autour de cette zone et dans une région plate au milieu de cette zone, construisez un bel ashram. À cet endroit, prenez des dispositions pour que les insectes comme les fourmis, les moustiques, les punaises de lit et les insectes capables de prélever du sang ne puissent pas entrer. De plus, il est nécessaire de nettoyer quotidiennement l’espace avec de la bouse de vache. À l’intérieur du bâtiment, installez des images sur les quatre murs pour encourager la croissance du vairagya (détachement), du jitendriya (contrôle des sens) et du yoga vidya abhyasa.
Dans le sala yogabhyasa décoré comme décrit ci-­dessus, étalez un siège d'herbe sur le sol dans un espace propre ne faisant pas face à la porte d'entrée. Par­ dessus, étalez une peau de tigre ou de cerf et par­dessus, mettez une couverture blanche ou un chiffon blanc propre. Préparez un tel endroit pour vous asseoir. Pour vous assurer qu'aucune mauvaise odeur ne pénètre dans cet endroit, brûlez du sabrani ou de l'encens. Après avoir terminé sa pratique de yoga composée d'asanas et de pranayama, le pratiquant de yoga doit se reposer pendant quinze minutes en gardant le corps au sol avant de sortir. Si vous sortez peu de temps après avoir terminé le yogabhyasa, la brise pénétrera dans le corps par les minuscules pores de la peau et provoquera de nombreux types de maladies. Par conséquent, il faut rester à l’intérieur jusqu’à ce que la sueur disparaisse, se frotter gentiment le corps, s’asseoir avec contentement et se reposer pendant une courte période

Je conseille la méditation deux fois 20 minutes par jour. Vos capacités de guérison nature seront doublés.



La méditation repose les errances permanentes de l'esprit.

Instant Karma a écrit:

Voici la définition pratique de la méditation ; après avoir reçu le mantra d'un maître spirituel, un dévot doit, conformément à toutes les règles et réglementations, méditer sur la forme sombre du Seigneur, qui ressemble à des graines de lin sombres. fleurs, ou sur sa forme au teint clair, qui est comparée à l'or fondu.

Je ne vois pas le rapport entre réciter des phrases idiotes et méditer. Le Dr. Christophe André a ouvert la méditation en milieu hospitalier. Les mantras sont religieux. La méditation athée est meilleure.


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D'autres part les études sur la méditation prouvent ses bienfaits sur tout le monde sans passer par une religion. Elle est une forte indication dans les troubles d'anxiété et de la dépression, donc exactement l'inverse de ce que tu prétends sans aucune preuve scientifique. D'autres part une étude scientifique la plus complète jamais réalisée sur une période longue a permis d'évaluer l'efficacité de la méditation sur la dépression chronique en terme de récidive sur 8 années. C'est entre autres pour cela qu'elle est reconnue comme la plus fiable et aussi parce que le protocole utilisé est le même pour le Canada, les USA, la France etc .....


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