[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]NOËL : FÊTE CHRÉTIENNE OU PAÏENNE ?
Chaque année, à l’approche de l’hiver, les préparatifs vont bon train. Tout le monde s’affaire, du plus petit au plus grand, pour que la fête soit belle. Parce qu’il s’agit bien d’une fête, moment particulier de l’année où les gens se réjouissent de se retrouver en famille. Pour quelques jours, parents, enfants, grands-parents, petits-enfants, oncles et tantes s’assemblent pour fêter
Noël. Ambiance chaleureuse, à la lumière des bougies, autour d’un bon repas, souvent copieux, décors multicolores, atmosphère joyeuse, musique de circonstance, chants des enfants devant le beau sapin orné de guirlandes, de bougies, de boules et de chocolat, la crèche et ses personnages nous rappelant que
Noël est la fête de la naissance de Jésus, l’échange des cadeaux, et au cœur de la nuit, la célébration de la messe de la nativité. Ce tableau n’est certes pas exhaustif, mais dépeint en quelques phrases ce que
Noël représente aux yeux de la plupart de nos contemporains. C’est aussi le souvenir de notre enfance.
UNE SAINE REMISE EN QUESTION
En tant que chrétien, me suis-je posé les questions suivantes ?
D’où vient cette tradition de fêter
Noël ?
A partir de quelle date a-t-on commencé à fêter
Noël ?
Noël est-elle vraiment une fête chrétienne ?
Est-ce que je peux m’associer à cette fête ou au contraire, dois-je m’en distancer ?
Toutes ces questions méritent qu’on s’y attarde et qu’on y réponde, non pas en plongeant nos regards dans la tradition, si précieuse soit-elle, mais en examinant cette fête sous la loupe des Saintes Ecritures, à la lumière de la Parole de Dieu.
Que nous dit la Bible sur la fête de
Noël ? Quelles sont les origines de
Noël ? Puisse Dieu nous aider à nous remettre en question.
« Examinons toutes choses et retenons ce qui est bon. » I Thessaloniciens 5 : 21
« Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et par une vaine tromperie, s’appuyant sur la tradition des hommes, sur les principes élémentaires du monde et non sur Christ» Colossiens 2 : 8
QUELQUES ELEMENTS SUR LA FETE DE NOEL
Curieusement, cette fête était inconnue des premiers chrétiens. L’Eglise naissante se remémorait la mort et la résurrection de Jésus. Cette fête n’est pas mentionnée par les principaux Pères de l’Eglise que sont Tertullien et Irénée.
Tout semble prouver que Jésus n’est pas né le 25 décembre comme on le prétend, mais bien plutôt en septembre ou à une autre période. Il y a plusieurs raisons à cela :
a) En Palestine, selon un rythme très régulier, le temps est frais et humide pendant six mois, chaud et sec le reste de l’année. Les premières pluies d’hiver commencent à la mi-octobre, quand l’air humide venant de la mer rencontre l’air chaud qui s’élève de la surface de la terre. Des chutes de neige sont possibles (II Samuel 23 : 20 ; Proverbes 25 : 13 ; 31 : 21) surtout à Jérusalem et dans ses environs ; les nuits peuvent être glaciales. Les bergers, en Palestine, ne passent pas les veilles de la nuit « à la belle étoile » pendant la période hivernale. Les animaux sont parqués dans des enclos parfois couverts qui sont surveillés par les bergers logés sous tente. D’après le verset huit du deuxième chapitre de l’Evangile de Luc, l’automne n’avait même pas commencé.
b) La Bible ne nous dit rien sur la période de la naissance de Jésus. Ce que nous savons, c’est que Jésus a été crucifié au temps de la Pâque juive (Jean 18 : 39). Qu’il avait environ trente ans quand Il a commencé son ministère (Luc 3 : 23) et que celui-ci a duré trois ans et demi. D’après ce calcul, Jésus pourrait être né vers le début de l’automne.
c) Le temps du recensement (Luc 2 : 1-5) : Rien ne nous autorise à penser qu’il ait eu lieu au milieu de l’hiver. Au contraire il est vraisemblable qu’il se soit déroulé pendant la période de septembre, à la fin des moissons, lors de la fête des Tabernacles qui avait lieu à Jérusalem. Ce qui expliquerait pourquoi Marie accompagnait Joseph et qu’il n’y avait plus de place pour eux dans la ville (Luc 2 : 7). Selon l’historien Josèphe, Jérusalem était normalement une ville de 120’000 habitants, mais durant les fêtes, elle pouvait atteindre parfois plus de deux millions d’habitants avec ses alentours. Bethléhem ne se trouve qu’à quelques kilomètres au sud de Jérusalem.
Finalement, l’essentiel n’est pas de connaître la date exacte du jour où Jésus est né, mais bien plus qu’Il est né. Qu’Il est venu dans ce monde pour le sauver. Que Dieu s’est fait homme et qu’Il a habité parmi nous, plein de grâce et de vérité.
D’où vient donc cette tradition de fêter
Noël le 25 décembre ?
Jusqu’au IVe siècle, il y avait différentes opinions au sujet de la date de la naissance de Jésus.
Ce n’est que vers la fin du IVe siècle que l’Eglise catholique romaine a commencé à observer le 25 décembre comme la date d’anniversaire de la naissance du Christ.
En l’an 354 fut fêté pour la première fois à Rome le jour de
Noël. Cette période coïncide avec l’institution du christianisme comme religion d’état, sous le règne de l’empereur romain Constantin.
L’observation des 24 et 25 décembre trouve sa source dans beaucoup de traditions et coutumes païennes.
Chez les anciens Romains, le 25 décembre était l’anniversaire de la naissance de « Sol », un des noms du dieu soleil.
Le 25 décembre était aussi le jour du festival d’hiver appelé la « nativité du soleil non conquis », fête païenne.
C’était aussi la période du solstice d’hiver, temps de festivités et de joie dans la Rome antique, la Grèce, parmi les Barbares teutons et dans les anciennes civilisations égyptiennes. Cette période du solstice d’hiver était si populaire, qu’elle a été adoptée et imposée par l’Eglise catholique romaine comme le temps où Jésus serait né.
La grande divinité perse dont le nom signifie « l’ami » est née d’un rocher, un 25 décembre, jour de la renaissance du soleil. On trouve, par ailleurs, des correspondances avec Apollon ainsi qu’avec le dieu serpent des Aztèques, censés tous deux être nés un 24 décembre.
Beaucoup de traditions et de coutumes païennes qui ont trait au soleil, ont été ainsi christianisées. On peut voir la confusion qui en a résulté : Tertullien et Augustin durent dénoncer la fausse identification qu’on attribuait à Jésus : Jésus était Sol, le dieu Soleil.
D’autres coutumes relatives à la période de
NoëlL’échange des cadeaux provient des « saturnales », coutume chez les anciens Romains, en l’honneur du dieu Saturne. L’Eglise catholique se justifie en évoquant les mages (Matthieu 2 : 1-12). Pourtant il n’y avait là aucun échange de cadeaux, mais des offrandes volontaires à Jésus seul.
L’origine du sapin de
Noël, tel qu’on le connaît, vient d’une tradition alsacienne vieille de quelques siècles. L’idée de l’arbre sacré est, par contre, très ancienne, puisqu’elle remonte aux premières civilisations. Dans une fable babylonienne, on raconte que Nimrod est revenu à la vie en tant que Tammuz, son fils, sous la forme d’un arbre qui reverdit.
L’arbre de
Noël décoré par des bougies fut introduit définitivement dès le XVIe siècle.
On retrouve plusieurs fois l’idée de l’arbre sacré, par exemple le chêne chez les druides, le palmier chez les Egyptiens. Les Romains décoraient le sapin avec des baies rouges durant la période des saturnales.
Les Scandinaves et anciens Germains croyaient que leur dieu Odin allait leur distribuer des cadeaux s’ils s’approchaient de l’arbre sacré pendant la période entourant le 25 décembre et ils considéraient cette nuit comme celle de la mère, c’est-à-dire de la création, qu’ils fêtaient par des masques et des danses.
Tous les éléments de la fête, tels que la dinde, le sapin décoré, les cartes de
Noël, le père
Noël, la bûche de
Noël, le houx, les cloches et les chants de
Noël, ont été empruntés à différents peuples païens et se sont fondus jusqu’à faire partie intégrante du 25 décembre. Par exemple, c’est aux Celtes que revient la paternité de la bûche de
Noël. Elle était brûlée au moment du solstice pour faire revenir la vie dans la nature, ses cendres étaient répandues sur le pas de la porte pour protéger la maison du malheur et dans les champs pour garantir l’abondance des récoltes.
Alors pourquoi tout cela ? Comme on va le voir, pour en comprendre la raison profonde, il faut se plonger dans des origines encore plus lointaines.
« Ainsi parle l’Eternel : n’imitez pas la voie des nations, et ne craignez pas les signes du ciel, parce que les nations les craignent. Car les coutumes des peuples ne sont que vanité. » Jérémie 10 : 2-3
SES ORIGINES PAIENNES OU LE MYSTERE DE BABYLONE
La Bible nous parle d’un homme qui a marqué son temps et son époque : NIMROD. Pour replacer ce personnage dans son contexte, il est bon de se remémorer l’événement majeur qui a précédé son époque : le déluge, duquel seuls Noé et sa famille ont été sauvés. De Noé sont sortis trois fils qui ont dessiné les trois grands courants de l’humanité et dont la postérité s’est répandue sur toute la terre.
Ce sont SEM, CHAM et JAPHET.
SEM dont sont issus les Arabes et les Juifs (les Sémites)
CHAM dont sont issus les peuples, tribus et ethnies qui ont gagné l’Afrique
JAPHET ancêtre de la race blanche
De la lignée de Cham est sorti Nimrod (Genèse 10 : 8-9). La Bible nous dit que c’était un homme très fort, un vaillant chasseur devant l’Eternel. Il commença à être très puissant sur la terre. Il semble qu’il devait sa réputation d’homme vaillant et de grand chasseur à ses combats contre les bêtes sauvages, qui étaient, à l’époque, le principal danger auquel on devait faire face. Nimrod est certainement à l’origine de la civilisation naissante. Il a bâti de nombreuses villes et des royaumes et a peut-être été à la tête de l’une des toutes premières civilisations citées dans l’Histoire de l’humanité.
L’autre fait marquant dont il faut parler, c’est la tour de Babel. Dieu vit que les êtres humains étaient en train de se construire une ville et une tour qui devait toucher le ciel. Projet insensé sanctionné par son intervention. Il mélangea leur langage, interrompit leur réalisation et les dispersa sur la face de toute la terre. Cette tour était le symbole de la rebellion contre Dieu.
Nimrod, dont le nom signifie « rebelle », régna d’abord sur Babel (Genèse 10 : 10). Le passage de Genèse 10 : 9 peut aussi être traduit par « était un grand chasseur contre l’Eternel. » D’autres sources abondent dans ce sens et ajoutent que Nimrod était l’être le plus rebelle à Dieu.
Le Mystère de Babylone
Selon les sources archéologiques, Nimrod était marié à une femme du nom de Sémiramis qui, à la mort de son mari, eut un fils nommé Tammuz. Elle prétendit que celui-ci avait été conçu et était né surnaturellement. Elle fit admettre cela comme une réalité et déclara qu’il était le germe promis, le sauveur annoncé dans la prophétie de Genèse 3 : 15 où, on le sait, il est question de Jésus, le Messie qui devait venir (pour écraser la tête du serpent).
A ce moment précis, quelque chose s’est déclenché dans l’Histoire de l’humanité. Un système de contrefaçon a vu le jour et s’est propagé jusqu’à nous ; son aboutissement sera l’apparition de l’homme impie (II Thessaloniciens 2 : 3-9).
Sémiramis, la mère, et son fils, Tammuz (petit bébé), se sont fait adorer, surtout la mère. L’adoration de la mère et de l’enfant se retrouve dans beaucoup de civilisations anciennes païennes :
Représentation babylonienne : Sémiramis qui tient dans ses bras son fils Tammuz.
Représentation égyptienne : Isis, déesse égyptienne et son fils Horus.
Représentation indienne : Indrani et son enfant ; Devaki et Crishna.
La déesse d’Ephèse : Diane.
A partir des anciens Babyloniens, cette coutume de l’adoration de la déesse mère et de son enfant s’est répandue sur toute la terre.
Chez les Chinois, la déesse mère se fait appeler « sainte mère », elle est représentée avec un enfant dans ses bras et un rayon de gloire autour de sa tête. Les anciens Germains connaissaient la vierge Erta avec son enfant dans ses bras, qui étaient aussi adorés, de même que chez les Scandinaves et les Etrusques. Chez les druides, elle était appelée la « mère de Dieu ». Chez les Grecs, il y avait Aphrodite ; chez les Sumériens, Nana ; chez les Romains, Vénus. Chez les Phéniciens, la déesse de la fertilité était représentée par un croissant de lune sous ses pieds. Chez les Egyptiens, Isis était représentée par un croissant de lune sous ses pieds et des étoiles autour de sa tête. Nous retrouvons cela aujourd’hui, dans l’Eglise catholique, avec les représentations de Marie. L’immaculée conception était déjà appliquée aux déesses mythologiques.
En Asie, la mère était connue sous le nom de Cybèle et son enfant, Deoius. Elle était considérée comme l’épouse de Baal et comme la reine du ciel, vierge qui enfanta sans concevoir. L’attrait de cette déesse était tel, que même les Israélites se firent prendre à un moment donné et adorèrent la reine du ciel (Jérémie 44 : 5-19).
En Egypte, plusieurs siècles après Jésus-Christ, il fut admis par décret épiscopal que les représentations d’Isis et d’Horus seraient désormais attribuées à la vierge Marie et à son enfant, Jésus.
Voici encore quelques indications qui montrent que l’adoration ou la vénération de Marie tire son origine de l’adoration de la déesse mère. Ce sont les titres qui lui sont attribués : Marie est souvent appelée « Notre Dame de… ». Cette expression est, en fait, la traduction d’un des titres sous lesquels la déesse babylonienne était connue. En effet, Nimrod apparut plus tard sous une forme divinisée, le dieu Baal et Sémiramis, sa femme comme la déesse Baalti dont le nom signifie en anglais « My Lady », en latin « Mea Domina » et en italien « Madonna », qui aujourd’hui se dit « Notre Dame de… ». Cette énumération est certes fastidieuse, mais elle nous ouvre les yeux sur certaines choses, sur le comment et le pourquoi de ces événements.
La religion babylonienne et ses mystères se sont propagés d’une manière formidable dans l’Empire romain. Rome avait pour principe d’englober dans son système religieux tous les dieux des peuples, nations ou royaumes conquis. L’adoration de la déesse mère était très populaire, non seulement à Rome, mais aussi dans tout l’Empire.
Et encore…
L’Eglise primitive, jusqu’au IVe siècle, ignorait ces choses. Puis il y eut une lente évolution et une intégration progressive de certaines pratiques païennes sous le règne de l’empereur Constantin.
Le Concile d’Ephèse en 431, décréta une doctrine relative à une vénération très poussée de Marie. Rappelons que c’est dans cette même ville que l’apôtre Paul prêcha l’Evangile, et fut à l’origine d’une émeute au sujet du temple de la déesse Diane d’Ephèse (Actes 19 : 23-40). Ce Concile provoqua un attroupement sans précédent : joie, liesse et cris de victoire. Après cette étude, il n’est pas difficile de comprendre pourquoi.
Le pape Pie IX définit le 8 décembre 1854, la doctrine de l’immaculée conception. Cette doctrine précise que Marie, dès l’instant de sa conception, fut préservée du péché originel. Jusqu’au XVe siècle, ce fut un sujet de controverses entre les Franciscains et les Dominicains qui, eux, y étaient très fortement opposés.
Le pape Pie XII établit la doctrine de l’assomption le 1er novembre 1950. Cette fête a lieu le 15 août, qui était un jour sacré pour Isis et Diane.
La Bible nous enseigne que seul Jésus n’a jamais péché et que, par conséquent, Il est lui seul digne d’être adoré. La prétendue « vénération » de Marie en opposition à l’adoration n’est qu’un alibi qui a conduit des millions de personnes à l’hérésie, par rapport à la Bible.
LE COMPROMIS OU LA VERITE
Il est alors primordial qu’en parlant de
Noël, nous ayons les pensées claires. Que nous sachions quel esprit est derrière cette fête. En réalité, c’est le mystère de l’iniquité (II Thessaloniciens 2 : 7), allusion au mystère de Babylone (Apocalypse 17 : 1-6) qui agit aujourd’hui dans ce monde et qui trouvera son apogée dans l’apparition de l’homme impie, le plus rebelle à Dieu.
Il faut se souvenir que
Noël, ainsi que tout ce qui entoure cette fête, est basé sur des pratiques païennes.
Tirons un parallèle avec un passage de la Parole de Dieu : une fête en l’honneur de l’Eternel qui a engendré la colère de Dieu : l’adoration du veau d’or.
… « Allons ! fais-nous un dieu qui marche devant nous… »
… « Demain, il y aura fête en l’honneur de l’Eternel !… »
… « Ils offrirent des holocaustes et des sacrifices d’actions de grâces. Le peuple s’assit pour
manger et pour boire ; puis ils se levèrent pour se divertir. »
… « Car ton peuple s’est corrompu. Ils se sont promptement écartés de la voie que leur avait
prescrite… Israël ! voici ton dieu… »
… « Ah ce peuple a commis un grand péché. Ils se sont fait un veau d’or. »
… « C’est celui qui a péché contre moi que j’effacerai de mon livre… »
… « Ote maintenant tes ornements de dessus toi… »
Exode 32 : 1, 5, 6, 7, 31, 32 et 33 : 5, 6
Il est affligeant de penser qu’une grande partie de la chrétienté s’est laissée prendre par ces coutumes et ces traditions qui nous viennent directement des anciennes civilisations païennes.
Tout notre système actuel est pollué par ces mystères babyloniens et ce n’est pas pour rien que l’Apocalypse nous parle de la grande prostituée, Babylone. Tout est préparé depuis des siècles. Aujourd’hui la vieille tentative de la tour de Babel est en train de se reproduire ; avec les moyens de communication, avec l’informatique, avec tous les moyens modernes que nous avons à disposition. Tout cela facilite et favorise l’émergence d’un empire qui apparaît très clairement et s’élève contre Dieu (II Thessaloniciens 2 : 3-11).
Maintenant, laissons-nous interpeller par ce que Dieu dit et comprenons qu’en tant que chrétien, ce n’est plus une question de sensibilité ou de point de vue, mais un choix de vie ou de mort. Soyons sérieux avec la Parole de Dieu. Mettons-la en pratique et ne nous bornons pas seulement à l’écouter. Choisissons aujourd’hui qui nous voulons servir !
Comment devons-nous nous comporter, maintenant ? Que devons-nous faire ? Comment devons-nous réagir par rapport à nos familles, à ceux qui nous entourent ? Le but n’est pas que nous soyons des trouble-fêtes et des démolisseurs. Remettons-nous devant le Seigneur et laissons-nous remplir de Sa présence, de Sa puissance et de Sa sagesse. Soyons des témoins de la vérité, avec courage et droiture, mais remplis d’amour et de compréhension pour ceux qui n’ont pas encore été éclairés par le Saint-Esprit.
Portons un témoignage à JESUS-CHRIST vivant. Si Marie pouvait revenir, elle pleurerait et dirait : « mais qu’avez-vous fait de moi ? ». Chaque fois que vous verrez une crèche avec une mère et un bébé joufflu, n’oubliez jamais Sémiramis et Tammuz, parce que ce sont eux que vous allez voir ; ce ne sont ni Marie, ni Jésus, mais la Baalite – la Madone – et Tammuz. N’oublions plus jamais l’esprit qu’il y a derrière ce monde.
Nous allons vers des temps où Dieu va restaurer son peuple dans toute sa pureté, exempt de toutes les saletés et pollutions qui viennent directement d’en bas. Combien c’est important d’avoir la vision de la restauration de toutes choses, selon le plan de Dieu. Malheureusement, des millions de personnes ne sont pas conscientes de l’émergence d’un système inique, et se fondent avec celui-ci, commettant l’adultère conformément à la prophétie de l’Apocalypse, concernant la grande prostituée. Dieu veut un peuple débarrassé de toute souillure, marchant dans la pureté, la droiture et la vérité.
Pour terminer, peu importe que Jésus soit né un 30 septembre, un 1er juillet ou le 25 décembre.
Ce qui compte, c’est qu’Il est né, qu’Il est venu dans les ténèbres, pour sauver ceux qui étaient perdus. Il n’est pas resté le petit bébé joufflu, mais Il est devenu le Roi des rois, le Seigneur des seigneurs.
Pro/APV décembre 1995 CM
1995 by Alliance Pierres Vivantes, Editions Lorema, CH – 1678 Siviriez
Tous droits réservés – Imprimé en Suisse – Alliance Pierres Vivantes
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